Plus précisément, 76 % des répondants de l’étude croient qu’une invalidité les empêchant de travailler pendant trois mois serait lourde de conséquences sur la situation financière de leur famille, en les contraignant par exemple à s’endetter de manière importante ou à modifier leurs plans de retraite.

Selon des recherches sectorielles, 26 % des Canadiens ne pourraient pas réunir 2 000 $ au cours du prochain mois pour couvrir une dépense imprévue.

Littératie

Au total, 16 % des répondants détiennent une assurance invalidité individuelle outre la protection offerte par leur employeur, le cas échéant.

Parmi les travailleurs canadiens n’ayant pas souscrit d’assurance individuelle, 10 % ne savent pas ce qu’est l’assurance invalidité et 22 % n’ont pas réfléchi à l’éventualité d’être frappé d’invalidité.

S’ils devaient arrêter de travailler pour des raisons d’invalidité, 34 % des répondants puiseraient dans leur épargne personnelle pour régler leurs frais de subsistance.

D’autres affirment qu’ils compteraient sur le revenu de leur conjoint ou partenaire, 29 %, sur l’aide du gouvernement, 19 %, ou sur la vente de placements, 16 %.

Quinze pour cent des travailleurs canadiens ne savent pas comment ils couvriraient leurs dépenses courantes s’ils étaient frappés d’invalidité.

RBC Assurances a chargé Ipsos de sonder l’opinion des travailleurs canadiens sur des sujets tels que l’invalidité, l’invalidité en milieu de travail et l’assurance invalidité. Le sondage a été mené du 14 au 18 juillet 2014. Au total, un échantillon de 1 000 travailleurs canadiens ont été sondés en ligne au moyen du panel Je-Dis d’Ipsos