Le sondage indique cependant que 64 % des Québécois possèdent un plan financier écrit, mais non rédigé avec un professionnel, et que des mythes subsistent sur la planification financière.
Le plan financier de trois Québécois sur dix est dans leur tête puisqu’ils ne croient pas en la nécessité de transposer leurs idées sur papier.
De plus, 46 % des répondants ont indiqué que c’est la «retraite dorée », qui les pousse en premier lieu à mettre un plan financier par écrit, suivi de l’achat d’une propriété pour près du tiers. Ces deux projets d’importance semblent éclipser toutes les autres étapes de vie.
Les professionnels des services financiers auraient tout intérêt à regarder du côté des ménages ayant des revenus de moins de 40 000 $ annuellement, puisque 44 % d’entre eux n’ont pas de plan financier écrit.
Le sondage a été réalisé en ligne par Léger pour le compte de la Banque Laurentienne auprès de 1034 Québécois entre le 21 et le 23 septembre.