Conséquemment, 96 % des investisseurs sondés citent l’équilibre du risque comme principal facteur influençant leurs décisions de placement. Parmi les autres facteurs cités, on retrouve, pour 95 % des investisseurs, le taux de rendement à long terme, suivi par la diversification, pour 86 % des répondants, et par le taux de rendement à court terme, pour 72 % des gens sondés.
Au Québec, ce sont 76 % des répondants qui disent s’attendre à ce que la volatilité des marchés demeure un facteur très important dans le futur. Les Albertains semblent beaucoup plus confiants qu’ailleurs au pays puisque seulement 73 % d’entre eux disent que la volatilité est là pour rester.
« Divers facteurs, comme des évaluations boursières exagérées, mais encore raisonnables, le resserrement des politiques monétaires et les tensions persistantes sur les liquidités dans les pays émergents, nous donnent à penser que la volatilité continuera de caractériser les marchés financiers au cours des 12 à 24 prochains mois », explique pour sa part Paul Taylor, chef des placements, Actions de base, BMO Gestion mondiale d’actifs.
Les Québécois sont un peu moins susceptibles, à 92 % contre 96 % ailleurs au Canada, de citer l’équilibre du risque comme un facteur d’investissement important.
Le sondage a été réalisé en ligne entre le 31 janvier et le 4 février 2014 auprès d’un échantillonnage de 1 002 investisseurs canadiens.