Les « minutes » des discussions des 28 et 29 juillet montrent que les responsables estimaient être prêts d’atteindre leurs objectifs en matière d’emploi. Mais ils étaient divisés à savoir si l’inflation avait connu une progression suffisante pour justifier une augmentation des taux d’intérêt.
Concernant la Chine, le compte-rendu indique que les responsables de la banque centrale jugeaient qu’un recul majeur des marchés boursiers chinois aurait un impact limité sur les perspectives de croissance en Chine. Néanmoins, les discussions ont eu lieu avant une décision de la Chine ayant fait en sorte de dévaluer significativement le yuan et ayant perturbé grandement les marchés mondiaux.