Ces besoins secondaires comprennent notamment des rénovations, des vacances ou des gros cadeaux.
L’étude indique aussi que parmi les répondantes femmes, 68 % ont puisé dans leur épargne en prévision des jours difficiles, comparativement à 61 % des hommes.
Les hommes ont puisé en moyenne 10 351 $ pour une dépense non urgente, par rapport à 5 920 $ pour les femmes.
Les vacances, les rénovations domiciliaires et les gros cadeaux sont les trois principales dépenses non urgentes des répondantes femmes. Celle des hommes sont les vacances, les appareils électroniques et les rénovations domiciliaires.
Le sondage annuel de BMO sur l’épargne en prévision des jours difficiles a été effectué par Pollara, entre le 5 et le 7 août 2014, auprès d’un échantillon en ligne de 1 001 adultes canadiens.