En même temps, un sur trois répondants a indiqué se fier entièrement aux études de marché, tandis que seulement 28 % disaient toujours maîtriser leurs émotions lorsqu’ils investissent.
Émotions positives
Le sondage révèle que chez les personnes qui permettent aux émotions de jouer un rôle dans leurs décisions de placement, les émotions les plus souvent ressenties seraient l’optimisme, 48 %, l’anticipation, 35 % et la confiance, 35 %
À l’opposé, une sur cinq a indiqué ressentir de la crainte ou de l’appréhension lors du choix d’un placement, les femmes étant plus susceptibles que les hommes de ressentir ces émotions, 27 % contre16 %.
Investissement patriotique
Lorsqu’on leur demande quelles sont les régions du monde pour lesquelles ils sont le plus optimistes dans une optique de placement, les répondants canadiens ont d’abord cité leur propre pays. En effet, 58 % d’entre eux étant particulièrement optimistes à l’égard des marchés canadiens.
Ensuite, les marchés nommés étaient les États-Unis, 34 %, l’Asie, 29 % et l’Europe (21 %).
Cette fierté nationale est toutefois tempérée, car seulement le tiers, 34 %, des Canadiens se disent optimistes au sujet des taux d’intérêt canadiens et des perspectives d’avenir du dollar canadien.
Les résultats du sondage proviennent d’entrevues effectuées en ligne du 24 au 28 janvier 2014, auprès d’un échantillon de 1 005 Canadiens âgés de 18 ans et plus choisis au hasard. Un échantillon aléatoire de cette taille entraîne une marge d’erreur de plus ou moins 3,1 %, 19 fois sur 20.