Le ministère des Finances a expliqué ce résultat par une hausse de 900 M$ des revenus, soit 3,8 %, attribuable principalement à une croissance des revenus de l’impôt sur le revenu des non-résidents, des taxes et droits d’accise et des cotisations d’assurance-emploi.
Les dépenses des programmes ont diminué de 700 M$, soit 3,2 %, essentiellement en raison de la baisse des charges de programmes directes. Les frais de la dette publique ont progressé de 100 M$, soit 5,1 %.
Pour le trimestre d’avril à juin, le gouvernement a cumulé un excédent de 400 M$, comparativement à un déficit de 2,6 G$ pour la même période l’an dernier.
Les revenus pour l’exercice financier en cours ont avancé de 2,5 G$, soit 3,8 %, jusqu’à maintenant, tandis que les dépenses des programmes ont diminué de 400 M$, ou 0,7 %.
Les frais de la dette publique pour les trois premiers mois de l’exercice ont reculé de 49 M$, ou 0,6 %.
Selon la revue financière du gouvernement, même si les résultats trimestriels ne fournissent qu’une information limitée quant aux perspectives pour l’ensemble de l’exercice, ils laissent croire que les choses se déroulent comme cela a été prévu dans le budget présenté au printemps.
Une mise à jour des perspectives économiques et financières pour l’ensemble de l’exercice est prévue à l’automne.