Hendrix Vachon, économiste principal à Desjardins études économiques souligne qu’il est possible, mais encore trop tôt pour miser sur une hausse de la cible d’inflation au Canada.

Selon lui, une hausse de la cible d’inflation de 1 % à 1,50 %, aurait des implications multiples sur les marchés.

« Les taux de courtes échéances pourraient diminuer à court terme, mais les taux longs d’ajusteraient éventuellement à la hausse pour refléter des anticipations d’inflations accrues », a-t-il écrit.

La BdC réévalue régulièrement sa cible d’inflation et malgré l’analyse d’une cible supérieure à 2 %, Stephen Poloz, gouverneur de la BdC et Agathe Côté, sous-gouverneure de la banque, prennent soin de préciser que la barre est haute pour une modification de la cible.

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