La proportion des répondants diffère toutefois selon les groupes d’âge : ce sont 31 % des répondants entre 18 et 34 ans, 26 % des répondants entre 35 et 54 ans, 15 % des répondants âgés de 55 ans et plus qui ne consultent pas leur conjoint.
« Chez les personnes plus jeunes, il est fréquent de voir une planification financière à long terme effectuée indépendamment de l’être aimé », mentionne Guylaine Dufresne, planificatrice financière, directrice principale, Investissement et planification financière à la Banque Laurentienne. À un plus jeune âge, il est plus difficile de se projeter dans l’avenir et de planifier pour ses vieux jours. Les gens ont souvent tendance à inclure le conjoint dans leur planification financière seulement lors de l’achat d’une propriété ou de l’arrivée d’un enfant ».
La Banque Laurentienne profite de l’occasion souligner qu’il existe plusieurs avantages de tenir compte de la situation du conjoint, en particulier à un âge plus avancé et avec un revenu plus élevé.