Vanguard pourrait hausser la barre
Le chroniqueur et conseiller Michael Kitces pense que Vanguard pourrait abaisser à 50 000 $ le seuil d’admissibilité à son nouveau service-conseil simplifié, Vanguard Personal Advisor Services (VPAS) (http://tinyurl.com/lkzfes6). Étant donné ses frais peu élevés – 0,3 % de l’actif sous gestion -, Vanguard pourrait couper l’herbe sous le pied des conseillers-robots, ces sites de services-conseils automatisés tels que Wealthfront (0,25 % de l’actif sous gestion) et Betterment (0,15 %). La publication RIABiz précise d’ailleurs que les clients qui ont un actif d’au moins 0,5 M$ ont accès, avec VPAS, à un conseiller attitré. Les clients moins fortunés sont servis par un groupe de conseillers. Quelque 250 conseillers qui ont le titre de CFP (Certified Financial Planner) sont rattachés à VPAS, au siège social de Vanguard établi à Valley Forge, en Pennsylvanie (http://tinyurl.com/nuzcu72). En plus de VPAS, Vanguard mise sur un autre service-conseil, le Vanguard Asset Management Services (VAMS). Celui-ci s’adresse aux clients qui ont un actif à investir d’au moins 0,5 M$. Ses stratégies englobent la planification successorale, la mise sur pied de fiducies et l’achat de produits d’assurance. Les frais sont de 0,7 % par an pour un actif qui s’élève jusqu’à 1 M$ ; de 0,53 %, jusqu’à 2 M$ ; et de 0,33 %, jusqu’à 5 M$. À l’instar de VPAS, les échanges avec les conseillers se font à distance, surtout par vidéoconférence (http://tinyurl.com/m9ssvr9).
- Par : Jean-François Barbe
- Source : Finance et Investissement
- 1 janvier 2015 1 janvier 2015
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