Un document papier scellé à côté d'un marteau de juge.
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La pandémie de COVID-19 a engendré de nombreux bouleversements dans le monde du travail. Pensons au domaine du conseil financier, qui s’est rapidement et unilatéralement tourné vers les nouvelles technologies pour communiquer avec la clientèle présente et en développement, modifiant du même souffle la manière dont vous travaillez. Mais qui se serait attendu à parler de planification successorale au bureau?

Certains employeurs n’hésitent pas à inviter leurs employés à réfléchir à leur testament, alors que nous traversons de plein fouet la deuxième vague de coronavirus et que le nombre de décès ne décroit guère au pays, rapporte Benefits Canada.

Par exemple, Humi, une entreprise torontoise dédiée aux technologies appliquées aux ressources humaines, organise dorénavant des séances de formation sur Willful, une plateforme de planification successorale.

Andrea Bartlett, directrice des RH chez Humi, indique qu’en raison de la COVID-19 les gens vivent des événements « qui changent leur vie, dont certains sont catastrophiques. […] Notre équipe [des avantages sociaux] comprend ce qu’est la planification pour la fin de vie, mais l’ensemble du personnel n’est pas sensibilisé […] Ce n’est pas seulement une opportunité d’apprentissage, mais c’est la conversation permanente qui a été rendue possible par ces ateliers. »

Cette offre « ajoutée » de ressources proposées aux employés permet de parfaire leur éducation financière, tout en offrant un soutien au personnel soudainement endeuillé. « C’est quelque chose qui est bien accueilli, les employés ne viennent pas nous en faire la demande, dit Andrea Bartlett qui précise que la planification successorale n’est pas une préoccupation pour de nombreux employeurs.

Les avantages sociaux s’en trouvent donc…

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