Retour du conseil grand public
Au Royaume-Uni, plusieurs banques et assureurs ont abandonné le domaine du service-conseil après qu’on a interdit que les frais soient intégrés aux produits financiers. D’autres ont relevé les critères d’admissibilité à plus de 100 000 $ d’actif. Les dernières statistiques indiquent que le nombre de conseillers qui exercent leur métier en milieu bancaire a diminué de 23 % en janvier 2014 par rapport à août 2013 (http://tinyurl.com/ltf9y87). Toutefois, la baisse semble freinée. La banque Santader a annoncé l’embauche de conseillers (http://tinyurl.com/oyzt7du). Standard Life veut créer une plateforme technologique pour offrir du conseil au grand public, grâce aux bénéfices générés par la vente de sa division canadienne (http://tinyurl.com/mnt772x). Aviva entend également développer ce genre d’outil afin de limiter les rencontres face à face, et ultimement, réduire les coûts du conseil (http://tinyurl.com/k57czry). L’autorité de réglementation londonienne, la Financial Conduct Authority, encourage ce genre d’initiative technologique. Elle souhaite le développement du conseil simplifié et automatisé qui vise à rejoindre les ménages qui ne peuvent pas se permettre les services de conseillers à honoraires (http://tinyurl.com/p63ww7y).
- Par : Jean-François Barbe
- Source : Finance et Investissement
- 15 janvier 2015 15 janvier 2015
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