De plus, 71 % des promoteurs du secteur public envisagent des cotisations supplémentaires, alors que 30 % cherchent à réduire les prestations discrétionnaires ou encore à réduire ou à éliminer l’indexation.
Bien que la notion de régimes à prestations cibles soit une façon relativement nouvelle de gérer les risques inhérents aux régimes traditionnels à prestations et à cotisations déterminées et que la législation soit encore à développer dans la plupart des provinces, 43 % des promoteurs sont curieux d’en savoir davantage sur les régimes à prestations cibles.
Selon Aon Hewitt, les options de rente gagneraient en popularité à l’extérieur du pays et la firme de recherche s’attend à ce que la popularité des rentes au Canada grandisse, compte tenu de la tendance du secteur privé à fermer et à geler des régimes. Seize pour cent des promoteurs se disent d’ailleurs « très ou assez susceptibles » d’envisager un achat de rente et 11 % songent à transférer leur passif à une société d’assurance.
Sur le plan des placements, 33 % des promoteurs de régimes disent avoir réduit leur allocation en actions canadiennes l’année dernière, et 30 % maintiendront cette tendance l’année prochaine. Les actifs alternatifs et l’immobilier ont enregistré la plus forte hausse parmi toutes les catégories d’actif. D’ailleurs, 30 % des répondants ont augmenté ou ont l’intention d’augmenter leur allocation en actifs alternatifs.