La tendance devrait s’accentuer puisque, selon le sondage, cette proportion devrait atteindre 35 % des investisseurs québécois d’ici cinq ans.
Par contre, 80 % des investisseurs autonomes se qualifient d’« hybrides », c’est-à-dire qu’ils gèrent une partie de leurs actifs de façon autonome et confient l’autre partie à un professionnel.
De plus, les jeunes investisseurs, âgés entre 18 et 34 ans, sont plus susceptibles de faire affaire avec une société de courtage à escompte puisque 38 % d’entre eux font du placement autonome. Ce chiffre devrait continuer à progresser pour atteindre 47 % d’ici cinq ans, selon le sondage.
Soixante-seize pour cent des investisseurs autonomes sondés prévoient augmenter ou maintenir le niveau de leurs investissements gérés de façon autonome dans les cinq prochaines années.
Cinquante-six pour cent des répondants disent avoir débuté il y a moins de cinq ans.
Les résultats proviennent d’un sondage de Extract Recherche Marketing effectué en ligne auprès de 1184 Québécois âgés de 18 ans et plus, du 18 octobre au 4 novembre 2013.