Selon le Bureau, ces fraudeurs deviennent de plus en plus sophistiqués dans leur utilisation d’Internet pour arnaquer les Canadiens, en leur dérobant leur argent et leurs informations personnelles.

L’organisme fédéral précise que les fraudes les plus courantes sont désormais pratiquées via les médias sociaux Facebook, Twitter ou d’autres sites, où les arnaqueurs tentent de vendre de faux produits ou de délester les internautes de leur argent.

Mais peu de personnes tombant dans ces pièges le signalent à la police ou à d’autres autorités.

Le Bureau de la concurrence tenait mardi une « activité Twitter » pour souligner le danger de la fraude en ligne et sur les médias sociaux. Mais si l’achalandage de la discussion en ligne est un bon indicateur, l’agence devra redoubler d’ardeur pour garder le public informé à propos des menaces dans l’univers numérique: seule une poignée de participants semblaient provenir du public.

La majorité oeuvrait plutôt pour la police ou des agences gouvernementales, des groupes de protection des consommateurs, ou encore des entreprises du secteur de la sécurité en ligne.