La carrière offre beaucoup, mais…
Les conseillers arrivent au 25e rang du palmarès des 100 meilleurs emplois établi par la revue U.S. News and World Report. En raison du départ à la retraite de nombreux baby-boomers, la demande de conseillers augmentera beaucoup (http://tinyurl.com/oq2l2rx). Toutefois, selon la firme d’études de marché Cerulli, près d’un conseiller sur deux (43 %) a plus de 55 ans. Et, puisqu’il y aura là aussi beaucoup de départs à la retraite, il manquera au moins 200 000 conseillers aux États-Unis au début de la prochaine décennie (http://tinyurl.com/q8zgndu). Toutefois, l’industrie peut renouveler ses rangs à condition de réussir à changer son image auprès de la génération Y (les moins de 35 ans). Selon une enquête de Fidelity Investments, les Y ne s’intéressent pas à la carrière de conseiller en raison de la «trop forte pression pour vendre» et de la structure de rémunération, axée sur les commissions de ventes. Selon Fidelity, les recruteurs doivent repenser leur approche. Pour séduire les Y, ils devraient mettre l’accent sur le fait que les conseillers aident les gens, qu’ils peuvent équilibrer le travail et la vie privée, et qu’ils ont de bonnes occasions de promotion. L’élimination des commissions et la possibilité de gagner des revenus élevés doivent également être mises de l’avant (http://tinyurl.com/psj5ncm).
- Par : Jean-François Barbe
- Source : Finance et Investissement
- 15 février 2015 15 février 2015
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