Le sondage, réalisé dans le cadre de la semaine de la planification financière, révèle également que 72 % des Québécois estiment ne pas disposer de toutes les connaissances nécessaires pour planifier adéquatement leur avenir financier.
En ce qui concerne les professionnels associés aux services de planification financière, 83 % des répondants déclarent avoir déjà entendu parler de la profession de planificateur financier. La proportion est significativement plus élevée, à 93 %, chez les répondants âgés de 55 ans et plus. Les répondants dont revenu familial est de 100 000 $ et plus sont aussi très susceptibles, à 93 %, de connaître le titre de planificateur financier.
« Nous ne pouvons que nous réjouir de la notoriété grandissante de la profession de planificateur financier (pl. fin.), mais il nous faut également redoubler d’efforts pour expliquer aux Québécois que l’expertise du planificateur financier n’est pas réservée à une tranche de la population », note Jocelyne Houle-LeSarge, présidente-directrice générale de l’IQPF.
Par ailleurs, certains champs d’intervention du planificateur restent peu connus. En effet, 84 % des Québécois savent que le planificateur financier peut les aider en matière de placements, 77 % avec la retraite (77 %), 72 % avec les finances et 52 % avec la fiscalité.
Pourtant, 43 % des répondants ignorent que le planificateur financier peut les aider avec les questions de succession. Trente-huit pour cent ne savent pas que le planificateur peut répondre à leurs questions sur l’assurance et, dans 31 % des cas, les répondants ignorent que leur professionnel est également un spécialiste des aspects légaux de la planification financière.
Le sondage a été réalisé par SOM, du 3 au 5 novembre, auprès de 1017 Québécois et Québécoises âgé(e)s de 18 ans ou plus.