Les revenus de l’institution établie à Montréal ont été de 216,1 M$, en hausse de 1 pour cent comparativement à 213,9 M$ à la même période l’an dernier.

Sur une base ajustée, pour la période qui s’est terminée le 31 janvier, le bénéfice de la Banque Laurentienne a été de 39,26 M$, ou 1,29 l’action, soit une performance similaire à celle de 39,16 M$, ou 1,30 $ l’action, enregistrée au même trimestre en 2013.

Son président et directeur général, Réjean Robitaille, a justifié cette situation par un contexte où la compression des marges ainsi que le désendettement des consommateurs « continuent de constituer un défi ».

L’institution souligne une progression dans les services qu’elle offre aux entreprises avec une augmentation de 17 % des prêts commerciaux et acceptations au premier trimestre de 2014 comparativement à la même période l’an dernier.

De leur côté, les provisions pour pertes sur prêts ont bondi de 31 %, pour atteindre 10,5 M$ au quatrième trimestre. Au trimestre correspondant de 2013, elles avaient été de 8 M$.

En avant-midi, à la Bourse de Toronto, le titre de la Banque Laurentienne cédait 12 cents, à 46,38 $.