Parmi les conseillers sondés pour le Top 9 des courtiers québécois, la technologie fait à la fois des heureux et des malheureux. Certains estiment que leur firme n’en fait jamais assez, tandis que d’autres semblent un peu essoufflés face à ces changements incessants.Il reste que les répondants accordent à leur firme des notes généralement faibles, soit de 7,6 à 7,8 points sur 10 pour le back-office, le logiciel de gestion de la clientèle et le soutien à la technologie mobile. Sept dirigeants de courtiers réagissent à ce constat.