Richard Cloutier est rédacteur en chef de Finance et Investissement et de Conseiller.ca. Il a été Adm.A. de 1995 à 2012 avant de se consacrer au journalisme. Il a notamment écrit pour La Presse et Les Affaires.
Richard Cloutier est rédacteur en chef de Finance et Investissement et de Conseiller.ca. Il a été Adm.A. de 1995 à 2012 avant de se consacrer au journalisme. Il a notamment écrit pour La Presse et Les Affaires.
En ordonnant à la banque CIBC et à sa filiale Placements CIBC de transmettre à la syndique de la Chambre de la sécurité financière (CSF) les documents et les renseignements qu'elle estime essentiels à ses enquêtes, la Cour supérieure du Québec confirme le rôle de la syndique dans la protection du public ainsi que les pouvoirs d'enquête inhérents à sa fonction.Dans une décision rendue le 4 mai dernier, le juge Louis Lacoursière précise qu'il «serait insensé, voire absurde, que le législateur ait prévu que le syndic nommé en vertu de la Loi sur la distribution de produits et services financiers (LDPSF) puisse jouer son rôle de dénonciateur sans l'avoir pourvu des moyens d'enquêter et d'obtenir les informations pertinentes pour décider s'il y a lieu ou non de porter plainte».
«Les sociétés d'assurance vie doivent composer avec un passif à très long terme dont l'évaluation est complexe, et son jumelage avec l'actif pose des défis intéressants», a lancé le surintendant Jeremy Rudin, qui dirige le Bureau du surintendant des institutions financières (BSFI), lors d'une conférence tenue récemment à Toronto.Jeremy Rudin estime que la faiblesse des taux d'intérêt sur un tel laps de temps est un défi important des assureurs et qu'elle est particulièrement préoccupante pour les sociétés d'assurance vie, en raison des engagements à long terme du passif.
Développée avec l'apport d'une vingtaine de partenaires réunis autour de l'Autorité des marchés financiers (AMF), la Stratégie québécoise en éducation financière sera lancée au cours de l’automne 2015, a déclaré Louis Morisset, président-directeur général de l'AMF, lors d’un entretien avec Finance et Investissement.
EN DIRECT DE l’APCSF – « L’industrie s’est positionnée favorablement à la mise en application de la deuxième phase du modèle de relation client conseiller (MRCC 2), et elle l’a fait parce que cette mesure est centrée sur les intérêts des investisseurs », mentionne Kia Rassekh, chef de bureau et conseiller principal en politiques, du Conseil des fonds d’investissement du Québec (CFIQ).
EN DIRECT DE l’APCSF - Les orientations émises par l’Autorité des marchés financiers (AMF) visant à baliser la vente de produits d’assurance par Internet constitue un exemple d’orientation destinée à nourrir l’expérience client, selon Claude Di Stasio, vice-présidente, Affaires québécoises, de l’Association canadienne des compagnies d'assurances de personnes (ACCAP).
EN DIRECT DE l’APCSF – Le président de l'Association professionnelle des conseillers en services financiers (APCSF), Flavio Vani, réitère ses réserves devant la mise en application prochaine de la deuxième phase du modèle de relation client conseiller (MRCC 2)
Les investisseurs canadiens sont optimistes (85 %) quant à l'atteinte de leurs objectifs financiers, bien que près de la moitié d’entre eux (45 %) soient préoccupés par l'état de l'économie mondiale et qu'environ un tiers (37 %) s'inquiètent de la chute du cours du pétrole, selon une étude de Franklin Templeton.
L'achat de rentes figure au nombre des principales stratégies de gestion des risques liés aux régimes de retraite, selon une consultation menée par le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF).
GUIDE FNB - Bien que l’industrie des fonds négociés en Bourse (FNB) se soit bâtie sur l’indiciel, sa croissance sur le marché canadien pour les prochaines années sera portée par les portefeuilles de FNB sous format de fonds commun de placement (FCP), estime Alain Desbiens, vice-président, ventes FNB BMO, Est canadien, BMO Gestion mondiale d'actifs.
« Ce jugement vient confirmer qu'il n'y a pas deux classes de courtiers en matière de réglementation disciplinaire et que nous jouons tous dans un même carré de sable », soutient Me Maxime Gauthier, chef de la conformité chez Mérici services financiers.