Richard Cloutier est rédacteur en chef de Finance et Investissement et de Conseiller.ca. Il a été Adm.A. de 1995 à 2012 avant de se consacrer au journalisme. Il a notamment écrit pour La Presse et Les Affaires.
Richard Cloutier est rédacteur en chef de Finance et Investissement et de Conseiller.ca. Il a été Adm.A. de 1995 à 2012 avant de se consacrer au journalisme. Il a notamment écrit pour La Presse et Les Affaires.
CONSULTATION 33-404 – L'industrie financière demeure divisée sur l'à-propos d'implanter une norme d'agir au mieux des intérêts du client, du moins selon les termes proposés par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).
La société de gestion suisse Unigestion poursuit sa croissance au Canada et annonce la conclusion prochaine d’une entente avec un 13e client, pour un mandat de gestion évalué à environ 250 millions de dollars canadiens (M$).
La banque du canada participe à différents tests impliquant la technologie de stockage et de partage d'information blockchain, qui sous-tend la monnaie électronique bitcoin. Martin Bégin, consultant principal en relations avec les médias à la Banque du Canada, explique les objectifs de l'institution.Finance et Investissement (FI) : Quelle est la nature des tests que vous faites sur un système de paiement utilisant la blockchain ?
La technologie blockchain touchera-t-elle le travail des conseillers ? Bon nombre le croient, mais des questions portant notamment sur la sécurité des données restent sans réponse.«La technologie blockchain, à l'instar de plusieurs technologies que l'on observe dans le fintech et l'assurtech, nous intéresse. Nous y voyons beaucoup de possibilités de menacer nos modèles d'affaires, et conséquemment, de les faire évoluer afin de mieux servir nos membres-clients», signale Chadi Habib, premier vice-président, technologies de l'information, chez Desjardins.
Bien que les acteurs de l'industrie soient au fait depuis longtemps que de nouvelles règles fiscales concernant les contrats d'assurance et de rentes s'appliqueront au 1er janvier 2017, bon nombre sont animés d'un sentiment d'urgence à l'approche de l'échéance.Le projet de loi relatif aux nouvelles règles fiscales ayant été voté en 2014, l'approche des changements n'est une surprise pour personne et les assureurs, de même que les agents généraux, s'y préparent depuis longtemps, mentionne Anny Plamondon, vice-présidente, assurance individuelle et services-conseils, au Groupe Cloutier.
Très vite dans son parcours, Daniel Laverdière, directeur principal, planification financière et services-conseils, Banque Nationale Gestion Privée 1859, s'est fait dire que sa carrière «était bien mal commencée, parce qu'il avait donné un conseil qui ne faisait pas l'affaire des ventes».Il s'est alors dit que si on l'avait engagé, c'était parce qu'on tenait à avoir son opinion plutôt que celle d'un autre. «Il est important d'écouter les autres, mais il faut aussi respecter ses calculs. C'est pourquoi il faut écarter l'intuition de ses réflexions, valider ses hypothèses et tenir à ses convictions, car ça permet de mieux dormir.»
Plusieurs membres du Conseil des Gestionnaires en Émergences (CGE) ont saisi l'occasion de rencontrer des distributeurs de mandats de gestion en provenance des États-Unis, mais aussi de l'Ontario et du Québec, le 5 octobre lors d’une activité de rencontre express d'introduction aux capitaux organisée par le Conseil des Gestionnaires en Émergences (CGE), à Montréal.
FI RELÈVE – Daniel Laverdière, directeur principal planification financière et service-conseil à la Banque Nationale Gestion privée 1859, pratique la planification financière intégrée depuis 1996. Actuaire associé (A.S.A.), il détient les titres de planificateur financier (Pl. Fin) et de Certified Financial Planner (CFP).
Des distributeurs de mandats de gestion québécois, ontariens, mais principalement américains, prendront part à un événement d'introduction aux capitaux organisé par le Conseil des gestionnaires en émergence (CGE) le 5 octobre à Montréal.
Les conseillers pensent qu'ils peuvent déléguer entièrement la gestion de leurs médias sociaux, que ce soit à leur adjoint ou adjointe, ou à l'externe, mais ce n'est pas le cas, indique Sara Gilbert, fondatrice, conférencière et consultante de Strategist(e).«La personne qui gère la communauté doit porter la voix du cabinet ou du conseiller. Il doit donc s'agir de quelqu'un qui comprend exactement qui vous êtes, ce que vous faites et le type de client avec qui vous faites affaire», dit-elle.