Richard Cloutier est rédacteur en chef de Finance et Investissement et de Conseiller.ca. Il a été Adm.A. de 1995 à 2012 avant de se consacrer au journalisme. Il a notamment écrit pour La Presse et Les Affaires.
Richard Cloutier est rédacteur en chef de Finance et Investissement et de Conseiller.ca. Il a été Adm.A. de 1995 à 2012 avant de se consacrer au journalisme. Il a notamment écrit pour La Presse et Les Affaires.
PORTRAIT DE CONSEILLER – Diplômé en histoire de l'UQAM et titulaire d'une maîtrise en éducation de l'Université St Mary's de Halifax, Jean Delisle a enseigné deux ans à Yellowknife puis un an à Halifax. Sentant qu'il n’avait pas la vocation, il a finalement choisi de se réorienter dans le domaine des services financiers.
La Société Financière IGM a annoncé qu'elle réunissait en une seule organisation à l'échelle mondiale toutes les fonctions de gestion de placements du Groupe Investors et de Placements Mackenzie, qui conserveront leurs gammes de fonds et leurs marques respectives.Actuellement, Placements Mackenzie regroupe 10 boutiques d'investissement, soit 10 équipes de placement différentes, par exemple l'équipe Mackenzie Cundill et l'équipe Mackenzie Ivy.
L'un des plus grands défis auxquels nous devons aujourd'hui faire face collectivement consiste à assurer un équilibre entre l'humain et la technologie, a affirmé Guy Cormier, président et chef de la direction du Mouvement Desjardins, lors du Forum FinTech Canada 2017, qui s'est tenu à Montréal, en octobre.«Les nouvelles technologies et les applications en intelligence artificielle peuvent être mises au service du meilleur comme du pire. Elles peuvent être de formidables sources de progrès ou, au contraire, représenter un réel danger», avance Guy Cormier. L'essor des fake news, des logiciels malveillants et des fraudes à grand déploiement est un phénomène qui découle lui aussi de l'évolution de la technologie, illustre-t-il.
Le fait de ne pas rémunérer les dénonciateurs n'a pas limité le nombre de dénonciations, a affirmé Jean-François Fortin lors d'une rencontre privée avec différents médias, mardi, en marge d'une table ronde organisée pour des clients du cabinet Langlois avocats. Le directeur général du contrôle des marchés de l'Autorité des marchés financiers (AMF) ne dispose toutefois d'aucune mesure pour étayer cette impression.
Le ministre des Finances, Carlos Leitao, a présenté jeudi à l'Assemblée nationale le projet de loi no 149, Loi bonifiant le régime de rentes du Québec et modifiant diverses dispositions législatives en matière de retraite.
DOSSIER ISR – Une coalition d'institutions financières et caisses de retraite canadiennes et internationales réclament aux sociétés inscrites en bourse, qu'elles s’engagent à divulguer davantage d'informations sur les risques auxquels elles sont exposées en matière de changements climatiques, ainsi que sur les mesures qu'elles prennent pour les gérer.
Le regroupement des opérations de gestion de portefeuilles sous une seule entité, celle de Placements Mackenzie, n'entrainera aucun impact pour les conseillers, ni pour les investisseurs, indique François Provost, vice-président régional ventes au détail, Québec, chez Mackenzie, en entrevue lundi avec Finance et Investissement.
Une société de courtage en valeurs mobilières qui opèrera sous la dénomination sociale Financière Banque Nationale inc., émergera de la fusion prochaine de Financière Banque Nationale inc. (FBNI), Financière Banque Nationale ltée (FBNL), Banque Nationale Courtage direct inc. (BNCD) et de Banque Nationale Réseau des correspondants inc. (NBCN).
PROJET DE LOI 141 – Bien qu'il accueille favorablement le dépôt du projet de loi 141, parce qu'il y voit le maintien du modèle règlementaire actuel de même qu’un rehaussement de la protection du consommateur, le CDPSF y déplore certaines absences, dont la création d’un titre professionnel destiné à distinguer les conseillers rattachés des indépendants.
Depuis quelques années, les clients s'intéressent davantage à la philanthropie, selon Peter Pomponio, planificateur financier, représentant sénior en plein exercice, vice-président de Gestion de capital Assante et directeur général d'Assante Québec : «De 15 à 20 % de nos clients fortunés nous demandent au moins d'effectuer une analyse pour voir si c'est avantageux pour eux de donner et comment ils pourraient le faire.»