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Assomption Vie a mis en marché Essentiel Vie Entière, une nouvelle assurance permanente se voulant économique et destinée aux clients en bonne santé. Dotée d'un capital assuré compris entre 10 000 $ et 4 M$, la police peut être souscrite entre 18 et 75 ans. Selon la direction, les taux seraient particulièrement concurrentiels pour les âges compris entre 30 et 50 ans. Le processus de souscription est à émission simplifiée pour des montants allant jusqu'à 499 999 $ chez les 18 à 45 ans ; jusqu'à 249 999 $ chez les 46 à 65 ans, et jusqu'à 50 000 $ chez les 66 à 69 ans. Cette assurance non participante comporte une valeur de rachat à compter du dixième anniversaire du contrat. Dans l'éventualité d'une maladie terminale, l'assuré pourrait toucher 25 % du capital assuré jusqu'à concurrence de 125 000 $. Essentiel Vie Entière dispose de trois options de paiement : payable 20 ans (18 à 70 ans), jusqu'à 65 ans (18 à 55 ans) et à vie (18 à 75 ans). Comme l'indique le Guide du produit, des avenants d'assurance temporaire, invalidité et maladies graves peuvent également être souscrits dans le cadre d'une seule proposition (https://tinyurl.com/yc3z9r64).

  • 1 janvier 2018 30 mars 2019
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UV Mutuelle a élargi sa gamme d'assurance vie temporaire en lançant une nouvelle protection de 30 ans appelée T30 Supérieur+.

  • 1 janvier 2018 30 mars 2019
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Depuis plus d'un an, une jeune conseillère tente de convaincre un médecin des avantages des produits d'assurance vie universelle, d'assurance invalidité et d'assurance contre les maladies graves. Même si la conseillère est revenue plusieurs fois à la charge avec des illustrations et des prix plus alléchants les uns que les autres, le dossier n'avance pas.«Voilà l'exemple parfait d'une erreur que commettent trop de conseillers, débutants comme vétérans : agir comme s'ils connaissaient d'instinct ce qui est le plus avantageux pour leurs clients. Leurs conversations portent sur les produits, leurs caractéristiques techniques et les prix, ce qui est en fait un véritable cul-de-sac», affirme François Deschamps.

  • 1 janvier 2018 12 novembre 2019
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Au début d'octobre, la Financière Sun Life a retouché son produit d'assurance maladies graves (AMG). La couverture pour perte d'autonomie a été ajoutée au contrat de base pour tous les âges, ce qui entraîne une augmentation moyenne de la prime d'environ 6 %. Toutefois, les clients existants d'AMG ayant déjà cette couverture bénéficient pour leur part d'une baisse moyenne de primes de 1 % à 3 %. Par ailleurs, la nouvelle mouture de l'AMG de la Sun Life comprend deux nouvelles garanties facultatives, soit l'exonération en cas d'invalidité totale et l'exonération protégeant le propriétaire. Les conseillers toucheront 50 % de la prime de ces deux garanties facultatives lors la première année, 3 % de la deuxième à la 10e année et 2 % à partir de la 11e année. Finalement, l'AMG de la Sun Life comporte une nouvelle garantie de remboursement des primes à 75 ans. En revanche, la garantie de remboursement des primes sur 15 ans a été abolie relativement à l'AMG Temporaire 10 ans. La Sun Life indique qu'« aucun autre assureur n'offre la souplesse de payer des primes pendant 15 ans sur un contrat T75 ».

  • 1 janvier 2018 30 mars 2019
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Les investisseurs auraient tout à gagner à s'intéresser aux recherches de pointe qui détectent des inefficiences de marché. Mais le font-ils ? Selon les chercheurs David McLean et Jeffrey Pontiff, qui ont analysé quelque 100 variables, près de la moitié des inefficiences repérées dans ces recherches se corrigent très rapidement, dès leur publication. Autrement dit, les investisseurs s'adaptent vite aux nouvelles connaissances (https://tinyurl.com/ydd32ltu). Une autre étude de ces deux auteurs met toutefois un bémol : les analystes boursiers sont lents à intégrer les résultats de la recherche de pointe. Selon eux, les investisseurs qui suivent les recommandations des analystes contribueraient plutôt à renforcer les inefficiences repérées par la recherche ! Mais heureusement pour eux, les analystes incorporent graduellement, bien que lentement, les avancées de la recherche. Les auteurs estiment que les recommandations d'achat des analystes n'ont pas de valeur prédictive sur les résultats d'entreprises, contrairement à leurs recommandations de vendre, qui, elles, préfigurent correctement des bénéfices en baisse (https://tinyurl.com/y6wryxlo).

  • 1 janvier 2018 12 novembre 2019
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Le 25 octobre dernier, le Wall Street Journal publiait un article critique sur le système de classification de Morningstar (https://tinyurl.com/y7n7fgzh) intitulé «Le mirage Morningstar». La journée même, le titre de Morningstar perdait 4 % de sa valeur. La réaction des marchés illustre l'importance extraordinaire du système de classification de Morningstar auprès des épargnants, conseillers et régimes de retraite. Car si ses utilisateurs perdaient foi en sa validité, Morningstar écoperait durement. L'article du Wall Street Journal signale que lorsqu'un fonds obtient une classification cinq étoiles, il y a une hausse fulgurante des nouvelles entrées. Toutefois, à en juger par l'article, les cinq étoiles n'auraient pas grand pouvoir prédictif puisqu'au bout de cinq ans, seulement 12 % des fonds conservent leur classification maximale, alors que 10 % d'entre eux déchoient à une seule étoile ! La réponse de Morningstar vaut son temps de lecture. On y explique que la classification aurait un pouvoir «modérément» prédictif, car les fonds cinq étoiles ont 40 % plus de chances de conserver leurs cinq étoiles au bout de cinq ans que des fonds pris au hasard. Et que ces fonds cinq étoiles sont également plus susceptibles d'être classés au moins quatre étoiles après ces cinq ans que des fonds pris au hasard (https://tinyurl.com/y7ozukbp).

  • 1 janvier 2018 12 novembre 2019
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Lorsque l'Angleterre a interdit le versement des commissions intégrées en 2013, une dynamique de changements a modifié à jamais le visage de l'industrie des services financiers des pays anglo-saxons. Et ce n'est pas terminé. Cet été, le régulateur britannique a évoqué la possibilité d'une nouvelle vague de réformes que le quotidien The Daily Telegraph qualifie «des plus importantes depuis une génération» (https://tinyurl.com/y8kjdlwm). La Financial Conduct Authority (FCA) affirme tout d'abord que l'industrie britannique des fonds communs de placement (FCP) a besoin d'une forte injection d'esprit concurrentiel (https://tinyurl.com/y7fv2wkk). Selon ses calculs, les marges de profit des firmes de fonds activement gérés seraient les mêmes qu'il y a 10 ans, ce qui fait que les gains de productivité et d'économies d'échelle ne se rendraient pas jusqu'aux consommateurs. La FCA ajoute qu'il n'y aurait pas de relation entre la performance et les frais. Le régulateur propose de créer de nouveaux indices de référence (benchmarks) afin de mieux comparer les performances des FCP. Il souhaite également que les gestionnaires de FCP soient tenus d'agir dans le «meilleur intérêt» des souscripteurs. Ces propositions seront soumises à la discussion jusqu'au 20 février. L'action «ne fait que commencer», estime le quotidien The Guardian (https://tinyurl.com/ya9oy4on).

  • 1 janvier 2018 12 novembre 2019
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Comment réagissent les marchés boursiers à la suite de l'annonce de leurs résultats trimestriels ?

  • 1 décembre 2017 19 février 2019
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Il y a plus de soixante millions d'années, l'écrasement d'un immense astéroïde aurait fait disparaître les dinosaures de la surface de la Terre. Les conseillers en sécurité financière préretraités qui encaissent leurs commissions de suivi sans revoir leurs clients sont-ils les dinosaures d'une profession en pleine transformation ?«Au lieu de partir à la retraite, trop de conseillers en sécurité financière vieillissants touchent leurs commissions de suivi tant et aussi longtemps qu'ils le peuvent. Ils ne font pas de nouvelles ventes et ils ne rencontrent plus leurs clients actuels. Ils se paient une adjointe pour s'occuper des changements administratifs, comme les modifications aux noms de bénéficiaires ou de numéros de comptes bancaires. Leurs services s'arrêtent là», constate Sylvain Sawyer, président du cabinet Sawyer LaRue, de Boischatel, en banlieue de Québec.

  • 1 décembre 2017 19 février 2019
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Dans une décision rendue en 2012 sous le titre de Desjardins Sécurité financière, compagnie d'assurance-vie c. Deslauriers, la Cour d'appel du Québec signale que l'assureur et ses agents ont l'obligation d'expliquer aux consommateurs la portée des polices d'assurance qu'ils achètent de même que les exclusions qu'elles comportent.«Cette cause reflète très bien la position des tribunaux en matière d'obligation de renseignement et de devoir de conseil incombant aux représentants lors du processus de souscription», dit l'avocate Evelyne Verrier, coordonnatrice du secteur de la distribution de produits et services financiers du cabinet Lavery.

  • 1 décembre 2017 19 février 2019
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