En 2013, les régimes de retraite canadiens à prestations déterminées faisant affaire avec les services de banque dépositaire de RBC ont généré des rendements de 14,2 %. Les gains du dernier trimestre ont été moins éclatants avec un gain de 6,1 %.
L’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) est devenu beaucoup plus sévère envers les firmes fautives. En 2013, les amendes ont été presque deux fois plus élevées que par les années passées. En outre, les remises d'honoraires ont été de la partie.
En 2014, la reprise prendra de l’ampleur aux États-Unis et les valorisations boursières américaines seront à la hausse, prévoit Richardson GMP.
La complexité du régime fiscal du gouvernement du Québec avantage les mieux nantis, plus spécifiquement les personnes aux revenus supérieurs à 200 000 $. Inversement, les salariés qui gagnent moins de 70 000 $ en sont les plus désavantagés.
PERSPECTIVES 2014 - L’économiste en chef chez HIS Global Insight, Nariman Behravesh fait partie du camp des optimistes pour l’année 2014.
Spécialiste des produits à émission simplifiée, l'Assomption Vie s'achemine vers la transmission électronique intégrale des données. L'assureur de Moncton a décidé de ne plus imprimer de propositions papier relativement au produit Protection Totale, une assurance vie permanente sans examen médical. Les propositions devront désormais être soumises électroniquement, par l'intermédiaire de la nouvelle plateforme de vente LIA lancée à la fin d'octobre 2013. Un seul produit de la gamme de l'Assomption Vie n'a pas encore migré vers l'électronique : Protection Or, autre assurance vie permanente sans examen médical, dotée d'une protection de 1 000 à 50 000 $. «La plupart des clients de Protection Or ont entre 40 et 85 ans. Ils tiennent aux formulaires papier», explique la porte-parole, Nathalie Allaire. Accessible sur ordinateurs portables et sur tablettes, la plateforme LIA permet d'effectuer en ligne les estimations, les illustrations et les soumissions. L'assureur ne fournit de formulaires papier que pour la cueillette de données et la signature des clients. La compagnie entend mettre au point d'ici 2015 son propre système de signature électronique.
Le train apportant les nouvelles normes comptables internationales roule à toute vitesse et il menace de frapper les produits d'assurance qui offrent des garanties à long terme. Heureusement, le conducteur du train peut encore ralentir la locomotive.Deux ans après l'implantation, en janvier 2011, de la première phase des normes internationales d'information financière (IFRS pour International Financial Reporting Standards), l'inquiétude reste vive dans l'industrie de l'assurance de personnes.
Au cours des prochaines années, certains conseillers pourraient vendre davantage de fonds distincts, aux dépens des fonds communs de placement (FCP). Et la profession de conseiller en sécurité financière pourrait plus facilement attirer de nouvelles vocations. Toutefois, les raisons qui expliquent ce phénomène pourraient faire grincer des dents.Le conseiller Léon Lemoine observe une «certaine recrudescence» de la popularité des fonds distincts. Il l'attribue, en partie, aux changements dans la réglementation sur la divulgation des commissions dans la vente de FCP.
En dépit du ralentissement des ventes, causé en partie par le déclin de l'offre de produits à garantie de revenu viager, l'univers des fonds distincts s'est récemment enrichi de produits qui s'adressent à une population vieillissante redoutant le risque.En septembre dernier, Investissements Manuvie a lancé RetraitePlus. En octobre, Assurance vie Équitable du Canada, un petit acteur sur l'échiquier québécois, qui possède un actif de 0,8 M$ en fonds distincts (2012), a proposé une nouvelle série de fonds distincts.
En 2013, les actions des marchés émergents n'ont pas enrichi les investisseurs. Loin de là. Devrait-on laisser tomber ? Non, car selon des gestionnaires d'actif, les émergents ne doivent plus être pris en bloc. Par exemple, Credit Suisse souligne que le Brésil, la Colombie et la Malaisie continueront de subir les conséquences de la baisse de demande de matières premières en Chine, puisqu'ils sont des exportateurs nets de matières premières. Cependant, le Mexique, la Corée du Sud et Taïwan bénéficieront de la reprise des pays développés, étant donné que leurs entreprises exportent beaucoup de biens de consommation. L'approche globale en marchés émergents devrait donc laisser la place à une stratégie d'investissement différenciée, pays par pays, ce qui favorise la gestion active aux dépens des fonds indiciels. En outre, la gestion active est plus à même de lire la tendance des mouvements de capitaux. D'après une récente recherche du Fonds monétaire international, les investisseurs étrangers placent et retirent rapidement leurs avoirs des marchés émergents en fonction des taux d'intérêt. Lorsque les taux sont bas, ces pays reçoivent davantage de capitaux étrangers, qui peuvent représenter plus de 3 % du produit intérieur brut. Mais lorsque les taux montent, ces capitaux prennent la poudre d'escampette (http://tinyurl.com/lpzzz6a).