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Les clientèles fortunées peuvent maintenant souscrire davantage d'assurance vie à la Financière Sun Life (FSL). Le capital d'assurance vie maximal qui peut être souscrit par un individu a été revu à hausse, à 160 M$, déduction faite de l'assurance déjà en vigueur. FSL dit faire partie des sociétés qui proposent le capital d'assurance vie le plus élevé du Canada. FSL a pu augmenter la limite de capital d'assurance vie grâce à son plein de conservation de 25 M$, et grâce à son accès aux cinq sociétés de réassurance les plus importantes du pays, précise la compagnie.

  • 15 février 2015 15 février 2015
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L'Australie pourrait bientôt forcer ses conseillers en services financiers à détenir un diplôme universitaire, quitte à les renvoyer sur les bancs d'école. C'est ce que souhaite un influent comité parlementaire chargé de réfléchir aux moyens de réformer le système financier australien. Ce comité a proposé que les conseillers détiennent au minimum un diplôme universitaire, auquel s'ajouteraient des formations continues portant sur les habiletés relationnelles, entre autres. Selon le comité, trop de consommateurs reçoivent des conseils mal adaptés à leur situation en raison de la complexité de plusieurs produits financiers. Cependant, en rehaussant les exigences de la formation, le comité reconnaît que des conseillers pourraient volontairement quitter l'industrie et que des clients moins fortunés pourraient ne plus obtenir de conseils. Le comité juge toutefois que la carrière de conseiller, en étant plus valorisée, attirera davantage de recrues, et que les clients peu fortunés accéderont quand même à des conseils moins coûteux grâce aux technologies de l'information. Le comité observe que Singapour et le Royaume-Uni ont rehaussé leurs exigences de formation. Dans le cas des Britanniques, on a imposé un an d'études universitaires, soit l'équivalent d'un certificat au Québec (http://tinyurl.com/luf34uv).

  • 15 février 2015 15 février 2015
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Les conseillers lecteurs de Finance et Investissement sont peu nombreux à estimer que la rémunération à honoraires est le mode de rémunération idéal.Selon un sondage en ligne sur les grands enjeux de l'industrie financière par Finance et Investissement, mené en décembre et janvier auprès de 170 répondants, deux personnes sur cinq (41 %) pensent que les commissions constituent la forme de rémunération la plus appropriée. Une combinaison de commissions et d'honoraires recueille 24 % des voix, et les honoraires seuls, un maigre 8 %.

  • 15 février 2015 15 février 2015
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Les femmes commencent leur carrière avec autant d'enthousiasme que les hommes. Elles sont aussi nombreuses à viser des postes de direction. Par contre, bon nombre ont un problème à l'âge de 35 ans. Elles se désintéressent de leur carrière. «À 35 ans, le pouvoir perd de son lustre. Plusieurs femmes pensent alors que le poids du leadership dépasse les avantages du pouvoir», constatent les auteurs d'une fascinante enquête menée aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en Allemagne. Ce désintérêt toucherait les femmes entre 35 et 50 ans, quel que soit leur statut marital. Car curieusement, même les célibataires sans enfants sont désillusionnées face aux exigences du pouvoir en entreprise. Bien sûr, le leadership est exigeant et bien des personnes ne sont pas faites pour cette course sans fin. Par contre, selon les auteurs de l'enquête, les femmes qui exercent déjà des fonctions de leader pourraient servir de mentors aux jeunes femmes, afin de les aider à garder le cap lorsqu'elles sont en mi-carrière. À cette condition, elles persévéreraient davantage dans l'atteinte de leurs objectifs de jeunesse (http://tinyurl.com/owe8jhk).

  • 15 février 2015 15 février 2015
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Les vendeurs qui imitent leurs clients réalisent de meilleures ventes. Un consommateur qui se sent privilégié achète volontiers. Un employé qui veut la peau de son patron le flattera afin qu'il se sente au-dessus de tout. Ce livre contient 150 affirmations de ce genre, d'une page ou deux, issues de recherches en gestion, en économie et en psychologie. À lire pour passer un bon moment et pour étonner ses collègues.Harvard Business Review, Brillez au bureau : 150 découvertes étonnantes pour impressionner votre entourage, Montréal, Les Éditions Transcontinental et Les Affaires, 2014, 203 p.

  • 1 février 2015 1 février 2015
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Les produits ayant des garanties en capital sont devenus plus difficiles à maintenir. Ainsi, pour la première fois depuis 2006, RBC Assurances a augmenté le 1er janvier dernier les frais d'assurance de ses fonds de placement garanti (FPG). RBC a invoqué le resserrement des exigences de la réglementation ainsi que la pression continue des marchés et ses répercussions sur le coût des garanties du capital. La majoration des frais d'assurance s'établit à 0,2 % dans le cas des fonds à revenu fixe et du portefeuille de placement garanti, et à 0,1 % pour les catégories de fonds équilibrés et actions. Les frais des fonds de marché monétaire sont inchangés. Créée en novembre dernier, la Série Placements (75/75) des Fonds de placement garanti RBC affiche un ratio de frais de gestion (RFG) moyen de 2,43 %. Cette série comprend une garantie à l'échéance de 75 % à l'âge de 100 ans ainsi qu'une garantie du capital-décès de 75 %. Il n'y a pas d'option de rajustement. Le RFG moyen est de 2,72 % pour la Série 1 (75/100) et de 2,92 % pour la Série 2 (75/100 + rajustements) (http://tinyurl.com/oaygks3).

  • 1 février 2015 1 février 2015
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L'Industrielle Alliance (IA) a lancé en novembre Série ÀVIE, un produit de revenu de retraite garanti pour les 50 à 75 ans qui n'ont pas de régime de retraite et qui sont friands de fonds distincts et de certificats de placement à taux garanti. Dans un document destiné aux conseillers, IA ajoute vouloir également rejoindre les détenteurs de fonds communs qui craignent les risques de marché à l'approche de la retraite. IA met de l'avant les avantages de disposer d'une protection du patrimoine de 100 % en cas de décès, tout en ayant la possibilité d'investir dans une gamme de 46 fonds comprenant trois fonds composés uniquement d'actions. Le taux de revenu minimum débute à 3,5 % entre 50 et 54 ans. Il augmente ensuite graduellement jusqu'à ce qu'il atteigne 6 % après 75 ans. Série ÀVIE comporte un mécanisme de revalorisation automatique du revenu tous les trois ans. L'investissement initial minimal est de 25 000 $.

  • 1 février 2015 1 février 2015
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L'inexpérience ou l'absence de connaissances et de compétences ne peuvent jamais être invoquées comme défense, même si les gestes ont été posés de bonne foi, rappelle l'Industrielle Alliance (IA). C'est pourquoi l'assureur affirme que la stratégie de prêts leviers - qui consiste à contracter un emprunt et à investir la somme reçue - peut dépasser les limites du représentant. Dans le cadre de la dernière édition (janvier 2015) de son Guide de conformité - Politiques et procédures - Réseau Carrière, IA rappelle que l'effet de levier peut amplifier le potentiel de gain... et de perte ! «Lorsqu'un client subit des pertes, il peut remettre en question les conseils de son représentant», souligne IA. Et les conséquences peuvent être lourdes. L'assureur rappelle que le comité de discipline de la Chambre de la sécurité financière a relevé les infractions suivantes liées à l'effet de levier : avoir mal expliqué les risques ; ne pas s'être suffisamment assuré que cette stratégie correspond à la tolérance au risque du client ; et le fait d'avoir excédé les limites de ses connaissances. La stratégie dite Iris, qui repose sur l'utilisation d'une police d'assurance vie universelle comme garantie de prêts aux fins de placement, fait également partie de ces situations délicates où les conseillers sont incités à «obtenir l'aide nécessaire» en cas de préparation insuffisante.

  • 1 février 2015 1 février 2015
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Certaines pratiques de l'Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) devraient être revues et améliorées, selon les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).D'après un rapport d'inspection publié par les ACVM en décembre dernier, l'organisme d'autoréglementation en valeurs mobilières est invité à améliorer certaines facettes de ses processus réglementaires (http://tinyurl.com/lphmdco).

  • 1 février 2015 1 février 2015
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Deux ans après l'implantation de la réforme Retail Distribution Review (RDR) au Royaume-Uni, les autorités de réglementation constatent que la fin des commissions a poussé de nombreux cabinets et de nombreuses sociétés financières à segmenter leurs clientèles afin de ne s'adresser qu'aux plus fortunées (http://tinyurl.com/makwr3k). Les conseillers auraient-ils délaissé les petits épargnants ? Selon le journal The Scotsman, «seule une poignée de conseillers s'adressent désormais aux consommateurs qui ont moins de 50 000 £ à investir» (http://tinyurl.com/kljhu3o). D'après un sondage commandité par une plateforme d'investissement en ligne, 56 % des conseillers pensent qu'ils cesseront de servir certains de leurs clients actuels au cours des prochains mois (http://tinyurl.com/kezvyqo). Depuis le début de la réforme, les autorités de réglementation affirment que le marché finira par résoudre ce type de déséquilibre au moyen de plateformes technologiques abordables pour tous. C'est ce que le cabinet britannique Chapters Financial (www.chaptersfinancial.com) veut mettre en oeuvre grâce au lancement, à la fin de janvier 2015, d'un site de conseil pour le grand public. Pour 299 £ (540 $ CA), ce site, nommé SaidSo, fournit un rapport personnalisé de 20 pages, y compris des recommandations de placement. Les clients paieront 159 £ (288 $ CA) de plus s'ils veulent que le cabinet mette ces recommandations en pratique, et 129 £ (233 $ CA) de plus pour un suivi (http://tinyurl.com/k935gyg).

  • 1 février 2015 1 février 2015
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