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La Financière Manuvie a diminué de 15 ans l'âge minimum à la souscription de deux produits vie universelle (VU). Depuis septembre, les produits VU Manuvie - Uniforme Compte de placement Or et VU Manuvie - Uniforme Placements au choix du client peuvent ainsi être souscrits dès 30 ans et non plus à 45 ans. En outre, la couverture conjointe au dernier décès de ces deux produits débute maintenant à 40 ans et non plus à 55 ans. Par ailleurs, l'assureur a augmenté le montant des dépôts autorisés d'un contrat VU Manuvie. Dans une communication aux conseillers, Manuvie cite l'exemple d'un homme de 55 ans avec un indice-santé 3 qui serait titulaire d'un contrat VU Manuvie PCC avec CDA TR1 100 de 500 000 $. Précédemment, son dépôt annuel maximum s'établissait à 19 608 $. Dorénavant, ce client pourra déposer au maximum une somme de 32 020 $. Dans cet exemple, la hausse est de 63 %.

  • 1 novembre 2015 1 novembre 2015
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Assurance vie Équitable du Canada a élargi l'accessibilité de certains produits d'assurance vie et de protection du vivant. En juin, la somme assurée minimale relative à l'assurance maladies graves ÉquiVivre pour les personnes de 18 ans et plus a diminué, passant de 50 000 à 25 000 $. De plus, les taux d'assurance vie temporaire de 10 ans, de 20 ans et 30/65 ont été abaissés le 31 août dernier. L'ordre de grandeur n'est pas connu, mais selon une communication aux conseillers, Équitable se classerait au premier rang parmi 14 assureurs en ce qui touche la T10 chez les non-fumeurs de 30, de 40 et de 50 ans pour un capital assuré de 100 000 $, de 250 000 $, de 500 000 $ et de 1 M$. Équitable se classerait essentiellement au premier rang en ce qui touche la T20. Et en ce qui concerne la 30/65, Équitable figurerait principalement au troisième rang (http://tiny.cc/tcni3x). Par ailleurs, les preuves d'assurabilité exigées ont été simplifiées (http://tiny.cc/ojni3x).

  • 1 novembre 2015 1 novembre 2015
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La divulgation des frais et de la rémunération des courtiers qui distribuent des valeurs mobilières, notamment des fonds communs, entrera en vigueur en juillet 2016. Ce mouvement atteindra-t-il l'univers des fonds distincts et des produits d'assurance de personnes ?«À mon avis, d'ici cinq ans tout au plus, la divulgation sera chose faite», anticipe Stéphane Rochon, vice-président aux ventes et marketing chez Humania Assurance.

  • 1 novembre 2015 1 novembre 2015
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Invoquant les «faibles taux d'intérêt qui persistent», Desjardins Sécurité financière a révisé en juin la tarification de ses produits d'assurance vie permanente.

  • 1 novembre 2015 27 juin 2018
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En avril 2016, les conseillers en services financiers britanniques qui travaillent dans des institutions devront renoncer aux commissions. Ils seront dorénavant rémunérés sur honoraires. Or, un récent sondage d'Aviva montre que deux conseillers en services financiers sur cinq craignent que leur profitabilité ne soit menacée. Chaque type de rémunération possible comporte des inconvénients, résumés par Aviva. S'ils facturent sur une base horaire, les conseillers en services financiers expérimentés sont désavantagés, car ils travaillent plus rapidement que les autres. De plus, leurs clients feront moins appel à leurs services en raison de leurs tarifs horaires habituellement plus élevés. S'ils facturent par projet, ils risquent d'être submergés par les demandes, puisque les clients pourraient en profiter pour résoudre divers problèmes. Parallèlement, si les conseillers en services financiers privilégient une facturation mensuelle ou annuelle fixe, les clients pourraient penser qu'ils sont en droit de leur demander à peu près n'importe quoi. Aviva croit que l'idéal consiste à offrir des menus de services dont les coûts sont clairement établis. «Si les clients ont des choix et qu'ils comprennent les coûts, ils seront alors plus portés à payer pour les services des conseillers en services financiers» (http://tiny.cc/4xmg3x).

  • 1 novembre 2015 1 novembre 2015
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Le ministère du Travail des États-Unis propose d'imposer la règle du devoir fiduciaire aux conseillers qui distribuent les régimes de retraite collectifs. Dans cette perspective, les conseillers devraient recommander des produits qui répondent aux besoins des clients tout en privilégiant leurs meilleurs intérêts - et non plus simplement des produits appropriés (suitable) à leur situation. La proposition du ministère du Travail a suscité plus de 2 800 commentaires écrits, ce qui montre l'importance stratégique des enjeux pour l'avenir de la profession (http://tiny.cc/uvkc4x). Sans surprise, bon nombre d'intervenants s'opposent à cette proposition, dont l'Investment Company Institute (ICI), l'équivalent américain de l'Institut des fonds d'investissement du Canada (IFIC). Ainsi, le président de l'ICI, Paul Schott Stevens, affirme que la règle du devoir fiduciaire rendrait les services-conseils trop chers pour les épargnants dont l'actif est inférieur à 100 000 $ en éliminant les commissions aux conseillers. L'élément le plus original de l'argumentaire de l'ICI réside dans une recherche selon laquelle de 2007 à 2013, les investisseurs qui ont acheté des fonds communs avec frais d'acquisition initiaux auraient «concentré leur actif dans des fonds qui ont mieux performé que les catégories Morningstar auxquels ils se rattachent». L'ICI en conclut qu'il est faux de dire que «les courtiers n'agissent systématiquement pas dans le meilleur intérêt de leurs clients» (http://tiny.cc/rplc4x). Le responsable du ministère du Travail, Thomas E. Perez, entend instituer la règle du devoir fiduciaire d'ici juillet 2016.

  • 1 novembre 2015 1 novembre 2015
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Si le ministère américain du Travail réussit à imposer la règle du devoir fiduciaire, plusieurs épargnants devront renoncer aux conseillers à honoraires. Et ils en paieront le prix, prévient un chercheur de la Brookings Institution, un des plus anciens think tanks américains. Dans un document intitulé «Good Intentions Gone Wrong» («De bonnes intentions qui tournent mal»), le chercheur Robert E. Litan met l'accent sur les limites des fameux robots-conseillers : s'il y a baisse subite des marchés comme en 2008, qui incitera les épargnants paniqués à ne pas vendre et à laisser passer la tempête ? Selon les projections de cette intéressante étude, les consommateurs pourraient perdre jusqu'à 80 G$ US en sortant des marchés lors d'une future correction boursière. Cela équivaut à deux fois les bénéfices attendus sur une période de 10 ans par le ministère du Travail en cas d'imposition de la règle du devoir fiduciaire. L'étude souligne que la règle du devoir fiduciaire entraînerait les petits épargnants à faire appel à des robots-conseillers et à leurs lignes téléphoniques automatisées, car les services des conseillers à honoraires deviendraient alors trop coûteux pour eux (http://tiny.cc/6loc4x).

  • 1 novembre 2015 1 novembre 2015
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Votre iPhone ou votre Android peut emmagasiner plus de 60 Go de données, soit un million de fois plus que l'ordinateur du vaisseau qui transportait les membres de la mission Apollo qui ont exploré la Lune en 1969. L'auteur cite cet exemple afin d'illustrer l'impact du progrès technologique et de la créativité des entrepreneurs. Il met en évidence la diminution constante du coût de l'énergie et le fait que la production d'objets requiert de moins en moins de matériaux. Écrit d'une plume alerte, regorgeant d'optimisme et s'appuyant sur une recherche solide (les notes bibliographiques comptent plus de 50 pages), ce livre constitue une réponse convaincante aux craintes des pessimistes et des écologistes sur l'épuisement des ressources de la planète.

  • 15 octobre 2015 15 octobre 2015
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Publiée en juin, la dernière édition du «Rapport annuel sur les institutions financières» de l'Autorité des marchés financiers (AMF) met en relief les durs défis des assureurs de personnes : la faiblesse persistante des taux d'intérêt à long terme et la croissance médiocre des bénéfices. Est-ce la recette de la stagnation ou du changement ?Bas taux d'intérêt persistantsEn janvier 2012, Finance et Investissement titrait en une : «Assurance : traversée du désert».«Les assureurs doivent composer avec des taux d'intérêt à long terme anormalement bas. Résultat : des ponctions de plusieurs centaines de millions de dollars dans les réserves actuarielles», écrivait alors la publication.

  • 15 octobre 2015 15 octobre 2015
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Doit-on remettre sur le tapis l'épineuse question de l'ambiguïté des titres professionnels pour les clients ? Certains conseillers le pensent à la faveur de la révision de la Loi 188 sur la distribution de produits et services financiers (LDPSF).«Au début des années 1990, j'étais conseiller en placement. Aujourd'hui, je suis représentant de courtier en épargne collective. Pour mes clients, ça ne veut pas dire grand-chose. Je suis aussi conseiller en sécurité financière. Et ça aussi, personne ne sait ce que ça veut dire !» déplore Benoît Lizée.

  • 15 octobre 2015 15 octobre 2015
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