Rappelons que la marijuana est maintenant légale, pour des traitements médicaux, dans une vingtaine d’États américains.

« Les fraudeurs pourraient tenter d’attirer des investisseurs avec de l’information optimiste et potentiellement fausse créant ainsi une demande forte pour les titres de société qui n’ont que peu, ou pas, d’historique en bourse », écrit Gerri Walsh, vice-président à l’éducation des investisseurs chez FINRA.

Ces escroqueries portent le nom de « délit de fausse information » (« pump and dump scams ») et consistent à répandre par tous les moyens des informations fausses ou trompeuses sur les perspectives ou la situation d’une société dont les titres sont négociés en bourse. L’objectif est d’influencer les coursde ces titres.

« Les investisseurs devraient s’interroger sur les raisons qui motivent un étranger à leur fournir de l’information sur une incroyableoccasion d’investissement, écrit Gerri Walsh. En réalité, il n’y a pas d’occasion du tout. »