Le bénéfice dilué par action s’est établi à 1,32 $, contre 1,24 $ pour la période correspondante de l’exercice précédent.
Brian Porter, président et chef de la direction de la Banque Scotia, est ravi de ces résultats de début d’exercice. À son avis, la forte croissance des revenus de l’institution reflète le succès de son modèle d’affaires diversifié.
Le bénéfice net du réseau canadien au premier trimestre s’est élevé à 575 M$. Il a été de 401 M$ dans les opérations internationales.
La Gestion de patrimoine et assurances mondiales a dégagé un bénéfice de 327 M$ pour l’ensemble de ses activités. La croissance des revenus tirés des services de gestion de patrimoine s’expliquerait par les fortes ventes nettes, la conjoncture favorable des marchés et les acquisitions conclues récemment.
La Banque Scotia demeure aussi satisfaite de ses investissements sur les marchés émergents, comme le souligne Brian Porter par voie de communiqué.
« Nous avons délibérément choisi d’investir dans des économies stables d’Amérique latine, comme celles du Chili, du Pérou, de la Colombie et du Mexique, explique-t-il. Nous estimons que la probabilité d’une croissance élevée et stable dans ces marchés émergents triés sur le volet demeure excellente, et nos activités affichent une bonne performance.»
Le dividende trimestriel a pour sa part été augmenté à 0,64 $ par action ordinaire, en hausse de 0,02 $