L’ASLD : tout un défi
Un Américain sur quatre préfère aller chez le dentiste plutôt que d’évoquer de futurs soins de longue durée (http://tinyurl.com/n82hyjx). Selon un autre sondage réalisé aux États-Unis, les 40 ans et plus préfèrent procéder à leurs propres arrangements funéraires plutôt que s’interroger sur la pertinence d’acheter une assurance soins de longue durée (ASLD) (http://tinyurl.com/q3xsg2r). De fait, même les retraités n’aiment pas planifier la fourniture de soins de longue durée, puisque seule une personne sur cinq de 65 ans et plus l’a fait. «Ce n’est pas sur leur radar. Ils se fient à leur famille, bien que la plupart des proches ne se sentent pas prêts à assumer de telles responsabilités», constatent les commanditaires du sondage. Dans ce contexte, Desjardins Assurances propose de miser sur la qualité de vie et la sécurité financière afin d’aborder ce sujet essentiel avec des clients qui ne veulent pas entendre parler d’une possible détérioration de leur état de santé. Une stratégie de vente en ASLD de Desjardins Assurances met ainsi l’accent sur la capacité du client à «rester maître de ses choix».
- Par : Jean-François Barbe
- Source : Finance et Investissement
- 15 janvier 2015 15 janvier 2015
- 00:00