Fusions et acquisitions – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 15 Apr 2024 11:10:27 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Fusions et acquisitions – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Les opérations d’emprunt font grimper les commissions des banques d’investissement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-operations-demprunt-font-grimper-les-commissions-des-banques-dinvestissement/ Mon, 15 Apr 2024 11:10:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100039 Trois courtiers canadiens se hissent dans les classements mondiaux.

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Selon les nouvelles données de LSEG Data & Analytics, les revenus totaux en banque d’investissement ont augmenté au cours du premier trimestre, grâce à une augmentation de l’activité d’émission de titres de créance.

Les commissions bancaires globales se sont élevées à 26,7 milliards de dollars américains (G$ US) pour les trois premiers mois de 2024, soit une hausse de 5 % par rapport au trimestre précédent et une quasi-stabilité par rapport au même trimestre de l’année précédente.

Les commissions de prise ferme de titres d’emprunt ont augmenté de 17 % d’une année sur l’autre pour s’établir à 10,3 G$ US, ce qui a fait grimper le total trimestriel.

Les autres segments d’entreprise ont affiché des commissions globales inférieures à celles du premier trimestre de 2023.

Les commissions sur les fusions et acquisitions ont diminué de 12 % pour s’établir à 7,1 G$ US ; les recettes des prêts syndiqués ont baissé de 11 % pour s’établir à 5,8 G$ US ; et les commissions de prise ferme d’actions ont diminué de 3 % pour s’établir à 3,5 G$ US, relève LSEG.

Les géants habituels de Wall Street ont continué à dominer le classement des banques d’investissement, JP Morgan conservant la première place, avec une part de marché globale estimée à 8,1 %, représentant 2,2 G$ US de commissions totales.

Goldman Sachs reste en deuxième position, avec une part estimée à 6,7 %, suivie par BofA Securities. Morgan Stanley et Citi complètent le top cinq, selon le rapport.

Un trio de banques canadiennes a également grimpé dans le classement, avec en tête RBC Marchés des Capitaux à la dixième place, gagnant une place par rapport à 2023.

Valeurs Mobilières TD est, quant à elle, passée de la 21e place en 2023 à la 15e place dans le classement mondial, et BMO Marchés des capitaux est passée de la 23e place l’an dernier à la 22e place.

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Lumière sur les fusions et acquisitions du secteur énergétique canadien https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/amar-pandya/lumiere-sur-les-fusions-et-acquisitions-du-secteur-energetique-canadien/ Mon, 15 Apr 2024 11:10:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99499 ZONE EXPERTS -  Les opportunités se multiplient au Canada.

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Au cours des trois dernières années, les entreprises technologiques ont dominé les activités de fusion et acquisition (F&A). Toutefois, le secteur énergétique américain a pris les devants du peloton au cours de l’année dernière pour marquer un point d’inflexion digne de mention. Les sociétés énergétiques à mégacapitalisation dont le siège social est situé aux États-Unis, du calibre d’Exxon Mobil, Chevron Corp et Occidental Petroleum, ont mené la charge en faisant l’acquisition de grandes concurrentes, particulièrement celles issues de la région du bassin permien aux États-Unis. Les principales entreprises de pétrole et gaz naturel canadiennes n’ont pas été entraînées par cette rafale d’acquisitions américaines, toutefois, 2024 pourrait s’avérer une année charnière considérant la présence de plusieurs éléments catalyseurs favorables.

Les grandes sociétés énergétiques du Canada tirent maintenant bien leur épingle du jeu. Armées de solides bilans financiers, de liquidités à disposition et de réserves à constituer, celles-ci commencent à convoiter certaines de leurs voisines de plus petite taille. Elles envisagent des fusions dans des régions clés de l’ouest du Canada, comme la formation de schiste de Montney située dans le nord de l’Alberta et en Colombie-Britannique, ainsi que les plus petits bassins de Duvernay et de Clearwater. Comme le marché prend du temps à réévaluer le secteur, certains acquéreurs stratégiques pourraient accoler une prime aux concurrents nantis de fortes réserves de qualité et d’une échelle opérationnelle qui réduisent les dépenses, augmentent le bassin de ressources, améliorent la diversification du portefeuille, abaissent les coûts en capital et procurent une pondération indicielle plus importante.

Après ce qui a semblé être une série interminable de défis pour les investisseurs à long terme dans le secteur de l’énergie, les entreprises canadiennes de ce secteur affichent maintenant des bilans financiers solides. Pendant les années de vache maigre, les producteurs canadiens ont recherché l’efficience à l’aide de nouvelles méthodes et technologies leur permettant d’accroître la production tout en réduisant les dépenses en capital.

Aujourd’hui, ces sociétés présentent des flux de trésorerie disponibles qu’elles peuvent rendre aux actionnaires sous forme d’augmentations de dividendes, de dividendes spéciaux et de rachats d’actions. Elles ont également la résilience financière nécessaire pour financer les acquisitions au moyen des flux de trésorerie abondants et pour recourir à l’effet de levier à l’aide de leur capacité excédentaire. Après avoir vu leurs voisines du sud annoncer une myriade d’ententes, les équipes de direction des entreprises canadiennes et les investisseurs sont impatients de conclure des transactions. Il est inconcevable que les entreprises fassent du surplace tandis que leurs concurrentes prennent de l’ampleur. Aussi, il suffira d’une entente importante pour qu’une réponse compétitive s’entame, laquelle entraînera une vague de F&A comme celle constatée aux États-Unis l’année dernière.

Les producteurs énergétiques canadiens ne présentent pas beaucoup d’avantages comparativement à leurs confrères américains, lesquels tirent parti de ressources de grande qualité à faible coût et d’une réglementation moins sévère. Toutefois, ces premiers profitent d’un avantage notable : la viabilité des réserves, notamment du côté des producteurs de sables bitumineux. En effet, le fait de posséder des réserves pétrolières pour les prochaines décennies pourrait finalement devenir un avantage stratégique. Avec l’achèvement de deux grands projets d’infrastructure énergétique (soit la Trans Mountain, entreprise gouvernementale qui peut transporter 590 000 barils de pétrole brut par jour et dont le démarrage est prévu plus tard cette année, ainsi que la Westcoast Canadian LNG, laquelle exportera 14 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié [GNL] par année), les producteurs de pétrole et gaz naturel trouveront preneurs pour leurs stocks excédentaires sur les marchés internationaux et à des prix de même envergure. Pendant de nombreuses années, les producteurs énergétiques canadiens ont été forcés d’accepter des prix fort réduits en raison de l’accès limité au marché, du rabais sur le « pétrole lourd » et de la congestion dans les pipelines voués à l’exportation.

Or aujourd’hui, on dresse un tableau bien différent. Tandis que les occasions se font plus rares au sud de la frontière en raison des réserves qui s’épuisent et de la mise en attente des licences d’exportation de GNL par le Président Biden en prévision des élections américaines de novembre prochain, les opportunités de développement et d’optionalité se multiplient au Canada. Avec cette capacité additionnelle prévue pour bientôt, les grandes entreprises américaines et internationales seront motivées à se prévaloir des stocks excédentaires et à assurer une production future, ce qui devrait servir de catalyseur majeur pour les activités de F&A au Canada.

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La Laurentienne vend des actifs de sa division de courtage https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-laurentienne-vend-des-actifs-de-sa-division-de-courtage/ Mon, 08 Apr 2024 11:48:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100048 La transaction porte sur 16 000 comptes, 2 G$ d’actifs et 30 conseillers.

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La Banque Laurentienne vend sa division de courtage de détail à service complet à iA Groupe financier pour un prix non divulgué.

Les deux entreprises ont annoncé la conclusion d’une entente qui prévoit l’acquisition par iA gestion privée de patrimoine (iAGPP) de la division de courtage de détail à service complet de Valeurs mobilières Banque Laurentienne qui comprend environ 16 000 comptes clients et plus de 2 milliards de dollars d’actifs sous administration.

Les quelque 30 conseillers de l’entreprise seront également invités à passer à iAGPP.

« Cette acquisition soutiendra la forte croissance de iA gestion privée de patrimoine et élargira sa présence, a commenté Stephan Bourbonnais, vice-président exécutif, gestion de patrimoine, de iA Groupe financier, et président et chef de la direction de iAGPP, dans un communiqué. Nous sommes impatients d’accueillir ces nouveaux conseillers et de les aider à continuer à assurer l’avenir financier de leurs clients en toute confiance. »

La transaction devrait être finalisée au cours de l’été, sous réserve de l’approbation des autorités réglementaires.

La Banque Laurentienne a déclaré que l’opération s’inscrivait dans sa stratégie de « simplification et de concentration sur les secteurs d’activité où elle peut gagner et être plus compétitive ».

La semaine dernière, la banque a également annoncé dans un communiqué que Kelsey Gunderson, vice-présidente exécutive et chef des marchés des capitaux, quitterait ses fonctions le 12 avril et serait remplacée par Brian Doyle, directeur financier des marchés des capitaux. Brian Doyle est maintenant chef intérimaire des marchés des capitaux et président et chef de la direction intérimaire de Valeurs mobilières Banque Laurentienne.

Le communiqué indique également que la banque dévoilera son plan stratégique révisé plus tard ce printemps.

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L’effet de levier et la détresse des entreprises https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/amar-pandya/leffet-de-levier-et-la-detresse-des-entreprises/ Wed, 06 Mar 2024 12:20:40 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99430 ZONE EXPERTS - Il est important de savoir reconnaître les premiers signaux d’alerte.

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Il existe tout un éventail de variables qui peuvent s’abattre sur une entreprise et la faire sombrer dans la détresse financière. Si on organisait ces divers facteurs en forme de pyramide, on retrouverait à la base des éléments d’ordre macroéconomique, comme le cycle économique, la croissance nationale/mondiale, l’inflation, les politiques monétaires des banques centrales et le contexte politique – autant de réalités qui ne sont en fait pas du ressort de l’entreprise. En poursuivant notre ascension le long de notre pyramide, on atteindrait les risques propres au secteur d’activité ou à l’entreprise, notamment les décisions à l’égard de la répartition du capital, comme le rendement des actionnaires, les acquisitions et le recours à l’endettement.

Les avantages de l’endettement, ou de l’effet de levier, sont nombreux : on peut s’en servir pour réduire le revenu imposable en déduisant les charges d’impôts sur les intérêts, pour créer un bouclier fiscal et pour amplifier les rendements si le coût du capital est inférieur au potentiel de rendement pouvant être généré. Il y a toutefois un hic puisque si le vent change de côté ou que la marée se retire, la probabilité de se retrouver en situation de détresse financière s’accroît rapidement. Les programmes de rémunération des cadres principaux encouragent par ailleurs l’endettement puisqu’il offre le potentiel de se prévaloir de gains asymétriques pour la surperformance de l’entreprise. Cette possibilité procure à certains cadres une raison fort convaincante de pousser l’effet de levier au-delà de ce que permet la structure de capital optimale de l’entreprise.

Nous avons été témoins de cette situation pendant la pandémie avec le secteur du transport aérien : celui-ci a été frappé de plein fouet par un événement exogène qui a fait fondre ses recettes à zéro. Au cours des années qui ont précédé la pandémie, ce secteur avait tiré parti, après des décennies de consolidation, d’une amélioration de son pouvoir de fixation des prix, de la production de nouveaux revenus accessoires (frais pour bagages, choix des sièges) et de la diminution du prix du carburant, ce qui a permis aux transporteurs de faire croître leurs flux de trésorerie dans les milliards de dollars. À la place de mettre ces liquidités à l’abri pour les mauvais jours, les transporteurs aériens ont restitué des milliards à leurs actionnaires et ont accru leurs dettes afin d’amplifier les rendements. Lorsque la pandémie a sévi, ils n’étaient pas en mesure d’encaisser cette énorme perte de revenus et l’amoncèlement des dépenses – ils ont donc dû être rescapés pour assurer leur survie.

Les entreprises qui doivent composer avec un trio de risques – les risques de marché, les risques opérationnels et les risques stratégiques – ont une marge de manœuvre plutôt étroite pour endosser d’autres risques financiers comme celui de l’endettement. Le cycle de la détresse typique passe d’une défaillance au stress (échec, insolvabilité et défaut), puis à la faillite où il subsiste une lueur d’espoir qu’une nouvelle entreprise renaisse de ses cendres. Ce processus est souvent graduel, puis très soudain. Pour citer le roman Le Soleil se lève aussi d’Ernest Hemingway :

« Comment avez-vous fait faillite? »

« De deux façons, a répondu Mike. Graduellement, puis soudainement. »

Au cours de la phase graduelle, les investisseurs potentiels peuvent mettre au jour un nombre important d’indices sur le bilan de santé actuel et futur de l’entreprise. À cet égard, plusieurs outils comptables et boursiers peuvent servir à repérer les situations de détresse. Sur le plan comptable, il est possible d’examiner les états financiers annuels et trimestriels à l’aide d’outils qui évaluent l’entreprise en fonction de variables comme la liquidité, la rentabilité et la solvabilité. Cette approche a l’avantage de produire des données facilement accessibles et comparables.

Les méthodes axées sur le marché ont pour leur part recours aux données boursières et les modèles sont typiquement mis à jour quotidiennement, ce qui signifie que, contrairement à l’analyse des états financiers, elles ne comportent aucun effet de décalage. Le cours boursier contient en fait beaucoup de renseignements qui peuvent faire la lumière sur les perspectives d’une entreprise. Bon nombre des données de marché rendent compte de la volatilité des actions, des obligations, des options et des swaps d’une entreprise.

Ainsi, au moyen des deux modèles, les investisseurs peuvent profiter d’une analyse plus exhaustive pour détecter les signes avant-coureurs d’une éventuelle détresse. Dans le contexte actuel caractérisé par des taux d’intérêt élevés, l’incertitude sur les marchés et les perturbations technologiques, les entreprises peuvent rapidement commencer à battre de l’aile. Les investisseurs pourront donc s’éviter bien des malheurs en apprenant à bien connaître les facteurs qui mènent à la détresse et à reconnaître les premiers signaux d’alerte.

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Faible activité de fusion jusqu’à la fin de l’année 2023 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/faible-activite-de-fusion-jusqua-la-fin-de-lannee-2023/ Fri, 09 Feb 2024 12:53:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98914 Les taux d'intérêt élevés et l'incertitude macroéconomique accrue pèsent sur le flux des transactions.

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L’activité de fusion et d’acquisition a connu son trimestre le plus faible des dix dernières années jusqu’à la fin de 2023, selon les données de Crosbie & Co.

La société basée à Toronto a indiqué que 546 transactions ont été annoncées au quatrième trimestre (T4) 2023, contre 579 au troisième trimestre (T3). Par rapport au même trimestre de l’année précédente, les transactions ont diminué de 28 %.

« Comme au trimestre précédent, l’environnement macroéconomique des taux d’intérêt élevés et l’incertitude économique continuent de freiner la motivation des participants à conclure des transactions », a analysé le cabinet, ajoutant que la valeur des transactions au T4 était également en baisse de 4 milliards de dollars (G$) par rapport au trimestre précédent, pour atteindre un total de 40 G$.

« La faiblesse de l’activité de fusion et d’acquisition au T3 s’est prolongée jusqu’à la fin de l’année, le pessimisme du marché sur plusieurs fronts continuant à peser sur la confiance des entreprises, malgré plusieurs grandes opérations de fusion et d’acquisition annoncées à la fin du quatrième trimestre », a souligné Stephen Ng, directeur général de Crosbie & Co, dans un communiqué.

Il y a eu dix « méga transactions » au T4 (transactions d’une valeur supérieure à 1 G$), ce qui est stable par rapport au T3, mais la valeur combinée de ces transactions a chuté de 32 G$ au T3 à 24,3 G$ au T4.

Crosbie & Co. note que cinq des dix méga-opérations concernaient les secteurs des ressources naturelles, dans un contexte de prix des matières premières « soutenus ».

Alors que le nombre de transactions dans le secteur minier a chuté de 117 au T3 à 90 au T4, la valeur totale de ces transactions a bondi de moins de 2,6 G$ à 12,7 G$ au T4.

La valeur des transactions dans le secteur de l’énergie a également augmenté, passant de 4,6 G$ au T3 à 7,1 G$ au T4, même si le nombre de transactions a diminué.

Le secteur industriel est resté en tête en termes de volume d’opérations, avec 113 transactions au T4, en baisse par rapport aux 127 transactions du T3.

« Plusieurs facteurs auront un impact sur les fusions-acquisitions en 2024, notamment la stabilisation des taux d’intérêt et des attentes en matière de valeur dans toutes les classes d’actifs, les élections et les événements géopolitiques dans les régions clés à l’échelle mondiale, et la capacité du capital-investissement à réaliser des sorties pour aider à la collecte de fonds et aux nouveaux investissements », a conclu Stephen Ng.

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3iQ acquise en partie par Monex Group   https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/3iq-acquise-en-partie-par-monex-group/ Tue, 09 Jan 2024 12:17:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98334 Ce qui lui vaudra une présence mondiale.

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La société de courtage japonaise Monex Group a annoncé qu’elle allait acquérir une participation majoritaire dans la société d’investissement en cryptoactifs 3iQ, basée à Toronto, ainsi que dans toutes ses filiales. L’achat d’actions en espèces, qu’un rapport de Reuters évalue à 39,8 millions de dollars américains (M$), devrait être finalisé en février.

Monex Group propose des services de courtage en ligne, d’échange de cryptomonnaies et de gestion d’actifs au Japon. Yuko Seimei, PDG de Monex Group, a déclaré dans un communiqué que l’acquisition de 3iQ aiderait Monex à développer ses activités de gestion d’actifs. « Nous visons à atteindre une forte croissance en capturant les besoins de gestion d’actifs cryptographiques des investisseurs institutionnels et des échanges d’actifs cryptographiques dans le monde entier », a déclaré Seimei.

Une fois l’achat d’actions terminé, 3iQ collaborera avec Coincheck, la bourse de cryptomonnaies de Monex Group basée à Tokyo qui compte 1,8 million de comptes, afin de créer des produits de cryptoactifs pour les investisseurs institutionnels, a déclaré Frederick T. Pye, président-directeur général de 3iQ, dans un communiqué.

Outre la distribution de 3iQ à l’extérieur du Canada, l’accord aidera également la société canadienne d’investissement en cryptoactifs à lancer de nouvelles unités commerciales pour soutenir les partenaires institutionnels et investir dans la formation et la recherche sur les actifs numériques, a déclaré un porte-parole de 3iQ à Investment Executive.

3iQ affirme avoir lancé les premiers fonds réglementés cotés en bourse pour Bitcoin et Ethereum en Amérique du Nord, et a été la première à introduire des FNB de Bitcoin et d’Ethereum à la Bourse de Toronto.

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Fusions et acquisitions : 2024 pourrait être année faste https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/amar-pandya/fusions-et-acquisitions-2024-pourrait-etre-annee-faste/ Mon, 08 Jan 2024 11:36:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98320 ZONE EXPERTS - La période d’observation tire à sa fin.

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Depuis plus d’un an, nombre d’acheteurs et de vendeurs attendent sur la ligne de touche que la prévisibilité et le contexte s’améliorent avant de s’engager dans des ententes de fusions et acquisitions (F&A); or, 2024 pourrait bien être l’année où seront mis à bon usage les billions de dollars qui dorment dans les coffres des entreprises. Advenant un tel dénouement, certains secteurs antérieurement mal aimés, comme celui des petites et moyennes entreprises (PME), pourraient soudainement se trouver dans la mire des investisseurs.

Selon les commentaires émis par divers banquiers et négociateurs, il y aurait un « énorme arriéré » dans l’activité de F&A, les projets dans les coulisses de plusieurs entreprises ayant touché leur plus haut niveau à vie.

Bien que la baisse des taux contribuerait certainement à stimuler l’activité de F&A, leur stabilité pourrait suffire à ce que certaines ententes franchissent le pas, sachant qu’un grand nombre de celles-ci avaient été mises en suspens. En effet, le dernier cycle de resserrement où s’est orchestrée une hausse rapide des taux d’intérêt a contribué à mettre de sérieux bâtons dans les roues des F&A et entraîné la mise en suspens de plusieurs d’entre elles.

Comme les conditions s’améliorent, des éléments catalyseurs prennent forme dans notre univers des PME où se trouve un fort potentiel refoulé de F&A. Plusieurs facteurs avantageux participent à la création d’un environnement propice aux ententes : une meilleure prévisibilité quant à l’évolution des taux d’intérêt, des billions de dollars en train de moisir dans les coffres du capital-investissement, la grande dispersion dans la valeur des actions, la motivation des actionnaires, les tendances comme l’électrification et l’IA, le rapatriement de la production de même que le contexte géopolitique hostile.

Par ailleurs, sachant que le mois de novembre a été un mois fort, mené tambour battant par la concrétisation de plusieurs ententes mettant en jeu certaines des plus importantes positions du Fonds alternatif d’arbitrage Pender, on peut voir là un changement de cap favorable pour les F&A. Parmi ces positions de taille, notons Avantax Inc. (NASDAQ : AVTA), Avid Technology Inc. (NASDAQ : AVID), Polymet Mining Corp. (TSX : POM), Hersha Hospitality Trust (NYSE : HT) et Sculptor Capital Management Inc. (NYSE : SCU). Celles-ci faisaient partie des 19 fusions qui ont été conclues ce mois-là. Nous avons récolté le produit de ces fusions et le redéployons activement dans de nouveaux accords de fusion en privilégiant ceux à petite capitalisation de grande qualité qui se négocient à de larges écarts et sont susceptibles de rapporter des rendements fort attrayants. Le Fonds a de plus pris des positions dans 11 nouvelles ententes en novembre.

Contrairement à ce qui se passe sur le marché des obligations, dont les rendements ont été évalués à la baisse en vue de la possible réduction des taux en 2024, les écarts en matière d’arbitrage sont toujours notables, ce qui représente une opportunité tant sur le plan relatif qu’absolu. Le fossé séparant les écarts des ententes de fusion à petite capitalisation et ceux des ententes à très grande capitalisation a rétréci, car plusieurs fusions à grande et très grande capitalisation ont été menées à bien ces derniers mois. Cette évolution instaure un climat avantageux pour notre stratégie axée sur les PME; elle permet aux investisseurs de tirer profit d’écarts plus prononcés tout en évitant les risques plus élevés inhérents aux fusions de plus grande envergure, notamment sur le plan de la durée.

En outre, l’humeur sur les marchés a changé du tout au tout, ce qui a provoqué des remous importants. En effet, les marchés boursiers ont joui d’une reprise importante en novembre et décembre. La Banque du Canada et la Fed ont laissé entendre que les taux avaient probablement atteint leur sommet pour le cycle actuel. Puis, comme les données sur l’inflation semblent suggérer que les taux puissent baisser plus que prévu en 2024, les investisseurs ont repris confiance et ont poussé le marché vers le haut.

Même si les investisseurs abandonnent leurs craintes et que se réveille leur appât du gain, l’évolution des marchés et des taux d’intérêt demeure imprévisible sachant que les cours tiennent déjà compte d’éventuelles réductions de taux et d’attentes élevées. Considérant que la corrélation entre les actions et les obligations risque de s’amplifier, comme ce fut le cas en 2022 quand ces deux catégories d’actifs ont vu leurs valeurs dégringoler en tandem, une stratégie alternative, non corrélée et axée sur des événements, telle que l’arbitrage sur fusion, peut s’avérer un excellent instrument de diversification dans un portefeuille.

L’inflexion positive et généralisée des cours boursiers des PME qui a eu lieu en novembre pourrait être l’élément déclencheur d’une vague de F&A dans cette arène, surtout à la lumière de la sous-performance longue de plusieurs mois et de l’écart de valeur par rapport aux grandes entreprises, lequel a atteint un sommet historique en octobre 2023.

Nous avons déjà mentionné que le contexte est favorable aux F&A parce qu’il y a beaucoup de capital en réserve et que les conseils, les directions et les actionnaires des entreprises cibles sont motivés, encouragés et disposés à recevoir une entente. Un marché imprévisible, des conditions de financement étroites, des taux d’intérêt élevés et un décalage considérable entre le prix offert et le prix demandé sont autant de facteurs déterminants qui ont freiné l’activité des F&A en 2023. À mesure que les conditions s’améliorent, que les craintes quant aux taux d’intérêt se dissipent et que les valeurs sur le marché des actions s’apprécient, il est probable que les acheteurs fassent monter les enchères afin de ne pas passer à côté d’une acquisition fructueuse (tout en faisant une bonne affaire puisque plusieurs petites entreprises se négocient très en dessous de leur valeur intrinsèque).

Les entreprises, les banquiers et les négociateurs que nous suivons et avec lesquels nous discutons estiment que les F&A mises en suspens recèlent un potentiel considérable. Les investisseurs sont donc invités à envisager les moyens à disposition pour tirer avantage de la multiplication des ententes visant les PME en 2024.

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Le Groupe TMX fait l’acquisition de VettaFi https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-groupe-tmx-fait-lacquisition-de-vettafi/ Mon, 08 Jan 2024 10:56:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98322 Il détenait déjà près du quart de l’entreprise.

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Le Groupe TMX a complété l’acquisition de VettaFi Holdings LLC. En décembre 2023, il a en effet réalisé l’acquisition de la tranche résiduelle d’environ 78 % des parts ordinaires de VettaFi, une société établie aux États-Unis qui est un leader en matière de création d’indices, de distribution numérique et d’analyse de données.

Le Groupe TMX a effectué un investissement stratégique dans VettaFi au premier semestre de 2023 qui lui a permis à ce moment d’acquérir environ 22 % des parts ordinaires de la société.

Cette acquisition devrait accélérer l’expansion mondiale à long terme du Groupe TMX et augmenter la part des produits tirés du segment Solutions globales, perspectives et stratégies d’analyse ainsi que de sources récurrentes, indique-t-on par communiqué.

« L’ajout de VettaFi augmente la profondeur et la valeur des services d’analyse fondée sur les données que le Groupe TMX offre à sa clientèle, accroît les capacités et l’expertise numériques de la société et enrichit son rôle de chef de file en matière de soutien aux émetteurs de FNB », peut-on lire.

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Great-West Lifeco a finalisé la vente Putnam Investments https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/great-west-lifeco-a-finalise-la-vente-putnam-investments/ Fri, 05 Jan 2024 12:59:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98327 La firme est passée dans le giron de Franklin Templeton.

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Great-West Lifeco a confirmé la conclusion de la vente de Putnam Investments à Franklin Ressources, dont les activités sont exercées sous le nom de Franklin Templeton.

« Étant donné que les besoins en gestion des actifs continuent d’évoluer, l’étendue et la portée de Franklin Templeton, de pair avec les capacités complémentaires de Putnam, produiront des résultats positifs pour les parties prenantes, affirme Paul Mahon, président et chef de la direction, Great-West Lifeco. Cette transaction s’inscrit dans la stratégie de Lifeco visant à établir et à faire croître des partenariats stratégiques avec des gestionnaires d’actifs de premier ordre afin de répondre aux besoins de nos clients en matière de retraite, de garanties collectives et de gestion du patrimoine pour les particuliers. »

L’annonce de la transaction a été faite en juin dernier. Elle était alors évaluée à 1,2 milliard de dollars (G$). Great-West Lifeco avait indiqué à ce moment qu’elle allouerait 35 G$ en actifs gérés à Franklin Templeton dans les 12 mois suivant la conclusion de la transaction, avec la possibilité d’augmenter ce montant au cours des prochaines années. La firme signale ne pas s’attendre à ce que cette transaction ait une incidence financière importante à la clôture des marchés.

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Sagard acquiert Performance Equity Management https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/sagard-acquiert-performance-equity-management/ Fri, 05 Jan 2024 12:58:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98244 Afin de développer son offre auprès des gestionnaires de patrimoine.

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Sagard fera l’acquisition d’une part stratégique de Performance Equity Management (PEM), une société de private equity de 8,9 milliards de dollars (G$). La transaction, lorsqu’elle sera complétée, devrait porter les actifs sous gestion de Sagard à plus de 25 G$ américains et offrir des possibilités de croissance accrue, a indiqué la société.

L’investissement de Sagard, qui a été créée en 2002 par Power Corporation du Canada, se traduira par la mise en place d’une plateforme de fonds de fonds, de secondaire et de co-investissement. L’accord permettra à Sagard d’acquérir toutes les actions de PEM au 31 décembre 2028. La transaction, financée par encaisse, devrait être finalisée au cours du premier trimestre de 2024.

L’équipe de haute direction de PEM continuera à diriger ses activités, y compris la mise en œuvre de sa stratégie d’investissement et la gestion de ses programmes actuels de fonds mixtes et de CGD.

Paul Desmarais III, président du conseil et chef de la direction de Sagard, a précisé que le choix de PEM reposait sur « un historique de performance impressionnant en matière d’investissement, une équipe très talentueuse et des relations de confiance de longue date avec les GP ».

L’acquisition d’une participation stratégique dans PEM permettra d’accélérer le développement de l’offre auprès des réseaux de distribution, des sociétés de gestion de patrimoine et des family offices, a-t-il ajouté.

PEM gère des stratégies de capital de risque et de private equity par l’entremise de fonds mixtes et de comptes en gestion distincte (CGD) pour des clients institutionnels et des plateformes de gestion de patrimoine.

« La croissance impressionnante que Sagard connaît depuis 2016 et son accès à un puissant écosystème mondial de partenaires et d’actionnaires sont deux raisons clés pour lesquelles cette collaboration nous enthousiasme », a déclaré John Clark, président de PEM.

Le partenariat avec PEM s’inscrit dans la stratégie de Sagard visant à devenir une société mondiale d’actifs alternatifs multistratégies. L’ajout de fonds de fonds et de co-investissement permettra à la firme qui possède des bureaux au Canada, aux États-Unis, en Europe et au Moyen-Orient d’étendre son champ d’activités et d’élargir sa gamme de produits d’investissement alternatifs aux investisseurs et de leur donner accès à des gestionnaires performants.

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