finance durable – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 05 Mar 2024 11:52:47 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png finance durable – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Une experte en finance durable promue chez iA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/une-experte-en-finance-durable-promue-chez-ia/ Tue, 05 Mar 2024 11:52:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99337 NOUVELLES DU MONDE - Mégane Mandruzzato est nommée directrice, Durabilité.

L’article Une experte en finance durable promue chez iA est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
iA Groupe financier a promu Mégane Mandruzzato au poste de directrice, Durabilité. La spécialiste en finance durable avait été nommée cheffe de pratique, Développement durable chez iA en début d’année 2023.

Embauchée comme conseillère en développement durable par l’institution financière en mai 2021, elle a notamment travaillé sur la conception et le déploiement du plan d’action d’iA, qui vise à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 20 % par employé d’ici 2025.

« Depuis mon premier jour chez iA, je n’ai pas cessé d’apprendre et de me développer. Je me sens choyée de voir iA faire autant de place à ce domaine, d’une importance capitale pour notre monde de demain », a-t-elle déclaré sur LinkedIn.

Mégane Mandruzzato est experte en gestion internationale et développement durable dans les secteurs de la finance et des assurances. Elle est spécialisée en intégration des pratiques durables (facteurs ESG) dans les pratiques managériales et possède des expertises dans l’élaboration stratégique, la gestion du changement, l’analyse des améliorations et l’implantation de KPIs.

Avant de se joindre à iA, elle a travaillé comme conseillère en développement durable pour le gouvernement du Québec. Elle a aussi occupé le poste de leader stratégique, Développement durable et responsabilité chez Optel.

Mégane Mandruzzato possède un master en administration des affaires en finance durable de HEC Lausanne et une maîtrise en sciences de l’administration, Gestion internationale et développement durable de l’Université Laval. Son mémoire de recherche traite de l’internalisation des pratiques ESG au niveau managérial.

L’article Une experte en finance durable promue chez iA est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Deux premiers gestionnaires d’actifs pour le Fonds Investi https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/deux-premiers-gestionnaires-dactifs-pour-le-fonds-investi/ Wed, 28 Feb 2024 12:19:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99286 Ils auront pour mandat de gérer le portefeuille d’actions.

L’article Deux premiers gestionnaires d’actifs pour le Fonds Investi est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le fonds d’investissement de 300 millions de dollars créé au bénéfice de l’écosystème québécois de la finance durable, Investi, a profité de l’OFF du Sommet de la finance durable présenté par Finance Montréal, le 21 février, pour dévoiler l’identité de ses deux premiers gestionnaires d’actifs qui recevront le mandat de gérer le portefeuille d’actions.

Manuvie et Van Berkom ont ainsi été choisis pour jouer ce rôle. Ces derniers ont été sélectionnés, car il s’agit de deux gestionnaires établis et proposant des approches ESG pertinentes combinées à un rendement financier attendu supérieur.

« Nous sommes ravis d’avoir été sélectionnés par Investi pour notre expertise, notre processus d’investissement distinctif et notre connaissance de l’économie à faibles émissions de carbone. L’expertise de nos équipes met davantage l’accent sur l’innovation et la durabilité afin de découvrir des opportunités d’investissement auprès d’entreprises qui atteignent les objectifs de zéro émission nette ou qui cherchent à réduire considérablement leurs émissions », a affirmé Colin Purdie, chef des placements, Marchés publics, Gestion de placements Manuvie.

« Nous sommes fiers d’avoir été sélectionnés à titre de gestionnaire en actions pour le Fonds Investi, et d’ainsi contribuer au rayonnement du Québec sur le plan international en matière d’investissement responsable. À titre d’experts en actions à petite capitalisation, non seulement notre objectif est de générer des rendements supérieurs à long terme, mais l’intégration des facteurs ESG et du développement durable est également au cœur de nos préoccupations, et nous considérons de notre devoir d’accompagner les entreprises en portefeuille dans leurs efforts ESG », a ajouté Mathieu Sirois, président, Van Berkom Gestion mondiale d’actifs.

Pour rappel, Investi a été lancé en mai 2023. Le fonds est piloté par Innocap – qui gère et coordonne les activités quotidiennes d’Investi tout en étant responsable de la distribution auprès d’investisseurs institutionnels et en assurant un cadre institutionnel rigoureux au niveau de la vérification diligente, de la gestion des risques et du suivi en continu – ainsi que Finance Montréal qui est au cœur du développement et de la promotion de l’industrie financière québécoise comme centre d’excellence en finance durable.

« L’attribution de ces mandats d’investissement marque le lancement concret d’Investi. Cette initiative possède cette double mission de moteur de développement économique et de levier pour la place financière québécoise. Les choses bougent au Québec en finance durable, et ce n’est que le début. D’autres annonces sont prévues dans le futur et j’invite tous les acteurs de l’investissement et de la gestion à se joindre à cette initiative structurante et nécessaire pour un avenir viable », a déclaré Jacques Deforges, directeur général de Finance Montréal.

Le but d’Investi est de mettre de l’avant les meilleurs talents et attirer les stratégies les plus novatrices en investissement durable. Il bénéficie de la collaboration de dix grandes organisations financières québécoises, soit :

  • Banque Nationale Investissement,
  • Bâtirente,
  • Beneva,
  • la CDPQ,
  • Desjardins,
  • Fondaction,
  • le Fonds de solidarité FTQ,
  • la Fondation Familiale Trottier,
  • Optimum Groupe financier
  • et le Samara Family Office.

L’article Deux premiers gestionnaires d’actifs pour le Fonds Investi est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le comité aviseur cherche ses membres https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-comite-aviseur-cherche-ses-membres/ Tue, 20 Feb 2024 12:21:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98984 Un appel de candidatures a été lancé.

L’article Le comité aviseur cherche ses membres est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Finance Montréal a lancé un appel de candidatures pour siéger sur un comité qui vient d’être créé et qui jouera un rôle actif dans la réalisation de la toute première Feuille de route en finance durable du Québec.

Pour rappel, en décembre 2022, le gouvernement du Québec annonçait le lancement de la Feuille de route en finance durable du Québec, et demandait, notamment, à Finance Montréal de coordonner les travaux.

Au cours des mois qui ont suivi, Finance Montréal a collaboré avec le ministère des Finances du Québec (MFQ) et Environnement Québec afin de préparer le terrain pour la réalisation de cette initiative, l’une des premières du genre en Amérique du Nord.

Le comité aviseur a été créé afin de mener les travaux. Le rôle de ses membres est ainsi de réfléchir et de contribuer à la réalisation du projet de Feuille de route au regard de l’intérêt général du milieu de la finance et du Québec.

Le mandat du comité se décline, principalement, en trois phases :

  • Phase 1 : Réalisation d’un état de situation sur la finance durable au Québec ;
  • Phase 2 : Élaboration de la Feuille de route en finance durable ;
  • Phase 3 : Élaboration de la stratégie pour sa mise en œuvre.

Le comité sera composé de 20 membres issus des secteurs publics, privés et académiques dont la moitié a été invitée en raison d’une expertise particulière et l’autre moitié sera sélectionnée à la suite de cet appel de candidatures.

Les professionnels qui désirent s’impliquer activement pour enrichir la vision pour l’avenir financier du Québec afin d’y intégrer les notions de durabilité et qui possèdent une expertise pertinente pour siéger à ce comité sont invités à soumettre leur candidature d’ici le 16 février prochain à 17h en remplissant le formulaire disponible sur ce site et en envoyant leur CV.

Les candidatures seront évaluées par le comité de sélection à la mi-février 2024 et les candidats sélectionnés seront annoncés au début du mois de mars 2024. Les travaux du comité seront lancés rapidement par la suite.

L’article Le comité aviseur cherche ses membres est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le marché des actions en 2024 : entre prudence et espoir modéré https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/le-marche-des-actions-en-2024-entre-prudence-et-espoir-modere/ Thu, 25 Jan 2024 11:51:58 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98570 Une année de stabilisation après les turbulences de 2023, selon CIBC.

L’article Le marché des actions en 2024 : entre prudence et espoir modéré est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
À quoi s’attendre en 2024 ? Les analystes de CIBC anticipent une expansion des performances du marché boursier, avec certains secteurs bénéficiant d’une baisse des taux d’intérêt et d’une stabilisation économique globale, peut-on lire dans un récent rapport.

2023 a été une année de montagnes russes pour les marchés financiers, en particulier pour les actions canadiennes. Malgré des rendements positifs à un chiffre, les indices canadiens ont sous-performé par rapport à leurs homologues mondiaux.

Le secteur des technologies de l’information, relativement mineur, a dirigé le jeu, tandis que les secteurs financier et énergétique ont traîné derrière. Les investisseurs canadiens, confrontés à un marché étroit et instable, ont ressenti pleinement l’impact de ces fluctuations.

Mais 2024 devrait être bien différent. Selon les prévisions des analystes de CIBC, les actions américaines devraient offrir des rendements totaux de 4 à 7 %, soutenus par une croissance des bénéfices de 7 à 9 %. Cependant, le Canada, avec ses consommateurs surendettés, pourrait rencontrer des défis, notamment dus à l’augmentation des coûts hypothécaires.

En 2023, le marché a démontré une capacité remarquable à s’adapter rapidement aux nouvelles et à intégrer des attentes élevées, comme en témoigne la réaction mesurée à la chute de la Silicon Valley Bank (SVB) en début d’année. Les investisseurs ont gagné en sophistication, utilisant des outils divers pour gérer les risques de marché, une tendance qui devrait perdurer. Les FNB, par exemple, continuent de gagner du terrain sur les fonds communs de placement traditionnels.

Le marché américain des actions a prouvé sa résilience l’an dernier, surpassant la plupart des marchés mondiaux, à l’exception de l’Italie. Les secteurs clés de l’indice S&P 500, dominés par les « sept magnifiques » (Magnificent Seven), qui représentent près de 30 % de la capitalisation boursière de l’indice, ont joué un rôle crucial dans cette performance, selon CIBC. À l’inverse, les faiblesses dans les matières premières ont impacté négativement l’énergie et les matériaux, expliquant en partie la sous-performance de marchés comme le Canada, le Royaume-Uni et l’Australie.

Pour 2024, les experts prédisent une pression continue sur les bénéfices des entreprises. Bien que les rendements des actions en 2023 aient été élevés, soutenus par une économie robuste et des bénéfices supérieurs aux attentes, la résistance de ces bénéfices face à la pression inflationniste et aux taux d’intérêt croissants reste une question ouverte, estiment les analystes.

Actions canadiennes

Les actions canadiennes n’ont pas profité des courants favorables qui ont soutenu d’autres marchés en 2023. Le S&P/TSX, vulnérable aux fluctuations des matières premières — un quart de ses bénéfices étant directement impactés par les prix de l’énergie, des métaux précieux et d’autres ressources — a subi une pression notable l’année dernière. Les secteurs des télécommunications et des banques, traditionnellement stables, n’ont pas été épargnés.

La récente faiblesse des prix de l’énergie a réduit les bénéfices et devrait continuer de freiner la croissance dans ce domaine. Ainsi, les prévisions de bénéfices par action au Canada pourraient nécessiter des ajustements à la baisse, similaires à ceux du S&P 500. Dans ce contexte, les actions canadiennes restent encore bon marché, estime CIBC.

L’année 2023 a toutefois réservé une surprise avec le rebond vigoureux des valeurs technologiques américaines, un secteur boosté par l’intelligence artificielle et sa résilience face à des taux d’intérêt plus élevés. Ce dynamisme a eu un effet d’entraînement sur le marché canadien, laissant espérer des répercussions positives pour 2024.

Dans ce contexte, les analystes anticipent une surperformance des actions dans les communications, les services publics et l’industrie pour l’année à venir. Après une année compliquée marquée par des taux d’intérêt élevés et des défis spécifiques, ces secteurs semblent désormais mieux armés pour rebondir, avec des rendements supérieurs à la moyenne et des bénéfices attendus d’une baisse des taux. Le secteur industriel, et notamment le segment des énergies renouvelables, devrait connaître une dynamique positive en seconde moitié d’année.

Toutefois, l’économie canadienne pourrait connaître un ralentissement, les taux d’intérêt pesant davantage sur le revenu disponible des consommateurs par rapport aux États-Unis. En conséquence, CIBC envisage une sous-performance des secteurs de la consommation et de l’immobilier, même si une baisse modérée des taux pourrait offrir un léger soutien.

Les valeurs financières, bien que dépendantes de l’économie canadienne, pourraient surprendre. Malgré un contexte économique délicat, les valorisations attrayantes et un marché déjà teinté de scepticisme pourraient réserver des opportunités d’achat intéressantes.

En résumé, le marché des actions canadiennes exige une certaine prudence, mais offre également des perspectives de croissance sélective.

ESG : une année de conformité

L’investissement ESG (environnement, société, gouvernance) s’est légèrement mieux comporté en 2023 par rapport à une année 2022 difficile, mais des défis majeurs subsistent, selon CIBC.

Du côté positif, les fonds ESG continuent d’enregistrer des entrées nettes et devraient atteindre 170 à 180 milliards de dollars américains cette année, soit une augmentation de 10 % par rapport au niveau de 2022, selon les données combinées de Bloomberg et de CIBC World markets. Du côté négatif, les flux de fonds sont entièrement alimentés par l’Europe – les flux ESG du reste du monde sont devenus négatifs. Les analystes prévoient la même chose en 2024.

Du point de vue des rendements, les résultats sont mitigés. Les fonds d’actions ESG orientés vers le monde ont sous-performé les indices de référence mondiaux (MSCI ACWI) de 200 à 300 points de base cette année encore, en grande partie à cause de la sélection des titres. Ces fonds ont surpondéré les noms sensibles aux taux de l’énergie propre au sein des secteurs industriels, des matériaux et des services publics, ce qui a pesé sur la performance, tout comme une sous-pondération significative au sein du groupe d’actions des « sept magnifiques ». Toutefois, les fonds ESG en actions américaines se sont beaucoup mieux comportés.

Le niveau élevé des taux d’intérêt au cours des deux dernières années a pesé sur la performance des fonds ESG, qui sont structurellement surpondérés en actions de longue durée (en particulier dans les secteurs de l’énergie propre, des matériaux et de l’industrie du nouvel âge, etc.) Dans l’hypothèse d’une baisse des taux d’intérêt en 2024, CIBC s’attend à ce que cette récente sous-performance s’atténue.

Par ailleurs, l’année sera marquée par le passage de l’information volontaire à l’information obligatoire en matière de développement durable. Les exigences en matière de divulgation se fondent sur des normes mondiales, notamment les normes de l’International Sustainability Standards Board (ISSB), qui rendent obligatoires les divulgations liées au climat. Ces normes sont entrées en vigueur en janvier. Il reste à l’ISSB à finaliser les éléments d’information ESG non liés au climat.

Selon les experts, les normes de l’ISSB jouent un rôle clé dans la maturation de l’ESG, en rationalisant à terme les rapports des entreprises et en aidant les investisseurs à se concentrer sur les questions ESG les plus importantes. Les normes mondiales de divulgation, à leur tour, sont utilisées par les régulateurs qui jouent un rôle plus actif dans le contrôle de l’ESG, en grande partie pour minimiser l’écoblanchiment.

Les auteurs rappellent que plusieurs réglementations ont été mises en place récemment dont la directive sur les rapports de durabilité des entreprises (CSRD) dans l’Union européenne (entrée également en vigueur en janvier) et les lois californiennes Climate Corporate Data Accountability Act (SB 253) et Climate-related Financial Risk Act (SB 261). Au Canada, le Conseil canadien des normes de développement durable) progresse dans l’adoption des normes de l’ISSB.

Finance durable

En ce qui concerne la finance durable, le total des émissions pour tous les prêts ESG a été en baisse en 2023 à 1,3 (G$ US) comparativement à 1,5 G$ US en 2022. Pour 2024, CIBC prévoit une nouvelle baisse, car les taux élevés laissent présager une diminution des dépenses d’investissement et des prêts, dans l’ensemble.

Il y a toutefois des points positifs. L’émission d’obligations vertes a bien résisté au cours des deux dernières années (et il en va de même pour les obligations sociales et de développement durable), une tendance qui devrait se poursuivre en 2024, estiment les experts.

La percée des FNB

Après une année 2022 qui a mis à l’épreuve de nombreux portefeuilles d’investissement, 2023 a été une année de redressement pour les fonds négociés en Bourse (FNB), avec une augmentation considérable des actifs et des entrées de fonds.

Au début décembre, les actifs sous gestion dans les FNB avaient connu une croissance robuste de 18 %, atteignant un sommet historique de 406 G$ canadiens. Une hausse attribuable à la fois à l’afflux de capitaux et à la bonne performance des actifs sous-jacents, notamment grâce aux rendements élevés des actions américaines, évaluent les experts de CIBC.

Les FNB continuent de surpasser les fonds communs de placement en termes d’entrées de fonds, une tendance qui ne montre aucun signe de ralentissement. Les fonds communs de placement ont, en contraste, subi d’importants rachats au cours des derniers mois. Les analystes estiment que cette préférence pour les FNB devrait se maintenir, portée par la croissance des comptes à honoraires, des plateformes de courtage en ligne ou à prix réduit, et de l’investissement indiciel.

En termes de répartition des actifs, les FNB à revenu fixe ont capté une part significative des entrées nettes, tandis que les FNB d’actions ont vu leurs entrées nettes diminuer par rapport aux années précédentes. Par ailleurs, le secteur des cryptomonnaies a également suscité un intérêt renouvelé, en particulier avec la course pour lancer le premier FNB de bitcoins aux États-Unis. Le Canada avait pris de l’avance dans ce domaine puisqu’un premier produit du genre a été lancé il y a deux ans.

Pour les investisseurs à la recherche de recommandations, CIBC a identifié plusieurs FNB qui pourraient offrir des rendements attractifs au cours des 12 prochains mois. Parmi eux, les FNB de services publics sont considérés comme une option prometteuse en raison de leur nature défensive et de leur moindre susceptibilité aux révisions bénéficiaires négatives.

Enfin, les FNB de titres à revenu fixe à option d’achat couverte sont présentés comme une option viable pour capitaliser sur les volatilités du marché, avec des rendements annuels qui peuvent atteindre entre 10 % et 15 %.

L’article Le marché des actions en 2024 : entre prudence et espoir modéré est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Finance durable : Fondaction Gestion d’actifs fait un pas dans ce sens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/finance-durable-fondaction-gestion-dactifs-fait-un-pas-dans-ce-sens/ Mon, 15 Jan 2024 12:16:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98426 NOUVELLES DU MONDE – Et nomme Marc-André Binette vice-président et directeur général.

L’article Finance durable : Fondaction Gestion d’actifs fait un pas dans ce sens est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Fondaction Gestion d’actifs (FGA), un gestionnaire d’impact qui crée et déploie des solutions financières pour résoudre de grands enjeux environnementaux et sociétaux, vient de nommer Marc-André Binette au poste de vice-président et directeur général.

Ce dernier est reconnu pour son leadership en finance durable et d’impact. Il a ainsi plusieurs initiatives structurantes à son actif. Il a contribué entre autres à mettre en place des solutions d’investissements visant à résoudre des problématiques clés telles que l’efficacité énergétique, l’économie circulaire, le capital naturel et le logement abordable.

« La nomination de Marc-André à la tête de FGA témoigne de notre engagement continu à repousser les limites de l’innovation financière. Avec son expérience étendue dans le domaine des investissements, il jouera un rôle déterminant dans le développement de FGA, une filiale de Fondaction créée en 2022, au sein de la communauté financière au Québec et à l’échelle mondiale. Son expertise précieuse est un atout indéniable complétant notre équipe chevronnée d’experts en investissement et en impact pour structurer des opportunités d’investissement uniques et canaliser les capitaux dans des thématiques d’impact à fort potentiel », mentionne Stéphan Morency, président du conseil d’administration de Fondaction Gestion d’actifs.

Marc-André Binette possède plus de 25 ans d’expérience dans le domaine de l’investissement. Il travaille au sein de Fondaction depuis 12 ans et y a notamment dirigé les équipes responsables des projets d’immobiliers durables, d’infrastructures sociales ainsi que des fonds de placements privés et du co-investissement.

En plus de son emploi chez Fondaction, Marc-André Binette siège sur plusieurs conseils d’administration et comité de placement, dont celui de Canadian Venture Capital & Private Equity Association (CVCA) et de Patrimonica Gestion d’actifs.

En même temps qu’il assumera les responsabilités qui viennent avec sa nomination, Marc-André Binette assurera la codirection de FGA aux côtés de Patrick Cabana, vice-président et directeur général de FGA.

L’article Finance durable : Fondaction Gestion d’actifs fait un pas dans ce sens est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Des pratiques trompeuses en finance durable https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/des-pratiques-trompeuses-en-finance-durable/ Fri, 12 Jan 2024 12:11:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98396 Les banques induiraient les investisseurs en erreurs.

L’article Des pratiques trompeuses en finance durable est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les cinq grandes banques du Canada pourraient induire les investisseurs en erreur en utilisant des termes comme « finance durable », selon un groupe environnemental qui a déposé une plainte auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières du Québec et de l’Ontario.

Les banques utilisent le terme « finance durable » de manière trop large et n’appuient pas leurs affirmations, affirme l’Investors for Paris Compliance dans un mémoire présenté, mardi, à l’Autorité des marchés financiers du Québec (AMF) et à la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario.

Les banques canadiennes, notamment RBC, TD, BMO, CIBC et la Scotia, ont toutes pris des engagements en matière de finance durable qui représentent ensemble 2000 milliards de dollars d’ici 2030.

La finance durable vise à soutenir des causes environnementales et sociales. Le financement peut prendre la forme d’obligations vertes liées à un projet d’énergie renouvelable, par exemple, ou d’un prêt destiné à des objectifs de performance liés au développement durable.

Dans le cadre de leurs efforts en matière de développement durable, les institutions financières présentent ces engagements comme un élément clé, mais les banques canadiennes fournissent peu de moyens pour garantir l’efficacité de ces prêts, déplore Matt Price, directeur général d’Investors for Paris Compliance.

« Elles mettent cela en avant comme l’une de leurs principales réponses au changement climatique, alors qu’elles ne fournissent aucune preuve ou explication à ce sujet. »

Le groupe environnemental s’inquiète non seulement des lacunes en matière de divulgation, mais aussi du fait que certains des accords dévoilés ont été conclus avec des sociétés pétrolières et gazières, dont les émissions sont en croissance.

En 2021, RBC, CIBC et la Banque Scotia ont toutes participé à des accords de financement durable avec Enbridge alors que l’entreprise augmentait sa capacité d’exportation de pétrole, tandis que BMO a aidé à structurer une facilité de crédit liée au développement durable pour Gibson Energy, qui a pourtant accru son exposition au pétrole.

La même année, la Banque TD a participé à un prêt lié au développement durable de 4 G$ américains avec Occidental Petroleum. La compagnie pétrolière a annoncé fin 2023 qu’elle dépensait environ 12 G$ américains pour acheter le foreur de schiste CrownRock.

Matt Price juge que la barre devrait être plus élevée pour qu’un prêt soit considéré comme du financement durable. Il croit aussi que les entreprises qui misent sur une augmentation de la production pétrolière ou gazière ne devraient pas y être admissibles. « C’est une question assez élémentaire, n’est-ce pas? »

Les banques n’ont pas fait de commentaires, renvoyant les questions à l’Association des banquiers canadiens.

Sa porte-parole Maggie Cheung affirme que les banques canadiennes suivent les normes du marché nord-américain en matière de divulgation environnementale, sociale et de gouvernance. Elle ajoute qu’elles se conforment aux règles et réglementations applicables en matière de divulgation et qu’elles continuent de travailler avec l’industrie et les régulateurs pour faire progresser les normes de divulgation sur le développement durable.

« Les banques canadiennes comprennent le rôle important que joue le secteur financier dans une transition ordonnée vers un avenir à faibles émissions de carbone », dit Maggie Cheung.

« La finance durable est un moyen utilisé pour aider les entreprises à mobiliser des capitaux vers cet effort et une série d’autres objectifs environnementaux et sociaux. »

Investors for Paris Compliance souhaite que les régulateurs mènent une enquête et évaluent dans quelle mesure les informations des banques en matière de finances durables sont adéquates. Le groupe souhaite également que les régulateurs exigent que les banques divulguent l’effet de leurs activités de finance durable sur les émissions de gaz à effet de serre.

L’article Des pratiques trompeuses en finance durable est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Finance durable et économie réelle : faire le pont https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/finance-durable-et-economie-reelle-faire-le-pon/ Fri, 13 Oct 2023 12:20:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96753 C’est l’objectif du Réseau d’apprentissage québécois en finance durable et actions climatiques.

L’article Finance durable et économie réelle : faire le pont est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Cette nouvelle initiative de Finance Montréal s’adresse aux PME québécoises de tous les secteurs.

En effet, le Réseau d’apprentissage québécois en finance durable et actions climatique cherche à la fois à outiller et à aider les gestionnaires, qui sont responsables des finances et de la responsabilité sociale d’entreprise (RSE) des PME, afin qu’ils s’approprient les principes de la finance durable et puissent mieux les intégrer dans leurs stratégies d’affaires.

Les activités et outils proposés par le réseau comportent des classes de maître, des communautés de pratique et une plateforme de connaissances.

La formation offerte par le réseau a été codéveloppée avec les parties prenantes issues de l’industrie financière, du milieu universitaire et associatif, ainsi que des experts québécois, « avec la forte ambition d’inciter les PME à passer à l’action » souligne-t-on dans le communiqué.

Les activités du réseau…

Lire la suite via Conseiller.ca

L’article Finance durable et économie réelle : faire le pont est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
L’investissement durable : la tendance à considérer https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/linvestissement-durable-la-tendance-a-considerer/ Thu, 05 Oct 2023 12:04:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96540 L’investissement durable pourrait tripler d’ici cinq ans, selon une étude.

L’article L’investissement durable : la tendance à considérer est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
L’investissement durable est en passe de devenir le pilier de l’écosystème financier mondial, selon une nouvelle étude de la Coalition Greenwich commandée par Placements AGF.

Le rapport, intitulé Emerging Trends in Sustainable Investing, met en lumière une tendance significative : 90 % des investisseurs institutionnels, situés tant en Amérique du Nord qu’en Europe, envisagent d’intégrer les principes d’investissement durable à leurs portefeuilles au cours des cinq prochaines années. En fait, la pleine intégration de l’investissement durable pourrait tripler d’ici cinq ans, soutiennent les auteurs.

Selon Karrie Van Belle, chef du marketing et de l’innovation chez Placements AGF, le message est clair : l’appétit des investisseurs institutionnels pour l’investissement durable s’amplifie.

Les thématiques les plus privilégiées par les propriétaires d’actifs demeurent la transition énergétique, les services liés à l’eau, et l’adaptation climatique. Par ailleurs, un intérêt croissant est accordé à la diversité, l’équité et l’inclusion, notamment parmi les fonds de dotation et les fondations.

Il est intéressant de noter une différence majeure entre les investisseurs européens et nord-américains. Si les premiers cherchent à créer un impact positif, les seconds visent une amélioration des rendements, ajustés selon le risque.

Toutefois, à mesure que l’investissement durable se démocratise, il entre également dans une phase de maturation. La majorité des investisseurs institutionnels ayant désormais une expérience de l’investissement durable, de nouvelles normes et meilleures pratiques voient le jour.

Ils ont notamment des attentes de performance accrues. Autrefois, les premiers adoptants étaient prêts à faire des compromis entre impact et rendement. Aujourd’hui, la tendance s’inverse : les investisseurs anticipent des performances égales, voire supérieures, tout en ayant un impact positif.

Ils visent une intégration complète. Bien que les approches varient, une tendance se dessine en faveur d’une intégration totale des pratiques durables à travers tous les processus d’investissement.

Les investisseurs revendiquent également une protection contre l’écoblanchiment. Ils deviennent plus proactifs pour s’en prémunir.

Ils adoptent des stratégies thématiques pour maximiser l’impact. De nombreux investisseurs exploitent des stratégies ciblées pour améliorer à la fois l’impact environnemental et social et le rendement de leurs portefeuilles.

Malgré ces avancées, le secteur doit encore surmonter des défis majeurs. Parmi ces obstacles figurent l’absence de consensus sur la mesure de l’impact non financier et les défis posés par l’opposition politique à l’investissement ESG, en particulier aux États-Unis.

Selon les prédictions du rapport, d’ici cinq ans, 63 % des institutions européennes auront intégré le développement durable à leurs portefeuilles. En Amérique du Nord, cette proportion devrait atteindre 55 %.

L’article L’investissement durable : la tendance à considérer est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Faire pousser des talents verts https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/faire-pousser-des-talents-verts/ Thu, 05 Oct 2023 10:04:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96522 DÉVELOPPEMENT – Ils sont de plus en plus recherchés, selon LinkedIn.

L’article Faire pousser des talents verts est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Alors que de nombreux postes sont sur le point de devenir des emplois climatiques, les candidats possédant des compétences écologiques sont des denrées rares. Les employeurs ont donc besoin de solutions efficaces pour trouver, embaucher et former les meilleurs talents verts.

Selon un récent rapport de LinkedIn, entre 2022 et 2023, la part des talents verts dans la main-d’œuvre a augmenté de 12,3 % en moyenne dans 48 pays. Pendant ce temps, le nombre des offres d’emploi exigeant au moins une compétence verte a augmenté presque deux fois plus vite – de 22,4 % en moyenne.

Avec une augmentation de 14,8 % de sa concentration de talents verts, l’industrie de la finance verdit plus rapidement que d’autres. Le secteur financier fait partie de ceux qui affichent la croissance la plus rapide en matière d’embauche pour les emplois qui sont axés sur le développement durable, notamment grâce à la demande en finance durable, signale l’étude. Les recrutements pour des emplois verts dans la finance ont augmenté de 17 % entre 2021 et 2022.

Parmi les compétences vertes en demande, la comptabilité climatique connaît la croissance la plus rapide aux États-Unis. Elle a augmenté de 240 % en une année. Les domaines connexes tels que les crédits compensatoires de carbone, les émissions de gaz à effet de serre et les audits énergétiques ne suivent pas loin derrière.

Le secteur accuse cependant un retard par rapport à l’ensemble des acteurs économiques. Seulement un travailleur sur 15 possède des compétences vertes dans l’industrie financière, alors que cette proportion atteint un travailleur sur huit toutes industries confondues.

Recrutez sur la base des compétences

Comment faire pour embaucher des talents qui possèdent des compétences vertes ?

Pour repérer les talents verts dont vous avez besoin, vous avez intérêt à vous écarter de l’approche traditionnelle, qui consiste à se baser sur des diplômes spécifiques ou les années d’expérience dans l’industrie, pour privilégier les compétences.

Cette stratégie de recrutement peut vous aider à améliorer la qualité des embauches, en élargissant le bassin de talents, en augmentant la diversité des candidats et en favorisant la fidélisation des employés. Pour ce faire, vous pouvez développer des critères et des évaluations qui mesurent objectivement les compétences nécessaires pour le poste vacant.

Créez des passerelles vertes

Une autre stratégie pour recruter des talents verts consiste à rechercher des compétences vertes adjacentes, qui ne relèvent pas nécessairement de l’écologie, mais qui permettent au candidat d’exercer de nombreuses fonctions liées au poste. Par exemple, les candidats possédant des compétences en mathématiques et en informatique peuvent aider l’entreprise à atteindre ses objectifs de développement durable.

De même, les candidats qui possèdent de l’expérience acquise dans certains secteurs en cours de transformation écologique, comme les services publics, l’exploitation minière, les transports et l’agriculture, peuvent appliquer ces compétences aux emplois verts dans le secteur financier.

Faites fleurir les compétences au sein de vos équipes

Selon le Forum économique mondial, près de la moitié des jeunes travailleurs pensent qu’ils ne possèdent pas les compétences nécessaires pour occuper un emploi adéquat au cours de la prochaine décennie. Par ailleurs, les transformations rapides liées au développement durable peuvent laisser les travailleurs plus âgés sur le banc.

Vous pouvez résoudre ces enjeux en mettant en place des programmes de formation continue efficaces. Vous investissez ainsi dans des services adaptés au développement de votre propre main-d’œuvre tout en répondant au besoin mondial d’un travail plus durable.

Développez vos propres capacités

Si vous ne possédez pas d’expérience dans le domaine de l’écologie, vous pouvez tout de même vous positionner dans ce secteur. En début de carrière, par exemple, on peut commencer par chercher un poste d’entrée qui comporte des éléments liés au développement durable. Il servira de tremplin par la suite pour accéder à d’autres postes plus spécialisés dans ce domaine.

Si vous êtes déjà en poste, vous pouvez chercher à évoluer vers un rôle écologique en développant les compétences requises au sein de votre entreprise. La première étape, si vous vous orientez dans cette direction, est de clarifier vos motivations, mentionne Rhian Sherrington, fondatrice du réseau Women in Sustainability Network.

Elle suggère de commencer par repérer les points communs avec vos valeurs et intérêts. Vous pouvez par exemple vous inspirer des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies pour trouver des thèmes qui vous rejoignent.

Pour faire pivoter votre rôle et vos compétences vers le développement durable, il est également important de réfléchir à ce que l’ESG [environnement, social et gouvernance] signifie réellement pour vous. « Soyez clair sur vos motivations, votre objectif, votre raison d’être », souligne la spécialiste.

S’engager pour l’organisation

Votre engagement envers les préoccupations durables ne se limite au respect de vos seules valeurs. Il peut également profiter à l’organisation. Les objectifs motivés par un but précis, tels que les engagements en faveur du climat, « créent un effet de halo pour l’ensemble de l’entreprise ». Ils ont un effet direct sur ses revenus et ses bénéfices, selon Jacqui Taylor, PDG de FlyingBinary.

Une autre manière de développer des compétences vertes consiste à ouvrir et nourrir la conversation sur le développement durable au sein de l’organisation. Toby Green, fondateur de MyCarbon, suggère de demander quelle est la stratégie de l’entreprise en matière de développement durable, ou encore, comment intégrer le développement durable dans les conseils apportés aux clients.

En mettant ces principes en action, vous atteindrez un double objectif : recruter une relève pertinente et axée sur les enjeux du futur, tout en participant à la croissance durable de l’entreprise.

L’article Faire pousser des talents verts est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
BMO fournit le dépôt lié à la durabilité à Zurn Elkay Water Solutions https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-fournit-le-depot-lie-a-la-durabilite-a-zurn-elkay-water-solutions/ Mon, 24 Jul 2023 11:33:09 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95146 PRODUITS – Cette solution permet de soutenir l’entreprise dans sa démarche vers la durabilité.

L’article BMO fournit le dépôt lié à la durabilité à Zurn Elkay Water Solutions est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
BMO offre dorénavant le dépôt lié à la durabilité (DLD) à Zurn Elkay Water Solutions (NYSE:ZWS), un leader en solutions techniques pour l’eau.

Les DLD associent les intérêts versés sur un compte de dépôt à l’accomplissement des objectifs de durabilité préétablis par le client. Ces nouveaux dispositifs viennent enrichir la gamme de solutions de gestion des liquidités de BMO destinées à soutenir les clients dans leur transition vers la durabilité, notamment les prêts liés à la durabilité, les obligations liées à la durabilité et les produits dérivés liés à la durabilité.

BMO vise à devenir un partenaire majeur dans la transition des clients vers un monde carboneutre, favorisant une économie prospère et durable. Selon Jonathan Hackett, responsable de la finance durable chez BMO Marchés des capitaux, les DLD représentent un moyen novateur d’exploiter le leadership de BMO en matière de finance durable pour obtenir des résultats tangibles.

Zurn Elkay est fermement engagé en faveur des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Selon Todd A. Adams, président du conseil et chef de la direction de Zurn Elkay Water Solutions, la société est sur la bonne voie pour atteindre ses premiers objectifs ESG. De nouveaux objectifs avec des échéances fixées pour 2023 visent à augmenter la transparence et la responsabilité, en se concentrant sur des aspects tels que la diversité des fournisseurs, la réduction des émissions de gaz à effet de serre, l’élimination des bouteilles en plastique et la réduction des déchets.

BMO a collaboré avec Zurn Elkay pour définir un objectif de durabilité crédible et ambitieux : réduire de 50 % l’intensité des émissions de gaz à effet de serre de l’entreprise d’ici 2030 par rapport aux niveaux de 2021. Zurn Elkay prévoit d’atteindre cet objectif par des mesures d’efficacité énergétique ainsi que par la production et l’achat d’énergie renouvelable.

Derek Vernon, responsable de la gestion de produits et de la modernisation des paiements chez BMO, s’est félicité de l’opportunité d’offrir cette nouvelle fonctionnalité innovante aux clients de BMO en Amérique du Nord, ajoutant que les DLD offrent une incitation simple qui profite aux entreprises tout en contribuant à la santé de la planète.

L’article BMO fournit le dépôt lié à la durabilité à Zurn Elkay Water Solutions est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>