FCP – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 05 Sep 2024 14:45:01 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png FCP – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Célébrons dix ans de rendement des portefeuilles basés sur les FNB https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/mary-hagerman/celebrons-dix-ans-de-rendement-des-portefeuilles-bases-sur-les-fnb/ Wed, 11 Sep 2024 10:51:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102742 ZONE EXPERTS - Pourquoi une gestionnaire de portefeuille pense que les FNB ont révolutionné le paysage de l’investissement.

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Cet article a été rédigé avec l’aide de Mélissa Sabourin, stagiaire d’été.

Cette année marque les dix ans de mes portefeuilles discrétionnaires basés sur les fonds négociés en Bourse (FNB). Durant cette décennie, j’ai observé une grande innovation et une forte croissance dans ce domaine de la finance.

J’ai commencé à utiliser les FNB après la crise financière mondiale de 2008-2009. Au cours des années qui ont suivi, j’ai commencé à gérer des portefeuilles à honoraires, puis des portefeuilles discrétionnaires, et les FNB sont devenus mes principaux outils d’investissement.

La récession de 2008-2009 a été un moment charnière pour le secteur des FNB. La crise a mis en évidence les avantages de l’investissement indiciel. Au lendemain de la pire récession de ma carrière, les données de S&P Dow Jones Indices sur les investissements actifs et passifs — connues dans le secteur sous le nom de SPIVA Scorecard — ont révélé que les FNB qui suivaient les grands indices de marché avaient surperformé de nombreux gestionnaires actifs. Cette réalité a changé ma façon de gérer mon argent.

Dans les années qui ont suivi, j’ai vu les FNB révolutionner le paysage de l’investissement.

Lancement de mes portefeuilles

En 2013, mes portefeuilles modèles basés sur les FNB ont été lancés, ce qui m’a permis de commencer à évaluer leurs performances. Mon mari, son entreprise, nos enfants, ma mère et moi-même avons tous investi dans les modèles suivants : croissance dynamique, croissance, équilibré et prudent.

Lorsque j’ai lancé mes portefeuilles en 2013, j’ai consacré beaucoup de temps à informer les clients sur les vertus des FNB. Au départ, de nombreux investisseurs étaient sceptiques quant aux avantages de l’investissement passif, estimant qu’une surperformance constante par rapport à l’indice n’était pas une prouesse.

Ce scepticisme était ancré dans l’idée que la gestion active, avec son potentiel de sélection stratégique des actions et de synchronisation des marchés, pouvait générer des rendements supérieurs. Toutefois, l’émergence de données supplémentaires, comme celles de SPIVA, a révélé que la majorité des gestionnaires actifs ne parvenaient pas à dépasser leurs indices de référence à long terme. Cette prise de conscience a conduit les investisseurs à réévaluer leurs positions. La transparence et les performances des FNB ont apporté la preuve que l’investissement passif pouvait être une stratégie plus fiable et plus rentable.

Lors de la création de mes portefeuilles discrétionnaires, j’ai élaboré une politique d’investissement détaillée afin de pouvoir expliquer à mes clients les paramètres de mes portefeuilles : l’allocation géographique, l’allocation d’actifs et les directives en matière de risque. J’utilise ces paramètres pour rééquilibrer mes portefeuilles, généralement sur une base trimestrielle.

Il est crucial de disposer d’un comité d’investissement solide et de s’assurer que tous les membres de l’équipe partagent la même philosophie d’investissement. J’ai dû procéder à d’importants changements au sein de mon équipe afin de m’assurer que les intérêts de chacun étaient alignés sur ce que nous faisions pour nos clients.

Dans les années qui ont suivi le lancement de mes portefeuilles, il est devenu de plus en plus facile d’attirer des clients potentiels vers mes modèles. Les FNB ont gagné en notoriété grâce à la couverture médiatique, et les investissements ont progressivement migré des fonds communs de placement vers les FNB. Selon l’Institut des fonds d’investissement du Canada, les FNB ont dépassé les fonds communs de placement en termes de ventes annuelles nettes chaque année depuis 2018, à l’exception de 2021. Les FNB canadiens représentent maintenant plus de 450 milliards de dollars d’actifs sous gestion.

Les investisseurs ont été attirés par les FNB en partie en raison de leur capacité à réduire les frais et à permettre des transactions tout au long de la journée, contrairement aux fonds communs de placement qui ne se négocient qu’à la fin de la journée. Cette flexibilité est particulièrement attrayante pour ceux qui cherchent à capitaliser sur les mouvements du marché ou à ajuster leurs portefeuilles de manière agile.

Ces avantages n’ont pas échappé aux courtiers en fonds communs de placement, ce qui a conduit à une tendance croissante : de nombreux émetteurs de fonds communs ont commencé à réduire les frais de gestion de leurs fonds communs et à proposer des séries FNB à partir de ces fonds.

Le paysage moderne des FNB

Aujourd’hui, les FNB sont un élément essentiel des portefeuilles des particuliers et des institutions. Ils contribuent à élargir la frontière géographique de l’investissement et offrent aux investisseurs particuliers de nombreux avantages par rapport aux investisseurs institutionnels. Il existe aujourd’hui plus de 3 200 FNB aux États-Unis et plus de 1 100 au Canada. La gamme des FNB disponibles s’est élargie pour inclure des produits à bêta intelligent et des produits basés sur des facteurs, qui visent à surpasser les indices traditionnels en ciblant des facteurs d’investissement spécifiques tels que la valeur, le momentum ou la volatilité.

Les FNB couvrent désormais des marchés et des stratégies de niche, offrant aux investisseurs un accès sans précédent à diverses catégories d’actifs et approches d’investissement, telles que l’investissement factoriel ou smart beta et l’investissement thématique.

Les FNB continuent d’apporter de la diversification dans le paysage de l’investissement. L’un des domaines à surveiller est celui des titres à revenu fixe. Les FNB obligataires ont gagné en popularité, offrant aux investisseurs un moyen efficace de s’exposer aux titres à revenu fixe. Ces FNB offrent des avantages en termes de liquidité, de transparence et de diversification qui étaient traditionnellement difficiles à obtenir sur le marché obligataire, souvent caractérisé par une liquidité plus faible et des coûts de transaction plus élevés que pour les actions.

À mesure que les FNB obligataires gagnent du terrain, on peut s’attendre à une amélioration de la découverte des prix et de l’efficacité des transactions sur le marché obligataire. Cette évolution pourrait accroître l’accessibilité des obligations pour les investisseurs individuels et entraîner une réduction des coûts. Je prévois que d’ici deux à cinq ans, les transactions d’obligations « de gré à gré » pourraient disparaître, ce qui profiterait grandement aux investisseurs de détail.

J’ai toujours gardé mes investissements dans les FNB plutôt traditionnels ou « plain vanilla ». En m’en tenant à ma politique d’investissement et en utilisant les meilleures pratiques de négociation, j’ai réussi à obtenir des rendements solides sur le long terme. Je dis à mes clients que mon objectif est de figurer constamment dans le premier ou le deuxième quartile en termes de performance pour chacun de mes modèles. La persistance dans le temps est la clé.

De plus, à l’heure où de plus en plus de stratégies d’investissement actives se transforment en FNB, le calme doit prévaloir dans la construction de portefeuilles d’investissement qui aident les clients à se constituer un patrimoine à long terme.

Comme je l’affirme dans mon livre de 2016, The Black Belt Investor, je crois fermement que le plein pouvoir de l’investissement dans les FNB est réalisé lorsque tous les facteurs clés de la gestion de l’argent sont présents :

  • gérer les émotions par la discipline ;
  • optimiser la planification fiscale et financière ;
  • et avoir une relation client/conseiller de haute qualité.

Fait amusant : le concept de FNB a été introduit pour la première fois au Canada avec le lancement des Toronto Index Participation Shares (TIPS) en 1990. Ces actions ont été conçues pour suivre l’indice 35 de la Bourse de Toronto et ont posé les bases de la structure des FNB. Le marché américain a ensuite popularisé les FNB, en commençant par le lancement du SPDR S&P 500 ETF par State Street Global Advisors en 1993.

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FNB vs FCP https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-vs-fcp/ Wed, 04 Sep 2024 11:48:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102532 Les FNB mènent définitivement le bal.

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En Amérique du Nord, les fonds négociés en Bourse (FNB) ont poursuivi leur forte lancée dans la première moitié de 2024, tandis que les fonds communs de placement (FCP) continuaient leur saignée d’actifs, rapporte Gestion de placements TD (GPTD). Par ailleurs, les FCP ne sont certainement pas impotents, la gestion active qui les caractérise « infiltrant » de plus en plus les FNB.

Les FNB sont assurément devenus « la seule force motrice de l’industrie des fonds d’investissement », affirme une récente étude de GPTD. Tout particulièrement en 2024, les entrées de fonds dans les FNB canadiens étaient suffisamment larges pour couvrir les sommes qui ont quitté les FCP. Ainsi, dans la première moitié de 2024, les FNB canadiens ont attiré 33 milliards de dollars (G$) de nouvelles entrées, tandis que les FCP ont perdu 8 G$. « Cela veut dire que, non seulement les FNB ravissent des parts de marché aux FCP, mais ils accroissent par eux-mêmes l’étendue de l’industrie des fonds d’investissement, » observe GPTD.

On assiste à la même dynamique au sud de la frontière, où les FNB ont vu affluer des entrées de 423 G$ tandis que les FCP laissaient échapper 151 G$. Là aussi, l’afflux du côté des FNB compense largement pour les pertes dans les FCP.

Les titres à revenu fixe profitent à tous

Les trois grandes catégories des fonds d’action, des fonds obligataires et des fonds équilibrés évoluent de façon fort différente. La catégorie obligataire est celle qui connaît la plus forte montée du côté des FNB, où les stratégies de gestion active propulsent la hausse. Par contre, elle a aussi gagné du côté des FNB, constate GPTD.

Dans la première moitié de 2024, les FNB d’actions ont accaparé 60 % des entrées au Canada et plus de 70 % du côté américain. « Par contre, quand on tient compte des flux dans les FCP, les titres obligataires dominent les afflux de l’année », note l’étude. En effet, même si les FNB de titres à revenu fixe abritent 30 % de l’actif total des FNB au Canada, « il y a encore plus d’entrées dans les FCP obligataires (incluant les marchés monétaires) que dans les FNB », rapporte GPTD.

La répartition d’actifs diverge considérablement entre le Canada et les États-Unis. Au Canada, les fonds équilibrés occupent une importante part des actifs, logeant du côté des FCP avec une forte proportion de 45 %. Aux États-Unis, les actions dominent totalement les FNB avec une part de 81 %, tandis qu’ils accaparent une portion de 54 % des FCP. Par ailleurs, toujours aux États-Unis, les titres obligataires sont plus populaires du côté des FCP, occupant une part de 40 % des actifs, alors que la proportion du côté des FNB est de seulement 17 %.

Des FCP « déséquilibrés »

Tandis que les titres à revenu fixe suscitaient des entrées d’argent tant dans les FNB que dans les FCP, ces derniers laissaient filer l’argent autant du côté des fonds d’action que des fonds équilibrés. Car les fonds équilibrés sont le point faible le plus notable des FCP. Alors qu’ils dominent dans l’univers des FCP, ils ont souffert le plus de sorties de fonds cette année, calcule GPTD, mais sans fournir de chiffres précis.

En contrepartie, les FNB en font leurs choux gras : « Malgré un relativement faible actif sous gestion, fait ressortir GPTD, les FNB équilibrés croissent très rapidement grâce à leur offre de guichet unique aux investisseurs individuels. » Selon une étude de Morningstar que cite GPTD, l’exode hors des FCP équilibrés est motivé par une quête de frais de gestion plus abordables. « En moyenne, les investisseurs payent 1,31 % et 0,58 % pour les FCP et FNB équilibrés respectivement. » GPTD prévoit que la tendance qui voit les FNB gagner en actifs d’actions et équilibrés va se poursuivre en 2024.

Contamination par les FCP

Un développement que traite marginalement l’étude de GPTD est celui où la gestion active — caractéristique essentielle des FCP — gagne du terrain dans l’univers des FNB. Par exemple, Morningstar constate que les FCP qui ont vu les plus fortes entrées d’argent étaient à gestion active. « Plus de FNB actifs sont requis pour gagner les investisseurs qui investissent présentement dans les FCP actifs », commente GPTD.

Car la gestion active fait des avancées importantes chez les FNB. Plusieurs grands manufacturiers de FNB ont étendu leur offre de FNB actifs, observe GPTD. Ainsi, BlackRock affirme que les FNB actifs ont représenté 76 % de tous les lancements de nouveaux FNB aux États-Unis en 2023, et 43 % au plan mondial. La grande société américaine prévoit que les actifs sous gestion active dans les FNB atteindront 4 billions de dollars en 2030, ce qui représenterait une hausse de 400 % sur six ans.

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RBC rouvre plusieurs FCP aux investisseurs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rbc-rouvre-plusieurs-fcp-aux-investisseurs/ Fri, 30 Aug 2024 10:51:36 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102560 PRODUITS – Neuf fonds seront accessibles aux nouveaux investisseurs.

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Le 3 septembre dernier, RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) a rouvert neuf de ses fonds communs de placement (FCP) aux nouveaux investisseurs.

Ces fonds qui avaient été fermés aux nouveaux investisseurs en septembre 2021 et sont maintenant de nouveau disponibles sont :

  • le Fonds d’actions mondiales RBC,
  • le Fonds spécifique d’actions mondiales RBC,
  • le Fonds d’actions mondiales Vision RBC,
  • le Fonds spécifique d’actions mondiales neutre en devises RBC,
  • le Fonds mondial de croissance de dividendes RBC,
  • le Fonds mondial de croissance de dividendes neutre en devises RBC,
  • le Fonds d’actions mondiales Phillips, Hager & North,
  • le Fonds d’action outre-mer Phillips, Hager & North (seulement les séries A, D, F et O),
  • et le Fonds d’action outre-mer avec couverture de change Phillips, Hager & North.

Ces produits bénéficient de l’expertise de l’équipe Actions mondiales RBC établie à Londres, au Royaume-Uni, ainsi que de son processus de placement qui se concentre sur les sociétés mondiales de haute qualité.

À noter que RBC GMA se réserve le droit d’à nouveau plafonner les fonds ou d’y limiter autrement les placements à une date ultérieure.

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Nouveaux placeurs principaux affiliés à Gestion de placements Canada Vie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/nouveaux-placeurs-principaux-affilies-a-gestion-de-placements-canada-vie/ Wed, 07 Aug 2024 11:40:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101947 PRODUITS – Plusieurs fonds communs de placement sont concernés.

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Gestion de placements Canada Vie ajoute Investment Planning Counsel en tant que nouveaux placeurs principaux affiliés pour certains fonds communs de placement, par l’entremise d’IPC Gestion du patrimoine et d’IPC Valeurs mobilières.

Investment Planning Counsel rejoint ainsi Services d’investissement Quadrus qui occupe la même fonction.

Cela signifie que les investisseurs qui ont un courtier IPC auront maintenant accès à certains fonds communs de placement de Gestion de placements Canada Vie.

À noter toutefois que l’ajout des courtiers IPC en tant que placeurs principaux n’affecte pas les investisseurs actuels de Gestion de placements Canada Vie ni la gestion des fonds de cette dernière.

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RBC Gestion d’actifs Indigo modifie certains FCP https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rbc-gestion-dactifs-indigo-modifie-certains-fcp/ Tue, 16 Jul 2024 10:55:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101611 PRODUITS – Et procède notamment à une réduction de frais de gestion.

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RBC Gestion d’actifs Indigo modifie plusieurs de ses fonds. Il change notamment le nom des parts des séries D et DT, procède à une réduction de frais de gestion d’une douzaine de fonds et lance des parts de série F pour les fonds en gestion commune Indigo RBC et certains fonds communs de placement Indigo RBC.

Ainsi, depuis le 27 juin, les parts des séries D et DT sont appelées parts de séries F et FT. Ces dernières seront disponibles pour les investisseurs qui participent à un programme de rémunération des services ou à un programme intégré où le courtier agit en tant que promoteur. Ces investisseurs doivent détenir uniquement des comptes d’exécution des ordres, tels que des comptes de courtiers exécutants et d’autres comptes pour lesquels aucune évaluation de la convenance n’est réalisée.

De plus, toujours le 27 juin, les frais de gestion des parts de la série F et de la série FT des fonds suivants ont été révisés à la baisse. Ainsi, la série F

  • du Fonds en prêts hypothécaires Indigo RBC est passée de 0,85 % à 0,675 % ;
  • celle du Fonds d’obligations mondiales de sociétés Indigo RBC et celle du Fonds de créance de marchés émergents Indigo RBC est passée de 1,00 % à 0,75 % ;
  • celle du Fonds équilibré canadien Indigo RBC est passée de 0,90 % à 0,85 % ;
  • celle du Fonds de dividendes Indigo RBC et du Fonds d’actions Indigo RBC est passée de 0,90 % à 0,75 % ;
  • et celle du Fonds de marchés émergents Indigo RBC, du Fonds de marchés émergents Indigo RBC II, du Fonds d’actions chinoises Indigo RBC et du Fonds d’actions indiennes Indigo RBC est passée de 1,25 % à 1,125 %.

La série F et FT du Fonds de revenu mensuel Indigo RBC et du Fonds de revenu mensuel en dollars US Indigo RBC est passée respectivement de 0,75 % à 0,65 % et de 1,05 % à 0,775 %.

Le 8 juillet, RBC Indigo lancera des parts de série F des fonds en gestion commune Indigo RBC, des fonds indiciels Indigo RBC et du Fonds en obligations canadiennes à court/moyen terme Indigo RBC.

Des séries F seront lancées pour les fonds suivants :

Fonds en obligations canadiennes à court/moyen terme Indigo RBC 0,50 %
Fonds indiciel d’actions Indigo RBC 0,50 %
Fonds indiciel d’actions internationales Indigo RBC 0,50 %
Fonds indiciel d’actions de marchés émergents Indigo RBC 0,50 %
Fonds en gestion commune marché monétaire canadien Indigo RB 0,35 %
Fonds en gestion commune obligations canadiennes Indigo RBC 0,50 %
Fonds en gestion commune de dividendes canadiens Indigo RBC 0,75 %
Fonds en gestion commune actions canadiennes Indigo RBC 0,75 %
Fonds en gestion commune actions de sociétés canadiennes à petite capitalisation Indigo RBC 1,00 %
Fonds en gestion commune actions américaines Indigo RBC 1,00 %
Fonds en gestion commune actions internationales Indigo RBC 1,00 %
Fonds en gestion commune prêts hypothécaires Indigo RBC 0,675 %
Fonds en gestion commune obligations mondiales à rendement élevé Indigo RBC 0,75 %
Fonds en gestion commune obligations mondiales liées à l’inflation Indigo RBC 0,675 %
Fonds en gestion commune titres de marchés émergents Indigo RBC 1,125 %
Fonds en gestion commune de créance de marchés émergents Indigo RBC 0,75 %
Fonds en gestion commune mondial en actions immobilières Indigo RBC 1,00 %

Depuis le 27 juin, sauf exceptions spécifiques, RBC Indigo n’accepte plus les ordres d’achat pour les clients résidant à l’extérieur du Canada. Les clients non-résidents qui détiennent déjà des parts de fonds en gestion commune ou de fonds communs de placement Indigo RBC peuvent toutefois les conserver.

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Les ACVM achèveront l’examen des FNB à l’automne https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-acvm-acheveront-lexamen-des-fnb-a-lautomne/ Tue, 09 Jul 2024 10:32:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101706 L’examen réglementaire intervient alors que les FNB représentent une part croissante du marché des fonds d’investissement.

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L’examen par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) du régime de réglementation des fonds négociés en Bourse (FNB) est en voie d’achèvement.

« Nous examinons les résultats préliminaires de notre analyse du marché des FNB, y compris l’évaluation de l’activité du marché secondaire et les facteurs susceptibles d’influer sur la liquidité et la négociation des FNB, rapporte Ilana Kelemen, conseillère stratégique principale auprès des ACVM, dans un courriel. Cette recherche est utilisée pour informer notre examen des lacunes ou des améliorations potentielles du régime réglementaire des FNB. »

Selon Ilana Kelemen, les ACVM prévoient d’achever leur examen d’ici l’automne 2024 et de publier un document de consultation en 2025.

Les parties prenantes auront « la possibilité de commenter notre examen et toute proposition de politique préliminaire avant que des changements de règles spécifiques ne soient proposés », précise-t-elle.

Les ACVM ont commencé à examiner la réglementation des FNB en août 2023, dans le but d’évaluer l’adéquation du régime existant.

À l’époque, les observateurs du secteur pensaient que les autorités de régulation avaient lancé cet examen principalement pour vérifier que la réglementation des FNB était adaptée à l’objectif visé. Les ACVM venaient de mener à bien un exercice de modernisation de la réglementation des fonds communs de placement.

Cet examen intervient alors que les FNB occupent une part croissante du marché des fonds d’investissement.

Selon l’Institut des fonds d’investissement du Canada, les actifs sous gestion des FNB s’élevaient à 429,2 milliards de dollars au 31 mai (contre près de 2,1 billions de dollars pour les fonds communs de placement), ce qui représente environ 20 % des actifs des fonds d’investissement au Canada, contre 18 % l’année précédente.

Parallèlement à l’examen en cours, les membres des ACVM ont examiné les comités d’examen indépendants (CEI). Tous les fonds d’investissement au Canada — y compris les FNB — doivent être dotés d’un CEI qui évalue les conflits potentiels portés à sa connaissance par un gestionnaire de fonds.

En mars, la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario et l’Autorité des marchés financiers ont publié les résultats d’un examen de l’information continue portant sur les CEI des fonds d’investissement gérés par 24 gestionnaires de fonds. L’examen a suggéré que les CEI élargissent leur définition des conflits d’intérêts et rafraîchissent leurs rangs plus fréquemment.

La réglementation des FNB a également attiré l’attention en dehors du Canada.

En mai 2023, l’Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV) a publié les résultats d’un examen qui a conclu que les principes globaux de la réglementation des FNB — finalisés en 2013 — restent valables.

« Aucune lacune majeure n’a été identifiée et aucun problème réglementaire majeur n’a été signalé par les membres de l’OICV ou les participants du secteur », indique le rapport.

Les ACVM ont indiqué que leur examen porterait sur certains des domaines couverts par l’OICV, notamment le processus de création et de rachat de parts de FNB, le mécanisme d’arbitrage qui aligne le prix de négociation d’un FNB sur la valeur sous-jacente des titres détenus dans son portefeuille, et l’utilisation de contrôles de la volatilité (tels que les coupe-circuits) dans les transactions sur le marché secondaire.

(Avec la participation de James Langton)

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Changement à la gamme de FCP de Mackenzie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changement-a-la-gamme-de-fcp-de-mackenzie/ Wed, 03 Jul 2024 10:30:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101523 PRODUITS – L’institution veut rationaliser sa gamme de produits.

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Placements Mackenzie fusionnera plusieurs fonds, sous réserve de l’approbation des porteurs de parts, dans l’optique de rationaliser sa gamme de produits. L’institution procédera également au changement d’un gestionnaire pour un fonds commun de placement (FCP) et à la dissolution d’un fonds négocié en Bourse (FNB).

Mackenzie veut ainsi fusionner :

  • le Fonds indiciel Diversification maximale Marchés développés mondiaux Mackenzie au Fonds mondial à faible volatilité Mackenzie ;
  • le Fonds indiciel Diversification maximale Canada Mackenzie au Fonds d’actions canadiennes Mackenzie ;
  • et le Fonds indiciel Diversification maximale États-Unis Mackenzie au Fonds mondial à faible volatilité Mackenzie.

Mais également :

  • le FINB Diversification maximale Marchés développés mondiaux ex-Amérique du Nord Mackenzie au FNB mondial à faible volatilité Mackenzie ;
  • le FNB Diversification maximale Marchés développés mondiaux Mackenzie au FNB mondial à faible volatilité Mackenzie ;
  • le FINB Diversification maximale Marchés émergents Mackenzie au FINB d’actions des marchés émergents Mackenzie ;
  • le FINB Diversification maximale Canada Mackenzie au FNB canadien à faible volatilité Mackenzie
  • et le FINB Diversification maximale États-Unis Mackenzie au FNB américain à faible volatilité Mackenzie.

Les investisseurs inscrits au 16 juillet 2024 recevront un avis de convocation à une assemblée extraordinaire des investisseurs qui aura lieu le 6 septembre 2024. Si elles sont approuvées, les fusions auront lieu le 27 septembre.

En plus de ces fusions, Placements Mackenzie procédera à la dissolution du FINB Diversification maximale Marchés développés européens Mackenzie vers le 27 septembre prochaine. Celui-ci cessera d’être négocié et sera retiré de la Bourse de Toronto après la clôture du marché le 26 septembre. Depuis le 20 juin, plus aucune autre souscription directe de parts du FNB en dissolution n’est acceptée.

Placements Mackenzie a profité de ces nouvelles pour annoncer des changements à la gestion du portefeuille du Fonds Diversification maximale Multi-actifs mondiaux Mackenzie. Le sous-conseiller actuel, TOBAM, sera remplacé par l’équipe des stratégies multi-actifs Mackenzie aux alentours du 30 juillet.

Aucun changement ne sera toutefois apporté aux objectifs de placement de ce fonds.

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GPTD espère quintupler ses actifs dans les FNB d’ici 2029 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/gptd-espere-quintupler-ses-actifs-dans-les-fnb-dici-2029/ Wed, 26 Jun 2024 11:35:48 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101465 La croissance provenant d’autres secteurs, la fermeture imminente des FNB ESG de la société s’inscrit dans une tendance plus large du secteur.

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La décision de Gestion de Placements TD (GPTD) de fermer ses cinq fonds négociés en Bourse (FNB) axés sur l’ESG (facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance) ne reflète pas une diminution de l’engagement à l’égard de l’ESG, bien au contraire, affirme l’entreprise.

« Notre responsable des questions ESG relève directement du [directeur des investissements] David Sykes », explique Jonathan Needham, vice-président et directeur, responsable de la distribution des FNB, chez GPTD*.

Jonathan Needham rapporte que tous les portefeuilles de GPTD considèrent l’ESG comme un facteur de risque important. « En plus du fait qu’on ne constatait pas beaucoup d’intérêt et qu’il y avait beaucoup de confusion lorsque l’on mettait une étiquette ESG sur un produit particulier… nous avons estimé qu’il était prudent de fermer [les cinq] fonds », explique-t-il.

GPTD a annoncé en avril qu’elle mettrait fin à ses cinq FNB TD Morningstar ESG, lancés en novembre 2020. Les fonds ont été retirés de la cote vers le 21 juin. Les actifs sous gestion (ASG) combinés de la série étaient de 32 millions de dollars (M$) au 31 mai, selon Marchés financiers Banque Nationale.

« Nous n’envisageons pas vraiment de fermer de produits, sauf si, d’un point de vue philosophique, ils ne correspondent pas à notre gamme ou si leur valeur est inférieure à 20 M$ par fonds », rapporte Jonathan Needham.

GPTD continue de proposer des fonds communs de placement axés sur les facteurs ESG, et sa décision de fermer ces FNB s’inscrit dans une tendance plus large.

« Les lancements de FNB ESG ont ralenti depuis 2023. En fait, jusqu’à présent en 2024, nous n’avons vu aucun nouveau lancement ou dépôt dans la thématique des FNB ESG au Canada », déclare Tiffany Zhang, vice-présidente de la recherche sur les FNB et les produits financiers à la Financière Banque Nationale.

Les radiations des FNB ESG se sont accélérées entre 2023 et 2024, ajoute-t-elle, et les entrées ont également ralenti. Le nombre total de FNB ESG s’élève à 133, récoltant 18,8 milliards de dollars (G$) d’actifs sous gestion (4,4 % de tous les actifs sous gestion), en baisse par rapport au pic de 143 produits en 2022.

« Nous pensons que le concept d’ESG a une véritable force de frappe durable sur la base de nos conversations avec les conseillers en services financiers et les clients institutionnels, assure Tiffany Zhang. Beaucoup d’entre eux ont utilisé ou envisagent d’allouer des FNB ESG dans leurs portefeuilles. Je ne serais donc pas du tout surprise que les flux s’accélèrent à nouveau à l’avenir. »

Selon Jonathan Needham, les autres FNB de GPTD se répartissent en quatre grandes catégories :

  • passifs,
  • actifs,
  • thématiques à large assise (comme la technologie et les soins de santé)
  • et quantiques (comme les fonds factoriels).

Selon la Banque Nationale, GPTD détenait la sixième plus grande part de marché de tous les fournisseurs de FNB au 31 mai, avec 15,3 G$ d’ASG (3,6 %).

Jonathan Needham prévoit un taux de croissance de 12,5 % pour les ASG des FNB nationaux et il s’attend à ce que le secteur récolte 750 G$ d’ici la fin de 2029. Son objectif est que GPTD atteigne 75 G$ d’ASG au cours de la même période.

Il pense également que GPTD sera le cinquième plus grand fournisseur de FNB d’ici 2025.

Selon Jonathan Needham, la croissance nécessaire viendra du lancement de produits à revenu fixe prévu dans un avenir proche, puis du lancement de fonds communs de placement qui détiendront des FNB TD. La troisième phase consistera à lancer des FNB basés sur la gamme de fonds communs de placement actifs de GPTD.

Plus récemment, en avril, GPTD a lancé une série de FNB d’obligations à échéance cible, qui a depuis accumulé 170 M$ d’ASG. « Je pense que nous allons continuer à développer cette gamme de produits à revenu fixe », explique Jonathan Needham.

Celui-ci n’exclut pas la possibilité d’une croissance par acquisition, mais précise qu’il n’y a toutefois aucune nécessité de le faire. Au lieu de cela, « je pense que des partenariats stratégiques seraient probablement plus judicieux », dit-il. Plus précisément, GPTD recruterait des sous-conseillers ou agirait comme sous-conseiller pour d’autres manufacturiers.

À l’heure actuelle, la distribution des FNB de GPTD est répartie également entre des sources externes et la banque elle-même. Selon Jonathan Needham, l’équilibre doit pencher en faveur de la distribution externe pour que GPTD atteigne son objectif de 75 G$.

Il est optimiste. « Au cours des 12 derniers mois, nous avons connu une croissance massive de notre distribution externe », déclare-t-il. Mais même une institution aussi connue que GPTD doit faire ses preuves pour gagner de l’espace en rayon.

« Lorsque vous lancez un [FNB] quantitatif ou actif, les gens veulent voir un bilan de trois ou cinq ans, en particulier au niveau du siège social avec les réformes axées sur le client », dit-il.

Par exemple, la gamme de dividendes améliorés de GPTD, qui, selon Jonathan Needham, a enregistré une très bonne performance relative, vient d’atteindre un milliard de dollars d’actifs sous gestion après cinq ans. « Même avec une marque comme TD, [s’agit-il] d’une réussite du jour au lendemain ? Non. »

Au cours des prochaines années, Jonathan Needham prévoit que d’autres manufacturiers historiques de fonds communs de placement entreront dans le secteur des FNB avec un succès mitigé. Mais il estime que les plus petits acteurs du marché des FNB ont la possibilité de prospérer.

« Vous allez voir certaines de ces entreprises plus petites et plus agiles proposer des idées qui conviennent probablement très bien aux intérêts d’un client, et qui peuvent ou non s’aligner sur la philosophie de certaines des grandes entreprises », estime-t-il.

Global X Investments Canada, anciennement connu sous le nom de Horizons ETFs Management (Canada), est une autre société de FNB qui a rendu public son objectif en matière d’actifs sous gestion. Au cours des cinq prochaines années, la société souhaite doubler ses actifs sous gestion et porter sa part de marché à 10 %. Au 31 mai, Global X avait 31,5 G$ d’ASG, soit une part de marché de 7,3 %, selon la Financière Banque Nationale.

*Clarification : GPTD a précisé, après la publication de cet article, que les facteurs ESG constituent un domaine d’intérêt et de recherche important, et qu’ils ne sont pas intégrés dans toutes les activités de la société, comme l’a déclaré Jonathan Needham.

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Capital Group Canada simplifie les frais de ses FCP https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/capital-group-canada-simplifie-les-frais-de-ses-fcp/ Mon, 03 Jun 2024 11:44:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100945 PRODUTIS – Les trois paliers tarifaires basés sur les actifs seront supprimés.

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Gestion d’actifs Capital International a décidé de simplifier les frais d’administration à taux fixe liés à ses fonds communs de placement (FCP). Ainsi, dès le 1er juin, les trois paliers tarifaires basés sur les actifs seront remplacés par un taux fixe pour chaque série de fonds. Au fil du temps, ces changements pourraient entraîner une diminution des ratios de frais de gestion.

Séries A, A ($ US) et T4

Les nouveaux frais d’administration pour les séries A, A ($ US) et T4 seront ainsi de 0,04 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions américaines (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group ciblé actions canadiennes (Canada).

Les nouveaux frais d’administration pour les séries A, A ($ US) et T4 seront de 0,05 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions mondiales (Canada) ;
  • le Fonds Capital Group équilibré mondial (Canada) ;
  • le Capital Group portefeuille de revenu mensuel (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group revenu fixe essentiel plus canadien (Canada).

Les nouveaux frais d’administration pour les séries A, A ($ US) et T4 seront de 0,06 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions internationales (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group obligations mondiales (Canada).

Les nouveaux frais d’administration pour les séries A, A ($ US) et T4 seront de 0,07 % pour :

  • le Fonds Capital Group générateur de revenu (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group revenu multisectoriel (Canada).

Et les nouveaux frais d’administration pour les séries A, A ($ US) et T4 seront de 0,08 % pour le Fonds Capital Group occasions totales marchés émergents (Canada).

Séries F, F ($ US) et F4

Les nouveaux frais d’administration pour les séries F, F ($ US) et F4 seront ainsi de 0,04 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions américaines (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group ciblé actions canadiennes (Canada).

Les nouveaux frais d’administration pour les séries F, F ($ US) et F4 seront de 0,05 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions mondiales (Canada) ;
  • le Fonds Capital Group équilibré mondial (Canada) ;
  • le Capital Group portefeuille de revenu mensuel (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group revenu fixe essentiel plus canadien (Canada).

Les nouveaux frais d’administration pour les séries F, F ($ US) et F4 seront de 0,06 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions internationales (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group obligations mondiales (Canada).

Les nouveaux frais d’administration pour les séries F, F ($ US) et F4 seront de 0,07 % pour :

  • le Fonds Capital Group générateur de revenu (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group revenu multisectoriel (Canada).

Et les nouveaux frais d’administration pour les séries F, F ($ US) et F4 seront de 0,08 % pour le Fonds Capital Group occasions totales marchés émergents (Canada).

Série D

Les nouveaux frais d’administration pour la série D seront ainsi de 0,04 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions américaines (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group ciblé actions canadiennes (Canada).

Les nouveaux frais d’administration seront de 0,05 % pour le Fonds Capital Group actions mondiales, de 0,06 % pour le Fonds Capital Group actions internationales et de 0,08 % pour le Fonds Capital Group occasions totales marchés émergents.

Séries I

Les nouveaux frais d’administration pour la série I seront de 0,03 % pour le Fonds Capital Group actions américaines.

Les nouveaux frais d’administration pour la série I seront de 0,04 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions américaines (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group ciblé actions canadiennes (Canada).

Les nouveaux frais d’administration pour la série I seront de 0,05 % pour :

  • le Fonds Capital Group actions internationales (Canada) ;
  • le Capital Group portefeuille de revenu mensuel (Canada) ;
  • le Fonds Capital Group équilibré mondial (Canada) ;
  • le Fonds Capital Group revenu fixe essentiel plus canadien (Canada) ;
  • le Fonds Capital Group obligations mondiales (Canada) ;
  • et le Fonds Capital Group revenu multisectoriel (Canada).

Et les nouveaux frais d’administration pour la série I seront de 0,06 % pour le Fonds Capital Group occasions totales marchés émergents (Canada).

Séries couvertes

Les frais d’administration du Capital Group générateur de revenus (Canada) des séries AH et FH passeront à 0,12 %.

Les frais d’administration du Fonds Capital Group obligations mondiales (Canada) des séries AH et FH passeront à 0,11 % et ceux de la série IH passeront à 0,10 %.

En plus des changements des frais d’administration à taux fixe, les frais de gestion du Portefeuille de revenu mensuel seront également réduits à compter du 1er juin 2024.

Ceux des séries A et T4 passeront à 1,60 % pour les premiers 5 milliards de dollars (G$) à 1,57 % de 5 G$ à 10 G$ et à 1,55 % pour les plus de 10 G$. Ceux des séries F et F4 passeront à 0,60 % pour les premiers 5 G$ à 0,57 % de 5 G$ à 10 G$ et à 0,55 % pour les plus de 10 G$.

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Coûts élevés du passage au cycle de règlement T+1 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/couts-eleves-du-passage-au-cycle-de-reglement-t1/ Wed, 08 May 2024 09:41:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100683 FOCUS FNB – Les acteurs européens en feront les frais.

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Partout dans le monde, le cycle de règlement d’un ordre en valeurs mobilières, soit la durée entre le jour d’une transaction et le jour où celle-ci est livrée, s’étend de deux à quatre jours. Le passage à un jour de délai (T+1), prévu le 27 mai prochain au Canada et au Mexique, et le 28 mai aux États-Unis, devrait coûter très cher et causer beaucoup de maux de tête, prévoit TD Cowen, filiale européenne de Valeurs mobilières TD.

Régler une transaction 24 heures plus tôt, et après ? Ce n’est pas insignifiant : « Cela présentera des défis aux investisseurs internationaux du fait que les titres nord-américains, qui représentent la plus grande concentration d’actifs mondiaux, vont se régler un jour plus tôt que le reste du monde », affirme une note interne de TD Cowen.

Le problème est d’autant plus malvenu que les États-Unis, selon TD Cowen, se situent au point le plus malcommode dans la géographie des zones horaires pour prendre les devants dans cette initiative de raccourcir le cycle de règlement. En effet, les transactions devront être confirmées avant 21 h, heure de l’Est. Pour les Européens, cela ne correspond pas à 24 heures, mais à un délai « d’une nuit ». Dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), « les employés devront travailler pendant les heures nocturnes pour honorer les délais raccourcis », fait ressortir TD Cowen. Certains devront recourir à leur personnel nord-américain pour y arriver.

Les problèmes internes aux États-Unis sont bien connus et imposent des coûts substantiels. TD Cowen réfère à un article de Bloomberg qui calculait que le passage à T+1 entraînerait des dépenses de l’ordre de 30 milliards de dollars américains à divers chapitres : financement, frais de gestion, réduction des prêts de titres, conversion de monnaies, rendements perdus, etc.

Un des principaux impacts tiendrait à une plus grande difficulté ou à des coûts plus élevés pour emprunter des titres. Par ailleurs, 96 % de firmes interviewées pour une étude rapportaient que la principale cause de transactions ratées était reliée à des problèmes d’inventaires; « l’accélération des règlements ne va pas nécessairement les résoudre », juge TD Cowen, mais va plutôt les exacerber.

Le fardeau pèsera surtout en Europe

Dans la zone EMEA, les défis seront accrus, d’autant plus que plusieurs fonds communs européens obéissent à un cycle de règlement T+3 ou T+4, un cycle qui est déjà mal aligné avec le cycle T+2 qui prévaut dans les marchés mondiaux d’actions. Cependant, TD Cowen ne chiffre pas ces obstacles.

Ainsi, les firmes financières seront appelées à passer beaucoup plus de temps à gérer leur encaisse dans les années à venir. « Aujourd’hui, écrit TD Cowen, les entreprises peuvent gérer le décalage existant entre les calendriers de règlement des fonds et des titres en utilisant des facilités de crédit à court terme ou en conservant des liquidités pour combler les écarts de financement. Toutefois, dans un marché qui s’est concentré ces dernières années, détenir davantage de liquidités n’est peut-être pas une option avantageuse du point de vue de la concurrence. »

Ces problèmes ne font que gratter la surface, affirme TD Cowen. En voici deux autres. Les titres ADR (American Depository Receipts, ces équivalents de titres étrangers, surtout chinois, négociés sur les parquets américains) suivront désormais le cycle de réglement T+1 alors que les actions étrangères sous-jacentes continueront de suivre celui T+2. Les fonds négociés en Bourse (FNB) hors Amérique du Nord qui détiennent des titres américains seront confrontés à un décalage des dates de règlement similaire à celui qu’on observe dans les fonds communs de placement européens.

Un autre problème qui sera exacerbé est celui des conversions de devises. Car les fonds européens sont souvent libellés dans des devises comme l’euro ou la livre sterling. Lorsqu’ils achètent ou vendent un titre américain, il y a donc une étape supplémentaire de conversion des devises. Les délais de confirmation s’accélérant, cela aura un impact sur les composantes de change et constituera un niveau additionnel de complexité. « Il existe quelques solutions à ce problème potentiel, mais toutes imposent un coût », fait remarquer TD Cowen.

Une aide à plus de concentration

La façon pour les acteurs européens de contourner ces défis est évidemment de transiter le plus rapidement possible au cycle de règlement des transactions T+1. Or les autorités règlementaires européennes ont bien d’autres chats à fouetter, soutient TD Cowen, notamment le besoin de réduire les niveaux de transactions ratées avant même qu’un passage à T+1 ne les augmente. Pour l’heure, le Royaume-Uni affiche la date la plus proche pour un passage à T+1 : le deuxième trimestre de 2026.

Autre problème significatif, l’imposition du cycle T+1 accélérera la tendance déjà bien engagée à une concentration accrue dans les milieux financiers. Cette nouvelle règle « semble favoriser les plus gros joueurs dans le marché, » souligne TD Cowen, essentiellement parce que les plus petits gestionnaires d’actifs peineront à en supporter les coûts majorés.

Le site web du Canadian Capital Markets Association (CCMA) dresse la liste de tous les actifs qui passeront à T+1 et comprend également une FAQ à l’intention des conseillers.

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