chômage – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 04 Mar 2024 11:47:32 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png chômage – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Les taux d’emplois et d’activité des femmes bondissent https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-taux-demplois-et-dactivite-des-femmes-bondissent/ Mon, 04 Mar 2024 11:47:32 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99322 Et les 55 ans et plus franchissent un cap historique.

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La proportion de femmes et de 55 ans et plus sur le marché du travail bondit selon le Bilan annuel du marché du travail pour 2023 de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ).

D’après le bilan, le nombre d’emplois moyen au Québec en 2023 s’est accru de 103 300 (2,3 %) par rapport à 2022, et ce, pour une troisième année consécutive.

Des gains pour les femmes

Or, cette augmentation est plus marquée chez les femmes (+ 55 200; + 2,6 %) que chez les hommes (+ 48 100; + 2,1 %).

En outre, bien que le taux d’activité des hommes atteigne 68,5 % contre 61,5 % pour les femmes en 2023, il s’agit du « plus haut niveau chez ces dernières depuis 1976 », signale l’ISQ dans son communiqué.

Le cap du million pour les 55 ans et plus

Par ailleurs, un gain d’environ 40 000 emplois a été observé chez les personnes de 55 ans et plus.

« En 2023, ce groupe franchit le cap du million d’emplois et représente autour de 22 % de tous les emplois au Québec », indique l’ISQ.

D’autres records battus

De façon générale, le taux d’emploi se fixe à 62,1 %, « soit son niveau le plus élevé historiquement », souligne l’ISQ.

Chez les 25-54 ans, le taux d’emploi s’établit à 86,9 %, et chez les 55-69 ans, à 51,9 %.

Enfin, autres records, le taux de chômage (4,5 %) est à son plus bas niveau depuis 1976 chez les 15-24 ans (7,5 %) et chez les 55 ans et plus (4,4 %).

Les postes vacants en baisse

Selon le bilan de l’ISQ, on dénombre environ 191 400 postes vacants en moyenne pour les neuf premiers mois de 2023.

En fait, le nombre de postes vacants a diminué d’environ 50 000 par rapport à la même période de 2022, ce qui représente une baisse d’un peu plus de 20 %.

Cette baisse touche particulièrement l’industrie de l’information et l’industrie culturelle (- 39 %); les services professionnels, scientifiques et techniques (- 35 %); les services d’hébergement et de restauration (- 33 %) ainsi que la fabrication (- 33 %).

Des régions et des provinces en tête

Le bilan de l’ISQ s’attarde aussi aux régions et aux provinces canadiennes.

Ainsi, au Québec, en 2023, les régions de la Capitale-Nationale (+ 15 400), de Laval (+ 11 300) et des Laurentides (+ 28 200) enregistrent une croissance de l’emploi.

Si le nombre d’emplois dans la plupart des régions est revenu à son niveau d’avant la pandémie (2019), trois régions font exception : l’Estrie, l’Abitibi-Témiscamingue et le regroupement de la Côte-Nord et du Nord-du-Québec.

Au Canada, le nombre d’emplois a progressé d’environ 477 900 (+ 2,4 %) par rapport à 2022, s’établissant à 20 170 900.

La plupart des provinces, à l’exception de Terre-Neuve-et-Labrador, de la Nouvelle-Écosse, de la Saskatchewan et de la Colombie-Britannique, connaissent une croissance de l’emploi.

L’Ontario (+ 183 200), le Québec (+ 103 300) et l’Alberta (+ 85 000) affichent les plus fortes hausses de l’emploi.

Finalement, c’est Terre-Neuve-et-Labrador qui a le taux de chômage est le plus élevé (10,0 %), et le Québec, le plus bas (4,5 %).

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Le marché de l’emploi canadien se refroidira en 2024 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/le-marche-de-lemploi-canadien-se-refroidira-en-2024/ Thu, 08 Feb 2024 13:15:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98918 Et la croissance des salaires s'atténuera avec le ralentissement de l'emploi.

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Le taux d’emploi au Canada continuera de baisser et la croissance des salaires ralentira en 2024, mais le marché de l’emploi résistera mieux que lors des ralentissements précédents, selon un rapport publié lundi par les Services économiques TD.

Le marché de l’emploi du pays a bien résisté aux hausses de taux d’intérêt de la Banque du Canada l’année dernière, avec une croissance de 2,4 %, soit l’ajout d’environ 500 000 nouveaux emplois nets. Le taux de chômage au dernier trimestre 2023 était de 5,8%, similaire au même trimestre en 2019.

« Alors que la création d’emplois dans le secteur privé s’est considérablement ralentie ces derniers mois, les pertes massives d’emplois ne se sont pas matérialisées comme certains prévisionnistes l’avaient anticipé », indique le rapport.

Si l’affaiblissement de la demande de main-d’œuvre a été la principale cause de l’augmentation des taux de chômage par le passé, ce cycle-ci, c’est l’abondance de l’offre de main-d’œuvre qui sera le principal moteur de l’augmentation du chômage, selon la Banque TD. Alors que les taux d’emploi dans chaque province ont dépassé la croissance de la main-d’œuvre en 2023, chaque province connaîtra des taux de croissance de la main-d’œuvre plus élevés que les taux d’emploi cette année.

Le rapport prévoit que le Québec, l’Ontario et la Colombie-Britannique connaîtront les plus fortes hausses du taux de chômage, de l’ordre de 1 % à 1,6 %. En revanche, en Alberta et dans les Maritimes, il n’augmentera que d’un demi pour cent ou moins, la croissance de l’emploi pouvant mieux suivre celle de la population active dans ces régions.

En ce qui concerne les secteurs spécifiques, la TD s’attend à ce que les services publics (en particulier les soins de santé), la construction et les industries pétrolières et gazières voient davantage de postes vacants par rapport aux niveaux de 2015 à 2019, ce qui profitera à l’Alberta, riche en combustibles fossiles, et aux provinces maritimes, où les services publics sont nombreux. En revanche, les taux de vacance dans l’industrie manufacturière et les services tels que la finance, l’assurance et l’immobilier sont retombés à leurs niveaux d’avant la pandémie.

Le taux de participation au marché du travail s’est stabilisé grâce aux niveaux d’immigration historiques des deux dernières années, qui ont attiré au Canada un grand nombre de personnes en âge de travailler. Toutefois, le vieillissement des baby-boomers, le nombre important de demandeurs d’emploi découragés et l’allongement de la durée des études exerceront à nouveau une pression à la baisse sur le taux d’activité à court terme, selon la Banque TD.

La croissance des salaires au Canada est passée du pic de 8 % atteint lors de la pandémie à 5,5 % en glissement annuel en décembre, mais elle reste deux fois plus élevée que la moyenne d’avant la pandémie.

« À l’avenir, nous prévoyons un ralentissement de la croissance des salaires nationaux en raison du ralentissement de l’emploi, de l’augmentation du taux de chômage et de la diminution des postes vacants », avertit le rapport.

Tout comme le taux de chômage, la pression à la baisse sur les salaires variera d’une province à l’autre. Le rapport prévoit que les salaires en Colombie-Britannique, en Ontario, en Nouvelle-Écosse et dans l’Île-du-Prince-Édouard diminueront plus rapidement au cours des prochains trimestres, tandis que la Saskatchewan, le Manitoba, le Québec et l’Alberta connaîtront toujours des salaires élevés en raison du resserrement de leur marché de l’emploi et, à l’exception de l’Alberta, de leur taux de syndicalisation plus élevé.

« Le marché du travail canadien est relativement bien placé pour faire face au ralentissement macroéconomique à venir, affirme le rapport. Contrairement aux ralentissements précédents, et à moins d’événements majeurs imprévus, la poursuite mais le ralentissement des embauches, en l’absence de licenciements importants dans l’ensemble de l’économie, devrait rester un point central. »

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Six tendances à suivre pour garder le cap en 2024 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/six-tendances-a-suivre-pour-garder-le-cap-en-2024/ Mon, 22 Jan 2024 11:48:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98541 Selon Marchés des capitaux CIBC.

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Après une année marquée par l’inflation et la hausse des taux d’intérêt, les économistes voient la lumière au bout du tunnel. Pour autant, 2024 ne sera pas un long fleuve tranquille. Les investisseurs devront naviguer sur une mer agitée tout en capitalisant sur les vents favorables quand ils se présenteront.

Dans ce contexte tourmenté, les clients auront besoin de conseils professionnels pour garder le cap sur la sécurité financière, signalent Avery Shenfeld, économiste en chef, et Benjamin Tal, économiste en chef adjoint de Marchés des capitaux CIBC, dans un article publié sur le site de l’institution.

Voici quelques tendances à suivre pour les aider à s’adapter aux fluctuations de l’économie :

  • La réduction des taux directeurs

Le début de l’année sera marqué par un ralentissement de l’économie mondiale, mais les réductions de taux prévues pourraient insuffler une nouvelle dynamique aux marchés avant la fin du quatrième trimestre.  Les placements devraient redresser la tête. L’embellie profitera à la fois aux amateurs d’actions et aux détenteurs d’obligations, estiment les experts de Marchés des capitaux CIBC.

  • La fluctuation de l’inflation

L’inflation continuera à souffler fort sur l’économie canadienne. Toutefois elle sera beaucoup plus contrôlable qu’il y a un an, signale Avery Shenfeld. Il croit que le creux de la vague pourrait être franchi à l’horizon de novembre 2024.

3-La hausse des salaires

La hausse des salaires pourrait perturber l’équilibre. Si elle persiste à un rythme élevé, elle pourrait stimuler de manière excessive l’inflation. Pour garder la vitesse de croisière, les économistes estiment qu’il faudra un juste équilibre entre l’augmentation des prix et celles des salaires.

4-Les variations de taux d’intérêt

Avery Shenfeld prévoit que le taux du financement à un jour diminuera une première fois dès juin et qu’il se réduira de 150 points de base d’ici la fin de l’année. Une diminution des taux d’intérêt pourrait réduire les coûts d’emprunt pour les ménages canadiens et rendre les prêts hypothécaires plus accessibles. Elle pourrait stimuler également les investissements des entreprises et dynamiser à l’économie.

5-Le taux de chômage

Le ratio postes vacants/chômage et le ratio de départs (la fréquence à laquelle les gens quittent volontairement leur emploi) seront des éléments importants à surveiller. Tout relâchement de ces deux indicateurs pourrait entraîner une hausse du taux de chômage.

6- Le marché immobilier

Le marché canadien de l’habitation connaît une période de ralentissement avec une chute des ventes de 45 % depuis le début de 2021. Bien que les prix demeurent supérieurs aux niveaux d’avant la pandémie, ils pourraient continuer de baisser en raison de l’offre croissante de nouvelles constructions et des propriétés à vendre plus nombreuses résultant de la hausse des taux hypothécaires. Il faudra cependant attendre le deuxième semestre de 2024 pour assister à une augmentation de la demande et des prix, rapporte Benjamin Tal.

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Une croissance mondiale en légère hausse, mais freinée par l’inflation https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/une-croissance-mondiale-en-legere-hausse-mais-freinee-par-linflation/ Tue, 01 Aug 2023 10:04:40 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95259 Selon les projections du FMI.

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La croissance mondiale connaîtra une légère amélioration par rapport aux précédentes projections du Fonds monétaire international (FMI), mais « de nombreux défis assombrissent encore l’horizon et il est trop tôt pour se réjouir », a affirmé l’économiste en chef de l’organisation.

Le FMI a indiqué s’attendre à ce que la croissance économique mondiale ralentisse à environ 3,0 % en 2023 et 2024, par rapport à celle de 3,5 % enregistrée en 2022.

Cette mise à jour de sa projection reflète une augmentation de 0,2 point par rapport à celle d’avril, lorsque la direction du FMI a indiqué que l’économie mondiale devrait croître de moins de 3,0 % cette année, augmentant le risque de faim et de pauvreté dans le monde.

Malgré la légère amélioration, les prévisions de croissance mondiale « restent faibles par rapport aux précédents historiques », indique le rapport du FMI. Mais l’économiste en chef de l’organisation, Pierre-Olivier Gourinchas, a ajouté dans un article de blogue qu’« à court terme, les signes de progrès sont indéniables ».

Le FMI prévoit également que l’inflation mondiale devrait passer de 8,7 % en 2022 à 6,8 % en 2023, puis à 5,2 % en 2024.

Les économistes de l’organisation ont indiqué que lorsque les États-Unis ont pu repousser un défaut sans précédent en résolvant l’impasse du plafond de la dette, plus tôt cet été, cela a en partie « atténué les risques qui pèsent sur les perspectives ».

Mais le FMI a souligné que la menace d’une inflation plus élevée attribuable à l’invasion de l’Ukraine par la Russie et aux conditions météorologiques extrêmes pourrait conduire les banques centrales à relever les taux d’intérêt ou convaincre les dirigeants mondiaux d’adopter des politiques économiques plus restrictives.

En outre, la lente reprise de la Chine après la réouverture de son économie après la pandémie « montre des signes d’essoufflement », a noté Pierre-Olivier Gourinchas.

L’économie américaine s’est révélée étonnamment résistante face à des coûts d’emprunt nettement plus élevés. Les employeurs ajoutent 278 000 emplois par mois jusqu’à présent cette année, et le taux de chômage, à 3,6 % en juin, n’est pas loin d’un creux d’un demi-siècle.

Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, et d’autres responsables se réuniront sous peu pour leur dernière décision sur les taux d’intérêt, dans l’espoir de parvenir à un « atterrissage en douceur », qui vise à freiner l’inflation sans provoquer de profonde récession.

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Une hausse des taux attendue malgré l’augmentation du chômage https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/une-hausse-des-taux-attendue-malgre-laugmentation-du-chomage/ Mon, 10 Jul 2023 10:15:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94947 La Banque du Canada fera connaître sa décision mercredi.

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Le marché du travail canadien montre des signes de ralentissement alors que le taux de chômage augmente et que la croissance des salaires ralentit, mais avec un autre solide gain d’emplois le mois dernier, les prévisionnistes s’attendent toujours à une hausse des taux d’intérêt la semaine prochaine.

L’économie a créé 60 000 emplois en juin, stimulée par des gains dans le travail à temps plein, a indiqué vendredi Statistique Canada.

Mais alors que de plus en plus de Canadiens cherchaient du travail et que la population continuait de croître, le taux de chômage a grimpé à 5,4 %, son plus haut niveau en un an.

« La raison pour laquelle le taux de chômage peut augmenter parallèlement à une croissance de l’emploi historiquement forte est que la croissance démographique continue d’établir de nouveaux records, y compris une augmentation mensuelle de 84 000 en juin », a écrit Nathan Janzen, économiste en chef adjoint de la Banque Royale, dans une note à ses clients.

Juin marquait un deuxième mois consécutif d’augmentation du taux de chômage, alors que les économistes surveillent l’assouplissement du marché du travail dans un contexte de taux d’intérêt élevés.

Les gains du marché du travail ont été concentrés dans le commerce de gros et de détail, la fabrication, les soins de santé et l’assistance sociale ainsi que le transport et l’entreposage.

Le relâchement du marché du travail est probablement une bonne nouvelle pour la Banque du Canada, qui cherche des indications que ses hausses de taux dynamiques contribuent à refroidir l’économie.

Mais les prévisionnistes s’attendent toujours à ce que la banque centrale relève ses taux d’intérêt lors de sa prochaine décision sur les taux d’intérêt, mercredi.

« Les données du marché du travail de juin étaient mitigées, mais elles ne devraient pas suffire pour empêcher la Banque du Canada de donner suite à une deuxième hausse consécutive des taux d’intérêt de 25 points de base lors de la prochaine décision politique, la semaine prochaine », a affirmé Nathan Janzen.

La banque centrale a choisi de mettre fin à sa pause sur les hausses de taux en juin, après qu’une série de données économiques a suggéré que les taux d’intérêt n’étaient pas assez élevés.

La hausse d’un quart de point de pourcentage a porté le taux directeur de la banque centrale à 4,75 %, son plus haut niveau depuis 2001.

La Banque du Canada a affirmé à plusieurs reprises que le marché du travail vigoureux du Canada contribuait à la forte inflation, ce qui soulevait des inquiétudes quant au rythme de croissance des salaires en particulier.

Cependant, Statistique Canada a révélé que la croissance des salaires avait également ralenti le mois dernier, augmentant de 4,2 % par rapport à il y a un an. Cela se compare à un gain annuel de 5,1 % en mai.

La banque centrale n’a donné aucune indication claire de ses plans, affirmant qu’elle prendrait sa décision sur la base des données économiques.

Données provinciales

Au Québec, le taux de chômage a avancé de 0,4 point à 4,4 %, a indiqué Statistique Canada, parce qu’un plus grand nombre de personnes étaient à la recherche de travail le mois dernier. Le nombre d’emplois a diminué de 8400, ce qui représentait une baisse de 0,2 % par rapport au mois précédent.

Le taux de chômage a aussi augmenté dans les trois provinces des Maritimes en juin, par rapport au mois précédent. Il est passé de 6,1 % à 6,4 % au Nouveau-Brunswick, de 5,7 % à 6,4 % en Nouvelle-Écosse et de 7,2 % à 8,2 % à l’Île-du-Prince-Édouard.

Après avoir reculé en mai, l’emploi en Ontario a repris sa tendance à la hausse en juin, avec la création de 56 000 emplois, soit 0,7 % de plus qu’en mai. Le taux de chômage ontarien a malgré tout augmenté de 0,2 point à 5,7 % sous l’effet d’une légère hausse du nombre de personnes à la recherche de travail.

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L’inflation annuelle a ralenti aux États Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/linflation-annuelle-a-ralenti-aux-etats-unis/ Wed, 15 Feb 2023 12:09:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=91829 Pour s’établir à 6,4 % le mois dernier.

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La cadence des hausses des prix à la consommation aux États-Unis a de nouveau ralenti en janvier par rapport à un an plus tôt, dernier signe en date d’un ralentissement de la forte inflation qui s’est emparée des Américains depuis près de deux ans.

Dans le même temps, le rapport du gouvernement sur les prix à la consommation de mardi a montré que les pressions inflationnistes dans l’économie américaine restaient tenaces et risquaient d’alimenter les flambées des prix pendant une bonne partie de l’année.

Les prix à la consommation ont augmenté de 6,4 % en janvier par rapport au même mois l’an dernier, contre une hausse de 6,5 % en décembre. Ce septième ralentissement consécutif d’une année à l’autre place l’inflation bien en deçà de son récent sommet de 9,1 %, atteint en juin. Pourtant, elle reste largement au-dessus de l’objectif d’inflation annuelle de 2,0 % de la Réserve fédérale.

Sur une base mensuelle, les prix à la consommation ont augmenté de 0,5 % de décembre à janvier, ce qui est beaucoup plus élevé que la hausse de 0,1 % de novembre à décembre. L’essence, la nourriture et les vêtements plus chers ont alimenté l’inflation en janvier.

La Fed a relevé de manière dynamique son taux d’intérêt de référence au cours de l’année écoulée, pour le porter à son plus haut niveau en 15 ans dans le but de maîtriser l’inflation galopante. L’objectif de la banque centrale est de ralentir les emprunts et les dépenses, de ralentir le rythme des embauches et de soulager la pression ressentie par de nombreuses entreprises pour augmenter les salaires afin de trouver ou de garder des travailleurs. Les entreprises répercutent généralement leurs coûts de main-d’œuvre plus élevés sur leurs clients sous la forme de prix plus élevés, contribuant ainsi à alimenter l’inflation.

Jusqu’à présent, la majeure partie du ralentissement de l’inflation est attribuable à l’assainissement des chaînes d’approvisionnement et aux baisses antérieures des prix de l’essence. Mais les hausses de taux de la Fed, huit depuis mars de l’année dernière, n’ont eu aucun effet perceptible sur le marché du travail américain, qui reste exceptionnellement solide.

Le taux de chômage a reculé à 3,4 %, son niveau le plus bas en 53 ans, et les offres d’emploi restent élevées. La vigueur du marché du travail a, à son tour, contribué à soutenir les dépenses de consommation, qui sous-tendent l’essentiel de l’économie américaine.

De nombreux économistes s’attendent à ce que l’inflation ralentisse à environ 4,0 % plus tard cette année. Mais elle pourrait plafonner à ce stade tant que les embauches et les gains salariaux demeureront vigoureux. La Fed pourrait alors se sentir obligée de maintenir des taux d’emprunt élevés jusqu’en 2024, ou même de les augmenter encore cette année.

Des responsables de la Fed, s’exprimant la semaine dernière, ont souligné leur conviction que d’autres hausses de taux d’intérêt étaient à prévoir. La Fed s’attend à effectuer deux autres hausses de taux d’un quart de point lors de ses réunions de mars et de mai. Ces augmentations porteraient son taux de référence à une fourchette de 5,00 % à 5,25 %, son niveau le plus élevé en 15 ans.

La Fed a relevé son taux directeur d’un quart de point lors de sa dernière réunion le 1er février, après avoir effectué une hausse d’un demi-point en décembre et quatre hausses de trois quarts de point précédemment.

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Création de 94 000 emplois en juillet https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/creation-de-94-000-emplois-en-juillet/ Mon, 09 Aug 2021 14:03:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=81489 Surtout dans l’industrie des services.

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L’économie canadienne a créé 94 000 emplois en juillet, alors que les restrictions de santé publique liées à la pandémie de COVID-19 continuaient d’être levées, a indiqué vendredi Statistique Canada, mais des économistes ont prévenu qu’il restait encore « beaucoup de travail » à faire avant d’en arriver à une reprise complète.

Les nouveaux emplois ont fait chuter le taux de chômage à son plus bas niveau depuis mars, à 7,5 %, alors qu’il s’était établi à 7,8 % en juin, a précisé l’agence fédérale.

Les gains ont été observés principalement en Ontario et dans le secteur des services, avec 35 000 emplois ajoutés dans l’industrie des services d’hébergement et de restauration. Cette hausse mensuelle en Ontario a cependant été contrebalancée par les baisses enregistrées au Québec et en Colombie-Britannique, qui ont toutes deux vu disparaître 11 000 emplois dans l’industrie des services.

À l’échelle du pays, le nombre d’emplois à temps plein, qui a augmenté de 83 000 ou d’un demi-point de pourcentage, a également livré une croissance.

De nombreux économistes s’attendaient à ce que le pays crée au moins 100 000 emplois en juillet et prévoyaient un taux de chômage d’environ 7,4 % pour le mois dernier.

Même si le résultat n’est pas à la hauteur de ces prévisions, l’économiste Royce Mendes, de la Banque CIBC a souligné qu’« il n’y a pas grand-chose à redire lorsque l’économie crée près de 100 000 emplois en un mois ».

« C’est un signe de reprise, mais pas un signe de mission accomplie », a-t-il affirmé.

L’augmentation de juillet, a-t-il ajouté, poursuit la tendance amorcée avec les 231 000 emplois créés en juin et peut être considérée comme un gain important, qui contrebalance les pertes d’emplois subies lors de la troisième vague de la pandémie de COVID-19.

Mais il manque toujours 246 400 emplois pour que le Canada renoue avec ses niveaux d’avant la pandémie. Et en plus de cet écart de 1,3 % par rapport à février 2020, des menaces pèsent sur la reprise économique.

Le nombre de personnes considérées comme des chômeurs de longue durée – celles qui sont sans emploi depuis plus de six mois – était supérieur de 244 000 personnes en juillet à celui d’avant la pandémie, et représentait 27,8 % du chômage total. De ce nombre, plus des deux tiers étaient sans emploi depuis un an ou plus, selon Statistique Canada.

Du côté des différentes provinces, les gains les plus importants ont été observés en Ontario (72 000 nouveaux emplois), au Manitoba (7400 emplois), en Nouvelle-Écosse (3700 emplois) et à l’Île-du-Prince-Édouard (1100 emplois). La Saskatchewan est la seule province où l’emploi a diminué, avec la perte de 4500 emplois.

Au Québec, 7500 emplois ont été créés, ce qui représentait une hausse de 0,2 % par rapport au mois précédent. Le taux de chômage québécois a retraité de 0,2 point de pourcentage à 6,1 %.

Pénurie de main-d’œuvre malgré un chômage élevé

Royce Mendes a souligné que les centaines d’entreprises à la recherche de travailleurs et le virulent variant Delta se trouvaient parmi les obstacles potentiels à la reprise.

« Cela peut sembler étrange de discuter de pénuries de main-d’œuvre à un moment où le taux de chômage reste très élevé, mais le soutien généreux du gouvernement, les inquiétudes entourant la contagion de la COVID dans les milieux de travail à contacts rapprochés et les tâches liées à la garde d’enfants sont parmi les raisons qui expliquent des pénuries de main-d’œuvre », a-t-il expliqué.

Les restaurants, les détaillants et les entreprises du secteur de l’hébergement ont tous signalé que l’embauche était difficile parce que les Canadiens recherchaient un emploi plus stable, un emploi qu’ils peuvent effectuer à domicile et l’assurance que leurs lieux de travail ne seront pas temporairement fermés si une autre vague de contaminations devait survenir.

Certaines entreprises ont dû rester fermées, augmenter leurs salaires ou offrir des primes à la signature, des vacances supplémentaires ou d’autres mesures incitatives pour attirer les travailleurs.

Même si une autre vague devait survenir, Royce Mendes ne s’attend pas à ce qu’une autre contraction économique ou une série de pertes d’emplois se concrétise, parce que les vaccinations empêchent un grand nombre de Canadiens de se retrouver à l’hôpital, et parce que le gouvernement opte pour des mesures plus ciblées pour étouffer le virus.

Il voit également une possibilité de croissance de l’embauche dans les secteurs qui ont déjà enregistré de gros gains, comme ceux de l’alimentation et de l’hébergement, ainsi que dans d’autres secteurs qui n’ont pas encore eu de coup de pouce, comme ceux des les loisirs et de la culture.

Mais il reste prudent quant à l’ampleur de la reprise que connaîtront ces secteurs.

« Nous devrions nous attendre à ce qu’au cours de cette année, et même au début de l’année prochaine, le niveau d’emploi dans ces industries de services à contacts élevés n’atteigne pas les niveaux d’avant la pandémie, car il y aura probablement encore des restrictions nécessaires pour maintenir les infections à un faible niveau », a-t-il indiqué.

« Lorsque nous regardons à l’horizon, ce à quoi l’économie pourrait ressembler lorsqu’elle sera complètement rétablie s’annonce très différent de ce à quoi elle ressemblait avant la pandémie. »

Entre-temps, l’économiste en chef de BMO Marchés des capitaux, Douglas Porter, a prédit que le pays connaîtrait une nouvelle augmentation de l’emploi avant de s’installer dans une « longue corvée », qui verra les gains d’emplois liés à la réouverture se dissiper et l’économie commencer à s’occuper plus sérieusement du variant Delta de la COVID-19.

Douglas Porter a observé des signes positifs dans le nombre de postes à temps plein créés et dans l’augmentation de 1,3 % du nombre total d’heures travaillées, bien que ce chiffre soit toujours inférieur de 2,7 % au niveau d’avant la pandémie.

« Il ne faudra que quelques rapports de plus comme celui d’aujourd’hui pour ramener l’emploi aux sommets d’avant la pandémie, a affirmé Douglas Porter dans une note aux investisseurs. Mais c’est un solide pas dans la bonne direction. »

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COVID-19 : le chômage chez les jeunes augmente https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/covid-19-le-chomage-chez-les-jeunes-augmente/ Tue, 27 Jul 2021 12:17:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=81340 Ils peinent à trouver un emploi.

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Même avant que le taux de chômage des jeunes grimpe pendant la pandémie de COVID-19, il leur était de plus en plus difficile de trouver un emploi à temps plein par rapport aux années 1980, révèlent de nouvelles données publiées par Statistique Canada.

Selon l’agence fédérale, les hommes et les femmes âgés d’entre 15 et 30 ans étaient moins susceptibles d’avoir un emploi à temps plein en 2019 qu’en 1989, une période marquée par une croissance de l’emploi à temps partiel pour ce groupe d’âge.

Et quelque 40 ans plus tard, la pandémie a provoqué de nouveaux bouleversements chez les jeunes, au sein desquels le pourcentage d’individus ni en emploi ni aux études a augmenté de près de quatre points de pourcentage de 2019 à 2020.

L’agence fédérale affirme que le taux de chômage des jeunes a augmenté d’environ six points de pourcentage entre 2019 et 2020, soit à peu près le double du taux observé chez les personnes plus âgées.

Les jeunes femmes et les hommes qui n’étaient pas aux études à temps plein ont vu leur taux d’emploi chuter d’environ huit points de pourcentage, tandis que les taux des travailleurs plus âgés n’ont diminué que d’environ quatre points de pourcentage dans le même temps.

Selon Statistique Canada, les taux de rémunération ont augmenté pour les jeunes employés, mais ce phénomène est attribuable en grande partie à la disparition d’un certain nombre d’emplois peu rémunérés, dont plusieurs qui étaient occupés par de jeunes Canadiens.

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Près de 70 000 emplois de perdu en mai https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/pres-de-70-000-emplois-de-perdu-en-mai/ Mon, 07 Jun 2021 13:12:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=80469 Le taux de chômage grimpe.

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L’économie canadienne a perdu 68 000 emplois en mai, un plus grand nombre de personnes ayant quitté la population active, a indiqué vendredi Statistique Canada en pointant du doigt les mesures de restrictions contre la COVID-19, qui devraient maintenant commencer à s’estomper.

Les prochains mois devraient être le théâtre d’une croissance du marché du travail, alors que les provinces se préparent à mettre fin aux restrictions, et la hausse des taux de vaccination pourrait injecter une dose de confiance dans les plans d’embauche des employeurs, a estimé l’économiste Sri Thanabalasingam, de la Banque TD.

Mais ce dernier et d’autres analystes ont mis en garde contre d’éventuels obstacles sur la voie de la reprise, notamment des pénuries de main-d’œuvre à mesure que la demande pour les travailleurs se redresse.

L’économiste en chef de Desjardins, Jimmy Jean, a souligné qu’une fois les restrictions levées, il y aurait une reprise dans les secteurs qui sont encore profondément touchés, mais probablement pas un retour au niveau d’avant la pandémie.

« C’est là que le processus d’appariement prendra du temps, a-t-il affirmé lors d’une entrevue. Les fruits à portée de main auront été cueillis et la reprise que nous recherchons pourrait être plus lente. »

Le recul du nombre d’emplois en mai, surtout constitué d’emplois à temps partiel, était le deuxième en autant de mois. Il faisait suite à la disparition de 207 000 emplois en avril.

Plus de découragement

Le taux de chômage s’est établi à 8,2 % en mai, en légère hausse par rapport à celui de 8,1 % d’avril, le nombre de personnes à la recherche d’un travail ou mises à pied temporairement étant resté relativement stable dans l’ensemble.

Cependant, davantage de personnes ont abandonné le marché du travail en mai, y compris des travailleurs qui se sont simplement découragés et ont renoncé à chercher du travail.

Selon l’agence fédérale, 49 700 chercheurs d’emploi se sont découragés le mois dernier, un nombre plus de deux fois supérieur à la moyenne de 22 000 observée en 2019.

Statistique Canada a précisé que le taux de chômage aurait été de 10,7 % en mai si son calcul avait tenu compte des personnes qui voulaient travailler, mais ne cherchaient pas d’emploi.

Les pertes d’emplois de mai placent le pays à environ 571 100 emplois, soit 3 %, de ses niveaux de février 2020, avant la pandémie. Mais l’écart réel pourrait être plus important en tenant compte de la croissance démographique pendant la pandémie, ce qui placerait le marché du travail à environ 763 000 emplois, soit 3,9 % de ses niveaux de février 2020.

Les données publiées vendredi indiquent également que 28 000 femmes âgées de 25 à 54 ans voulaient un emploi, mais n’en ont pas cherché en mai. Les écoles sont restées fermées en Ontario et en Nouvelle-Écosse le mois dernier, les deux seules provinces où le nombre d’emplois a diminué pendant cette période.

La Nouvelle-Écosse avait prévu de garder ses écoles fermées pour le reste de l’année scolaire, mais a ensuite annulé cette décision. Les établissements scolaires de l’Ontario resteront cependant fermés jusqu’à la fin juin, ce qui, selon Jimmy Jean, risque de retarder la reprise de l’emploi pour les mères.

Un autre obstacle sera la disparition de plus de 100 000 entreprises tout au long de la pandémie, ce qui nuira à la capacité de l’économie à créer de nouveaux emplois, a estimé Leah Nord, directrice principale des stratégies de main-d’œuvre à la Chambre de commerce du Canada.

Une reprise à court terme de l’embauche n’est pas la même chose qu’une reprise de l’emploi, a expliqué Mme Nord, notant que 478 000 travailleurs étaient en chômage de longue durée, ce qui signifie qu’ils sont sans travail depuis six mois ou plus.

Stabilité dans la plupart des provinces

Statistique Canada a souligné que l’emploi dans le secteur des biens avait chuté pour la première fois depuis avril 2020, y compris dans le secteur de la fabrication, qui a enregistré une baisse de 36 000 emplois en mai.

Contrairement à la situation observée en Ontario et en Nouvelle-Écosse, l’emploi a augmenté en Saskatchewan, tandis qu’il a peu varié dans les autres provinces, a indiqué Statistique Canada.

D’avril à mai, le taux de chômage a bondi de 8,1 % à 9,8 % en Nouvelle-Écosse et de 8,2 % à 9,6 % à l’Île-du-Prince-Édouard. La hausse du taux de chômage a été plus modérée au Nouveau-Brunswick, où il est passé de 8,5 % à 9,0 %.

Au Québec, 8000 emplois ont disparu le mois dernier et 7200 d’entre eux étaient des emplois à temps plein. Le taux de chômage de la province est resté inchangé à 6,6 %.

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Perte de 63 000 emplois, une première baisse depuis avril au Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/63-000-emplois-perdu-une-premiere-baisse-depuis-avril-au-canada/ Fri, 08 Jan 2021 14:36:32 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=77285 L'économie a perdu 63 000 emplois en décembre, une première baisse depuis avril dans un contexte de resserrement des restrictions de santé publique pour ralentir la résurgence de la pandémie de COVID-19.

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Le taux de chômage a légèrement augmenté pour atteindre 8,6 %, contre 8,5 % en novembre, selon les données rapportées par Statistique Canada.

Le résultat a mis fin à une série de gains d’emplois mensuels qui a commencé en mai, alors que les restrictions mises en place pour ralentir la propagation de la pandémie avaient commencé à s’atténuer.

L’emploi à temps plein en décembre a augmenté de 36 500, mais il y a eu une perte de 99 000 emplois à temps partiel.

Statistique Canada a également noté que le nombre total d’heures travaillées avait diminué pour la première fois depuis avril, avec un recul de 0,3 % en décembre.

Selon la société de données financières Refinitiv, les économistes s’attendaient en moyenne à une perte de 27 500 emplois pour décembre. Ils prévoyaient aussi un taux de chômage de 8,6 %.

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