capital-investissement – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 03 Apr 2024 10:44:03 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png capital-investissement – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 BMO et Carlyle s’associent encore une fois pour élargir l’accès aux marchés privés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/bmo-et-carlyle-sassocient-encore-une-fois-pour-elargir-lacces-aux-marches-prives/ Wed, 03 Apr 2024 10:44:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99875 Une bonne nouvelle pour les investisseurs qualifiés canadiens.

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BMO Gestion mondiale d’actifs établit sa troisième collaboration visant à élargir l’accès aux marchés privés pour les investisseurs qualifiés canadiens. En partenariat avec Carlyle, une société de placement mondial qui gérait 426 milliards de dollars d’actifs fin décembre 2023, cette stratégie permettra d’accéder à un portefeuille mondial diversifié de capital-investissement par le biais d’un fonds unique prévu pour ce printemps.

« Nous sommes ravis de travailler avec Carlyle pour simplifier les placements dans le capital-investissement, qui a toujours été le segment le plus rentable des marchés privés », assure Jeffrey Shell, chef, Placements non traditionnels, BMO Gestion mondiale d’actifs.

Carlyle exerce ses activités par l’intermédiaire de trois segments :

  • capital-investissement mondial,
  • titres de créance mondiaux
  • et solutions de placement mondiales (AlpInvest).

« La catégorie d’actif du capital-investissement offre une exposition à des sociétés privées comptant parmi les 80 % de l’économie qui ne sont pas cotées en bourse et qui, traditionnellement, n’étaient offertes qu’aux grands investisseurs institutionnels. Ensemble avec Carlyle, nous nous concentrons sur la conception de produits qui mettent l’expérience des investisseurs qualifiés canadiens au premier plan, notamment en permettant des souscriptions mensuelles avec des investissements minimums relativement faibles et en éliminant la nécessité d’appels de capitaux, qui sont une caractéristique standard des fonds créés pour les investisseurs institutionnels », résume Jeffrey Shell.

« Nous sommes ravis de collaborer avec BMO Gestion mondiale d’actifs dans le cadre de ce qui constitue une étape importante pour les activités de gestion de patrimoine de Carlyle au Canada, alors que nous continuons à élargir notre portée dans le canal à l’échelle mondiale, affirme Shane Clifford, chef de la stratégie de gestion de patrimoine de Carlyle. La solution, qui passe par notre plateforme AlpInvest, offrira aux investisseurs qualifiés au Canada un accès direct à un portefeuille mondial d’occasions principales, secondaires et de co-investissement, procurant aux investisseurs une exposition diversifiée aux marchés privés. »

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RBC est accusée d’écoblanchiment https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/rbc-est-accusee-decoblanchiment/ Wed, 07 Feb 2024 12:24:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98902 À la suite de la publication d’un rapport.

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Des groupes environnementaux accusent la Banque Royale du Canada (RBC) d’écoblanchiment alors que la RBC, qui a été le deuxième plus grand bailleur de fonds pour des projets de combustibles fossiles au niveau mondial en 2022, a publié un rapport qui indique la voie à suivre pour atteindre la carboneutralité au Canada.

L’Institut d’action climatique RBC a publié son premier « rapport Action climatique », qui souligne les progrès, mais aussi des actions que les Canadiens devraient faire pour diminuer les gaz à effet de serre.

La plus grande banque du pays présente son rapport comme étant « un aperçu sans précédent de la lutte aux changements climatiques au Canada » et écrit notamment que « le Canada doit presque doubler ses dépenses en matière de climat pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050 » et que les consommateurs devront modifier leurs habitudes.

Des groupes environnementaux n’ont pas tardé à réagir après la publication du document.

« RBC demande aux consommateurs de dépenser leurs milliers de dollars différemment, mais cela ne changera pas la façon dont elle investit des centaines de milliards dans les combustibles fossiles », a dénoncé Keith Stewart, stratège principal en matière d’énergie chez Greenpeace Canada.

« RBC n’a aucune crédibilité pour parler des progrès climatiques du Canada alors qu’elle est le plus grand bailleur de fonds du pays pour le pétrole, le gaz et le charbon sales », a pour sa part indiqué Richard Brooks, de l’organisation Stand.earth.

Selon les données de la plus récente étude de Banking on Climate Chaos, publiée par un consortium de groupes écologistes, la Banque Royale du Canada (RBC) est le plus grand bailleur de fonds pour des projets de combustibles fossiles au niveau mondial en 2022.

L’aide financière de la Royale au secteur des combustibles fossiles a atteint 42 milliards de dollars américains (G$ US) en 2022, selon l’étude, soit 3 G$ US de plus qu’en 2021.

Ce qui fait dire à Richard Brooks que « l’Institut d’action climatique RBC semble être le service de relations publiques de la banque en matière d’écoblanchiment » et que s’il « prend au sérieux l’action climatique, il peut commencer par rédiger un plan climatique crédible pour la RBC ».

Appelée à réagir à ces accusations, l’une des auteures du rapport, Mya Truong-Regan, a indiqué qu’elle n’est « pas impliquée dans la partie financière de la banque » et que l’un des mandats de l’Institut d’action climatique RBC, pour qui elle effectue de la recherche, est d’adopter une « approche fondée sur les faits et axée sur les données dans la manière dont nous effectuons nos recherches ».

La chercheuse a souligné que même si elle fait partie de la RBC, elle « jouit également d’une indépendance en termes de capacité à faire des recherches ».

La RBC ne suggère pas de diminuer la production de pétrole

Dans son rapport, l’Institut d’action climatique RBC suggère que le financement des entreprises pour l’action climatique soit « augmenté de façon exponentielle » et que l’industrie doit « saisir toutes les occasions possibles pour adopter à plus grande échelle les technologies de capture, d’utilisation et de stockage du carbone ».

L’Institut d’action climatique RBC recommande aussi, pour l’année 2024, une série d’initiatives qui concernent l’agriculture, les bâtiments, l’électricité et le transport.

Toutefois, à aucun endroit dans son rapport de 80 pages l’Institut d’action climatique RBC ne recommande de réduire la production de pétrole, comme le suggèrent, par exemple, différents rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur les changements climatiques (GIEC).

Le secteur au Canada qui émet le plus de GES est celui de la production pétrolière et gazière avec 179,8 Mt d’éq. CO2 en 2020.

Est-ce que le Canada devrait réduire sa production pétrolière afin de diminuer ces GES et lutter contre les changements climatiques ?

À cette question, voici ce qu’a répondu la chercheuse Mya Truong-Regan: « Ce sont des décisions commerciales que les individus de ces secteurs doivent prendre. Ce n’est pas mon expertise. Encore une fois, c’est une décision qu’ils doivent prendre en fonction de la façon dont ils perçoivent la demande du marché pour leurs produits, de leur devoir envers leurs actionnaires ».

Selon les données de l’étude Banking on Climate Chaos, depuis la signature de l’accord de Paris sur le climat en 2016, RBC a accordé plus de 253,98 G$ US de financement aux entreprises de combustibles fossiles.

Doubler les dépenses en matière de climat

Le rapport de l’Institut Action Climat RBC indique que pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050, le Canada faire passer ses dépenses en matière de climat, du  niveau actuel d’environ 37 G$ à 60 G$ par année.

Le document souligne également que les marchés publics, le capital-investissement et le capital-risque devront « intensifier leurs efforts » et investir davantage d’argent dans les investissements verts, car ils ne représentent que 8 % des flux de capitaux destinés aux efforts climatiques depuis 2021.

Selon l’Institut d’action climatique RBC, les marchés privés génèrent plus que suffisamment de capitaux pour financer une plus grande partie de la transition, avec seulement 6 % des nouveaux financements en capital consacrés aux efforts en matière de climat et de technologies propres l’année dernière.

Les gouvernements provinciaux et municipaux devront également intensifier leurs efforts, indique le rapport, et les consommateurs devront également modifier leurs habitudes de dépenses, car le gouvernement fédéral a jusqu’à présent fourni une grande partie du financement et atteint ses limites budgétaires.

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La grande transition bancaire https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-grande-transition-bancaire/ Wed, 22 Nov 2023 11:05:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97346 Le capital quitte les banques traditionnelles vers des joueurs parallèles.

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Pour les banques de la planète, les 18 derniers mois ont été les meilleurs depuis la crise financière de 2007. Cependant, selon une étude de McKinsey, cela ne peut cacher des changements de fond qui voient les banques perdre de façon spectaculaire leur importance relative.

Le salut des banques a passé par la hausse de 500 points de base des taux d’intérêt depuis le deuxième trimestre de 2022. Alors que le rendement sur équité était en moyenne de 9% depuis 2010, il est passé à 12% en 2022, et devrait se hisser à 13% en 2023, prévoit McKinsey. Du coup, les profits du secteur ont explosé de 280 milliards de dollars américains (G$US) en 2022, à 1,4 billions $US.

Les chiffres mondiaux montrent qu’en servant d’intermédiaires à 402 billions $US de fonds, les firmes financières de tous les horizons produisent des revenus totaux de 7 billions $US. Excluant la Chine, ces actifs s’élèvent à 326 billions $US. Alors que le PIB mondial croissait annuellement de 3%, les revenus d’intermédiation le faisaient au rythme de 6%.

Or, excluant la Chine où la présence des banques est encore prépondérante, les fonds détenus par les banques ont connu un exode majeur. Ainsi, de 2015 à 2022, les actifs financiers détenus dans les bilans des banques sont passés de 89 à 120 billions $US, soit une hausse annuelle moyenne de 4%. Les actifs détenus hors des bilans des banques ont affiché une hausse annuelle moyenne de 7%, passant de 125 à 206 billions $US.

Trois quarts des actifs hors banques

Résultat : 73% des actifs financiers se retrouvent maintenant hors du bilan des banques, dans des institutions autres, constate McKinsey. C’est un scénario qui se déploie maintenant depuis quelques années. Alors que les clients recherchent des rendements plus élevés, un financement en capital plus faible ou une meilleure adéquation des durées, les actifs financiers ont augmenté et ont migré hors du bilan des banques – c’est-à-dire hors des dépôts d’entreprises et de particuliers, hors des obligations bancaires et d’autres éléments de passif et d’actions. Ils sont allés vers des non-banques, des véhicules hors-bilan tels que des fonds de pension, des actifs numériques, du capital privé, des investissements alternatifs.

Cet exode est surtout visible dans l’abandon des comptes de dépôt bancaire au profit des fonds de marché monétaire. Une grande partie est facilitée et accélérée par les changements technologiques. Et l’exode est inégal. Aux États-Unis, plus de 75% de la hausse des actifs se retrouve désormais hors banque, en Europe, c’est 55%. En Chine, par contre, c’est seulement 30%, en Amérique latine, 40%. Le capital privé est un des grands gagnants de l’exode, sa croissance annuelle moyenne de 19%, ayant vu ses actifs sous gestion passer d’environ 2,3 billions $US en 2015 à 8 billions $US en 2022.

Un ratio cours/valeur comptable déprimé

Dans son ensemble, le secteur bancaire souffre d’un important stigmate que révèle un ratio cours/valeur comptable de 0,8. « Les institutions financières dans leur ensemble continuent de se négocier en dessous de leur valeur comptable, écrit McKinsey, ce qui suggère que les acteurs du marché pensent qu’elles continueront collectivement à avoir un rendement sur capital inférieur au coût du capital, comme c’est actuellement le cas pour plus de la moitié des institutions bancaires. »

Parmi les 14 plus importants secteurs industriels, les banques se languissent au bas du classement. Au sommet, les géants technologiques dominent avec un ratio cours/valeur comptable de 9,2, suivi des technologies de l’information, à 4,5, des soins de santé, à 3,9 et des produits de consommation de base, à 3,6. Au 6e rang viennent les « autres » institutions financières, avec un ratio de 2,4. Tout en bas, viennent les banques traditionnelles avec leur ratio de 0,8.

Entre les « autres » institutions financières et les banques traditionnelles, on retrouve d’importants écarts. Par exemple, les spécialistes de paiement affichent un ratio cours/valeur comptable de 8,7, très proche de celui des géants technologiques, et les fournisseurs de plateformes (parquets électroniques, gardiens de titres, etc.), un ratio de 3,0, et les gestionnaires d’actifs, de 1,9.

En parallèle à ces développements, la géographie bancaire se déplace. Alors qu’on pensait à un moment que ce déplacement se faisait vers les pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), il se concentre plutôt dans la zone que McKinsey appelle le croissant de l’Océan Indien, qui s’étend de Singapour à l’Afrique de l’Est en passant par l’Inde et Dubaï. C’est là qu’on trouve plus de 50% des banques qui présentent la plus forte croissance annuelle.

« Les secteurs bancaires d’Asie, d’Amérique latine, du Moyen-Orient et d’Afrique augmentent globalement leurs revenus plus rapidement que ceux des marchés développés, et cette tendance devrait se poursuivre dans les années à venir, constate McKinsey. En 2022-23, par exemple, le Moyen-Orient et l’Afrique ont vu leurs revenus augmenter de 11 %, soit presque le double de la croissance annuelle moyenne des revenus bancaires de la région de 2016 à 2022. »

Un simple répit

Les résultats encourageants des 18 derniers mois ne se poursuivront probablement pas, juge McKinsey. « Notre analyse suggère que la contraction à long terme de la marge bénéficiaire et du rendement sur capital pourrait reprendre, sujet à la perspective à long terme sur les taux d’intérêt. Les gains nets en intérêt pourraient être courts vécus et les marges d’intérêt pourraient baisser si, et quand, les hausses de taux vont ralentir et, ultimement, se renverser. » De plus, de nouvelles exigences en réserves de capital issues des Accords de Bâle III pourraient substantiellement affecter les banques.

Dans ce mouvement planétaire de l’argent hors des banques, McKinsey invite les banques à établir cinq priorités, la première étant de mieux saisir les gains potentiels de productivité qu’offrent les nouvelles technologies, au premier chef l’intelligence artificielle. Par contre, il y a un aspect crucial que son étude néglige : tout cet argent qui échappe au secteur bancaire quitte également un environnement règlementaire mieux rodé. Plusieurs des avenues qu’empruntent les actifs en exode ne sont pas aussi bien balisées. On en a vu certains effets dans la crise de 2007-08.

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Investissement Québec se dote de nouveaux directeurs, Fonds d’investissement https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/investissement-quebec-se-dote-de-nouveaux-directeurs-fonds-dinvestissement/ Mon, 25 May 2020 12:25:58 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=66443 NOUVELLES DU MONDE - Investissement Québec vient de promouvoir Nicolas Lauzon à titre de Directeur, Fonds d’investissement.

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Comme gestionnaire, il aura notamment à sa charge le développement et la gestion du groupe d’analystes qui appuient les transactions et le suivi des participations en fonds.

Nicolas Lauzon s’est joint à Investissement Québec en 2017 à titre d’Analyste principal, Investissements, Capital de risque et fonds.

Auparavant, il a travaillé plus de 3 ans à titre d’analyste à la Caisse de dépôt et placement du Québec, à la suite d’un passage de plus de 3 ans également au sein de la Banque TD.

Nicolas Lauzon détient en maitrise en Finance de HEC Montréal.

Pour sa part, Dany Belmonte vient d’être nommé Directeur de comptes principal, Fonds d’investissement.

Dany Belmonte s’est joint à Investissement Québec en 2019 à titre d’Analyste-expert, Capital de risque et fonds d’investissement.

Il compte plus de 12 ans d’expérience en investissement, tant au Québec qu’à l’international, notamment au sein de la Caisse de dépôt et placement du Québec et d’Investissements PSP.

Dany Belmonte est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires des HEC Montréal et est candidat pour le titre d’analyste agréé en investissement alternatif (Chartered Alternative Investment Analyst).

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Vanguard va offrir l’accès au capital-investissement à ses clients https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/vanguard-va-offrir-lacces-au-capital-investissement-a-ses-clients/ Tue, 18 Feb 2020 13:23:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64244 La firme veut introduire la concurrence des frais dans ce secteur.

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Vanguard a conclu un partenariat stratégique avec HarbourVest, un spécialiste du marché privé de 68 milliards de dollars, afin de permettre aux investisseurs qualifiés d’accéder au capital-investissement.

John Toomey, directeur général de HarbourVest, a déclaré que le partenariat avec Vanguard était une « extension naturelle » de ses activités existantes.

« Nous sommes impatients d’élargir l’accès au capital privé pour aider à renforcer les rendements des investisseurs qualifiés », a-t-il ajouté.

Ce partenariat va permettre à Vanguard d’offrir de nouvelles stratégies à ses clients institutionnels, mais également d’introduire une concurrence significative en matière de frais dans le secteur le plus rentable de l’industrie de l’investissement, révèle un article du Financial Post.

« Le capital-investissement viendra compléter notre principal indice et les fonds gérés activement, alors que nous cherchons à élargir l’accès à cette classe d’actifs et à améliorer les résultats des clients », a déclaré Tim Buckley, directeur général de Vanguard.

Pour le moment, cette stratégie n’est accessible qu’aux clients institutionnels, mais Vanguard vise à en étendre l’accès à un plus grand nombre d’investisseurs le moment venu.

« Pour les investisseurs individuels en particulier, ce partenariat représentera une opportunité incroyable – un accès et des conditions qu’ils ne pourraient pas obtenir seuls », a-t-il déclaré.

Vers une guerre des prix

Les gestionnaires de fonds d’investissement privés appliquent une structure de frais plus coûteuse et ont pour le moment échappé à la concurrence féroce des prix qui s’est étendue au secteur traditionnel des fonds communs de placement.

Mais Vanguard s’est forgé une réputation dans cette guerre des prix. On peut donc s’attendre à ce que la firme challenge ses concurrents dans ce nouveau secteur.

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