Wealthsimple – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 07 Feb 2024 12:29:30 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Wealthsimple – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Ce qu’il faut savoir pour conseiller les clients musulmans https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/ce-quil-faut-savoir-pour-conseiller-les-clients-musulmans/ Wed, 07 Feb 2024 12:29:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98878 Les défis comprennent la disponibilité des produits et la construction d'un portefeuille adéquat.

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Malgré les efforts déployés ces dernières années par certaines institutions financières pour accroître la disponibilité des produits destinés aux musulmans canadiens, ces clients sont encore mal desservis, faute de produits disponibles et d’expertise appropriée pour construire un portefeuille adéquat.

Hash Assad, un consultant financier exécutif basé à Calgary et travaillant pour IG Gestion de patrimoine, estime que les conseillers en services financiers doivent être attentifs à la compatibilité d’un investissement avec la loi islamique avant de le recommander aux investisseurs musulmans, qui suivent les critères du halal, ce qui est permis, et du haram, ce qui est interdit.

Par exemple, certains fonds communs de placement d’actions n’affichent que leurs dix principaux titres et peuvent contenir des entreprises appartenant à des industries haram telles que le tabac, l’alcool et les jeux d’argent, prévient Hash Assad. « Lorsque nous nous intéressons au halal, chaque titre doit être vérifié en fonction de ces critères. »

Les sociétés de services de conformité islamique fournissent une autorisation institutionnelle pour les investissements canadiens. Par exemple, le portefeuille halal de Wealthsimple a été vérifié par des experts religieux de la société Ratings Intelligence, basée à Londres.

Il existe même des applications et des plateformes en ligne qui permettent de vérifier la conformité des fonds négociés en Bourse (FNB), des actions individuelles et des indices entiers. « La possibilité de trouver un investissement, en particulier un titre comme les actions, s’est considérablement simplifiée au cours des cinq dernières années », souligne Hash Assad.

Pour ce qui est de la construction d’un portefeuille, la règle traditionnelle du 60/40 est hors de question, car les actifs conventionnels à revenu fixe sont haram, l’intérêt étant considéré comme une exploitation par la loi islamique. Au lieu de cela, les investisseurs musulmans conservent des liquidités ou achètent de l’or. Bien qu’un portefeuille moins diversifié signifie que ces investisseurs sont exposés à davantage de risques, Hash Assad prend soin de construire le bon portefeuille en fonction de l’âge du client, de ses besoins en liquidités et de ses comptes d’épargne enregistrés.

Au cours de la dernière décennie, des sociétés canadiennes comme Wealthsimple, Manuvie et Manzil ont commencé à proposer des investissements halal, mais les choix sont encore minces. Par exemple, l’indice TSX 60 Shariah présente 60 sociétés halal, telles que la Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada, Shopify et Thompson Reuters, couvrant environ 73 % de la capitalisation boursière de la bourse, mais il n’existe pas de fonds indiciel TSX 60 Shariah, et les investisseurs devraient acheter chacune des 60 actions individuellement, explique Hash Assad.

Mohamad Sawwaf, fondateur et PDG de la société d’investissement halal Manzil, basée à Toronto, estime que les musulmans canadiens possèdent jusqu’à 50 milliards de dollars d’actifs investis sur des comptes chèques. « Ce capital reste sur la touche, en liquide, sans être déployé et sans apporter de valeur économique », déplore-t-il.

Manzil propose cinq portefeuilles aux investisseurs musulmans par l’intermédiaire de OneVest, qui est le gestionnaire de portefeuille et le conseiller en investissement. Selon  Mohamad Sawwaf, la disponibilité des fonds halal au Canada augmentera avec le temps, mais le processus sera lent. Il cite en exemple les marchés plus matures du Royaume-Uni et des États-Unis, où il existe des fonds halal valant des milliards de dollars.

Si les fonds halal sont encore peu nombreux au Canada, c’est en partie parce que de nombreuses institutions financières exigent un historique de cinq ans avant d’inscrire un produit sur leurs tablettes, et que de nombreux fonds halal ont moins de cinq ans d’existence. Le coût de gestion d’un fonds est « extrêmement élevé », rapporte Mohamad Sawwaf. L’absence d’une distribution plus large signifie qu’il est plus difficile pour un fonds d’atteindre le seuil de rentabilité, et s’il ne l’atteint pas au cours de la première ou des deux premières années, le gestionnaire devra payer de sa poche pour maintenir le fonds en activité.

Les conseillers peuvent aider les clients musulmans en sensibilisant les équipes chargées des produits à la nécessité d’envisager des produits d’investissement halal afin d’accroître la distribution. « N’hésitez pas à demander à vos services de conformité ou de produits d’évaluer le fonds », suggère Mohamad Sawwaf. Vous avez une obligation fiduciaire à l’égard de vos clients et vous devez au moins passer par le processus pour dire : « au moins, j’ai essayé de faire en sorte que ce fonds soit accepté ».

Le secteur de la gestion de patrimoine pourrait également mieux informer les conseillers sur les investissements musulmans. Hash Assad explique qu’il a vu des cas où des investisseurs musulmans ont reçu de mauvais conseils de la part de conseillers bien intentionnés, et qu’un conseiller s’en est remis à lui alors qu’il ne savait pas trop comment conseiller un client musulman.

« J’apprécie vraiment cela, car au lieu d’essayer de vendre et d’être payé, il a dit : « Je ne me sens pas à l’aise pour faire cela », explique Hash Assad. Il avait cette conviction et cette compréhension fondamentales qu’il faut faire ce qui est bon pour le client. »

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Power Corporation : des résultats supérieurs aux attentes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/power-corporation-des-resultats-superieurs-aux-attentes/ Thu, 16 Nov 2023 10:56:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97555 Mais enregistre des pertes avec ses plateformes de placements alternatifs

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Power Corporation veut prendre son temps avec le développement de ses plateformes de placements dans les actifs alternatifs, qui ne sont pas encore rentables.

Le conglomérat de la famille Desmarais a dévoilé des résultats supérieurs aux attentes, notamment grâce à sa participation dans l’assureur Great-West et la Société financière IGM.

Les plateformes de placements alternatifs, qui ne représentent que 7 % de la valeur de l’actif brut de la société, ont enregistré une perte nette de 11 millions de dollars (M$) au troisième trimestre. Cette division comprend notamment le gestionnaire d’actifs Power Sustainable.

Questionné sur le sujet, le président et chef de la direction, Jeffrey Orr, s’est dit prêt à patienter avant d’amener cette division à la rentabilité, lors d’une conférence téléphonique avec les analystes, mardi.

Il a expliqué que le lancement de nouvelles stratégies faisait en sorte de repousser le moment de l’atteinte de la rentabilité. Il croit toutefois qu’en offrant une diversité de stratégies, les plateformes de placements d’actifs alternatifs deviennent plus attrayantes pour les investisseurs. « Ça repousse l’atteinte de la rentabilité, mais ça crée plus de valeur sur un horizon de trois ou quatre ans. C’est le compromis que nous faisons. »

L’industrie financière doit composer avec des vents de face au moment où les activités tournent au ralenti, a souligné Jeffrey Orr.

« L’environnement est difficile, non seulement pour les levées de fonds, mais aussi pour leur déploiement. Il y a moins d’activités, il y a moins de fusions-acquisitions. On le lit tout le temps (dans la presse financière). »

« Lorsque vous lancez une nouvelle stratégie, vous le faites lorsque vous avez déployé les fonds de la précédente levée de fonds. Si vous déployez les fonds plus lentement, votre capacité de croître et de lancer de nouveaux produits est réduite. »

Résultats supérieurs aux attentes

Pour l’ensemble du conglomérat, Power a dévoilé des résultats supérieurs aux attentes des analystes au troisième trimestre.

Son bénéfice net atteint 997 M$, comparativement à 642 M$ à la même période l’an dernier.

L’analyste Graham Ryding, de Valeurs mobilières TD, souligne que le bénéfice ajusté dilué par action à 1,52 $ est supérieur au consensus des analystes à 1,06 $. L’écart est attribuable en grande partie à la vente d’une société détenue par la division Groupe Bruxelles Lambert (GBL). « Sans cet élément, que nous jugeons exceptionnel, le bénéfice aurait été de 1,06 $ », nuance l’analyste.

Valeur de l’actif net

Un des objectifs que poursuit Power Corporation, qui a réorganisé ses activités en 2020, est de réduire l’écart entre la valeur de son actif net et le prix de son action. L’écart avoisinait les 35 % en 2015. Cet écart était tombé à 17 % en juin 2022, mais il a remonté à 32 % depuis. « C’est un écart beaucoup plus grand que la moyenne de 25 % sur un an et cinq ans », souligne l’analyste Geoffrey Kwan, de RBC Marchés des capitaux.

Avec cet écart et un rendement du dividende supérieur à 6 %, Geoffrey Kwan trouve le titre attrayant pour « les investisseurs à la recherche de revenus qui ont un horizon à long terme ». « Ils pourraient profiter d’une importante réévaluation, nous croyons que Power va continuer à faire des transactions pour simplifier sa structure et faire émerger de la valeur. »

L’action de Power gagne 1,19 $, ou 3,48 %, à 35,26 $ à la Bourse de Toronto vers midi.

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L’engouement pour le CELIAPP se confirme https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/lengouement-pour-le-celiapp-se-confirme/ Tue, 15 Aug 2023 10:41:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95581 Se réjouit Chrystia Freeland.

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L’utilisation d’un nouveau compte d’épargne pour les acheteurs d’une première propriété dépasse les attentes, selon la vice-première ministre Chrystia Freeland, bien qu’elle reconnaisse les limites de ce qu’il peut faire pour résoudre le problème de l’accessibilité financière.

S’exprimant après avoir rencontré à Toronto des électeurs désireux d’acheter une maison, Chrystia Freeland a déclaré que le compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP) n’était qu’un outil parmi d’autres pour aider les gens à entrer sur le marché.

« Il ne résoudra pas tous leurs problèmes, je ne le prétends pas, mais c’est un petit coup de pouce », a-t-elle dit.

Le CELIAPP, qui a été lancé en avril avec un plafond de cotisation de 8000 $ par an et un plafond total de 40 000 $, est actuellement disponible dans sept institutions financières.

Questrade Inc. a préparé son compte pour le lancement du 1er avril, tandis que Wealthsimple a également commencé depuis peu à offrir l’option, y compris aux quelque 20 000 Canadiens qui étaient sur leur liste d’attente. Desjardins a aussi annoncé la semaine dernière l’arrivée du nouveau compte épargne dans l’ensemble de son réseau de caisses ainsi qu’en ligne sur AccèsD.

RBC, qui a lancé son programme en avril, affirme que ses clients ont ouvert des « dizaines de milliers » de comptes depuis lors, dont un peu plus d’un quart ont déjà atteint le montant annuel maximal.

La banque précise que 56 % des titulaires de comptes ont entre 25 et 34 ans, 20 % entre 35 et 44 ans et 6 % plus de 45 ans.

La Banque Nationale a également mis en place son CELIAPP, tandis que les autres grandes banques canadiennes annoncent que le leur sera prêt plus tard dans l’été ou à l’automne.

Les détracteurs du CELIAPP ont soutenu qu’il ne ferait qu’accroître la demande, et les prix des propriétés, tout en ne contribuant guère à améliorer l’abordabilité des logements.

Une bataille à tous les niveaux

Chrystia Freeland a affirmé que les jeunes avec lesquels elle s’est entretenue lui ont fait part de leurs difficultés en matière d’habitation et qu’il faudra faire beaucoup plus à tous les niveaux de gouvernement pour s’attaquer à ce problème.

« Ce qu’ils ont vraiment dit, c’est qu’il s’agit d’une crise, et d’une crise intergénérationnelle, et j’en suis tout à fait consciente, a dit la ministre libérale. Je crois vraiment qu’il est important pour nous, au niveau fédéral, provincial et municipal, de mettre en avant tous les outils dont nous disposons pour résoudre cette crise. »

Elle a ajouté que le premier ministre et elle-même se concentrent sur la construction d’un plus grand nombre de logements pour contribuer à résoudre le problème.

La Société canadienne d’hypothèques et de logement prévoit que le pays aura besoin de 3,5 millions de logements de plus d’ici 2030 que ce qu’il est actuellement en mesure de construire.

Il existe cependant un nombre impressionnant d’obstacles à l’accélération du rythme de construction des logements, qu’il s’agisse de l’octroi de permis ou de l’inflation.

Le rythme de la construction de logements ne correspondant pas à la croissance démographique, les économistes de la Banque Nationale et de la Banque TD ont averti la semaine dernière que le nombre élevé de nouveaux arrivants au Canada menaçait d’aggraver la crise de l’accessibilité au logement.

Beata Caranci, économiste en chef à la Banque TD, a déclaré que la stratégie actuelle de forte croissance de l’immigration pourrait aggraver la pénurie de logements d’environ un demi-million d’unités d’ici deux ans, en soulignant que les décideurs politiques doivent tenir compte à la fois de la croissance et de la capacité.

Stéfane Marion, économiste à la Banque Nationale, a mentionné dans une note que l’ouverture des « vannes de l’immigration » a créé un déséquilibre record entre l’offre et la demande de logements, et que le gouvernement fédéral devrait reconsidérer ses objectifs pour permettre à l’offre de rattraper la demande.

D’après Chrystia Freeland, si le gouvernement cherche à augmenter l’offre pour résoudre la crise, il est également important de poursuivre l’expansion du pays.

« Je pense que c’est une très bonne chose que l’économie canadienne se développe et que la population du Canada augmente », a-t-elle soutenu.

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Wealthsimple lance un fonds de crédit privé avec Sagard https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/wealthsimple-lance-un-fonds-de-credit-prive-avec-sagard/ Tue, 28 Mar 2023 11:14:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92756 PRODUITS - L’accès au fonds, qui est assorti de limites de rachat et de frais de performance, sera limité à certains investisseurs.

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Wealthsimple lance un fonds de crédit privé destiné aux investisseurs individuels, mais dont l’admissibilité est assortie de diverses restrictions.

La plateforme de conseil et de négociation en ligne lance Wealthsimple Private Credit en collaboration avec le gestionnaire multi-stratégies d’actifs alternatifs Sagard. Sagard a été créée en 2002 par Power Corporation du Canada, qui détient également une participation importante dans Wealthsimple.

Le nouveau fonds de crédit privé vise un rendement annualisé de 9% assorti de paiements mensuels. La société la positionne comme une opportunité pour les investisseurs particuliers d’accéder à une classe d’actifs généralement réservée aux investisseurs institutionnels. Wealthsimple a lancé un fonds de capital de risque l’an dernier.

Le fonds de crédit privé prêtera à des entreprises sélectionnées par l’équipe de crédit privé de Sagard, dirigée par Adam Vigna, qui a été pour près d’une décennie directeur général et chef mondial du groupe des investissements dans les titres de créance (PCI) à l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (« OIRPC »).

En plus des frais de conseil standard, le fonds de crédit privé applique des frais de conseil de 1,25%. Si le fonds obtient un rendement de 5 % ou plus, des frais de rendement de 15 % sont ajoutés.

L’intérêt des actifs en crédit privé et autres placements alternatifs a considérablement augmenté auprès les investisseurs qui recherchant un rendement en dehors des titres publics en raison de l’environnement de bas taux d’intérêts de la dernière décennie. Ces investissements s’accompagnent toutefois de risques supplémentaires, notamment l’illiquidité.

Wealthsimple a déclaré qu’elle prévoyait offrir aux investisseurs des retraits trimestriels à compter de six mois après le lancement du fonds. Cependant, les retraits sont limités à 5% du fonds et « le gestionnaire a le pouvoir discrétionnaire de suspendre les rachats », a déclaré la société.

Les fonds d’investissement privés imposent souvent des limites de rachat, une pratique communément appelée « gating ». L’année dernière, Blackstone Inc. a limité les retraits de son FPI privé phare d’une valeur 69 milliards de dollars américains, après que les demandes de rachat aient atteint les limites prédéfinies du fonds, et le prêteur hypothécaire privé Romspen a gelé les rachats en invoquant les conditions économiques et « les demandes inhabituellement élevées des investisseurs en matière de liquidités ».

Le fonds de crédit privé n’est offert aux clients de Wealthsimple que dans le cadre de ses portefeuilles gérés, et la société a instauré une série de restrictions d’entrée.

Seuls les clients ayant des dépôts d’au moins 100 000 $ auprès de Wealthsimple auront ainsi accès au fonds, et l’investissement minimal est fixé à 10 000 $. De plus, l’investissement dans le fonds ne peut dépasser 20% du portefeuille d’un client.

Les investisseurs intéressés doivent répondre à un court sondage sur la convenance au moyen de l’application Wealthsimple ou auprès d’un gestionnaire de portefeuille.

« Nous posons une série de questions pour nous assurer que l’investisseur a un horizon temporel, un objectif de placement, une tolérance au risque et un profil de liquidité qui conviennent au crédit privé », a déclaré Wealthsimple dans un courriel. « Nous travaillons ensuite avec les clients pour déterminer une répartition appropriée en fonction de l’ensemble de leur situation financière. »

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Power Corp subira des effets limités de la débâcle de Silicon Valley Bank https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/power-corp-subira-des-effets-limites-de-la-debacle-de-silicon-valley-bank/ Sun, 19 Mar 2023 20:56:40 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92609 Et présente des résultats en deçà des attentes des analystes.

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Les nuages qui planent sur le secteur bancaire dans la foulée de la crise de liquidités qui a frappé la Silicon Valley Bank ne devraient pas avoir d’effets « matériels » sur le portefeuille de Power Corporation, anticipe la direction du conglomérat de la famille Desmarais.

La clientèle de la Silicon Valley Bank, qui est passée sous contrôle du gouvernement américain, est majoritairement issue du milieu des entreprises technologiques. Dans les derniers jours, Power Corp a fait le tour de ses différents investissements dans le secteur des fintechs afin d’évaluer le risque encouru. « Il n’y a rien de « matériel » en ce qui concerne le groupe dans son ensemble », assure le chef des finances, Gregory Tretiak, lors d’une conférence téléphonique avec les analystes financiers, vendredi.

Ça ne veut pas dire que toutes les fintechs en portefeuille ne sont pas concernées par les manchettes économiques des derniers jours. « C’est sûr que pour certaines entreprises en démarrage, ça perturbe les activités, admet Gregory Tretiak. Elles doivent trouver différentes sources de crédit à court terme. »

Ces entreprises ne sont toutefois pas à risque, assure-t-il. « On n’a pas vu de perturbations majeures pour les entreprises en portefeuille, que ce soit au Canada ou en Europe. »

Power Corporation détient des participations majoritaires dans l’assureur Great-West, la Société financière IGM et Whealtsimple. Elle a également des investissements dans les entreprises québécoises Lion Électrique, un constructeur d’autobus et de camions électriques, et Lumenpulse, un spécialiste de l’éclairage.

Résultats inférieurs aux attentes

Power Corporation a dévoilé des résultats inférieurs aux attentes des analystes, après la fermeture des marchés la veille.

Dans sa présentation aux analystes vendredi, le président et chef de la direction, Jeffrey Orr, a mentionné que le contexte économique était difficile pour le secteur financier. Il a souligné que l’industrie des fonds communs canadiens avait enregistré des retraits records en 2022 dans un contexte où les marchés boursiers et obligataires affichaient des rendements négatifs. « Ce n’était pas une année où la confiance des investisseurs était très élevée. »

Au quatrième trimestre, le bénéfice net du conglomérat s’établit à 486 millions de dollars (M$), comparativement à 626 M$ à la même période l’an dernier. Le bénéfice ajusté dilué par action était de 59 cents, par rapport à 1 $.

Avant la publication des résultats, les analystes anticipaient un bénéfice par action de 98 cents, selon la firme de données financières Refinitiv.

Par filiale, l’analyste Graham Ryding, de Valeurs mobilières TD, estime que la Great-West, la Société financière IGM et le Groupe Bruxelles Lambert ont donné des résultats similaires aux prévisions. « Cependant, cela a été contrebalancé par les pertes dans les plateformes d’investissements et les entreprises autonomes », commente-t-il dans une note.

Au cours du trimestre, Power a déprécié la valeur de son actif dans Lion Électrique de 109 M$. Le conglomérat juge cependant que le constructeur d’autobus et de camions électriques est sur la bonne voie. La direction est satisfaite des plus récents résultats de l’entreprise.

« Ça ne veut pas dire que nous avons perdu de l’argent, je veux le clarifier, insiste Jeffrey Orr. Nous avons investi un peu plus de 100 M$ et la valeur de notre participation est d’environ 220 M$. Nous avons dû prendre une charge, mais la valeur est significativement plus élevée que l’argent investi. »

L’analyste Phil Hardie, de Banque Scotia, croit qu’il n’y a pas de grandes conclusions à tirer des résultats trimestriels tandis que les résultats « volatiles » des entreprises autonomes sont une source de « bruit ».

Un des objectifs que poursuit Power Corporation, qui a réorganisé ses activités en 2020, est de réduire l’écart entre la valeur de son actif net et le prix de son action. L’écart avoisinait les 35 % en 2015. Cet écart était tombé à 17 % en juin, mais est remonté à 24 %.

Jeffrey Orr estime que l’écart est sur une tendance baissière. Cette tendance n’est pas linéaire et la réduction de l’écart s’accompagne de soubresaut, défend-il.

Phil Hardie croit, pour sa part, que l’écart se résorbera. Il estime que l’évaluation est attrayante quand on tient compte de l’élargissement de l’aubaine sur la valeur de l’actif net dans les derniers mois. « En attendant, les investisseurs sont récompensés par un généreux dividende de 6 % », ajoute l’analyste.

Vendredi, l’action reculait de 1,10 $, ou 3,12 %, à 34,18 $ à la Bourse de Toronto, vers midi.

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Brèves du secteur https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/breves-du-secteur/ Wed, 08 Feb 2023 14:56:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=91691 FOCUS FNB - Elles concernent entre autres les FNB ESG et de cryptoactifs.

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Banque Nationale Marchés financiers (BNMF) observe différentes tendances dans le secteur des fonds négociés en Bourse (FNB). En voici quelques-unes qui ont retenu notre attention récemment.

Populaires, les FNB ESG

Les fonds axés sur les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) sont devenus la plus grande catégorie de FNB thématiques.

« Les FNB thématiques ont gonflé en actifs, passant de 2,6 milliards de dollars (G$) à la fin de 2019 à 11,8 G$ en 2022, soit près de quatre fois plus. L’essentiel des actifs sous gestion et des créations nettes des FNB thématiques est désormais dominé par les FNB ESG, qui représentent 8 G$ d’actifs », lit-on dans une analyse de BNMF.

Aux États-Unis, les créations nettes de FNB ESG sont beaucoup plus faibles en 2022 que l’année précédente. Or, au Canada, elles sont restées fortes en 2022, à 2,8 G$, menées par les FNB ESG gérés activement, les FNB ESG obligataires et les FNB ESG de la plateforme de conseillers-robot Wealthsimple, d’après les analystes de BNMF.

On continue de croire aux cryptos

Les investisseurs qui se sont procurés des FNB ayant comme sous-jacent des cryptoactifs n’ont pas vendu leurs position malgré la volatilité dans le prix de ces actifs, observe Banque National marchés financiers.

Selon l’institution, à son sommet, en novembre 2021, l’actif sous gestion des FNB canadiens de cryptoactifs atteignait 7,5 G$. « Malgré ce repli des cours du bitcoin et de l’Ethereum, les détenteurs de FNB de cryptoactif n’ont pas encore cédé leurs titres en masse », lit-on dans une note.

Lors des baisses précédentes (par exemple, mai 2021), le rythme des créations nettes a ralenti plutôt que de devenir négatif. Récemment, ce type de fonds a connu de faibles rachats nets. « Cela suggère que les utilisateurs de FNB de cryptoactifs s’en tiennent à leurs allocations, espérant peut-être que le marché récupère ces pertes à long terme », d’après l’étude.

Solactive prend du galon

Parmi les fournisseurs d’indice de référence pour les FNB canadiens, ce sont ceux de la société Solactive qui gagnent le plus de terrain. Le fournisseur d’indice allemand a fait son entrée au Canada à la mi-2014 pour un FNB de titres énergétiques d’Horizons. De plus, il s’est associé plus de 130 FNB canadiens, selon BNMF.

« Depuis les deux dernières années, la part de marché de Solactive en termes d’actif en FNB indiciels est passée de 8,2 %, en décembre 2020 à 10,3 % en septembre 2022, ce qui est très près de la part de MSCI, numéro 3, laquelle s’établit à 10,5 %, selon Investor Economics », écrit le courtier.

Concurrence accrue pour les FNB d’options d’achats couvertes

En janvier, RBC iShares faisait son entrée dans le secteur des FNB d’options d’achats couvertes. Le manufacturier lançait à la mi-janvier le FNB options d’achat couvertes en dividendes canadiens RBC et du FNB options d’achat couvertes en dividendes américains RBC. Les nouveaux FNB d’options d’achat couvertes sont gérés par RBC Gestion mondiale d’actifs Inc.

Les FNB d’options d’achat couvertes sont conçus à l’intention des investisseurs qui veulent obtenir des revenus courants et atténuer le risque de baisse.

« Ces deux produits sont les 9e et 10e lancements consécutifs de stratégies d’options d’achat couvertes dans le secteur des FNB, une stratégie qui a gagné en popularité ces derniers mois, les investisseurs anticipant la volatilité des marchés boursiers au début de 2023 », lit-on dans l’analyse de BNMF.

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Sophie Mayrand se joint à Trust Banque Nationale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/sophie-mayrand-se-joint-a-trust-banque-nationale/ Thu, 25 Aug 2022 12:06:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=88680 NOUVELLES DU MONDE - Il s’agit d’un retour à la Banque Nationale, puisqu’elle y a amorcé son parcours professionnel en 1993.

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Sophie Mayrand a été nommée vice-présidente, gestionnaire de portefeuille chez Trust Banque Nationale. Dans ce nouveau défi amorcé en août, elle sera responsable des activités liées à la gestion de portefeuille pour les investisseurs privés et institutionnels.

Titulaire de la désignation CFA, Sophie Mayrand a été cadre en gestion d’actifs pour plus de 10 ans. Elle a aussi évolué en tant qu’experte en matière de stratégies d’investissement pour une autre période de 10 ans.

Depuis 2020, elle était vice-présidente principale et spécialiste-actions, chez Fiera Capital. Auparavant, elle a été directrice Investissements chez Wealthsimple. Au fil de sa carrière, elle a également travaillé chez State Street Conseillers en gestion globale pour plus de 15 ans, Mercer, et BMO Harris Bank. De 1993 à 1995, elle a été gestionnaire de comptes de devises et de taux d’intérêt au sein de la Banque Nationale du Canada.

Sophie Mayrand détient un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal, et une maîtrise en comptabilité et finance de l’Université de Sherbrooke.

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Les plateformes de cryptoactifs sommées par les ACVM de se conformer https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-plateformes-de-cryptoactifs-sommees-par-les-acvm-de-se-conformer/ Mon, 22 Aug 2022 12:03:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=88617 Elles devront s’engager entre autres à ne pas offrir de conseils aux clients.

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Les plateformes de négociation de cryptoactifs devraient désormais prendre certains engagements concernant la protection des investisseurs pendant l’examen de leurs demandes d’enregistrement, affirment les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).

Crypto.com et Coinsquare Capital Markets ont soumis leurs premiers engagements préalables à l’inscription, selon l’organisation-cadre des autorités provinciales de réglementation des valeurs mobilières.

Les ACVM indiquent que les régulateurs provinciaux sont en discussion avec d’autres plateformes de négociation de cryptoactifs pour emboîter le pas, et que les régulateurs peuvent prendre des mesures si une plateforme de négociation de cryptoactifs n’est pas prête à déposer un engagement.

Les engagements couvrent une gamme d’éléments, y compris ne pas offrir de conseils aux clients, ne pas fournir de négociation sur marge et fixer certaines limites sur le montant que les clients peuvent négocier.

En juin, la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario s’est attaquée à deux plateformes de négociation internationales de cryptoactifs qui n’avaient pas respecté la loi provinciale sur les valeurs mobilières, obtenant une interdiction permanente de participation au marché pour l’une et concluant un règlement avec la seconde.

Plusieurs plateformes de négociation de cryptoactifs sont déjà autorisées au Canada, notamment Coinberry, Bitbuy Technologies et Wealthsimple Digital Assets.

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Wealthsimple connaît des moments difficiles https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/wealthsimple-connait-des-moments-difficiles/ Mon, 15 Aug 2022 13:47:48 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=88595 Toutefois, Power Corporation n'aura pas à se porter au chevet de la fintech.

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Wealthsimple est « bien financée » dans l’immédiat, assure Jeffrey Orr, le président et chef de la direction de Power Corporation du Canada.

Le conglomérat de la famille Desmarais, qui a une participation de 54,5 % dans la fintech de services financiers, a déprécié de 57 % la valeur de son investissement, dans le cadre de ses résultats du deuxième trimestre. L’investissement vaut 900 millions de dollars (M$) en date du 30 juin 2022, comparativement à 2,1 G$ à la même période l’an dernier.

Wealthsimple compte parmi les entreprises technos canadiennes qui ont dû revoir leurs ambitions de croissance maintenant que les consommateurs reviennent dans les commerces physiques et que l’horizon économique semble incertain. L’entreprise, basée à Toronto, a dit à ses employés, en juin, qu’elle mettait à pied 13 % de ses effectifs.

Malgré ce revers, Jeffrey Orr a défendu Wealthsimple, lundi, lors d’une conférence téléphonique avec les analystes financiers. « La direction a fait un travail incroyable afin de créer une marque. Elle a un grand bassin de clientèle. Les clients sont satisfaits et rapportent une bonne expérience. Ce segment du marché, c’est la prochaine génération. »

Wealthsimple est « bien financée » pour le moment et n’aurait pas besoin davantage de capitaux à court terme, assure le dirigeant, qui ajoute que la question demeure ouverte à plus long terme.

Pour Power Corporation, son investissement dans Wealthsimple était une manière de s’exposer aux fintechs et de « voir ce qui allait se passer ». La direction n’a pas déterminé quel sera le rôle de l’entreprise au sein du conglomérat à long terme et garde ses options ouvertes.

« Ce n’est pas que le pari d’un gestionnaire d’actif: nous sommes dans l’industrie des services financiers. Nous avions voulu prendre une participation pour voir ce qui allait arriver et avoir un pied dans le secteur numérique en émergence. Si nous allons rester à long terme ou pas, je crois que c’est une décision à prendre dans le futur. »

En juin, le chef de la direction de Wealthsimple, Michael Katchen, avait écrit à ses employés que la société se recentrait sur ses activités principales, comme les services d’investissement et bancaires, et sur les produits qui, selon lui, alimenteront l’innovation financière, comme les cryptomonnaies.

L’entreprise réduira ses investissements dans d’autres domaines tels que les paiements entre pairs, les services fiscaux et marchands et restructurera les équipes dédiées au recrutement, au marketing, à la réussite des clients et à la recherche.

Résultats inférieurs aux attentes

La direction a fait cette mise à jour tandis que Power Corporation a dévoilé des résultats inférieurs aux attentes du marché au deuxième trimestre dans un contexte économique « difficile » pour l’industrie financière.

Jeffrey Orr a mentionné que les marchés boursiers et les marchés obligataires ont descendu en tandem. Les sorties de fonds pour l’industrie des fonds communs canadiens ont atteint une somme record pour un deuxième trimestre depuis au moins dix ans.

Le conglomérat a dévoilé un bénéfice net de 527 M$, comparativement à 994 M$ à la même période l’an dernier.

Le bénéfice ajusté dilué par action s’établit à 87 cents, contre 1,51$ par action. Avant la publication des résultats, les analystes anticipaient un bénéfice par action de 95 cents, selon la firme de données financières Refinitiv. « C’était un contexte difficile, mais les résultats demeurent solides », estime le chef des finances, Gregory Tretiak.

Un des objectifs que poursuit Power Corporation, qui a réorganisé ses activités en 2020, est de réduire l’écart entre la valeur de son actif net et le prix de son action. L’écart qui avoisinait les 35% en 2015 atteint 17% en juin 2022.

L’analyste Graham Ryding, de Valeurs mobilières TD, estime que cette réévaluation du marché est justifiée. « Ce rabais moins important sur la valeur de l’actif net est justifié quand on tient compte des progrès réalisés dans la simplification de l’entreprise, de l’amélioration de la divulgation de l’information financière, de la réduction des dépenses, de la création de valeur dans certains investissements et de la création d’une plateforme de placements alternatifs en forte croissance. »

L’action de Power Corporation perdait 72 cents, ou 2,07%, à 33,99$ à la fermeture de la Bourse de Toronto.

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Wealthsimple licencie 13% de son effectif https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/wealthsimple-licencie-13-de-son-effectif/ Thu, 16 Jun 2022 12:07:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=87789 La société de services financiers Wealthsimple a annoncé mercredi la mise à pied de 13 % de son effectif en évoquant la « volatilité du marché ».

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Dans une lettre envoyée au personnel de l’entreprise établie à Toronto, le chef de la direction Michael Katchen a indiqué que 159 des 1262 personnes qui travaillent pour Wealthsimple seraient appelées à quitter l’entreprise.

Tout en soulignant que le marché avait grimpé en flèche et que les affaires avaient augmenté à un rythme sans précédent au milieu de la pandémie, Michael Katchen a noté que ces conditions se dissipaient maintenant et que les clients de Wealthsimple vivaient une période d’incertitude du marché qu’ils n’ont jamais connue auparavant.

Selon Michael Katchen, l’évolution des conditions fait en sorte que l’entreprise se concentrera désormais davantage sur ses activités principales, comme les services d’investissement et bancaires, et sur les produits qui, selon lui, alimenteront l’innovation financière, comme les cryptomonnaies.

Wealthsimple réduira ses investissements dans d’autres domaines tels que les paiements entre pairs, les services fiscaux et marchands et restructurera les équipes dédiées au recrutement, au marketing, à la réussite des clients et à la recherche.

Les suppressions d’emplois de Wealthsimple surviennent alors que les entreprises technologiques mondiales gèlent les embauches et procèdent à des mises à pied pour se préparer à une correction du marché et à une éventuelle récession, après que la pandémie a vu les actions technologiques monter en flèche.

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