Investissements Manuvie – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 29 Aug 2023 20:19:06 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Investissements Manuvie – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Délais et pénurie de personnel au menu https://www.finance-investissement.com/edition-papier/pointage-des-courtiers-multidisciplinaires/delais-et-penurie-de-personnel-au-menu/ Mon, 28 Aug 2023 04:05:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95745 POINTAGE DES COURTIERS MULTI – Des répondants critiquent le back office et le soutien TI.

L’article Délais et pénurie de personnel au menu est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les outils et le soutien des courtiers relatifs aux fonctions administratives (back office) continuent de présenter leur lot d’irritants pour un certain nombre de représentants en épargne collective et conseillers en placement.

Selon le ­Pointage des courtiers multidisciplinaires 2023, la note moyenne donnée à ce critère d’évaluation est de 7,9 sur 10, en dessous de l’importance moyenne que les répondants lui accordent, soit 8,7 sur 10.

Cet écart de 0,8 point dénote une certaine insatisfaction, qui provient toutefois d’une minorité. Alors que 46 % des sondés donnent une note de 9 ou plus, 19 % d’entre eux sont plus critiques, attribuant une note de 6 ou moins.

Les plaintes concernent principalement les outils offerts par l’­arrière-guichet (back office), critiqués pour leur manque de facilité d’utilisation. De plus, une pénurie de personnel et une qualité de service jugée déficiente sont régulièrement citées parmi les sources de frustration.

En moyenne, les conseillers de bon nombre de firmes accordent à leur courtier une note équivalente à celle de l’an dernier. En 2023, ­CI ­Gestion de patrimoine ­Assante et ­Financière ­Sun ­Life (FSL) voient leur performance moyenne diminuer par rapport à 2022. Au contraire, les conseillers du ­Groupe Cloutier, de ­Services d’investissement ­Quadrus et de ­SFL ­Gestion de patrimoine accordent des notes en hausse en 2023, par rapport à 2022.

Beaucoup de répondants montrent du doigt la pénurie de travailleurs. « ­Il manque de personnel pour répondre aux demandes de renseignements. Avant, on devait attendre deux jours. Maintenant, c’est deux semaines », dit un conseiller de ­FSL.

« ­Investir pour offrir aux conseillers une expérience harmonieuse dans l’ensemble de nos plateformes et processus fait partie de nos priorités », répond ­Rowena Chan, présidente, ­Distribution ­Financière ­Sun ­Life (Canada) inc. et ­vice-présidente principale, ­Conseils et solutions de l’Individuelle, à la ­FSL.

Un conseiller d’Assante déplore aussi le déficit de ­main-d’œuvre : « ­Obtenir de l’aide est presque impossible. Recevoir un accusé de réception peut prendre un mois et demi. Ils sont très en retard. »

La pénurie de personnel peut également résulter du fait que la firme accueille un grand nombre de nouveaux conseillers, ce qui a pour conséquence que maints nouveaux clients se joignent à ­Assante tout d’un coup, selon Éric ­Lauzon, ­vice-président développement des affaires à ­Gestion de patrimoine ­Assante. Résultat : les divisions de back office qui s’occupent des transferts de comptes sont débordées.

Éric ­Lauzon juge que la situation s’améliore. La firme procède actuellement à une transformation technologique, ce qui a entraîné des défis opérationnels. Des investissements ont été faits pour automatiser certaines tâches, comme la gestion des transferts de comptes et le suivi des transactions. Afin de faciliter la transition, Assante a mis l’accent sur la formation pour inciter les conseillers à utiliser les nouveaux outils. En ce qui a trait aux demandes de soutien, les temps d’attente ont été réduits.

À ­IG ­Gestion de patrimoine, plus d’un répondant montre du doigt le manque de formation de certains employés qui cause des problèmes dans la qualité du service rendu au conseiller. « ­Il est déplorable d’avoir à communiquer en anglais pour obtenir un retour de courriel dans des délais raisonnables », dit un conseiller. « ­Certains intervenants sont excellents, mais d’autres manquent d’expérience », renchérit un autre.

« ­Nous avons déployé beaucoup de nouveaux systèmes et, même si cela est profitable, cela en fait beaucoup à apprendre. Toutefois, on développe cet automne des ressources humaines locales pour chacun des bureaux régionaux pour donner un soutien amélioré », explique Carl ­Thibeault, ­vice-président principal, ­Services financiers (Distribution), ­IG ­Gestion de patrimoine.

À ­SFL, les avis sont partagés malgré l’amélioration des résultats. Des répondants se disent satisfaits, alors que d’autres définissent comme problème le manque de personnel et les erreurs commises au back office. « ­Ils sont en ­sous-effectifs. Il y a des transactions qui sont oubliées ou avec erreurs », observe un conseiller lié à ­SFL.

« ­Ces deux dernières années, on a mis beaucoup d’effort pour améliorer l’efficacité de nos processus, explique André ­Langlois, ­vice-président, ventes et distribution, réseaux indépendants chez ­Desjardins sécurité financière. L’objectif a été de réduire les erreurs, le nombre d’interventions et la manipulation de documents papier, grâce à la numérisation des transactions. On veut permettre aux conseillers de se concentrer davantage sur leur rôle de conseil et moins sur la gestion de la paperasse administrative. »

Cependant, il reconnaît que la transition n’est pas totalement achevée et que tous les conseillers n’ont pas encore pleinement adopté les processus numérisés. Néanmoins, ceux qui l’ont fait ont constaté une amélioration considérable du temps consacré et une réduction des erreurs.

Investia a aussi été critiquée pour les délais de suivi au service de back office : « ­Il y a eu récemment plusieurs erreurs de leur part. Nous leur envoyons des formulaires et on ne nous les retourne pas et nous devons attendre un bon bout de temps », se plaint un conseiller.

« ­Si le formulaire est retourné, c’est qu’il n’est pas bien rempli », soutient le président d’Investia Louis H. DeConinck, déplorant que tous les conseillers n’utilisent pas le processus 100 % numérique mis en place il y a deux ans. « ­Le conseiller peut imprimer un formulaire vierge et le remplir à la main, ce qui ouvre la voie à des erreurs. On a encore du travail à faire pour s’assurer que les conseillers utilisent les bons outils », ­dit-il.

Investia surveille toutes les activités sur le back office : le nombre de transactions, les délais de réponse, etc. « ­Des erreurs, on en a moins cette année que l’an passé malgré la croissance de nos activités », soutient ­Louis H. DeConinck.

Investia a également intégré un agent conversationnel (chatbot) à son service à la clientèle. « ­Il répond à des centaines de demandes tous les jours. Cela libère les gens du service à la clientèle pour répondre à des questions plus complexes », poursuit le dirigeant.

Défis et frustrations

En 2023, ­Finance et ­Investissement a introduit un nouveau critère d’évaluation des firmes concernant la formation en technologie et le soutien informatique qu’elles offrent aux conseillers. Selon les résultats, l’écart entre la note moyenne de 7,9 sur 10 et l’importance accordée à ce critère, qui est de 8,7, mettent en lumière le fait que les attentes des conseillers ne sont pas entièrement satisfaites. Bien que la 45 % conseillers accordent une note de 9 ou plus à leur courtier, 19 % des répondants expriment un certain mécontentement en donnant une note de 6 ou moins.

Cinq firmes récoltent une note moyenne supérieure à la moyenne québécoise, soit ­MICA (9,5), ­Mérici ­Services financiers (8,8), ­SFL (8,4), ­Groupe ­Cloutier (8,3), et Groupe financier ­PEAK (8,1). Deux autres s’en approchent : ­IG (7,7) et ­Investia (7,6). Quatre firmes ferment la marche, soit ­Assante et ­Quadrus, ­ex-aequo avec une note de 6,9, ­FSL (6,5) et ­Placements ­Manuvie (4,9).

Dans un contexte de pénurie de ­main-d’œuvre, fournir un soutien informatique adéquat est un défi pour les firmes. Les délais d’attente lors des appels de service sont une source de frustration pour de nombreux conseillers. De plus, lorsque la firme accueille un grand nombre de nouveaux conseillers, la formation en technologie de l’information (TI) et la gestion des problèmes informatiques peuvent devenir des défis complexes à gérer.

« ­Le soutien est vraiment difficile. Il est très rare que le répondant de première ligne puisse régler le problème directement. C’est presque toujours envoyé à un répondant de deuxième niveau et, bien souvent, nous n’avons aucun retour à court terme », dit un conseiller d’IG.

« ­Nous avons déployé beaucoup de nouveaux systèmes. Il y a beaucoup à apprendre », concède Carl Thibeault. Or, IG ajoutera cet automne du personnel dans chacun des bureaux régionaux pour améliorer le soutien.

Selon certains répondants de ­FSL, le courtier peut faire mieux. « ­Parfois, la plateforme que nous utilisons ralentit le processus, ce qui rend les choses un peu difficiles », d’après un répondant. Un autre a dit : « ­Nous attendons longtemps au téléphone pour obtenir des réponses. »

« ­Nous continuons d’investir dans la formation (utilisation et meilleures pratiques) afin de nous assurer que les conseillers ont l’aide nécessaire pour les différents outils numériques dont ils se servent. Nous offrons du soutien de plusieurs façons : formations en personne ou en ligne, apprentissage en ­libre-service, centre d’appui et consultations directes avec des experts en outils numériques », écrit ­Rowena ­Chan.

Chez ­Assante, les avis sont partagés. Un répondant affirme : « ­Très difficile d’avoir du [soutien], tout est en anglais et peu pratique. » ­Un autre dit : « ­Durant les séminaires, nos questions ne sont pas écoutées et on ne prend pas le temps de nous expliquer. »

Selon Éric ­Lauzon, les équipes en charge de la formation ont été mobilisées par les nouveaux conseillers nécessitant de la formation. De plus, le large éventail de logiciels offerts crée des attentes élevées sur le plan du soutien informatique, même si ces logiciels sont développés à l’externe.

Il juge injuste le commentaire sur le soutien en français et estime qu’il est possible que la ­non-disponibilité du personnel francophone l’explique. « ­On travaille presque exclusivement en français. La situation du français est vraiment meilleure que ce qu’elle était », ­dit-il.

À ­Investia, certains répondants parlent de délais frustrants pour obtenir de l’assistance. Louis H. DeConinck les attribue à la fois à la récente fusion d’Investia et ­Fundex et à l’intégration de l’authentification multifacteurs pour les clients au début de 2023.

« ­La durée d’attente moyenne des appels lors des trois derniers mois était de 5 min 37 s. Les 720 appels recevaient une réponse en moins d’une minute à 83,47 %. Ce n’est quand même pas si mal. Du côté du centre d’appels d’Investia, le temps d’attente moyen est de 2 min 12 s. La durée de l’appel est de 13 min. C’est compréhensible vu que les questions étaient beaucoup plus complexes. »

Du côté de ­SFL, les avis sont majoritairement favorables. « ­Il y a beaucoup de [soutien] en tout temps », avance un répondant. « ­Ils se sont beaucoup améliorés depuis quelques années », estime un autre. Certains conseillers déplorent toutefois un long temps d’attente pour obtenir des réponses.

André ­Langlois n’en est pas surpris. « ­Notre centre de [soutien] technologique est toujours l’équipe qui obtient un des plus hauts taux de satisfaction [lors de nos sondages]. Lorsqu’on a fait le déploiement de nouveaux outils il y a deux ans, la demande de [soutien] technologique a été plus grande. Il y a eu une période creuse qui a duré entre 12 et 24 mois qui a été plus difficile. Aujourd’hui, les temps d’attente sont revenus à un niveau standard. »

En réponse à ces défis, certaines firmes utilisent des outils tels que des webinaires et des capsules vidéo préenregistrées pour dispenser des formations de groupe et offrir du soutien informatique. Cependant, cette approche a également parfois suscité des frustrations parmi certains conseillers.

En collaboration avec Richard Cloutier, Carole le Hirez et Guillaume Poulin-Goyer.

Pour obtenir le tableau du Pointage des courtiers multidisciplinaires, veuillez cliquer ici.

NDLR. Le tableau de notre édition imprimée identifiait par erreur une baisse de 0,5 de la note du Groupe financier PEAK pour le critère du programme de transfert de bloc d’affaires à la relève entre 2022 et 2023. La note était plutôt en baisse de 0,4 de 2022 à 2023 et le présent article contient la version la plus à jour de notre tableau.

L’article Délais et pénurie de personnel au menu est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Serge Lessard devient associé de DMA Gestion de patrimoine https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/serge-lessard-devient-associe-de-dma-gestion-de-patrimoine/ Wed, 05 Apr 2023 11:09:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92867 NOUVELLES DU MONDE – Il apporte son expertise en fiscalité des placements et de l'assurance à la firme.

L’article Serge Lessard devient associé de DMA Gestion de patrimoine est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
L’avocat, fiscaliste et planificateur financier Serge Lessard se joint à l’équipe de DMA Gestion de patrimoine à titre d’associé et de vice-président, Fiscalité des placements et de l’assurance.

Serge Lessard, qui œuvre dans les services financiers depuis plus de 25 ans, est reconnu pour son expertise en matière de fiscalité des placements, d’accumulation et de décaissement des sociétés de gestion, ainsi que pour sa contribution à la stratégie d’assurance maladies graves en propriété partagée.

Son parcours est riche d’expériences dans des postes de direction, de spécialiste et de conseiller principal de grandes sociétés d’assurances et de fonds d’investissement. Avant de se joindre à DMA, il occupait le poste de vice-président régional adjoint pour le Québec (Investissements), Service de fiscalité, retraite et planification successorale à Gestion des placements Manuvie.

Tout au long de sa carrière, il n’a jamais eu peur de s’attaquer à des questions de planification financière complexes, allant même jusqu’à créer ses propres modèles et simulations sur Excel.

Il a également été formateur et conférencier à l’Association de planification fiscale et financière (APFF). Depuis 2020, il est un des administrateurs de ce regroupement, une façon pour lui de redonner au suivant, comme il l’expliquait dans cet article de Finance et Investissement.

En 2014, Serge Lessard a été reconnu comme l’un des 25 planificateurs financiers exceptionnels des 25 dernières années, sélectionnés par l’Institut québécois de planification financière (IQPF). Il est très fier de cette reconnaissance et affirme avoir donné tout ce qu’il pouvait en termes de formation et d’aide aux conseillers, qu’il adore.

« Il ne fait aucun doute que son expertise bénéficiera non seulement les clients du cabinet, mais également les comptables, fiscalistes et notaires concernés par des enjeux touchant la fiscalité des placements et de l’assurance », a tenu à souligner Danny Monzerol, président de DMA, dans une publication sur LinkedIn.

Cette nomination renforce la mission de DMA d’offrir des solutions d’optimisation en matière de planification fiscale, successorale et de gestion de patrimoine aux gens d’affaires, actifs et retraités et aux familles fortunées.

L’article Serge Lessard devient associé de DMA Gestion de patrimoine est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les FNB d’obligations poursuivent sur leur lancée https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-fnb-dobligations-poursuivent-sur-leur-lancee/ Wed, 08 Mar 2023 11:32:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92368 FOCUS FNB - Ils enregistrent plus de la moitié des créations nettes de février.

L’article Les FNB d’obligations poursuivent sur leur lancée est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Après de faibles rachats en janvier, le secteur des fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens renoue avec les créations nettes pour le mois de février 2023. Il a enregistré des entrées nettes de 4 milliards de dollars (G$) en février, ce qui porte l’actif géré cumulatif en FNB canadiens à 328 G$. Plus de la moitié des entrées nettes, soit 2,6 G$, provient des FNB de titres à revenu fixe, selon Banque Nationale Marchés financiers (BNMF).

Les FNB canadiens avaient commencé l’année timidement avec des rachats nets de 829 M$ en janvier, dont 501 M$ pour les FNB de titres à revenus fixes, et 328 M$ pour les FNB d’actions.

Les créations nettes de FNB en février ont retrouvé le niveau de novembre 2022, mais elles restent bien en deçà des résultats de décembre 2022, qui avaient connu des entrées nettes records de 7,5 G$.

Les créations nettes de FNB obligataires représentent 58 % des apports nets totaux de FNB canadiens pour les deux premiers mois de 2023, suivis par les FNB d’actions, les FNB multiactifs et les FNB à effet de levier et inversés.

Les FNB de titres à revenus fixes mènent le bal

De toutes les catégories d’actifs, ce sont les FNB de titres à revenus fixes qui ont été les plus populaires le mois dernier. Ils ont redressé la tête en février, après un mois de janvier plus difficile sur le plan des créations nettes. Ils totalisent des actifs de 99,5 G$, ce qui représente 30 % des parts de marchés des FNB canadiens en termes d’actifs.

En février, les FNB du marché monétaire occupent la part du lion (52 % ou 1,4 G$) des créations nettes des FNB obligataires. En raison de cette dominance et du fait que les FNB de comptes à intérêts élevés représentent 17,8 G$ en actifs, soit 18 % de tous les FNB de titres à revenu fixe, Banque Nationale Marchés financiers envisage de créer une catégorie spécifique à ce type de fonds, afin de les isoler parmi les FNB de titres à revenu fixe. Les FNB de liquidité ont bénéficié de la hausse des taux d’intérêt en 2022, qui a fait baisser les prix des obligations et rendu les rendements sur les comptes plus attractifs.

En février, les FNB d’obligations gouvernementales canadiennes, américaines et à haut rendement ont également reçu des entrées de fonds significatives, soit 277 M$, 341 M$ et 253 M$ respectivement.

Du côté des sorties, les obligations de sociétés canadiennes et les FNB d’actions privilégiées ont été les seules catégories de titres à revenu fixe à enregistrer des rachats nets en février.

Même après une année 2022 volatile sur le plan des rendements sur les marchés, les FNB multiactifs ont fait preuve de résilience en prolongeant leur série d’entrées de fonds qui dure depuis près de cinq ans. Cette catégorie a recueilli 357 M$ d’actifs nouveaux en février, principalement grâce aux FNB d’allocation d’actifs alternatifs.

Moins demandés, les FNB d’actions

En février, les FNB d’actions ont enregistré des créations nettes de 955 M$, comparativement à des rachats nets de 328 M$ en janvier. Les entrées sont concentrées surtout dans les actions canadiennes (608 M$) et dans les actions de pays développés de marché large (370 M$). Les FNB d’actions canadiennes représentent plus du tiers des parts du marché, pour des actifs totaux de 77 G$ sur les 204,6 G$ en FNB d’actions

Pour les deux premiers mois de 2023, les FNB d’actions américaines ont été le seul secteur géographique des FNB à avoir connu des rachats (- 273 M$) sur 627 M$ pour janvier et février 2023

Les FNB de soins de santé (149 M$) et de matières premières (126 M$) ont enregistré les plus importantes créations nettes parmi les FNB d’actions sectorielles, tandis que le secteur des finances a affiché des rachats de 254 M$. On note également des sorties nettes de capitaux dans les FNB sectoriels de l’énergie et des technologies.

Pour les deux premiers mois de 2023 dans le secteur des FNB d’actions, trois types de fonds affichent des créations nettes, soit les FNB de dividendes/revenus, les fonds qui portent sur les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et les FNB d’actions à faible volatilité.

Les FNB ESG tirent les marrons du feu

Les FNB de type ESG continuent d’attirer l’attention, malgré les débats entourant leur définition, souligne Banque Nationale Marchés financiers.

Ainsi, en février, ce type de fonds affiche des créations nettes de 363 M$, la majorité étant dans les FNB d’actions du genre (266 M$). L’actif sous gestion total en FNB ESG s’élevait à 11,8 G$ à la fin de février dernier, soit 3,6 % des actifs canadiens en FNB.

La suite de produits iShares ESG Aware (XSUS) et les FNB ESG gérés activement de Banque Nationale Investissements (BNI) ont continué à attirer de nouveaux fonds en février.

Pour les deux premiers mois de 2023, les créations nettes de FNB ESG se sont établies à 572 M$, dont 465 M$ pour des FNB d’actions ESG.

Pour la même période, les FNB thématiques ont reçu des créations nettes de 466 M$ et les FNB de dividendes se classent avantageusement dans leur catégorie avec des créations nettes de 293 M$. Par contre, les FNB pondérés en fonction de la capitalisation boursière ont affiché des rachats de 300 M$.

Par ailleurs, les FNB qui ont comme actif sous-jacent des cryptoactifs ont connu des créations nettes en dents de scie depuis le début de l’année. Après une brève poussée d’afflux en janvier, où les entrées nettes ont atteint 105 M$, ces fonds enregistrent des rachats nets de 52 M$ en février, ce qui est représentatif de leur volatilité, selon les analystes de BNMF.

Enfin, malgré la hausse du taux de l’inflation, les investisseurs n’ont pas cherché à s’en protéger en se tournant massivement vers les commodités. Alors qu’elles avaient enregistré des créations nettes de 24 M$ en janvier, elles ont plutôt affiché des rachats nets de 15 M$ en février.

Les 13 principaux émetteurs de FNB au Canada ont connu des créations nettes en février, tandis que de faibles rachats nets ont été observés chez CIBC, Manuvie, Desjardins et Guardian Capital. Placements CI affiche les plus importantes créations nettes de février (702 M$), suivie de BMO (623 M$), RBC iShares (543 M$) et Vanguard (495 M$).

Les apports nets affichés chez Banque Nationale Investissements (390 M$), Hamilton (167 M$), AGF (73 M$) et Fidelity (156 M$) ont représenté des parts significatives par rapport à leur actif initial.

Pour les deux premiers mois de 2023, CI arrive en tête des émetteurs au chapitre des créations nettes (1,26 G$), suivie de TD (852 M$), BNI (810 M$) et Horizons (380 M$).

Une quinzaine de nouveaux fonds ont vu le jour en février, notamment des FNB d’options d’achat couvertes, d’obligations à long terme, d’ESG et d’indices de marché larges. iShares a lancé cinq nouveaux fonds et Invesco en a initié trois. Les autres FNB ont été créés par Mulvihill, Placements CI et CIBC.

L’article Les FNB d’obligations poursuivent sur leur lancée est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Placements Manuvie Québec nomme un nouveau DG https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/placements-manuvie-quebec-nomme-un-nouveau-dg/ Thu, 26 Mar 2020 23:27:48 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=65268 NOUVELLES DU MONDE - Franck Chevrier a été nommé directeur général de Placements Manuvie pour la province de Québec.

L’article Placements Manuvie Québec nomme un nouveau DG est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
En poste à Montréal depuis le 3 février dernier, il est maintenant responsable de l’établissement, du développement, et du maintien des relations avec les principaux intervenants, y compris des aspects ayant trait au recrutement et à la fidélisation des conseillers.

Franck Chevrier est entré au service de Manuvie en 2007 à titre de représentant du service à la clientèle, Assurance. Il possède également de l’expérience en tant qu’expert-conseil en assurance et conseiller en services bancaires à la Banque Manuvie. Durant les quatre dernières années, il a été directeur principal régional, Services-conseils.

L’article Placements Manuvie Québec nomme un nouveau DG est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Avantage collatéral du fonds en catégorie de société https://www.finance-investissement.com/edition-papier/nouvelles-edition-papier/avantage-collateral-du-fonds-en-categorie-de-societe/ Sun, 01 Mar 2020 05:56:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=64722 Il peut aider un client qui s'est marié sans contrat notarié.

L’article Avantage collatéral du fonds en catégorie de société est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Choisir d’investir dans un fonds commun de placement constitué en société par actions (FCPS), aussi désigné comme un fonds en catégorie de société, peut aider un client qui vient tout juste de se marier sans contrat de mariage notarié et qui souhaiterait garder le contrôle sur la valeur de ce fonds.

C’est ce qu’a indiqué l’avocat et planificateur financier Serge Lessard, vice-président adjoint du Service de fiscalité, retraite et planification successorale chez Investissements Manuvie, à l’occasion du congrès de l’Association de planification fiscale et financière (APFF), en octobre dernier. Cette situation s’explique par les aspects légaux des FCPS, qui sont différents de ceux des fonds communs de placement constitués en fiducie (FCPF), et par les effets du mariage prévus dans le Code civil du Québec.

Ainsi, la société d’acquêts est le régime matrimonial par défaut au Québec depuis le 1er juillet 1970. Elle s’applique à tous les époux mariés depuis cette date qui n’ont pas déterminé de régime matrimonial dans un contrat de mariage notarié.

Dans ce régime, les biens et les dettes que chacun des époux possédait avant le mariage sont des biens propres. Ces derniers ne sont pas partagés à la fin du régime, comme lors d’un divorce, et l’époux qui les possède en garde le contrôle. Il peut disposer à sa guise de son bien, par exemple en le donnant à un tiers ou à une fiducie sans devoir obtenir le consentement de son conjoint.

Or, les fruits et revenus de ces biens propres pendant le mariage, dont les revenus de placement, font partie des biens acquêts. Et leur valeur peut être partagée à la fin du régime.

Que faire si un client qui détenait 100 000 $ dans un fonds commun avant de se marier souhaite en garder le contrôle, c’est-à-dire que ce fonds reste un bien propre ? Réponse : qu’il l’investisse dans un FCPS ou dans un contrat de fonds distinct, estime Serge Lessard. Voici les explications qu’il a fournies au congrès de l’APFF.

«La croissance de la valeur des parts d’un fonds commun de placement ne fait pas partie des « fruits et revenus », ni les distributions de gain en capital, mais le reste des distributions d’autre nature, comme les intérêts, les dividendes canadiens et les dividendes étrangers, vont être normalement des revenus, donc des acquêts», a-t-il expliqué.

Le problème est qu’il est difficile de retrouver la trace de chacun des types de distributions reçues durant le mariage, dans le but de départager les distributions de biens acquêts et celles de biens propres. C’est d’autant plus vrai lorsqu’on sait qu’un client va souvent réinvestir ses distributions afin de racheter de nouvelles parts du même fonds, si bien que certaines parts seront achetées avec des propres et d’autres avec des acquêts.

«Je ne sais pas si vous réalisez le spaghetti que vous allez avoir, a illustré Serge Lessard. Imaginez-vous le traçage de tout cela. En pratique, c’est presque impossible de retrouver ce qui est un propre et un acquêt sur une longue période.» Or, dans le régime de la société d’acquêts, les biens que l’on est incapable de prouver qu’ils sont propres sont par défaut des acquêts partageables entre les époux.

C’est ici que l’utilisation de FCPS peut devenir intéressante, selon Serge Lessard. Revenons à notre cas d’un client qui possédait 100 000 $ avant de se marier. Supposons qu’il les investisse dans un FCPS d’actions étrangères. Il détient alors des actions d’une société par actions canadienne qui, juridiquement, ne peut pas verser d’intérêt ni de dividende étranger.

«Si vous n’avez pas acheté un fonds d’actions canadiennes, vous n’aurez pas ou presque pas de distributions de dividende canadien. Il reste à recevoir juste du gain en capital par un dividende sur gain en capital [case 18 du feuillet T5]. Donc, dans un fonds en catégorie, toutes les distributions qui normalement seraient des acquêts, vous ne les aurez pas. Résultat, vous ne recevez que ce qui va rester un bien propre», a expliqué Serge Lessard.

Dans un tel cas, le FCPS serait un bien totalement propre durant la durée du mariage, y compris sa croissance et ses distributions. «Et ça s’applique même dans le cas d’un REER. On n’achète normalement pas un fonds en catégorie dans un REER, parce que ce n’est pas nécessairement utile de le faire pour des raisons fiscales, mais dans ce cas, ça peut être utile de le faire.»

Exemple éloquent

Dans sa présentation, Serge Lessard a comparé deux scénarios analogues, sans tenir compte de la fiscalité, dans lesquels un client possède 100 000 $ avant de se marier et les investit dans un fonds commun durant 25 ans à un rendement annuel composé de 5 %. Dans les deux cas, son pécule vaut 338 635 $ à la fin de cette période.

Dans le premier scénario, le client investit dans un FCPF pour lequel le rendement se décline ainsi : les parts de son fonds connaissent un rendement annuel de 1 %, les distributions de gain en capital, un rendement de 1 %, et les autres types de distributions, un rendement de 3 %. Au bout de 25 ans, la valeur totale des parts considérées comme des acquêts est de 210 392 $, soit 62,1 % de l’ensemble de la valeur des parts, selon les calculs de l’avocat. D’après ces derniers et compte tenu des récompenses entre les masses acquêts et propres, la valeur de la dette en faveur du conjoint s’établira à 87 287 $ si le divorce survenait au bout de cette période.

Dans le deuxième scénario, le client investit dans un FCPS. Le rendement se répartit ainsi : croissance des parts de 4 % et distribution de gains en capital de 1 %. Aucune distribution n’est considérée comme un acquêt. Résultat, après 25 ans, la totalité du pécule est restée un bien propre et aucune récompense n’est due entre les masses acquêts et propres. Ainsi, la valeur de la dette en faveur du conjoint est nulle.

«Je garde alors 100 % du contrôle du bien, ce qui fait que je peux en faire don», a noté Serge Lessard. Des fois, on propose des stratégies de dons de titres cotés en Bourse pour des raisons fiscales. C’est bien, sauf que si je veux faire ce don à partir d’un acquêt, je n’ai pas le droit de le faire sans le consentement de mon conjoint.»

Fonds distincts aussi utiles

Une autre catégorie de produits peut procurer des avantages similaires aux FCPS dans le même genre de cas. Ce sont les contrats de fonds distincts, d’après l’interprétation de Serge Lessard. Selon lui, ces fonds sont juridiquement des contrats de rente.

Les revenus générés par l’assureur avec le capital ne sont pas des fruits et des revenus, et donc ne seraient pas des acquêts, d’après Serge Lessard : «Ce ne sont pas vos fruits et revenus, ce sont les fruits et revenus de l’assureur. Ceux-ci vont faire augmenter la valeur des unités de fonds distincts plutôt que d’être distribués. Cela fera augmenter le montant sur lequel on va effectuer le calcul du versement de rente futur. [En clair], un contrat de fonds distincts ne distribue jamais tant qu’il n’est pas dans sa période de service de la rente.»

Même s’il n’y a pas de distribution ni de revenus au sens juridique qui proviennent du contrat de fonds distincts, le client devra «quand même payer l’imposition et on va lui envoyer un feuillet T3».

Selon Serge Lessard, les droits issus du mariage et qui se rapportent aux contrats de fonds distincts sont similaires à ceux qui touchent les droits ou avantages d’un régime de retraite.

«C’est comme un fonds de pension propre : la croissance de valeur du fonds de pension propre se retrouve à rester propre si aucun acquêt n’y est déposé, dit-il. Un fonds distinct pourrait probablement rester un propre, même s’il n’y a pas eu de décision d’un tribunal là-dessus.»

L’article Avantage collatéral du fonds en catégorie de société est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Manuvie regroupe ses activités sous une seule nouvelle marque https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/manuvie-regroupe-ses-activites-sous-une-seule-nouvelle-marque/ Wed, 08 May 2019 14:48:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=58474 Manuvie regroupe ses activités de gestion de patrimoine et d'actifs destinées aux clients institutionnels et aux particuliers et liées aux régimes de retraite sous une seule nouvelle marque : Gestion de placements Manuvie.

L’article Manuvie regroupe ses activités sous une seule nouvelle marque est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Ces activités étaient auparavant exercées sous plusieurs marques et par des unités distinctes dans différents marchés. Les produits aux particuliers sernt donc offerts désormais sous la marque Gestion de placements Manuvie dans le monde entier à l’exception des États-Unis, où la marque John Hancock Investment Management sera utilisée. Cette marque remplace Gestion d’actifs Manuvie en Asie et en Europe, Investissements Manuvie au Canada et John Hancock Investments aux États-Unis.

Les activités dans le domaine des régimes de retraite, faisant partie de Gestion de placements Manuvie, seront toutefois exercées sous la marque Manuvie à l’échelle mondiale, sauf aux États-Unis, où elles seront exercées sous la marque John Hancock.

Gestion de placements Manuvie réunit désormais son expertise en gestion de patrimoine et de placements dans ces trois secteurs d’activité complémentaires sous une seule marque en Amérique, en Asie et en Europe, afin de mieux servir les investisseurs du monde entier. Manuvie aspire à devenir l’entreprise mondiale la plus numérique et la plus orientée vers le client de son industrie.

« Gestion de placements Manuvie apporte à ses clients le meilleur de la gamme de produits et de solutions de gestion de patrimoine et d’actifs de Manuvie et de John Hancock grâce à une marque et à une structure fortes, unifiées et mondiales », a indiqué Paul Lorentz, président et chef de la direction, Gestion de patrimoine et d’actifs, Monde.

Par l’entremise de cette transformation, Manuvie croit pouvoir mieux exploiter son réseau de distribution et ses marchés existants et présenter de façon stratégique ses produits et ses solutions aux investisseurs. Elle compte également mettre à la disposition des clients des capacités supplémentaires et permettre une meilleure efficacité en tirant parti de l’importance de ses activités de gestion de patrimoine et d’actifs à l’échelle mondiale. Elle croit de plus qu’elle sera désormais mieux positionnée pour faire croître ses actifs de façon organique grâce à une amplification et à une prise de conscience de sa taille et de ses offres.

Cette présence unifiée offrira aux clients et aux intermédiaires un accès plus cohérent et transparent à ses diverses activités de gestion de placements, avec notamment le lancement de manulifeinvestmentmgt.com.

L’article Manuvie regroupe ses activités sous une seule nouvelle marque est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Manuvie réduit les frais de gestion de trois FCP https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/manuvie-reduit-les-frais-de-gestion-de-trois-fcp/ Mon, 22 Apr 2019 13:06:21 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=57920 PRODUIT – Ces changements se répercuteront sur le ratio des frais de gestion des fonds communs de placement (FCP) au fil du temps.

L’article Manuvie réduit les frais de gestion de trois FCP est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
« Nous passons constamment en revue notre gamme de fonds afin de nous assurer que nous créons la valeur à laquelle s’attendent désormais les conseillers et leurs clients », a affirmé Bernard Letendre, chef de la gestion de patrimoine et d’actifs, Canada, chez Investissements Manuvie.

Ainsi, les frais de gestion de la série « Conseil » et de la série T du Fonds à revenu stratégique Manuvie et du Fonds à revenu stratégique en dollars US Manuvie passent de 1,59 % à 1,45 %.

Les frais de gestion des séries F, FT, I et IT seront désormais de 0,60 %.

Le Fonds stratégique d’obligations mondiales de première qualité Manuvie verra également les frais de gestion des séries « Conseil », T, F et FT baisser à 1,25 %, 0,50 % et 0,52 % respectivement.

Les changements relatifs aux séries « Conseil », T, F et FT sont entrés en vigueur après la fermeture des bureaux, vers le 15 avril 2019, alors que les réductions de frais des séries I et IT prendront effet vers le 1er mai 2019.

L’article Manuvie réduit les frais de gestion de trois FCP est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Fusion et modification de fonds chez Manuvie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fusion-et-modification-de-fonds-chez-manuvie/ Wed, 16 Jan 2019 14:48:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=55494 PRODUITS - Investissements Manuvie propose de regrouper le Fonds d'appréciation d'actions internationales Manuvie avec le Fonds d'actions EAEO Manuvie

L’article Fusion et modification de fonds chez Manuvie est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Cette fusion aurait pour but d’éliminer la redondance et de simplifier la plateforme de la firme, tant pour les conseillers que les investisseurs.

Elle sera effectuée dans le cadre d’une opération imposable et devra être approuvée par les organismes de réglementation ainsi que par les porteurs de titres des Fonds lors d’une assemblée extraordinaire qui aura lieu vers le 14 mars 2019 pour les porteurs de titres inscrits au 31 janvier 2019.

Manuvie propose également de modifier l’objectif de placement du Fonds d’actions EAEO Manuvie afin qu’il corresponde mieux à l’objectif et à la stratégie du sous-conseiller, Pictet Asset Management.

Sous réserve de l’obtention de ces approbations, Investissements Manuvie propose de fusionner les Fonds vers le 5 avril 2019.

Les frais de gestion de la série F et de la série FT du Fonds d’actions EAEO Manuvie seront réduits de 0,08 %, avec prise d’effet après la fermeture des bureaux à cette même date.

L’article Fusion et modification de fonds chez Manuvie est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Investissements Manuvie : modifications aux équipes de gestion de portefeuille https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/investissements-manuvie-modifications-aux-equipes-de-gestion-de-portefeuille/ Mon, 06 Aug 2018 13:10:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=50027 NOUVELLES DU MONDE – Investissements Manuvie annonce la nomination de nouveaux sous-conseillers et gestionnaires de portefeuille pour onze organismes de placement collectif de sa plateforme.

L’article Investissements Manuvie : modifications aux équipes de gestion de portefeuille est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Depuis le 1er août 2018, Kenglin Tan, un membre de l’équipe de placement Asie-Pacifique, remplace Linda Csellak à titre de gestionnaire de portefeuille et gestionnaire du fonds Catégorie d’actions asiatiques Manuvie. Kenglin Tan travaille pour Gestion d’actifs Manuvie depuis 2006 et compte 18 ans d’expérience dans le secteur des placements.

Vers le 4 septembre prochain, Manulife Asset Management (US) LLC sera le sous-conseiller en valeurs du Fonds de croissance de dividendes mondiaux Manuvie et Catégorie de croissance de dividendes mondiaux Manuvie. Paul Boyne en deviendra le nouveau gestionnaire de portefeuille en chef.  Il compte une vaste expérience en gestion de titres de capitaux propres mondiaux axés sur les dividendes. Standard Life Investments Limited et Standard Life Investments (USA) Limited (connus maintenant sous la dénomination Aberdeen Standard Investments) n’agiront plus à titre de sous-conseillers de ces fonds.

À la même date, Fonds d’actions mondiales sans restriction Manuvie et Catégorie d’actions mondiales sans restriction Manuvie seront gérés par Jonathan White, directeur général et gestionnaire de portefeuille principal, et Sandy Sanders, directeur général principal et gestionnaire de portefeuille principal. Manulife Asset Management (US) LLC agira maintenant à titre de sous-conseiller en valeurs de ce fonds à la place de Standard Life Investments (USA) Limited.

Aux alentours du 31 octobre 2018, Pictet Asset Management Limited, un gestionnaire d’actifs indépendant établi en Suisse, deviendra le sous-conseiller en valeurs du Fonds d’appréciation d’actions internationales Manuvie et Fonds ciblé international Manuvie. Ces fonds seront gérés par Fabio Paolini, chef des actions EAEO, et Benjamin Beneche, gestionnaire de placement principal, chez Pictet Asset Management Limited. Manulife Asset Management (US) LLC n’agira plus à titre de sous-conseiller de ces fonds.

Finalement, Doug McGraw, directeur général est gestionnaire de portefeuille, a décidé de quitter Investissements Manuvie. Ainsi, à compter du quatrième trimestre de 2018 Paul Boyne deviendra gestionnaire en chef des fonds dont Doug McGraw s’occupait, à savoir : Fonds de dividendes mondiaux Manuvie, Catégorie de dividendes mondiaux Manuvie, Fonds équilibré mondial à rendement stratégique Manuvie et Fonds ciblé mondial toutes capitalisations Manuvie. Doug McGraw continuera toutefois d’exercer ses fonctions au cours de ce trimestre pour faciliter la transition. Paul Boyne continuera également d’agir à titre de chef de l’équipe des actions mondiales.

Notons qu’aucun changement n’est apporté aux objectifs de placement de ces différents fonds.

L’article Investissements Manuvie : modifications aux équipes de gestion de portefeuille est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Conseiller en finances et en mariage https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/conseiller-en-finances-et-en-mariage/ Tue, 31 Jul 2018 15:14:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=49889 Le conseiller en services financiers joue non seulement le rôle d’analyste des besoins financiers de ses clients, il peut également aider à ouvrir la discussion sur les finances conjugales.

L’article Conseiller en finances et en mariage est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Ce rôle peut devenir important lorsqu’on sait que 20 % des Canadiens mariés ou vivant en union de fait avouent que leur partenaire de vie ignore à combien s’élèvent leurs dettes, selon une étude faite par Ipsos pour le compte de la Banque Manuvie. 

«Deux [Canadiens] sur dix admettent qu’ils tentent d’ignorer tout simplement les problèmes financiers, pratiquant la politique de l’autruche à l’égard de leurs finances», écrit la Banque Manuvie dans le rapport sur les résultats de l’étude. 

Ce genre de comportement peut mettre en péril la planification financière à long terme de la famille. Il ne s’agit d’ailleurs pas de la seule cachotterie que certains Canadiens endettés font à leur conjoint. 

En effet, un Canadien endetté sur dix a complètement caché le coût d’un achat important à leur partenaire et un répondant sur dix a affirmé avoir menti à propos du coût de l’achat. 

 Près du deux tiers de ces achats (63 %) avaient une valeur inférieure à 1000 $, mais 8 % des hommes consultés ont réussi à cacher un achat d’une valeur égale ou supérieure à 15 000 $.

 «Près d’un quart des Québécois endettés ont avoué avoir caché un achat important à un être cher. C’est presque 60% de plus que la moyenne canadienne! On doit apprendre à en parler et à avoir une discussion franche et ouverte sur ces sujets», dit Richard Payette, président et chef de la direction de Manuvie Québec. 

 Le sondage d’Ipsos a été mené en ligne auprès de 2 003 Canadiens de toutes les provinces, âgés de 20 à 69 ans et dont le ménage a un revenu supérieur à 40 000 $. 

L’article Conseiller en finances et en mariage est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>