Groupe TMX – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 05 Jan 2024 19:57:09 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Groupe TMX – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Le Groupe TMX fait l’acquisition de VettaFi https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-groupe-tmx-fait-lacquisition-de-vettafi/ Mon, 08 Jan 2024 10:56:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98322 Il détenait déjà près du quart de l’entreprise.

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Le Groupe TMX a complété l’acquisition de VettaFi Holdings LLC. En décembre 2023, il a en effet réalisé l’acquisition de la tranche résiduelle d’environ 78 % des parts ordinaires de VettaFi, une société établie aux États-Unis qui est un leader en matière de création d’indices, de distribution numérique et d’analyse de données.

Le Groupe TMX a effectué un investissement stratégique dans VettaFi au premier semestre de 2023 qui lui a permis à ce moment d’acquérir environ 22 % des parts ordinaires de la société.

Cette acquisition devrait accélérer l’expansion mondiale à long terme du Groupe TMX et augmenter la part des produits tirés du segment Solutions globales, perspectives et stratégies d’analyse ainsi que de sources récurrentes, indique-t-on par communiqué.

« L’ajout de VettaFi augmente la profondeur et la valeur des services d’analyse fondée sur les données que le Groupe TMX offre à sa clientèle, accroît les capacités et l’expertise numériques de la société et enrichit son rôle de chef de file en matière de soutien aux émetteurs de FNB », peut-on lire.

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La Bourse de Montréal : un modèle à exporter https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/la-bourse-de-montreal-un-modele-a-exporter/ Thu, 21 Dec 2023 11:17:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98234 DÉVELOPPEMENT - Selon le président et chef de la direction, Luc Fortin.

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Avec une croissance soutenue, une internationalisation réussie et une volonté constante d’innover pour répondre aux besoins changeants du marché financier mondial, la Bourse de Montréal est un modèle à exporter, a indiqué Luc Fortin, son président et chef de la direction, invité en novembre par le Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM) à discuter des marchés boursiers et de la place des produits dérivés dans une économie innovante.

Celui qui est chef des activités globales de négociation du Groupe TMX estime que la réussite de la transformation du groupe repose sur une vision stratégique, une ouverture aux nouvelles technologies et une volonté constante de répondre aux besoins de sa clientèle.

Cette évolution passe par la nécessité de mondialiser les activités du Groupe TMX, en « attirant une clientèle globale avec des produits globaux ». Une étape essentielle, alors que plus de 50 % de l’activité du groupe provient désormais de clients internationaux, indique-t-il.

Pour se positionner sur ce marché, la Bourse de Montréal, spécialisée dans les produits dérivés, a pris les devants. Elle a étendu ses horaires pour être ouverte 20,5 heures par jour afin de répondre aux besoins de la clientèle internationale, en particulier celle de l’Asie. Malgré la volonté d’explorer de nouveaux marchés et de ne plus se cantonner au seul marché nord-américain, les États-Unis continuent d’occuper une place importante dans la stratégie du Groupe TMX, en raison de la présence de nombreuses banques canadiennes.

Transformation numérique

La Bourse de Montréal a pris le virage numérique au tournant des années 2000. Elle s’est alors spécialisée dans les produits dérivés, devenant la première bourse nord-américaine à échanger des contrats à terme de manière entièrement automatisée. La fusion avec la Bourse de Toronto et la Bourse de croissance TSX, en 2008, pour former le Groupe TMX, a marqué une étape importante de son développement. Elle a permis de consolider la position de Montréal sur le marché des produits dérivés et a ouvert la voie à de nouvelles opportunités.

Le marché des produits dérivés a connu une croissance accumulée d’environ 10 % en dix ans, signale Luc Fortin. Ce marché représente aujourd‘hui un capital actions de 4000 milliards de dollars (G$) et une activité de 1700 G$ en intérêts courus. Entre 650 000 et 700 000 contrats à terme se négocient chaque jour à la Bourse de Montréal grâce à la plateforme de négociation Sola, lancée en 2003 pour rivaliser avec le NY StockExchange et le NASDAQ. Développée à Montréal, cette plateforme sert également au Boston Options Exchange (Box). Le soutien technologique pour la plateforme américaine se fait entièrement à partir de Montréal.

La Bourse de croissance TSX constitue l’autre moteur de croissance du Groupe TMX. Depuis les 20 dernières années, plus de 700 petites sociétés ont gradué de la Bourse de croissance pour rejoindre les rangs du TSX. « Elle est un vecteur d’enrichissement, car la réussite des grandes entreprises permet aux plus petites de se financer », dit Luc Fortin.

Internationalisation

L’achat en 2012 de TMX par le groupe Mapple, un consortium composé d’investisseurs canadiens et québécois, a permis au groupe de se positionner face à la concurrence étrangère, alors que les Bourses du monde s’unissent pour attirer les capitaux et réaliser des économies d’échelle.

L’acquisition, quelques années plus tard, du britannique Trayport, un fournisseur mondial de solutions technologiques à l’intention des négociateurs, courtiers et bourses de produits énergétiques, a contribué à renforcer la position de la Bourse de Montréal sur la scène mondiale des produits énergétiques. Cette plateforme pourrait intéresser en particulier la clientèle de l’Asie, où il y a beaucoup d’occasions pour les commodités.

« La technologie est au cœur de l’innovation à la Bourse de Montréal », souligne Luc Fortin, ajoutant que l’utilisation de l’IA dans la négociation a déjà été testée avec succès aux États-Unis dans les nouvelles plateformes Alpha-X et Alpha DRK lancées le 7 novembre dernier. « Il y a énormément d’innovation qui se passe chez nous en création de produits dans l’espoir que la clientèle l’utilise. On écoute la clientèle et on livre le produit », indique-t-il. Cette approche constitue selon lui une clé importante dans le développement de la Bourse de Montréal.

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Le taux CORRA à terme bientôt lancé https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/le-taux-corra-a-terme-bientot-lance/ Tue, 15 Aug 2023 10:42:36 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95594 Le 5 septembre 2023.

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CanDeal Solutions d’indices de référence, un fournisseur d’administration des données de référence et de services connexes, a annoncé que le taux CORRA à terme prospectif à un et trois mois sera officiellement lancé le 5 septembre prochain.

CORRA signifie « Canadian Overnight Repo Rate Average », ou taux canadien moyen des opérations de pension à un jour.

Le taux CORRA à terme CanDeal/TMX a été conçu afin d’être un indice de référence conforme aux principes régissant les indices de référence financiers de l’Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV).

Le terme CORRA sera calculé et publié par CanDeal Solutions d’indices de référence à l’aide des données sur les prix et le commerce issues des contrats à terme de CORRA négociés à la Bourse de Montréal.

L’utilisation du taux sera limitée aux cas d’utilisation du terme CORRA élaborés par le Groupe de travail sur le taux de référence complémentaire pour le marché canadien (TARCOM), soit les prêts, les opérations de crédit commercial et les couvertures connexes fondées sur des produits.

Le taux de référence sera accessible gratuitement sur le site Web CanDeal Solutions d’indices de référence, sur une base de T+1, mais une licence octroyée par TMX Datalinx sera requise afin de consulter des données en temps réel ou de créer des contrats financiers ou des instruments fondés sur le taux CORRA à terme.

Selon le communiqué, CanDeal Solutions d’indices de référence a travaillé en collaboration avec le Groupe de travail sur le TARCOM pour adapter et mettre en œuvre la méthode de calcul recommandée par le TARCOM pour les taux de référence à terme de CORRA. Le prix des intrants du terme CORRA est fondé sur les contrats à terme réels, de même que sur les soumissions et les offres de contrats à terme de CORRA, ce qui en fait une mesure fiable des taux d’intérêt.

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Franklin Templeton Canada réorganise son portefeuille de fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/franklin-templeton-canada-reorganise-son-portefeuille-de-fonds/ Thu, 13 Jul 2023 11:07:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95019 PRODUITS – Plusieurs fonds ont été fusionnés.

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Le 7 juillet dernier, Franklin Templeton Canada a procédé à la fusion de certains de ses fonds d’investissement.

Les parts de chaque fonds, identifié comme un fonds dissous dans le tableau suivant, ont été échangées contre des parts du fonds correspondant sur une base imposable. Ces parts ont ensuite été radiées de la Bourse de Toronto (TSX) et ont été inscrites à la Bourse de Toronto sous le même symbole.

Pour consulter ce tableau en grand format, cliquez ici.

La fusion a été réalisée en transférant presque tous les actifs des fonds dissous vers les fonds prorogés, en gardant une part suffisante pour couvrir tout passif potentiel du fonds en dissolution. Ainsi, le nombre de parts du fonds prorogé est devenu équivalent à celui du fonds dissous.

Distributions finales

En date de la fusion, les porteurs de parts inscrits des fonds en dissolution ont reçu les distributions notionnelles finales en dollars canadiens comme indiqué dans le tableau plus bas.

Ces distributions n’ont pas été versées en espèces, mais ont été réinvesties dans des parts additionnelles. Elles ont été déclarées comme des distributions imposables, augmentant ainsi le prix de base ajusté des parts des fonds en dissolution.

Les parts additionnelles ont été immédiatement regroupées de façon à ce que le nombre de parts détenues par le porteur, les parts en circulation et la valeur liquidative de chaque fonds en dissolution ne soient pas modifiés en raison de la distribution réinvestie.

Pour consulter ce tableau en grand format, cliquez ici.

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L’AMF a eu du pain sur la planche en 2022 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/lamf-a-eu-du-pain-sur-la-planche-en-2022/ Mon, 19 Jun 2023 10:03:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94662 La majorité de l’information présentée par les firmes était non conforme.

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En 2022, l’Autorité des marchés financiers a exigé des améliorations ou des modifications pour 71 % des documents d’information transmis ou déposés par les quelque 260 émetteurs sous sa responsabilité, selon le sommaire annuel des activités de surveillance et de réglementation publié jeudi.

Les recommandations du régulateur ont porté principalement sur la conformité de l’information présentée dans les rapports de gestion et les sites Web au sujet des mesures financières non conformes aux principes comptables généralement reconnus (PCGR), les obligations relatives à l’information prospective prévues au Règlement 51-102, la conformité des états financiers aux normes internationales d’information financière (IFRS) et l’information financière d’une entreprise récemment acquise.

L’AMF a également exigé des modifications à l’information divulguée à propos de l’emploi du produit, des facteurs de risque, des enjeux relatifs à la situation financière de l’émetteur et des structures de capital-actions des sociétés.

Plusieurs émetteurs présentent les mesures financières d’une manière qui les rend confuses ou obscures, soulève le régulateur. Certaines firmes emploient des formules passe-partout pour expliquer l’utilité de ces mesures. Les estimations communiquées sur les carnets de commandes ne reposent pas toujours sur des commandes d’achat fermes. De plus, les firmes utilisent parfois une base à usage général dans la présentation des états financiers, ce qui ne permet pas de les comparer à d’autres.

Marché des capitaux au ralenti
L’année 2022 a été plus tranquille que 2021 sur le plan de la mobilisation des capitaux, notamment en raison de la hausse importante des taux d’intérêt et de l’inflation. « Cette situation nous a toutefois permis de concentrer nos efforts sur la réalisation des initiatives visant à moderniser l’encadrement réglementaire et optimiser nos activités de surveillance », a noté Hugo Lacroix, surintendant des marchés de valeurs de l’AMF.

L’année écoulée a vu ainsi une diminution importante du nombre de premiers appels publics à l’épargne et des sommes levées par les sociétés québécoises sur les marchés publics, a signalé Benoît Gascon, directeur principal du financement des sociétés de l’AMF.

La capitalisation boursière des sociétés québécoises a connu un recul de 9 %, passant de 744,8 milliards de dollars (G$) à 677,5 G$, tandis que sur le plan canadien, elle a enregistré une baisse de 12 %. Parallèlement, le nombre de sociétés québécoises inscrites à Bourse TSX ou TSXV a diminué de 3 %. On dénombrait par ailleurs 8 sociétés inscrites à la cote de la CSE et 12 à la cote du NASDAQ, comparativement à 10 et 13 en 2021. Au total, près de 300 prospectus ont été déposés au Canada.

Les entreprises minières québécoises ont tiré leur épingle du jeu. Elles ont levé deux fois plus de capitaux en 2022 par rapport à 2021, tandis que les placements des firmes technologiques ont chuté de 94 % durant la même période.

Présence des femmes

Autre constat : la représentation des femmes aux conseils d’administration des 58 sociétés inscrites à la Bourse de Toronto a progressé lentement depuis que leur présence est recensée. En 2022, 28 % des postes sur les CA de ces entreprises étaient occupés par des femmes, contre 18 % en 2015. De plus, 98 % de ces firmes avaient au moins une femme sur leur CA et 48 % en comptaient au moins trois en 2022, alors que ces proportions s’élevaient respectivement à 80 % et 20 % il y a 8 ans.

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Franklin Templeton Canada simplifiera sa gamme de fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/franklin-templeton-canada-simplifiera-sa-gamme-de-fonds/ Wed, 12 Apr 2023 10:55:50 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92915 PRODUITS - Si les neuf fusions de fonds sont approuvées.

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Franklin Templeton Canada compte simplifier sa gamme de produits en ajoutant la série FNB à certains fonds communs, plutôt que d’offrir des fonds négociés en Bourse (FNB) autonomes.

Dans ce but, la société de gestion de placement propose neuf fusions de fonds. Ces fusions feront l’objet d’un vote lors d’une assemblée extraordinaire des investisseurs qui se tiendra le 29 juin 2023, à Toronto.

Fusions de fonds proposées

Comme l’indique le tableau ci-dessous, Franklin Templeton Canada propose la fusion imposable de chaque FNB identifié comme un fonds en dissolution dans le fonds maintenu correspondant.

Chaque fonds en dissolution investit en ce moment la quasi-totalité de ses actifs dans le fonds maintenu correspondant. Les fusions proposées entreront en vigueur à la fermeture des bureaux, le 7 juillet 2023, ou vers cette date.

Pour voir le tableau en grand format, cliquez ici.

Nouvelle série de FNB

Une nouvelle série de parts de la série FNB sera cotée à la Bourse de Toronto pour chaque fonds maintenu, en remplacement des parts inscrites de chaque fonds en dissolution à compter du 10 juillet 2023, ou vers cette date.

Franklin Templeton Canada précise que la série de FNB de chaque fonds maintenu sera regroupée sous le même symbole et les frais généraux demeureront inchangés par rapport aux fonds en dissolution. Par conséquent, il n’y aura pas de changement au coût total de possession des investisseurs.

Changements de noms et fusions de fonds proposées

Le 8 août 2023, les fonds communs de série A, F et O seront ajoutés au FNB actif d’obligations totales mondiales Franklin (couvert en $ CA) (FLGA) et au FNB actif d’obligations à duration très courte Franklin Bissett (FHIS), qui seront renommés Fonds d’obligations de base mondiales Franklin et Fonds d’obligations à duration très courte Franklin Bissett, respectivement.

Franklin Templeton Canada propose la dissolution imposable du Fonds mondial d’obligations totales Franklin dans le FNB actif d’obligations totales mondiales Franklin (couvert en $ CA) (FLGA) à la fermeture des bureaux le 11 août 2023, ou vers cette date.

La fusion proposée du Fonds mondial d’obligations totales Franklin fera l’objet d’un vote lors de l’assemblée extraordinaire des investisseurs du 29 juin 2023 à Toronto. Le Fonds mondial d’obligations totales Franklin sera fermé aux nouveaux placements à compter du 28 mars 2023.

La société mentionne qu’elle absorbera tous les coûts et les frais associés aux fusions et qu’ils ne seront pas facturés aux investisseurs.

Si la fusion n’est pas approuvée

Si l’une des neuf propositions de dissolution de FNB dans un fonds commun n’est pas approuvée, le FNB concerné sera liquidé à la fermeture des bureaux le 14 juillet 2023, ou vers cette date.

Par la suite, Franklin Templeton Canada présentera une demande d’inscription de nouvelles parts de la série FNB des fonds maintenus, qui ont les mêmes objectifs et stratégies de placement que les FNB en dissolution.

Finalement, si la fusion proposée du Fonds mondial d’obligations totales Franklin (qui n’est pas coté en bourse) n’est pas approuvée, le Fonds sera liquidé à la fermeture des bureaux le 11 août 2023, ou vers cette date, puis l’actif net du fonds sera remis à ses épargnants. Les fonds communs de série A, F et O seront tout de même ajoutés au fonds maintenu.

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Luc Bertrand sera le prochain président du conseil de TMX https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/luc-bertrand-sera-le-prochain-president-du-conseil-de-tmx/ Fri, 24 Mar 2023 11:27:49 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92697 NOUVELLES DU MONDE - Son élection à ce poste est prévue le 2 mai.

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Luc Bertrand, qui est administrateur du Groupe TMX depuis 2011, occupera d’ici quelques semaines le siège de président du conseil d’administration.

L’ancien dirigeant de la Bourse de Montréal succédera à Charles Winograd, qui aura présidé le conseil pendant plus d’une décennie.

Ce dernier a déclaré que Luc Bertrand était le choix idéal pour prendre sa relève vu son « sens des affaires exceptionnel » et sa « connaissance approfondie du secteur » qui se sont révélés être de « formidables atouts » pour le conseil d’administration du Groupe TMX, propriétaire de la Bourse de Toronto et de la Bourse de Montréal, entre autres.

Pour sa part, Luc Bertrand a tenu à remercier Charles Winograd « pour sa collaboration et ses conseils au fil des ans » et s’est dit « heureux d’avoir la possibilité de diriger » le Groupe TMX dans ses objectifs de développement.

Luc Bertrand montre une longue feuille de route dans l’industrie financière au pays. Il a été président et chef de la direction de la Bourse de Montréal de 2000 à 2009. Il a également été le numéro deux de la Bourse de Toronto de 2008 à 2009. Par la suite, il a été chef de la direction de la Corporation d’Acquisition Groupe Maple de 2011 à 2012.

Sa carrière d’administrateur est également bien remplie. Il a présidé le conseil du Groupe CH (Canadien de Montréal) pendant 12 ans, soit de 2010 à 2022. Depuis 2016, il est président du conseil de 5NPlus, un leader québécois de la production de semiconducteurs.

En 2011, il a fait un retour aux sources en devenant vice-président du conseil de la Banque Nationale, où il avait travaillé au sein de la direction à la fin des années 1990. Il quittera ce poste à compter de l’assemblée annuelle et extraordinaire du Groupe TMX qui aura lieu le 2 mai.

Le chef de la direction du Groupe TMX, John McKenzie, a tenu à souligner les années de service exemplaire de Charles Winograd alors que l’opérateur boursier a traversé « une période de croissance transformationnelle prononcée au sein d’un environnement en mutation ».

Il est d’avis que Luc Bertrand est bien placé pour aider le Groupe TMX à réaliser ses objectifs stratégiques de croissance mondiale à long terme et propulser l’écosystème des marchés financiers canadiens vers « un succès durable ».

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Le legs d’un grand leader https://www.finance-investissement.com/edition-papier/actualite/le-legs-dun-grand-leader/ Wed, 23 Feb 2022 05:20:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=85447 Il tire une grande fierté de l’agilité de ses troupes.

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Avec ses équipes et partenaires, Louis Vachon a insufflé toute une poussée de croissance à la Banque Nationale du Canada (BN) alors qu’il en était le chef de la direction, de juin 2007 au 31 octobre 2021.

Durant cette période, l’actif bancaire est passé de 113 G$ en 2007 à 356 G$ à la fin de l’exercice 2021. Et les activités de tous ses secteurs ont accru leur rentabilité. Depuis le 1er juin 2007, l’action de la Banque Nationale a fourni un rendement total annualisé de 14 % au 31 octobre dernier. Par rapport à ses pairs, l’institution reste le chef de file quant au rendement total pour les actionnaires sur 3, 5, 10 et 20 ans, selon la BN.

Pour l’exercice 2021, la BN affiche un résultat net de 3,17 G$ et des revenus totaux de 8,9 G$, soit une croissance annuelle composée sur 6 ans de 11,1% et de 6,7% respectivement. De 2015 à 2021, le ratio des fonds propres de catégorie 1 sous forme d’actions ordinaires (CET1) est passé de 9,9% à 12,2 %, ce qui est bien supérieur aux normes réglementaires et montre la solidité financière de la banque.

En raison entre autres de la performance de son organisation, le jury du Top des leaders de l’industrie financière du Québec nomme Louis Vachon Personnalité financière de l’année 2021. Le jury lui accorde également une mention spéciale « pour sa carrière exceptionnelle, son leadership inspirant et son legs impressionnant pour la communauté financière du Québec ». C’est donc la troisième fois que Finance et Investissement lui décerne le titre de Personnalité financière de l’année.

« Il est arrivé en poste pendant une crise financière et a fait de la Banque Nationale une des entreprises les plus performantes au Canada. Le prix de l’action reflète la meilleure performance des dernières années », indique le jury.

« Pour l’exercice 2021, la Banque Nationale affiche une année incroyable. La majorité des indicateurs de performance sont très prometteurs », ajoute-t-il.

L’humain d’abord

Au-delà des chiffres, Louis Vachon est fier de la culture d’adaptabilité qu’il a favorisée à la BN. « [Cette culture] nous a bien servis durant la pandémie de COVID-19, les périodes de volatilité financière et les périodes de changements technologiques », dit Louis Vachon.

Par exemple, il se félicite de la proactivité de la BN qui, au printemps 2020, a alloué 500 $ à chacun de ses travailleurs afin qu’ils s’équipent pour le télétravail ou a versé une prime aux employés de première ligne ayant maintenu le service en personne.

« Comme équipe de gestion, mes collègues du bureau de la présidence et moi-même avons vraiment fait encore plus de communications que d’habitude. Les gens se sont sentis bien accompagnés et bien informés », souligne Louis Vachon. Résultat : les indices de mobilisation de la main-d’œuvre ont été à la hausse de 2019 à 2020. « Tout au long de l’exercice 2021, dans un contexte marqué par la poursuite de la pandémie, la Banque a continué de mettre le bien-être de ses employés et de ses clients au cœur de ses préoccupations. Le Conseil est fier de la compassion dont la Banque a fait preuve, fidèle à son engagement envers notre mission – prioriser “l’humain d’abord” », déclare Jean Houde, président du conseil d’administration de la BN, dans son rapport annuel.

Le jury du Top des leaders a également applaudi le fait « que la BN se donne des cibles de représentativité auprès des minorités visibles, personnes handicapées et autochtones » parmi ses employés et sa direction. Par exemple, elle vise de passer d’une représentativité des premières dans le bassin global d’employés de 23,2 % en 2020 à 26% en 2023 afin d’être le miroir de la société dans laquelle elle exerce ses activités.

« Quand une organisation se voit comme le reflet de sa communauté, elle part avec une longueur d’avance sur ses concurrents étrangers. Laurent Ferreira, premier président issu de l’immigration, est encore plus sensible à ce genre de choses que je ne le suis », explique Louis Vachon.

Quête d’équilibre

En revisitant certains événements qui ont jalonné sa présidence, Louis Vachon admet avoir répété ce mantra à ses équipes : « Il ne faut pas paniquer quand ça va mal et il ne faut pas se penser trop fin quand ça va bien. »

« La nature humaine est parfois un peu bipolaire. Viser l’équilibre est important », dit-il.

Ç’a été le cas entre autres au début de 2008, au pire de la crise financière. « On se faisait tirer dessus à boulets rouges dans les journaux à cause de l’histoire du papier commercial adossé à des actifs [PCAA] », se rappelle-t-il.

Afin de signifier aux employés les plus expérimentés qu’il a besoin d’eux, ce passionné d’histoire évoque l’impact qu’ont eu les vétérans de la légion romaine dans la bataille décisive contre Hannibal, le général carthaginois, à Zama, en 202 av. J.-C.

Les employés vétérans pouvaient relativiser la crise en la comparant avec les récessions de 1981-1982 ou de 1992. « Des crises, il y en a déjà eu, il va toujours y en avoir et on a toujours réussi à passer au travers. Juste là, en 10 secondes, tu peux calmer toute ta succursale », soutient Louis Vachon.

Même s’il n’a pas paniqué, Louis Vachon admet que la crise du PCAA, qui a débuté en 2007, a été l’épreuve la plus difficile de sa présidence.

« Cette crise était d’une ampleur et d’une complexité assez spéciales », dit-il. Avec d’autres acteurs, dont l’ancien dirigeant de la Caisse de dépôt et placement du Québec Henri-Paul Rousseau, la BN a joué un rôle dans l’Accord de Montréal qui a mené à une restructuration du PCAA.

« Notre perception était que la majorité du papier était de bonne qualité. Le problème est qu’il y avait des actifs de 10 ans qui étaient financés avec du papier de 3 mois. Un classique. On a converti du papier de 3 mois en du papier de 10 ans », explique Louis Vachon. La restructuration a permis de préserver 95,6% de la valeur économique du PCAA.

La BN « a récupéré une grande partie de ses billes », mais a engagé d’autres coûts afin de protéger ses clients, notamment en rachetant les titres aux petits porteurs, et d’aider ses clients commerciaux et d’affaires qui avaient du PCAA en leur donnant des liquidités.

Par ailleurs, Louis Vachon se félicite de la participation de la BN à l’achat du Groupe TMX par le consortium canadien Maple en 2012, ce qui a bloqué le projet de fusion avec le groupe London Stock Exchange (LSE). « La décision stratégique a été complètement validée au cours des 10 dernières années. Le LSE a tellement fait une mauvaise job à gérer la Bourse de Milan, en Italie, qu’il l’a vendue », lance-t-il.

Selon lui, le fait qu’on garde le siège social du TMX au Canada est « une très bonne décision », ce que confirme par ailleurs sa bonne performance financière.

La création de la division internationale de la Banque au milieu des années 2010 est un legs de sa présidence. Il qualifie d’ailleurs de « coup de circuit financier »ses investissements dans la société américaine de financement spécialisé Credigy ainsi que dans l’institution financière Advanced Bank of Asia, établie au Cambodge. La BN s’est jointe à l’actionnariat de cette dernière en 2014, pour progressivement augmenter sa participation au fil des ans, jusqu’à en prendre le contrôle en mai 2016. En décembre 2020, la BN haussait à 100 % sa participation dans Credigy, qui s’adresse aux entreprises de technologie financière (fintechs).

Bien que ces acquisitions se soient avérées des investissements profitables, Louis Vachon admet avoir mal communiqué sa stratégie internationale en 2015. « Ç’a créé beaucoup de confusion parmi nos investisseurs. La volatilité de notre action en 2015 et 2016, ç’a été à cause de cela [et aussi en raison de la baisse du prix du pétrole] », note-t-il.

D’ailleurs, alors qu’au premier trimestre de 2015 les prêts destinés aux producteurs et aux fournisseurs de services du secteur du pétrole et du gaz naturel représentaient 3,7 % de l’ensemble des prêts de la BN, cette proportion était de 1% à la fin de l’exercice 2021.

Louis Vachon parle de diminution contrôlée pour une transition vers les énergies renouvelables, secteur auquel la BN a accru son exposition depuis 2015.

À la défense du Québec

Sa plus grande fierté? Que la performance de la BN ait contribué en partie à une réévaluation dans l’opinion anglo-saxonne de l’économie du Québec dans les marchés financiers internationaux, « Quand je suis arrivé à la présidence, le Québec était perçu comme étant endetté, trop socialiste, ayant un agenda nationaliste et donc étant condamné à sous-performer sur le plan économique. Quinze ans plus tard, le Québec a une cote de crédit supérieure à celle de l’Ontario, une performance économique très bonne et une croissance démographique qui fait l’envie de n’importe quel pays d’Europe. »

Il tire une grande fierté du fait que ses collègues et lui ont « toujours défendu le Québec, même quand ce n’était pas à la mode », entre autres par leurs publications économiques et les conférences prononcées dans les métropoles canadiennes.

Louis Vachon le répète : il ne faut pas s’asseoir sur ses lauriers. Les récents progrès technologiques rendent certaines activités bancaires vulnérables à la fragmentation du système financier qui permet à certains petits acteurs de s’illustrer dans des niches. C’est le cas des activités de paiement et, dans une moindre mesure, de l’intermédiation du crédit.

Or, il demeure sceptique sur le fait qu’une plateforme informatique parvienne, lors d’une crise financière, à se substituer au bilan d’une banque comme outil d’intermédiation de crédit. « C’est une vision technologiste et simpliste. Gérer le bilan d’une banque est d’une grande complexité. Tu fais quoi si tous les emprunteurs veulent emprunter à cinq ans fixes et tous les épargnants veulent du taux flottant? Qui va gérer les écarts de liquidité, les écarts de risque de taux d’intérêt. Un superordinateur ? »

Moins vulnérable à une révolution technologique, le secteur de la gestion de patrimoine reste sujet à ses propres tendances en matière de fragmentation de la finance. Par exemple, Banque Nationale Réseau Indépendant (BNRI), fournisseur de services de garde de valeurs, d’exécution d’ordres et de solutions de courtage pour les firmes de gestion de patrimoine indépendantes, joue un rôle important afin de servir les nouvelles firmes de ce secteur qui ont vu le jour aux États-Unis et au Canada.

À ce chapitre, Louis Vachon défend BNRI face aux critiques de certains de ses utilisateurs : « Il y a des choses qui doivent être améliorées. L’équipe travaille très fort. Sauf que c’est facile de critiquer [BNRI], c’est le leader incontesté dans le marché. »

Avec la récente prise de contrôle de la société d’agrégation de données Flinks, la BN entend également profiter de la tendance vers le système bancaire ouvert (open banking). Alors que cette firme sert des sociétés de fintechs, Credigy peut également financer les activités de ces fintechs. « Nous, ça nous permet de bénéficier de la fragmentation de la finance et non d’en être victimes, parce qu’on offre des services à ces firmes. »

D’ailleurs, souligne Louis Vachon, s’ils continuent d’accompagner leur client dans les périodes difficiles, les conseillers ne seront jamais victimes des robots s’ils font ceci:» Garder leur client investi dans le marché durant les périodes de volatilité, pour l’empêcher de vendre au pire moment. »

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La Bourse de Montréal prolonge son horaire de négociation pour les marchés de l’Asie-Pacifique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-bourse-de-montreal-prolonge-son-horaire-de-negociation-pour-les-marches-de-lasie-pacifique/ Wed, 29 Sep 2021 12:09:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=82429 Les investisseurs étrangers disposent ainsi d’un meilleur accès aux marchés canadiens.

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Face à la demande mondiale croissante pour les produits dérivés canadiens, la Bourse de Montréal (MX) a décidé de prolonger son horaire de négociation pour permettre aux investisseurs de la région Asie-Pacifique de gérer leur exposition aux marchés canadiens et d’exécuter des stratégies intermarchés selon leur heure locale, et ce, presque 24 heures sur 24.

« Conformément à la tendance du flux des capitaux à l’échelle mondiale, les caisses de retraite en Asie ont augmenté de façon importante leur exposition aux marchés internationaux », explique Luc Fortin, président et chef de la direction de la Bourse de Montréal et chef, activités globales de négociation, Groupe TMX.

« Désormais, l’horaire de négociation prolongé à la MX nous permettra d’être davantage en phase avec nos homologues mondiaux, d’accroître notre notoriété internationale et, ce faisant, d’augmenter le nombre de clients qui font affaire avec nous », ajoute-t-il.

La disponibilité des produits de la MX durant les heures de bureau en Asie permettra aux investisseurs et aux gestionnaires de risque de négocier les produits de référence du Canada sur la base de la valeur relative par rapport à d’autres marchés, dont l’Australie et le Japon. Le projet de prolongation de l’horaire de négociation a également pour but d’accélérer les plans d’expansion mondiale de la MX, grâce à la diversification de son bassin de clients et à l’établissement de nouveaux centres de liquidité.

Rappelons qu’en 2018, la Bourse de Montréal avait prolongé l’horaire de négociation à l’heure locale de Londres, une initiative « couronnée de succès ».

Les investisseurs étrangers peuvent négocier à la Bourse de Montréal à l’heure d’ouverture de leur bourse locale de 20 h (HE) à 16 h 30 (HE).

Ils ont accès à la gamme complète de produits dérivés sur taux d’intérêt de la MX ainsi que les produits dérivés sur actions.

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Le Groupe TMX acquiert la Société de fiducie AST https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-groupe-tmx-acquiert-la-societe-de-fiducie-ast/ Fri, 20 Aug 2021 12:10:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=81590 Pour 165 millions de dollars.

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Le Groupe TMX conclut l’acquisition de Services aux investisseurs AST (Canada) et de sa filiale, Société de fiducie AST (Canada), un important fournisseur de services d’agent des transferts, de services fiduciaires aux entreprises et d’autres services connexes pour 165 millions de dollars (M$), dont 30 M$ en trésorerie.

La société compte environ 150 employés, répartis dans leurs bureaux de Toronto, Montréal, Calgary et Vancouver.

Cette acquisition a pour but d’améliorer la compétitivité des activités de la Compagnie Trust TSX en ajoutant un portefeuille complémentaire de services d’agent des transferts, de solutions de régimes d’employés, de services fiduciaires aux entreprises, de services liés au financement structuré ainsi que de services liés aux procurations.

La transaction qui vient de se conclure avait été annoncée pour la première fois en septembre 2020.

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