CIRANO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 24 Feb 2023 12:10:44 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png CIRANO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Travail hybride : les employés préfèrent et de loin cette formule… https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/travail-hybride-les-employes-preferent-et-de-loin-cette-formule/ Fri, 24 Feb 2023 12:10:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92021 Mais les employeurs souhaitent leur retour au bureau.

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En matière de télétravail, employés et patrons ne sont pas sur la même longueur d’onde. Pour les premiers, le travail hybride est devenu un prérequis à l’emploi. De leur côté, les dirigeants souhaitent plutôt un retour au bureau plus fréquent.

C’est ce que révèle la deuxième édition de l’enquête Hybrid Work Study (Étude sur le travail hybride), menée par Cisco Canada.

Pour une majorité d’employés (81 %), les politiques de travail flexible influencent leur décision de conserver ou de quitter un emploi. Elles arrivent au deuxième rang de leurs priorités (23 %) pas très loin après le salaire (34 %).

Par ailleurs, le télétravail a un « impact positif » sur l’équilibre entre vie professionnelle et personnelle pour 85 % des répondants du Québec, soit le plus haut taux au pays, la moyenne nationale s’établissant à 79 %.

Il est aussi bon pour les finances. Une précédente étude de Cisco révélait que les employés économisent en moyenne 11 100 $ par année lorsqu’ils travaillent selon un modèle hybride.

Les employeurs semblent toutefois avoir de la difficulté à suivre le rythme. Près de deux employeurs sur trois (61 %) imposent ou prévoient imposer un nombre obligatoire de jours au bureau par semaine. À ce chapitre, les employeurs québécois se démarquent. Seulement 56 % des entreprises d’ici manifestent cette intention, comparativement à 73 % en Ontario.

Par ailleurs, 30 % des entreprises canadiennes sondées ont également déclaré attendre des employés qu’ils se rapprochent de leur lieu de travail s’ils vivent trop loin pour faire la navette.

Des employés plus engagés

Ils auraient peut-être avantage à revoir leur position. En effet, une vaste enquête du Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO) sur les diverses facettes du travail hybride démontre que les employés qui travaillent à distance ont un niveau d’engagement plus élevé envers leur entreprise que ceux qui sont présents au bureau tous les jours.

Cela vient contredire une inquiétude souvent exprimée par les employeurs selon qui le télétravail nuirait au sentiment d’appartenance des employés envers leur organisation.

Plus de 10 000 employés ont répondu à l’enquête de CIRANO menée entre juin et août 2022. Parmi eux, près de la moitié (48,9 %) travaillent à distance trois ou quatre jours par semaine. Ils sont près de 14 % à le faire tout au long de la semaine.

La presque totalité (92 %) de ceux qui font du télétravail considèrent être plus performants en faisant autant ou plus d’heures de travail par jour que s’ils étaient au bureau. Ceux qui travaillent majoritairement à distance (de trois à cinq jours par semaine) expriment également une satisfaction au travail plus élevée que ceux qui vont au bureau trois à la même fréquence.

Progression de carrière

Par ailleurs, le télétravail serait moins un frein au développement de la carrière qu’auparavant. Selon l’étude de Cisco, un peu plus du tiers (38 %) des répondants pensent que l’éloignement du bureau a un impact négatif sur la progression de carrière. C’est moins qu’en 2021 alors que 46 % des employés exprimaient cette crainte. Il semble donc que la préoccupation persiste, mais avec moins de force au fur et à mesure que le modèle de travail hybride se répand.

Encore là, les employeurs n’ont pas les mêmes vues que leurs employés. La moitié (49 %) des dirigeants considèrent que les possibilités de promotion sont égales pour ceux qui travaillent principalement à distance ou au bureau.

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Les femmes contrôleront près de la moitié des richesses canadiennes en 2028 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-femmes-controleront-pres-de-la-moitie-des-richesses-canadiennes-en-2028/ Mon, 08 Mar 2021 13:08:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=78381 Mais les défis sont encore nombreux.

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D’ici 2028, 42 % de la richesse au Canada sera contrôlée par les femmes, comparativement à 35 % en 2016, selon Investor Economics.

Cette progression est imputable à plusieurs facteurs : comme l’augmentation du nombre de femmes sur le marché du travail au cours de la dernière décennie et aux actifs que les femmes recevront en héritage au Canada, un transfert estimé à 900 milliards de dollars (G$) entre 2016 et 2026.

Malgré cela, les femmes doivent faire face à de nombreux défis pour atteindre l’égalité entre les sexes et l’autonomie financière.

« Au Québec comme ailleurs au Canada, la majorité des femmes font toujours face à des inégalités économiques qui affectent leur autonomie financière. Toutefois, il y a une embellie à l’horizon », commentait ainsi Sophie Sylvain, planificatrice financière chez Desjardins Gestion de patrimoine à l’occasion de la Journée internationale des femmes.

Effectivement, les inégalités ne sont pas encore de l’histoire ancienne. Le revenu médian des Canadiennes est encore inférieur à celui des Canadiens, et ce, peu importe leur niveau de scolarité ou la région du pays où elles habitent.

Ainsi, si l’on étudie le revenu d’emploi médian par niveaux de scolarité des Québécoises de 25 à 65 ans travaillant à temps plein, on constate que les femmes gagnent en moyenne 25 % de moins que les hommes et ce, peu importe leur niveau d’étude.

Par exemple, pour les femmes ayant une scolarité primaire-secondaire, la différence de revenu avec leurs homologues masculins est de 25 %; pour celles possédant un diplôme professionnel ou collégial, la différence est de 23 %; et celle-ci augmente à 26 % pour les femmes possédant un baccalauréat.

Ces écarts ont un impact négatif sur l’épargne des Canadiennes et leurs droits de cotisation au REER par rapport aux épargnants de sexe masculin.

Cette tendance se voit également sur les rentes du RRQ. Les rentes versées aux femmes étaient 19 % inférieures à celles versées aux hommes en 2017. Cette différence peut notamment s’expliquer par leur revenu inférieur, ou d’éventuels retraits du marché du travail, par exemple pour des raisons familiales.

La planification, une façon d’inverser la tendance

Pour aider les femmes à obtenir leur autonomie financière, Sophie Sylvain souligne l’importance de la planification budgétaire, de la retraite et de la protection du patrimoine. Voici quelques conseils que vous pourriez donner à vos clientes pour leur rappeler l’importance de travailler avec un conseiller ou les aider à avoir davantage d’indépendance en matière de finance.

En matière de planification financière, Sophie Sylvain souligne que seules 23 % des femmes sont impliquées dans la gestion de leurs finances. S’impliquer davantage leur permettrait d’améliorer leurs connaissances financières, surtout que seules 31 % des Canadiennes estiment avoir de bonnes connaissances en la matière.

Sophie Sylvain conseille également aux femmes de se doter d’un plan financier personnalisé et d’avoir recours aux virements préautorisés. Faire affaire avec un conseiller pourrait également les aider à accroître leurs actifs cumulés, comme le démontre une étude de CIRANO.

En ce qui concerne la retraite, Sophie Sylvain estime qu’il est bon de recommander aux femmes qui peuvent se le permettre de reporter le versement de la rente du Régime de rentes du Québec, qui se verra bonifiée au-delà de l’âge de 65 ans.

Finalement, en matière de protection de patrimoine, Sophie Sylvain rappelle qu’il est judicieux de prévoir un testament pour protéger le conjoint survivant, qui est la plupart du temps la femme en raison de leur espérance de vie plus longue.

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Les finances personnelles contaminées par la pandémie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-finances-personnelles-contaminees-par-la-pandemie/ Tue, 09 Jun 2020 12:13:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=66972 Une étude menée, entre autres, par CIRANO, tente de mesurer l’impact de la COVID-19 sur les ménages québécois.

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Un nombre important de foyers au Québec ont été frappés par des pertes d’emplois ou des baisses de salaire, révèle cette récente étude menée par le CIRANO, la Chaire de recherche sur les enjeux économiques intergénérationnels (CREEi) et l’Institut sur la retraite et l’épargne (IRE) de HEC Montréal.

En prenant l’année 2019 comme point de référence « pré-pandémie » et avril 2020 pour mesurer la situation « durant la pandémie », le sondage montre que 20,5 % des hommes sondés et 23,9 % des femmes ont été mis à pied en avril 2020. Tandis que 32 % des répondants ont travaillé moins d’heures en avril.

Au final, près du tiers des ménages (29,5 %) ont vécu un changement de statut d’emploi cette année en raison de la COVID-19, que ce soit par le répondant, son conjoint ou les deux.

Une baisse des revenus et de la consommation

Comme on pouvait s’y attendre, ces effets sur l’emploi ont impacté les revenus des ménages. Plus de la moitié (55,5 %) ont connu une baisse de leur rémunération d’en moyenne 22,2 %.

Les dépenses des ménages au Québec, frappé par ces effets, ont diminué de 7,5 % entre 2019 et avril 2020. En moyenne, les dépenses du tiers des ménages (33,6 %) étaient inférieures à la moyenne de 2019. Parmi ceux-ci les dépenses ont chuté de près du quart (23 %).

On peut noter également que depuis 2020, 18,2 % ont manqué ou reporté un paiement de loyer ou sur un produit de crédit (hypothèque, carte de crédit ou autre prêt). Il est intéressant de noter que les ménages propriétaires ont principalement agi sur leurs paiements hypothécaires (17,5 % d’entre eux). Les autres ont surtout agi sur les autres produits comme les cartes de crédit (13,8 % d’entre eux).

Finalement, 15,3 % des sondés ont déclaré avoir demandé la Prestation canadienne d’urgence (PCU), au moment de l’enquête.

Les résultats du sondage montrent finalement que malgré le choc important qu’a eu la pandémie sur le marché du travail, les revenus et les dépenses de l’ensemble des ménages ont comparativement moins diminué en avril 2020. Ceci pourrait suggérer que les ménages ont des façons de lisser leurs dépenses, proposent les organismes qui ont mené le sondage, ou que les pleins effets du choc pourraient encore venir.

Cette étude a été réalisée en ligne, entre le 8 et le 20 mai 2020, auprès de 3 009 répondants québécois de 25 à 64 ans par l’entremise du panel Web Qu’en pensez-vous? de la firme Delvinia. Les résultats ont été pondérés à l’aide du Recensement de 2016 de Statistique Canada.

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La Caisse a un nouveau responsable de la recherche https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-caisse-a-un-nouveau-responsable-de-la-recherche/ Thu, 31 Jan 2019 13:19:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=55968 NOUVELLES DU MONDE - Patrick de Roy chapeaute dorénavant la totalité de la recherche menée à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). Cette recherche couvre tous les secteurs à travers toutes les zones géographiques.

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À travers une riche carrière entamée à la fin des années quatre-vingt-dix, ce diplômé de l’université Laval en actuariat a touché à plusieurs facettes du monde du placement au sein d’entreprises renommées.

La page LinkedIn de Patrick de Roy fait état de son expertise en matière de développement d’outils de construction de portefeuille, d’implantation de structures de gestion et d’élaboration de stratégies intégrées de gestion des risques.

La CDPQ l’a initialement embauché à l’automne 2016 à titre de vice-président principal, Recherche – Déposants et Portefeuille global. Depuis ce temps, il a participé à diverses structures d’influence de la CDPQ dont le comité d’investissement de la répartition de l’actif, le comité investissement-risques et le Réseau Innovation.

Il a déjà été chef des placements et de la gestion des risques au bureau de Montréal d’Eckler (2014-2016); gestionnaire de portefeuille institutionnel chez Fidelity, autrefois Pyramis Global Advisors (2013-2014); associé et chef de la pratique nationale de la gestion des risques chez Morneau Shepell (2011-2013); stratège actif-passif pour les Amériques et chef des solutions retraite Canada chez UBS gestion d’actifs (2009-2011).

Très impliqué dans sa communauté professionnelle, Patrick De Roy a fait partie de divers comités à l’Institut canadien de la retraite et des avantages sociaux et à l’Institut canadien des actuaires. Il fait actuellement partie du conseil d’administration du CIRANO. Il a été membre du conseil de CFA Montréal de 2016 è 2018.

Le site de la Fondation Pierre Elliott Trudeau signale que Patrick De Roy est membre externe de son comité des finances et des investissements.

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Disparités salariales entre les mères et les femmes sans enfant au Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/disparites-salariales-entre-les-meres-et-les-femmes-sans-enfant-au-canada/ Tue, 20 Mar 2018 12:55:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=46009 Bien que l’on entende plus souvent parler des différences de revenus entre les hommes et les femmes, il existe également des disparités salariales entre les femmes selon leur statut familial.

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Les mères auraient un salaire moins élevé que les femmes sans enfant, conclut un rapport du Centre Interuniversitaire de Recherche en Analyse des Organisations (CIRANO).

Si cet écart salarial est moins marqué au Québec que dans le reste du Canada en raison de sa politique familiale jugée parmi les plus généreuses au monde, il y existe tout de même des disparités importantes.

La pénalité liée à la maternité est effectivement moins élevée au Québec que dans le reste du pays. Si au Québec leur salaire est 2,5% moins élevé que ceux des femmes sans enfant, les mères du reste du Canada gagnent en moyenne 6,3% de moins que les autres femmes.

Certains groupes de femmes sont particulièrement atteints par ces disparités. Ainsi, au Québec, les mères dont le niveau d’éducation est moins élevé gagnent en moyenne 8,8% de moins que les autres femmes et les mères monoparentales ont une pénalité d’environ 9,9%.

Plus le nombre d’enfants est élevé, plus les pénalités le sont. Ainsi, les mères québécoises qui ont trois enfants ou plus ont des revenus de 10 à 23% moins élevés que les autres femmes.

La situation salariale finit par s’égaliser avec les années, mais selon la région, cela prend plus au moins de temps. Ainsi cela prend environ quatre ans aux mères québécoises pour retrouver un salaire équivalent aux femmes sans enfant, comparativement aux mères canadiennes qui doivent attendre environ 12 ans.

Pour les hommes, la situation semble être inversée. Les pères ont un revenu plus élevé que les hommes sans enfant. Cependant, étant donné que le salaire des hommes n’augmente pas à la naissance du premier enfant, cette différence est plutôt le fait d’une sélection différentielle entre ces deux catégories de travailleurs que d’un bonus directement lié à la paternité.

Cette étude est basée sur deux sources de données de Statistique Canada : l’Enquête sociale générale (2001 – 2006 -2011) et l’Enquête longitudinale et internationale des adultes (2012).

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Avoir un conseiller fait du client un meilleur épargnant https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/avoir-un-conseiller-fait-du-client-un-meilleur-epargnant/ Wed, 26 Oct 2016 08:21:13 +0000 https://stg-avatar.finance-investissement.com/uncategorized/avoir-un-conseiller-fait-du-client-un-meilleur-epargnant/ Le conseiller amène de la valeur, non pas par ses conseils d'investissement en particulier, mais plutôt par le fait qu'il amène discipline et croissance à l'épargne des ménages qu'ils desservent, selon une nouvelle étude de Claude Mont Marquette et Nathalie Viennot-Briot du Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO).

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« L’impact positif de la présence du conseiller provient de facteurs autres qu’une bonne sélection de titres, soit une augmentation du taux d’épargne, une meilleure diversification du portefeuille et des investissements plus fiscalement efficaces », écrivent les deux chercheurs.

Les deux chercheurs, qui avaient mené une étude sur la valeur du conseil en 2010, ont répété l’expérience en 2014 et présenteront cette semaine les résultats de leurs recherches lors d’un séminaire organisé par le Conseil des fonds d’investissement du Québec (CFIQ).

« Une nouvelle question a été ajoutée au questionnaire afin d’identifier qui approchait qui pour offrir, ou demander, du conseil, écrivent les deux chercheurs. Est-ce que le conseil financier améliore la richesse des ménages ou est que c’est la richesse des ménages qui attire le conseil?»

Grâce au « questionnaire amélioré », les chercheurs estiment que 85 % des ménages ayant un conseiller l’ont choisi et n’ont pas été approchés par lui: « Cette statistique importante valide notre hypothèse sur la relation de causalité entre le fait d’avoir un conseiller et le fait d’être plus riche.»

Les chercheurs ont pu déterminer que la présence d’un conseiller dans la vie financière d’un ménage se fait sentir dès les quatre premières années: « Pour des individus comparables, ceux qui avaient un conseiller depuis au moins quatre ans avaient au moins 69 % plus d’actifs financiers que ceux qui n’avaient pas de conseiller.»

La valeur additionnelle atteint 290 % pour les ménages qui ont un conseiller depuis 15 ans ou plus. Dans l’étude de 2010, on notait une différence de 58 % dans les actifs financiers après quatre ans et de 173 % après quinze ans.

Leur rapport, intitulé The Gamma Factor and the Value of Financial Advice, est disponible sur le site du CIRANO.

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