Banque Laurentienne | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/banque-laurentienne/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 15 Sep 2025 04:58:59 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Banque Laurentienne | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/banque-laurentienne/ 32 32 Pilote de la croissance d’iAGPP https://www.finance-investissement.com/edition-papier/nouvelles-edition-papier/pilote-de-la-croissance-diagpp/ Mon, 15 Sep 2025 04:06:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109550 Il transforme chaque défi en occasion de grandir.

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« Ne pas attendre d’être prêt à 100 % avant de saisir une opportunité. Il faut sauter lorsqu’elle se présente. » C’est la philosophie de carrière d’Adam Elliott, président et chef de la direction d’iA Gestion privée de patrimoine (iAGPP). Cette approche a guidé ce diplômé en histoire de l’Université McGill depuis ses premiers pas dans le secteur financier britannique jusqu’à la tête de l’un des plus importants courtiers au Canada.

Né à Pointe-Claire dans l’ouest de l’île de Montréal, Adam Elliott a grandi dans un environnement où l’éducation occupait une place centrale. Ses deux parents enseignaient au cégep John Abbott, et ses deux sœurs ont embrassé la médecine. Lui a choisi une voie différente, ce qui « n’a pas complètement enthousiasmé ses parents » au départ. Inscrit en histoire et science politique à McGill, il n’avait pas initialement la finance en tête. C’est un oncle travaillant dans le secteur financier à Londres qui a changé la donne en l’invitant à effectuer des stages d’été outre-Atlantique.

« À la fin du premier stage, cet oncle m’a proposé un poste à la fin de mes études à condition que je suive quelques formations supplémentaires. Une semaine après avoir obtenu mon baccalauréat, j’ai donc déménagé à Londres pour commencer ma carrière dans l’assurance, avant de passer rapidement à la finance », raconte Adam Elliott.

Cette expérience européenne lui a offert un cours intensif sur les risques du marché et l’impact de la politique sur l’économie, notamment pendant la crise financière russe de 1998. Pour lui, le lien entre histoire, économie et finance est évident. « Comme investisseur, c’est très important d’avoir une bonne connaissance de l’histoire et de la politique », dit-il.

De retour au Canada en 2000, il s’installe à Toronto et entame une carrière de 18 ans chez Fonds Dynamique (acquis par Scotia en 2011), d’abord comme vice-président senior au développement commercial puis vice-président régional pour l’Ontario. En parallèle, il suit plusieurs formations spécialisées (valeurs mobilières, fonds spéculatifs, etc.).

En 2018, il se joint à iA lors du rachat de HollisWealth par l’assureur. Après avoir fait partie de l’équipe de direction d’iA Clarington, la division de fonds communs de placement, il est promu à son poste actuel en 2023.

Toujours basé à Toronto, il se rend à Montréal environ toutes les deux semaines — à Québec à l’occasion — et est heureux de parler plus régulièrement le français. « C’est une langue que j’avais un peu perdue pendant toutes ces années à Toronto, alors c’est un plaisir de la parler davantage », confie-t-il.

Durant sa carrière, Adam Elliott a pu compter sur des mentors, dont son oncle, Christian Hoy, qui a exercé une influence déterminante sur sa carrière. « Je l’ai accompagné dans des rencontres avec ses clients, ce qui a été très formateur. Ça m’a beaucoup aidé à comprendre comment travailler avec eux », raconte-t-il.

Plus récemment, Stéphan Bourbonnais a aussi eu un effet sur son parcours. Lorsque celui-ci a été promu vice-président exécutif, gestion de patrimoine chez iA, il a convaincu Adam Elliott de postuler pour lui succéder à la présidence d’iAGPP. Dans leurs rôles respectifs, les deux hommes maintiennent une collaboration étroite sur les dossiers stratégiques, notamment sur des acquisitions d’envergure comme celle de Patrimoine Richardson réalisée récemment. « On se parle régulièrement. Le fait qu’il ait déjà occupé mon poste m’aide beaucoup », précise Adam Elliott.

Dans son rôle actuel, son mandat est clair : stimuler la croissance sans dénaturer l’ADN entrepreneurial du courtier. Le réseau compte environ 480 équipes de conseillers et 67 milliards de dollars (G$) d’actifs sous gestion. Les conseillers sont propriétaires de leur pratique et agissent soit sous la marque de la firme, soit sous leur propre bannière. « La collaboration reste essentielle dans les décisions d’investissement et de développement », insiste-t-il, rappelant la place donnée à l’autonomie et au jugement professionnel.

Importante intégration

L’achat de Patrimoine Richardson, qui compte 40,3 G$ en actifs et 23 bureaux dans tout le Canada, est une étape importante. « C’est la deuxième plus importante acquisition de notre histoire et la plus grande dans le secteur de la gestion de patrimoine. iA est ainsi devenue la première firme indépendante non bancaire au Canada, avec 107 G$ sous gestion », souligne Adam Elliott.

La « priorité absolue » pour les 12 prochains mois est d’en réussir l’intégration, ce qui représente un certain défi. iAGPP fonctionne selon un modèle entrepreneurial « 80-20 », c’est-à-dire dans lequel la part des revenus bruts générés qui revient aux conseillers est élevée. Cela détonne avec le modèle structuré par le courtier, avec une répartition des revenus de type « 50-50 » chez Richardson, où les conseillers travaillent dans les bureaux de l’entreprise et où les adjoints sont salariés de celle-ci. Dans les deux cas, les conseillers restent propriétaires de leur clientèle.

Malgré cette différence, l’équipe d’Adam Elliott a toutefois bon espoir de réussir l’opération grâce à l’expérience acquise lors de l’achat de Valeurs mobilières Banque Laurentienne (VMBL), un réseau d’environ une trentaine de conseillers et 2 G$ d’actifs en 2024. « Cela a constitué un laboratoire pour nous, car c’était la première fois que la firme rachetait une organisation fonctionnant selon un modèle corporatif plutôt qu’indépendant », explique Adam Elliott.

« C’était un changement de culture important pour les conseillers, qui ont dû passer d’un environnement structuré par l’entreprise à un fonctionnement entrepreneurial », ajoute-t-il. L’opération a nécessité un accompagnement renforcé : formation, soutien technique et aide à l’installation des conseillers dans leurs nouveaux bureaux. « Certains, habitués à ce que tout soit fourni par la banque, ne savaient pas trop comment acquérir un ordinateur ou configurer Outlook », donne-t-il en exemple.

Malgré les difficultés, la perspective de devenir entrepreneur a suscité beaucoup d’enthousiasme au sein de la nouvelle équipe. Le résultat parle de lui-même : après un an, le taux de rétention des conseillers est de 100 %. « Lorsqu’on leur a demandé récemment s’ils préféreraient retourner vers un modèle corporatif, tous ont confirmé vouloir rester dans le modèle entrepreneurial d’iAGPP », se réjouit Adam Elliott.

L’acquisition de Richardson apporte une capacité accrue de recrutement. « iAGPP et Investia sont historiquement performants pour attirer des conseillers indépendants, tandis que Richardson excelle dans le recrutement de profils issus des modèles corporatifs ou bancaires », souligne Adam Elliott. Ensemble, ils disposent désormais d’un effet d’attractivité supplémentaire.

L’intégration technologique avec Richardson ne se fera pas par un transfert unilatéral vers les systèmes d’iAGPP. L’approche retenue est collaborative : comparer les forces respectives des deux organisations et sélectionner les meilleures solutions, qu’il s’agisse du portail client, de l’application mobile ou d’autres outils.

Au-delà des acquisitions, la croissance organique demeure un axe stratégique pour iAGPP. En 2023, la firme a accueilli 47 nouvelles équipes, représentant 3 G$ d’actifs. Au 30 juin 2024, 25 équipes supplémentaires s’étaient jointes au réseau, pour 1,5 G$ d’actifs, avec un autre milliard prévu au troisième trimestre. Les départs restent marginaux et liés principalement à des retraites.

Au 31 mars 2023, iAGPP comptait 175 conseillers au Québec, qui géraient un total de 11 G$, selon le Pointage des courtiers québécois. Au 31 mars 2025, le courtier comptait 233 conseillers, qui géraient 18,9 G$. La part de marché en termes d’actifs recueillis au Québec par les sociétés de courtage en placement est passée de 3,13 % en 2023 à 4,35 % en 2025, selon l’Institut de la statistique du Québec.

Si le vieillissement de la profession est un problème reconnu dans l’industrie, iAGPP affirme ne pas en souffrir autant que d’autres. La majorité des équipes sont intergénérationnelles, avec un mélange de conseillers expérimentés et de jeunes professionnels. Dès 2025, tous les conseillers de 55 ans et plus devront avoir un plan de succession interne ou avec une autre équipe du réseau. « Je suis inquiet quand il n’y a pas de jeunes au sein des équipes », confie Adam Elliott. L’entreprise facilite ces transitions grâce à un programme de financement interne, permettant aux conseillers d’acquérir les blocs d’affaires des collègues partant à la retraite.

iAGPP encourage ses conseillers à intégrer pleinement les outils numériques pour fidéliser et attirer une clientèle plus jeune. Des indicateurs, comme le pourcentage de clients utilisant le portail ou l’application mobile, servent à mesurer cet engagement. Les équipes comptant des conseillers plus jeunes tendent à pousser davantage l’usage des solutions numériques, répondant ainsi aux attentes des nouvelles générations.

L’intelligence artificielle (IA) occupe désormais une place centrale dans les discussions stratégiques. iAGPP a développé, en partenariat avec Google, sa plateforme Advisor Experience 360 (AX360), qui intègre déjà des fonctionnalités d’intelligence artificielle (IA) utilisées quotidiennement par les conseillers. « L’IA figure parmi les principales questions suivies par le conseil d’administration chaque trimestre », précise Adam Elliott.

Il constate que les clients, notamment les plus jeunes, se tournent de plus en plus vers des outils comme ChatGPT pour s’informer avant de consulter un professionnel, phénomène qu’il compare à ce que vivent ses sœurs médecins avec leurs patients. Cela impose aux conseillers de « hausser leur jeu » pour rester crédibles face à une concurrence qui ne vient plus seulement des banques ou d’autres firmes traditionnelles, mais aussi de plateformes comme Wealthsimple et d’influenceurs financiers sur les réseaux sociaux.

L’entrée en vigueur de nouvelles règles qui rehaussent l’information sur le coût total des fonds (MRCC3) représente également un défi majeur de conformité et de communication dans l’industrie. Sur le plan technique, iAGPP a réalisé d’importants investissements pour être prête à fournir une information complète sur les frais. Sur le plan relationnel, un effort particulier est déployé pour que les conseillers préparent leurs clients à la lecture des nouveaux relevés. « La discussion doit avoir lieu avant qu’ils reçoivent le premier relevé. Nos conseillers et conseillères sont confiants dans leur proposition de valeur. On a mis beaucoup de temps pour bien les préparer », soutient Adam Elliott.

Selon lui, les perspectives de carrière dans le secteur sont « énormes » compte tenu du grand nombre de départs à la retraite attendus parmi les conseillers dans la prochaine décennie. Il recommande toutefois de commencer en intégrant une équipe plutôt que de se lancer seul afin de bénéficier d’un encadrement, d’investissements technologiques et d’une clientèle déjà établie.

Ce dont il est le plus fier dans sa carrière : avoir toujours accepté les nouveaux défis. « Quand on m’a tapé sur l’épaule pour me dire que je devrais postuler pour un nouveau poste, j’ai toujours sauté sur l’occasion, et ce, malgré la nervosité. Chaque fois, la décision s’est révélée positive », confie-t-il. Il considère avoir aujourd’hui « le meilleur job » de sa carrière, étant en contact quotidien avec des conseillers entrepreneurs dans un environnement en mutation rapide. « C’est vraiment excitant », dit-il.

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La Banque Laurentienne a dévoilé les résultats de l’élection de ses administrateurs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/la-banque-laurentienne-a-devoile-les-resultats-de-lelection-de-ses-administrateurs/ Wed, 16 Apr 2025 11:09:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106706 NOUVELLES DU MONDE – Ces derniers ont obtenu plus de 90 % des votes.

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Les candidats inscrits dans la circulaire de sollicitation des procurations datée du 4 mars 2025 de la Banque Laurentienne ont été élus administrateurs de l’institution le 8 avril dernier.

Ainsi, 12 candidats ont été élus comme administrateur de la Banque, soit :

  • Sonia Baxendale, présidente-directrice générale du Global Risk Institute (GRI) — Présidente du comité de gouvernance et de conformité et membre du comité de gestion des risques, Administratrice de société
  • Andrea Bolger, Présidente du comité de gestion des risques, membre du comité des ressources humaines et membre du comité des technologies de l’information, Administratrice de sociétés
  • Michael T. Boychuk, Président-directeur général de Bimcor — Président du conseil, Administrateur de sociétés
  • Johanne Brunet, Professeure titulaire, Département de marketing, HEC Montréal — Membre du comité d’audit et membre du comité de gouvernance et de conformité, Administratrice de sociétés
  • Laurent Desmangles, Consultant en gestion à la retraite — Membre du comité d’audit, membre du comité de gestion des risques et membre du comité des technologies de l’information, Administrateur de sociétés
  • Suzanne Gouin, Présidente du CA à l’Agence de Revenu du Canada — Membre du comité de gestion des risques et membre du comité de gouvernance et de conformité, Administratrice de sociétés
  • Jamey Hubbs, vice-surintendant à la retraite, Innovation politique, Affaires des parties prenantes, Stratégie, Risque et Gouvernance, BSIF — Membre du comité des ressources humaines, membre du comité de gestion des risques et membre du comité des technologies de l’information, Administrateur de sociétés
  • David Mowat, ancien PDG d’ATB Financial — Président du comité des ressources humaines et membre du comité des technologies de l’information, Administrateur de sociétés
  • Robert Ouellette, Président du comité des technologies de l’information, Administrateur de sociétés
  • Éric Provost, Président et chef de la direction de la Banque Laurentienne
  • Paul Stinis, Membre du comité d’audit et membre du comité des ressources humaines, Administrateur de sociétés
  • Nicholas Zelenczuk, Président du comité d’audit et membre du comité de gouvernance et de conformité, Administrateur de sociétés

À noter que les propositions d’actionnaires soumises par le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires minoritaires (MÉDAC) n’ont pas été adoptées, car elles n’ont pas reçu la majorité des votes.

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Mise à jour du plan stratégique de la Laurentienne https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/mise-a-jour-du-plan-strategique-de-la-laurentienne/ Fri, 11 Apr 2025 11:13:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106686 L’institution fait le point sur l’avancement des travaux.

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« Depuis l’annonce du plan stratégique, il y a près d’un an, la Banque s’est concentrée sur la réalisation des objectifs que nous nous étions fixés pour transformer la Banque et atteindre nos cibles financières à moyen terme. Bien qu’il reste encore du travail à faire, je suis satisfait des mesures concrètes que nous avons prises pour bâtir une Banque Laurentienne plus forte, plus durable et plus rentable. Nous sommes exactement là où nous avions planifié être dans l’exécution de notre plan », affirme Éric Provost, président et chef de la direction de la Banque Laurentienne.

Partagé à la fin du mois de mai 2024, le plan stratégique « La voie à suivre » met en lumière l’approche de la Banque Laurentienne dans le secteur des services financiers. Il décrit également sa stratégie spécialisée en matière de services bancaires aux entreprises, ainsi que son engagement à offrir une expérience bancaire simple et numérique.

Depuis la publication de ce dernier, la Banque Laurentienne a élargi sa présence dans les secteurs spécialisés. Elle a notamment fusionné, en novembre dernier, LBC Capital et Financement commercial Norhtpoint pour le financement d’inventaire et d’équipement.

« La fusion de LBC Capital et de Northpoint nous permet de voir des indicateurs de croissance prometteurs pour nos secteurs spécialisés. Nous prévoyons des améliorations progressives de nos indicateurs de rentabilité et nous sommes en bonne voie d’atteindre nos objectifs. Nous continuerons d’augmenter notre présence et de concentrer nos efforts dans des sphères spécialisées pour offrir de la valeur tant à nos clients qu’à nos actionnaires », explique Éric Provost.

En plus de cette fusion, la Laurentienne s’est départie de certaines activités de la division Marché des capitaux.

Priorité aux investissements technologiques

Les investissements technologiques occupent un rôle clé dans le plan stratégique de la Laurentienne. Elle veut ainsi gagner en efficacité et en résilience tout en améliorant l’expérience client.

Parmi ses réalisations, la Laurentienne a créé des rôles supplémentaires en matière de service à la clientèle et a procédé à des changements organisationnels afin de mieux servir les clients.

« Nos investissements technologiques et la simplification de nos opérations ont un impact direct sur les services offerts à notre clientèle. Même si nous voyons déjà les effets positifs, le travail n’est pas terminé. Nous continuons nos efforts à augmenter nos capacités de libre-service à moyen terme et nous pavons la voie à offrir une expérience exemplaire à nos clients. Nous allons miser sur les domaines où nous pouvons gagner. », explique Éric Provost.

La Banque Laurentienne poursuit son évolution en adoptant une approche équitable et pragmatique, qu’elle considère comme la clé d’un avenir plus durable pour tous. Elle réaffirme ainsi son engagement à soutenir les communautés et ses clients dans leur transition vers une économie à faible émission de carbone.

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L’indemnité versée à l’ex-PDG de la Banque Laurentienne reste secrète https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/lindemnite-versee-a-lex-pdg-de-la-banque-laurentienne-reste-secrete/ Fri, 07 Mar 2025 12:40:50 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106013 Rania Llewellyn avait été mise à pied en octobre 2023.

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Les actionnaires de la Banque Laurentienne ne connaîtront pas le montant de l’indemnité de départ de son ancienne dirigeante, Rania Llewellyn, mise à pied en octobre 2023 dans la foulée d’une panne informatique sans précédent.

La femme d’affaires et la banque régionale montréalaise ont pris plusieurs mois pour arriver à une entente l’an dernier.

La Laurentienne reste muette sur le montant versé, dans des documents réglementaires envoyés aux actionnaires récemment, contrairement à la pratique habituelle pour une société cotée en Bourse. « Les détails, à la suite de cette entente, demeureront toutefois confidentiels », répond la porte-parole de l’institution, Frédérique Lavoie-Gamache, dans une déclaration écrite.

Si divulguer le montant des indemnités de départ versées à ses principaux dirigeants est une pratique courante, les sociétés cotées en Bourse n’ont pas l’obligation légale de le faire, précise la professeure de l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal, Saidatou Dicko.

« C’est sûr qu’il faut donner des informations sur la structure de rémunération, mais ces informations-là, il n’y a pas un cadre ultra-détaillé sur ce qu’il faut dire », explique l’experte en gouvernance.

Le litige entre Rania Llewellyn et son ancien employeur a vraisemblablement porté sur la question de savoir si son renvoi a été fait sous un motif valable.

Selon les conditions prévues à son contrat, l’ex-PDG n’aurait eu droit à aucune indemnité de départ si son contrat avait pris fin pour des motifs valables. Pour une cessation d’emploi sans motif, elle aurait toutefois droit à une indemnité de départ, qui comprendrait notamment deux ans de son salaire de base et une prime de cessation d’emploi.

La réponse à cette question peut être sujette à interprétation. Sous la gouverne de Rania Llewellyn, la banque a réussi à rattraper son retard technologique et l’institution a atteint certains indicateurs de rentabilité.

Ces efforts ont toutefois été ralentis par un contexte difficile pour l’industrie bancaire en 2023. L’institution a même essayé de se mettre en vente, mais n’est pas parvenue à trouver un acheteur. La panne informatique d’octobre 2023 a mené à un changement de garde à la tête de la Banque Laurentienne, maintenant dirigée par Éric Provost.

Il n’a pas été possible d’obtenir une réaction de Rania Llewellyn, que nous avons tenté de joindre.

Saidatou Dicko croit que la banque et la femme d’affaires peuvent avoir intérêt à garder secrets les montants versés si le processus était judiciarisé, surtout si les informations permettaient de voir qu’il y avait effectivement un problème.

« En fin de compte, cette entente-là, ni l’employé, ni la banque ne voudraient vraiment qu’on en connaisse les détails, croit Saidatou Dicko. Parce que ces détails-là pourraient aussi bien incriminer la banque que l’employé en question. »

Une hausse des indemnités

La Banque Laurentienne a toutefois laissé des traces dans son rapport annuel qui permettent de constater que les sommes versées en indemnité de départ ont augmenté, souligne le directeur général de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), François Dauphin.

La société a rajusté à la hausse de 6,6 millions de dollars (M$) les montants qu’elle avait précédemment dévoilés en 2023 pour les sommes versées à ses principaux dirigeants après leur emploi.

En 2024, elle a versé 4,7 M$ à ses principaux dirigeants après la fin de leur emploi. Avant la révision du montant de l’année 2023, cette somme avoisinait les 750 000 $ en 2023 et 2022.

Ces montants ne sont pas uniquement liés au départ de Rania Llewellyn. L’ex-chef de l’exploitation Sébastien Bélair a reçu une indemnité de 1,6 M$ après son départ en septembre 2024, selon la circulaire d’information envoyée aux actionnaires.

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Bénéfice en hausse à la Banque Laurentienne https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/benefice-en-hausse-a-la-banque-laurentienne/ Fri, 28 Feb 2025 19:15:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105953 Des décisions qui payent.

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La Banque Laurentienne du Canada a réalisé un bénéfice de 38,6 millions de dollars (M$) au premier trimestre, en hausse par rapport à 37,3 M$ un an plus tôt.

La banque montréalaise a annoncé vendredi que son bénéfice s’est élevé à 76 cents par action pour le trimestre terminé le 31 janvier, en hausse par rapport à 75 cents par action au même trimestre lors de l’exercice précédent.

Ses revenus ont totalisé 249,6 M$, en baisse par rapport à 258,3 M$ un an plus tôt.

« Nous commençons à démontrer que la décision que nous avons prise d’adopter une approche axée sur les secteurs où nous pouvons nous démarquer est la bonne stratégie », a soutenu le président et chef de la direction de la Banque Laurentienne, Éric Provost, dans un communiqué.

« Grâce à la solidité de nos niveaux de fonds propres et de liquidités, nous sommes en bonne position pour faire face aux incertitudes macroéconomiques et géopolitiques actuelles. »

La Banque Laurentienne a indiqué que sa provision pour pertes sur créances s’est élevée à 15,2 millions $ pour son premier trimestre, comparativement à 16,9 M$ un an plus tôt.

Sur une base ajustée, la Laurentienne a réalisé un bénéfice de 78 cents par action au cours de son dernier trimestre, en baisse par rapport à un bénéfice ajusté de 91 cents par action diluée un an plus tôt.

Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 76 cents par action, selon LSEG Data & Analytics.

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La Banque Laurentienne accélère sa transformation https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/la-banque-laurentienne-accelere-sa-transformation/ Tue, 14 Jan 2025 11:55:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104903 NOUVELLES DU MONDE – Une équipe renforcée pour l’expérience client.

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La Banque Laurentienne poursuit sa transformation stratégique en renforçant son équipe dédiée à l’expérience client. Alexandra Racette a été promue au poste de vice-présidente assistante transformation et satisfaction client (CX). Elle intègre l’équipe dirigée par Sonia Hernandez, ancienne responsable du développent durable et de l’ESG à la Banque Nationale, nommée vice-présidente stratégie et gouvernance de projets à la Banque Laurentienne en octobre dernier.

Dans ses nouvelles responsabilités, Alexandra Racette aura pour mission d’appuyer la transformation de l’institution financière, d’affiner sa stratégie (incluant les initiatives ESG) et d’améliorer l’expérience client.

Arrivée à la Banque Laurentienne en 2018, elle occupait depuis 2021 le poste de directrice principale en gestion de produits et marketing au sein des services aux entreprises. Avant cela, elle a travaillé chez Pharmascience, Danone et Keurig Canada.

Titulaire d’une maîtrise en sciences de la gestion de HEC Montréal, Alexandra Racette s’est également spécialisée en marketing numérique. Elle est certifiée du programme Leadership durable (ESG) de la Rotman School of Management de l’Université de Toronto.

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Nouvel administrateur au CA de la Banque Laurentienne https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouvel-administrateur-au-ca-de-la-banque-laurentienne/ Wed, 13 Nov 2024 12:01:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103900 NOUVELLES DU MONDE — Robert Ouellette intègre ce dernier à titre d’administrateur indépendant.

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Robert Ouellette a été nommé à titre de nouvel administrateur indépendant du conseil d’administration (CA) de la Banque Laurentienne du Canada le 1er novembre dernier. Cette nomination s’inscrit dans le désir du CA d’améliorer son efficacité globale.

Tout au long de ses 35 ans de carrière, Robert Ouellette a occupé plusieurs postes de haute direction dans les domaines des services financiers, de l’ingénierie, des services professionnels et de la technologie.

Ingénieur de formation et consultant expérimenté en gestion, spécialisé en technologie de l’information, gestion des risques, conformité et contrôles, il est un atout précieux au sein du Comité des technologies de l’information de la Banque.

Il est membre du conseil d’administration de Promutuel Assurance et du conseil consultatif de Valital Technologies.

« Nous sommes ravis d’accueillir M. Ouellette au conseil d’administration de la Banque, assure Michael Boychuk, président du conseil d’administration de la Banque Laurentienne. L’étendue et la profondeur de son expérience en technologie de l’information et en gestion des risques seront essentielles à la Banque, alors que nous continuons d’investir dans le développement de notre infrastructure technologique pour améliorer l’efficacité et l’expérience client. »

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Nouveau membre au CCMIF de l’AMF https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveau-membre-au-ccmif-de-lamf/ Mon, 07 Oct 2024 11:15:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103253 NOUVELLES DU MONDE – Annie Fortin siégera sur ce conseil pour un mandat de trois ans.

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Annie Fortin, comptable au Mouvement Desjardins a été nommé pour siéger sur le comité consultatif en matière d’information financière (CCMIF) de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour un mandat de trois ans.

Cette nomination fait suite à l’appel de candidatures du 30 mai dernier.

En plus de cette nomination, l’AMF a renouvelé le mandat de deux membres actuels du CCMIF, soit celui :

  • de Jessica Paul, PricewaterhouseCoopers ;
  • et de Marie-Annick Viau, Banque Laurentienne du Canada.

Le CCMIF joue le rôle d’intermédiaire entre l’AMF et les acteurs du secteur financier en ce qui concerne la réglementation sur les valeurs mobilières. Il permet de fournir un éclairage pratique sur le domaine, de favoriser un dialogue ouvert avec le régulateur tout en contribuant aux objectifs de celui-ci.

Ses membres doivent donner leur perspective sur des sujets portant entre autres sur les projets législatifs et réglementaires ayant trait à l’encadrement de l’information financière présentée par les émetteurs assujettis et la mise en pratique de ce cadre réglementaire.

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Changement de garde à la direction des ventes chez UV Assurance https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changement-de-garde-a-la-direction-des-ventes-chez-uv-assurance/ Thu, 19 Sep 2024 10:58:33 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102992 NOUVELLES DU MONDE – Une relève pour Guillaume Fauteux.

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UV Assurance a nommé Silvia Breahna au poste de vice-présidente nationale, Développement des affaires, Assurance individuelle et Investissement. Elle sera responsable du développement des affaires à l’échelle nationale et de la mise en œuvre des stratégies pour soutenir la croissance et l’évolution de l’entreprise, a précisé la société basée à Drummondville.

Silvia Breahna succède à Guillaume Fauteux, qui occupait cette fonction depuis 2019 avant d’être nommé vice-président exécutif au développement des affaires et marketing au sein de l’équipe Stratégie et innovation. Dans ses nouvelles fonctions, il supervisera les stratégies de développement des affaires en assurance collective, une structure récemment mise en place pour regrouper la gestion des ventes de ces trois services d’UV Assurance sous une direction unifiée.

Avant de se joindre à UV Assurance, Silvia Breahna a occupé plusieurs postes stratégiques dans l’industrie. Elle arrive de Canada Vie, où elle a travaillé pendant 5 ans en tant que directrice pour le Québec du réseau indépendant et directrice régionale des ventes.

Avant cela, elle a fait partie de l’équipe d’Aurrea Signature. Elle a fait ses débuts à la Banque Laurentienne et a fait carrière au sein de Desjardins Gestion d’actifs, BMO et Berkshire Securities.

UV Assurance a salué l’approche collaborative et structurée de Silvia Breahna, ainsi que ses compétences en communication, en gestion des ventes, en développement des affaires et en optimisation des processus, des qualités importantes pour guider l’entreprise dans sa phase de croissance et d’innovation.

À la tête de l’équipe des ventes nationales, Silvia Breahna sera notamment chargée de promouvoir deux nouveaux produits récemment lancés par UV Assurance, à savoir une assurance vie entière payable jusqu’à l’âge de 100 ans et une assurance vie temporaire d’un terme de 15 ans. Ces innovations visent à répondre aux besoins évolutifs des clients tout en renforçant la présence de l’entreprise sur le marché de l’assurance individuelle.

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Changements à l’équipe de direction de la Banque Laurentienne https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/changements-a-lequipe-de-direction-de-la-banque-laurentienne/ Tue, 17 Sep 2024 10:55:32 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102935 NOUVELLES DU MONDE – Dans la continuité de son plan stratégique.

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La Banque Laurentienne a procédé à des ajustements organisationnels au sein de son équipe de direction afin de soutenir sa vision stratégique. Ces changements devraient permettre de simplifier la structure de la firme, mais également d’améliorer son efficacité opérationnelle et de maximiser la création de valeur à long terme pour ses clients, ses employés et l’ensemble de ses parties prenantes.

Thierry Langevin, qui était vice-président exécutif, Services aux entreprises, et a été nommé au poste de chef de groupe, Services bancaires aux particuliers et aux entreprises. En regroupant les services bancaires sous un leadership unifié, la Banque Laurentienne espère créer des synergies entre les équipes et offrir une expérience client harmonisée et plus efficiente.

Marie-Christine Custeau, élargit son rôle avec l’ajout de l’expérience numérique et des paiements à ses responsabilités. Ce réalignement stratégique consolidera les efforts de transformation numérique de la Banque, un pilier clé de sa vision à long terme.

Macha Pochu, qui dirigeait jusqu’à présent les ressources humaines, assumera également la responsabilité des affaires corporatives et des affaires juridiques et deviendra donc Chef des Ressources humaines et des Affaires corporatives.

Christian De Broux, actuellement vice-président exécutif, chef de la gestion des risques, prendra également en charge les équipes responsables de la conformité. Cette décision a été prise dans l’optique de renforcer la structure de gestion des risques tout en assurant une supervision plus intégrée des aspects critiques liés à la gestion des risques et à la conformité.

Le comité de direction sera également touché par cette transformation, puisque Sébastien Bélair, vice-président exécutif, chef de l’exploitation, et Bindu Cudjoe, vice-présidente exécutive, chef des Services juridiques et secrétaire corporative quittent ce dernier.

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