Nouvelles – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 29 May 2023 15:02:37 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Nouvelles – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Plafond de la dette américaine : un accord de principe est conclu https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/plafond-de-la-dette-americaine-un-accord-de-principe-est-conclu/ Mon, 29 May 2023 11:24:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94223 Cependant, le Congrès doit donner son aval.

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Le président des États-Unis Joe Biden et le président de la Chambre, Kevin McCarthy, sont parvenus à un « accord de principe » samedi soir pour relever le plafond de la dette légale du pays alors qu’ils se précipitaient pour conclure un accord visant à limiter les dépenses fédérales et à éviter un défaut potentiellement désastreux des États-Unis.

Cependant, l’accord risque de mettre en colère les démocrates et tout comme les républicains avec les concessions faites pour parvenir à un compromis. Les négociateurs ont accepté certaines demandes des républicains concernant le renforcement des exigences en matière de travail pour les bénéficiaires de bons d’alimentation, ce qui avait suscité un tollé de la part des démocrates de la Chambre des représentants, qui considéraient qu’il s’agissait d’une fin de non-recevoir.

Lire également : Les États-Unis pourraient-ils vraiment faire défaut sur leur dette ?

Le soutien des deux parties sera nécessaire pour obtenir l’approbation du Congrès la semaine prochaine avant le défaut de paiement prévu par le gouvernement le 5 juin.

Le président démocrate et le président républicain sont parvenus à un accord après que les deux se soient parlé plus tôt samedi soir par téléphone. Le pays et le monde ont observé et attendu une résolution de l’impasse politique qui menaçait les États-Unis et l’économie mondiale.

« L’accord représente un compromis, ce qui signifie que tout le monde n’obtient pas ce qu’il veut, a déclaré Joe Biden dans un communiqué tard samedi soir. C’est la responsabilité de gouverner ».

Joe Biden a qualifié l’accord de « bonne nouvelle pour le peuple américain, car il empêche ce qui aurait pu être un défaut de paiement catastrophique et aurait entraîné une récession économique, la destruction des comptes de retraite et la perte de millions d’emplois ».

Dans de brèves remarques au Capitole, Kevin McCarthy a déclaré : « Nous avons encore beaucoup de travail à faire ».

Le président républicain a ajouté qu’il estime que « c’est un accord de principe digne du peuple américain. »

Avec les grandes lignes d’un accord en place, le projet de loi pourrait être rédigé et partagé avec les législateurs à temps pour les votes au début de la semaine prochaine à la Chambre et plus tard au Sénat.

Au cœur du projet de loi se trouve un accord de réduction budgétaire de deux ans qui maintiendrait les dépenses à plat pour 2024 et les augmenterait de 1% pour 2025 en échange d’un relèvement du plafond de la dette pendant deux ans, repoussant la question politique volatile au-delà de la prochaine élection présidentielle.

Travaillant dur pour un accord visant à imposer des exigences de travail plus strictes aux bénéficiaires de l’aide gouvernementale, les républicains ont réalisé une partie, mais pas la totalité, de ce qu’ils voulaient. L’accord augmenterait l’âge des exigences de travail existantes pour les adultes valides sans enfants de 49 à 54 ans, mais Joe Biden a pu obtenir des dérogations pour les anciens combattants et les sans-abris.

Les deux parties étaient également parvenues à une refonte ambitieuse des permis fédéraux pour faciliter le développement de projets énergétiques et de lignes de transport. Au lieu de cela, l’accord mettrait en place des changements dans la loi historique des années 1970 sur la politique nationale de l’environnement qui désignera « une seule agence principale » pour développer les évaluations environnementales, dans l’espoir de simplifier le processus.

L’accord de principe est survenu après que la secrétaire au Trésor, Janet Yellen, a indiqué au Congrès que les États-Unis pourraient faire défaut sur leurs obligations de dette d’ici le 5 juin,  quatre jours plus tard que prévu, si les législateurs n’agissent pas à temps pour relever le plafond de la dette fédérale. La prolongation de la date limite donne aux deux parties un peu de temps supplémentaire pour conclure un accord.

Joe Biden s’est également entretenu plus tôt dans la journée avec des dirigeants démocrates au Congrès pour discuter de l’état des pourparlers.

Le président de la Chambre républicaine avait réuni les meilleurs alliés à huis clos au Capitole alors que les négociateurs faisaient pression pour un accord qui augmenterait la limite d’emprunt du pays et éviterait un tout premier défaut de paiement sur la dette fédérale, tout en procédant à des réductions de dépenses que les républicains de la Chambre exigent.

Mais alors qu’un autre jour s’éternisait avec un désastre financier qui se rapprochait, il était apparu que certains des problèmes liés aux questions politiques qui avaient entravé les discussions toute la semaine restaient non résolus.

Les deux parties ont suggéré que l’un des principaux retards était un effort des républicains pour élargir les exigences de travail des bénéficiaires de bons d’alimentation et d’autres programmes d’aide fédéraux, un objectif républicain de longue date auquel les démocrates se sont vigoureusement opposés. La Maison-Blanche a soutenu que les propositions républicaines étaient « cruelles et insensées ».

Le président Biden s’est dit contre les exigences de travail pour pouvoir bénéficier de l’assurance maladie Medicaid. Il avait semblé potentiellement ouvert à la négociation de changements sur les coupons alimentaires, maintenant connu comme le programme SNAP (Supplemental Nutrition Assitance Program), malgré les objections des démocrates.

Les Américains et le monde observaient avec inquiétude les négociations au bord du gouffre qui pourraient plonger l’économie américaine dans le chaos et saper la confiance du monde dans le leadership de la nation.

Le fait de ne pas lever la limite d’emprunt, désormais de 31 billions de dollars, pour payer les factures encourues par le pays, enverrait des ondes de choc dans l’économie américaine et mondiale. Janet Yellen a souligné que le fait de ne pas agir à la nouvelle date « causerait de graves difficultés aux familles américaines, nuirait à notre position de leader mondial et soulèverait des questions sur notre capacité à défendre nos intérêts de sécurité nationale ».

Des retraités anxieux et d’autres préparaient déjà des plans d’urgence pour les chèques manqués, les prochains paiements d’assurance sociale étant attendus la semaine prochaine.

En raison de la longue fin de semaine du Memorial Day, les législateurs devraient reprendre le travail mardi, au plus tôt, et Kevin McCarthy a promis aux législateurs qu’il respecterait la règle selon laquelle tout projet de loi doit être affiché pendant 72 heures avant d’être voté.

(Avec la collaboration de Zeke Miller, Stephen Groves, Fatima Hussein, Farnoush Amiri, Seung Min Kim et Rick Gentilo de l’Associated Press.)

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Banques : résultats trimestriels affectés par le contexte économique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/banques-resultats-trimestriels-affectes-par-le-contexte-economique/ Mon, 29 May 2023 11:11:21 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94196 Et des dépenses à la hausse.

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Les effets de la forte de l’inflation et des efforts de la banque centrale pour la contenir en ralentissant l’économie se sont fait sentir dans les résultats du deuxième trimestre des grandes banques canadiennes.

Quatre des cinq grandes banques ont affiché des bénéfices inférieurs aux attentes, car elles ont mis de côté de plus grandes sommes d’argent pour les créances douteuses et ont eu du mal à contenir la hausse des coûts. En outre, plusieurs ont vu leurs revenus pâtir de la croissance plus lente des prêts.

La Banque CIBC a été la seule exception, ses résultats, présentés jeudi, étant meilleurs que ne l’avaient prévu les analystes.

Bien que la croissance des prêts hypothécaires au Canada ait fortement ralenti, alors que plusieurs banques affichaient des résultats stables par rapport au trimestre précédent, l’attention s’est tournée ces jours-ci sur ce qui se passe avec les activités américaines des banques, dans la foulée de quelques faillites bancaires très médiatisées.

Plusieurs dirigeants de banques ont évoqué des conditions économiques plus difficiles, tandis que la Banque TD a mis en garde contre des jours plus difficiles à venir, précisant ne plus s’attendre à atteindre son objectif de croissance des bénéfices à moyen terme.

L’abandon récent de la prise de contrôle proposée par la TD de la banque américaine First Horizon pour 13,4 milliards de dollars (G$) a joué un rôle clé dans la présentation de résultats inférieurs aux attentes, mais la banque a également cité la « détérioration de l’environnement macroéconomique ».

Le chef de la direction de la TD, Bharat Masrani, a souligné dans un communiqué que la banque naviguait dans un « contexte d’exploitation imprévisible ». Elle a affiché un bénéfice de 3,35 G$ pour le deuxième trimestre, en baisse par rapport à celui de 3,81 G$ du même trimestre l’an dernier.

Ses provisions pour pertes sur créances se sont élevées à 599 M$, alors qu’elles n’étaient que de 27 M$ il y a un an.

Dépenses en hausse

Le chef de la direction de la Banque Royale, Dave McKay, a indiqué aux investisseurs, lors d’une conférence téléphonique, que même si les risques financiers immédiats liés aux activités bancaires aux États-Unis s’étaient atténués, il y avait des changements plus importants en cours qui auront des implications à plus long terme.

« Les marchés sont confrontés à des circonstances structurellement différentes après la fin d’une ère de faible inflation, de faibles taux d’intérêt et de mondialisation accrue », a-t-il affirmé.

L’inflation des coûts a été un défi pour les banques canadiennes, alors que la concurrence s’est intensifiée l’année dernière pour le recrutement des employés, en particulier ceux qui possèdent une expertise technologique. La tendance s’est renversée depuis, mais des salaires plus élevés se traduisent toujours par des dépenses plus élevées, et parfois par des effectifs plus importants que nécessaire.

La Royale, qui a fait état de dépenses en hausse de 16 % par rapport à l’année précédente, ne prévoyait pas que les taux d’attrition élevés se normaliseraient « presque du jour au lendemain », a laissé entendre Dave McKay.

« Nous avons dépassé. Nous avons dépassé de milliers de personnes. C’est un véritable frein à notre structure de coûts. »

La banque attribue environ la moitié de la croissance de ses dépenses aux coûts liés aux acquisitions et aux facteurs macroéconomiques, tandis qu’elle prévoit de réduire l’autre moitié grâce à un ralentissement de l’embauche et à l’attrition, entre autres leviers.

« L’une de mes principales priorités est une discipline accrue en matière de coûts », a assuré Dave McKay.

La Banque Royale a affiché un profit de 3,65 G$ pour le trimestre terminé le 30 avril, ce qui se comparait à celui de 4,25 G$ réalisé au même trimestre l’an dernier. Ses provisions pour pertes sur créances se sont élevées à 600 M$, par rapport à un recouvrement de 342 M$ un an plus tôt.

Sur une base ajustée, la Royale a indiqué avoir gagné 2,65 $ par action au cours du plus récent trimestre, en baisse par rapport à un bénéfice ajusté de 2,99 $ par action au même trimestre l’an dernier. Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 2,79 $ par action, selon les prévisions recueillies par la firme de données financières Refinitiv.

L’analyste John Aiken, de Barclays, a indiqué dans une note que même si les provisions plus élevées pouvaient sembler, à première vue, être le principal facteur pesant sur les profits de la Royale, ce sont plutôt les hausses de coûts, plus importantes que prévu, qui ont conduit à cette performance décevante.

Et alors que la Banque Royale n’a pas encore résolu ses dépenses constamment élevées, elle a également été mise au défi du côté des revenus, a noté l’analyste Meny Grauman, de la Banque Scotia, qui a ajouté que pour l’ensemble du groupe, les revenus « semblaient loin d’être extraordinaires ».

Exposition aux prêts commerciaux

Les revenus ont été l’une des principales raisons pour lesquelles la Banque TD n’a pas répondu aux attentes des analystes, avec un bénéfice ajusté de 1,94 $ par action pour son plus récent trimestre, inférieur aux 2,07 $ par action attendus par les analystes.

Les banques ont dû faire face à la pression de bénéfices d’intérêts plus faibles, alors que les clients se tournaient vers des dépôts à terme à taux d’intérêt plus élevés et que les banques étaient généralement confrontées à des coûts de financement plus élevés.

La Banque CIBC a réussi à afficher des gains sur ses marges nettes d’intérêts et à maintenir la croissance de ses dépenses à 1 % par rapport à l’an dernier, ou à 7 % après ajustement, alors qu’elle sortait d’un important programme d’expansion, ce qui a contribué à faire passer ses bénéfices à 1,69 G$, contre 1,52 G$ l’an dernier.

La CIBC a également été l’une des premières à mettre de l’argent de côté pour les créances douteuses, de sorte que ses provisions de 438 M$ pour pertes sur créances n’ont pas tant augmenté par rapport à celles de 303 M$ du deuxième trimestre de l’an dernier.

Sur une base ajustée, la CIBC a indiqué avoir gagné 1,70 $ par action au cours de son dernier trimestre, contre 1,77 $ par action au même trimestre l’an dernier, tandis que les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 1,63 $ par action.

À l’instar d’autres banques, la CIBC a cherché à rassurer les analystes sur le fait que son exposition aux prêts commerciaux, en particulier pour les espaces de bureaux aux États-Unis, était sous contrôle alors que les inquiétudes grimpaient quant à d’éventuelles dépréciations à venir.

Son chef de la direction, Victor Dodig, a indiqué que les prêts aux bureaux représentaient environ 2 % du portefeuille global de prêts de la banque et que la situation actuelle ne durerait pas.

« Nous reconnaissons la volatilité. Nous nous en sortirons. Nous nous en sortirons. Et je suis convaincu que les valeurs refont surface et que les investisseurs commenceront à se présenter pour s’emparer de ces propriétés, et que les gens commenceront à revenir davantage au bureau. »

Mercredi, la Banque de Montréal et la Banque Scotia ont également tenté de rassurer au sujet des prêts commerciaux, car elles ont affiché des bénéfices inférieurs à ceux de l’année dernière en raison de dépenses plus élevées, de provisions pour pertes sur créances et d’un ralentissement de la croissance des prêts.

Pour les trimestres à venir, les banques affirment que les conditions de crédit devraient revenir à des normes historiques après que les années de pandémie ont laissé de nombreux consommateurs avec de l’argent supplémentaire, qu’ils commencent seulement à épuiser.

Divers facteurs tels que des taux d’intérêt plus élevés, une inflation soutenue et d’autres vents contraires pourraient faire diminuer l’appétit pour le risque et la croissance des revenus, a prévenu le directeur financier de la CIBC, Hratch Panossian.

« Nous comprenons que l’environnement se normalise. Le coût du crédit va augmenter, les revenus pourraient ralentir. Nous contrôlons les choses que nous pouvons contrôler. »

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RGP Investissements désigne un nouveau sous-gestionnaire https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rgp-investissements-designe-un-nouveau-sous-gestionnaire/ Mon, 29 May 2023 11:10:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94157 PRODUITS - Il s’agit de Fiera Capital.

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RGP Investissements a annoncé dans un récent communiqué que Fiera Capital agira à titre de nouveau sous-gestionnaire de portefeuille pour le Portefeuille RGP Revenu Fixe d’impact. Cette nomination est entrée en vigueur en date du 17 mai 2023.

Par le fait même, RGP Investissements a approuvé des modifications aux stratégies de placement du fonds visé « pour y intégrer la philosophie d’investissement de Fiera ».

Parmi les principales caractéristiques de la portion du portefeuille confiée à Fiera Capital mentionnons, entre autres, celles de « maximiser l’impact social et environnemental sur un ensemble diversifié d’objectifs de développement durable de l’ONU » et d’« investir principalement dans des titres à revenu fixe mondiaux qui sont associés à un impact social et/ou environnemental positif et permettant de générer des revenus et une croissance du capital à long terme ».

Ce changement sera apporté sous réserve de l’approbation des autorités réglementaires.

Quant à l’objectif fondamental du Fonds visé, il demeure inchangé.

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Silicon Valley Bank : sa faillite impacte l’innovation et la cybersécurité https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/silicon-valley-bank-sa-faillite-impacte-linnovation-et-la-cybersecurite/ Mon, 29 May 2023 11:10:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94153 Les investissements dans les petites entreprises technologiques sont menacés.

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Si les dépôts des clients ont été mis en sécurité par l’intervention des autorités américaines, le 12 mars dernier, la disparition de la Silicon Valley Bank (SVB) suscite des inquiétudes quant à l’avenir des investissements dans les jeunes pousses technologiques, soulève la revue Nature.

En effet, de nombreuses startups dépendaient de la banque pour obtenir des fonds et soutenir leur croissance, car SVB se spécialisait dans le financement des jeunes pousses agissant dans les domaines technologiques de pointe, avec près de 1 550 clients dans le domaine des technologies du climat et du développement durable, selon le site web de la banque.

Avec la disparition de ce soutien financier, ces entreprises se retrouvent confrontées à des défis importants pour poursuivre leurs activités et développer de nouveaux produits ou services.

Faute d’avoir un accès adéquat aux ressources financières, elles risquent de devoir réduire leur croissance, voire de fermer leurs portes, ce qui pourrait entraîner une diminution du nombre de nouvelles entreprises innovantes sur le marché, ainsi qu’une perte de talents et d’emplois, souligne Nature.

Les difficultés de SVB risquent par ailleurs d’amener les bailleurs de fonds à suspendre les investissements dans les jeunes entreprises technologiques.

Face à ces enjeux, Nature souligne l’importance de renforcer les programmes de prêts déjà en place pour permettre aux jeunes pousses de continuer à innover, citant l’exemple du rachat de la filiale britannique de SVB par la Banque HSBC, qui a permis de maintenir un accord d’une centaine de millions de dollars entre la startup Universal Quantum avec le Centre aérospatial allemand.

Des fournisseurs fragilisés

L’effondrement de SVB, ajoutée à celle de Signature, une autre banque régionale américaine, pourrait également avoir des répercussions sur le marché de la cybersécurité, au moment où…

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Advocis nomme Julie Martini https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/advocis-nomme-julie-martini/ Fri, 26 May 2023 11:42:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94155 NOUVELLES DU MONDE - Comme cheffe de l’exploitation.

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Advocis, l’Association des conseillers en finances du Canada, a annoncé par voie de communiqué la nomination de Julie Martini au poste de cheffe de l’exploitation.

À ce titre, elle assumera la responsabilité de la direction de la plupart des opérations quotidiennes de l’association.

Selon son profil LinkedIn, avant sa nomination, elle a occupé diverses fonctions depuis son arrivée chez Advocis en 2017, dont précédemment celui de vice-présidente, engagement stratégique. Auparavant, elle a travaillé chez Northbridge en tant que directrice, marketing et communications de 2011 à 2016, et chez Invesco comme responsable marketing et développement de la marque de 2000 à 2011. Elle a également été aide-soignante dans les Forces armées canadiennes de 1996 à 2000.

L’expérience professionnelle de Julie Martini couvre à la fois les secteurs de la gestion de patrimoine et de l’assurance, avec une expertise comprenant le marketing, les relations publiques, le développement des affaires, la recherche, les relations avec la clientèle et les relations gouvernementales.

Titulaire d’un baccalauréat en anthropologie culturelle de l’Université McGill en 2000, elle détient également diverses certifications en marketing et marketing numérique, ainsi qu’un certificat en diversité et inclusion de l’Université Cornell, aux États-Unis, obtenu en 2020.

Advocis est la plus grande association professionnelle bénévole de conseillers en services financiers au Canada, et représente plus de 17 000 membres-clients regroupés au sein de 40 sections locales à travers le pays.

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L’investissement immobilier restera populaire au Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/linvestissement-immobilier-restera-populaire-au-canada/ Fri, 26 May 2023 11:41:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94188 Selon une étude de Royal Lepage.

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Malgré l’augmentation des taux d’intérêt et l’incertitude économique, l’immobilier résidentiel continuera à attirer les investisseurs au cours des cinq prochaines années, indiquent les résultats d’un sondage réalisé par Léger pour Royal LePage.

Au total, plus du quart des Canadiens (26 %), qu’ils soient actuellement investisseurs immobiliers ou non, ont l’intention d’acheter un bien immobilier pour en retirer un revenu avant 2028.

Selon l’étude, 23 % des Canadiens qui n’ont pas encore investi dans une propriété à revenus affirment qu’ils sont susceptibles de passer à l’action au cours des cinq prochaines années. De plus, plus de la moitié (51 %) des investisseurs actuels prévoient acquérir un autre bien immobilier à revenus durant la même période.

Globalement, 11 % des Canadiens, soit 4,4 millions de personnes, détiennent un bien immobilier dans le but de le louer. La majorité des investisseurs possède un seul immeuble, tandis qu’un tiers en détient deux ou plus.

L’engouement pour l’immobilier à revenu touche particulièrement les jeunes. Les 18 à 34 ans sont 44 % à posséder plus qu’un immeuble locatif, comparativement à 29 % pour les 35 à 54 ans et 25 % pour les 55 ans et plus. Par ailleurs, 33 % des jeunes investisseurs immobiliers de 18 à 34 ans détiennent une propriété à revenus alors qu’ils ne sont pas propriétaires de leur résidence principale.

Impact de la hausse des taux variables

En raison de la hausse du coût d’emprunt pour les détenteurs de prêts hypothécaires à taux variable au cours de la dernière année, plusieurs investisseurs ont été amenés à reconsidérer leurs projets. Ainsi, 31 % d’entre eux ont déclaré avoir envisagé de revendre au moins un de leurs immeubles à revenus en raison de la flambée des taux d’intérêt, un phénomène qui se manifeste en particulier chez les jeunes investisseurs.

Dans la grande région de Montréal, 20 % des investisseurs ont affirmé être susceptibles de vendre au moins un de leurs biens au cours des deux prochaines années, comparativement à 24 % à Toronto et 28 % à Vancouver.

Localisation, localisation

L’emplacement demeure le premier critère de choix d’une propriété pour les investisseurs, avant les services et le type de bien immobilier. Dans leurs critères, ils privilégient la possibilité d’appréciation de la valeur à long terme (69 %), un flux de trésorerie positif mensuel (54 %) et des coûts d’entretien et de dépenses variables réduits (44 %).

L’attrait de l’investissement immobilier est particulièrement vif dans le Grand Montréal, malgré le ralentissement des derniers mois. « L’attrait de l’investissement immobilier à Montréal n’est pas étranger au fait que le prix des propriétés y est beaucoup plus abordable que dans les deux autres plus grandes agglomérations canadiennes », explique Aline Zafirian, courtier immobilier résidentiel et commercial pour Royal LePage Village.

La majorité (64 %) des investisseurs de la grande région de Montréal possèdent un seul immeuble à revenus résidentiel. Par ailleurs, 14 % sont propriétaires d’au moins trois biens. Cette proportion représente près du double de la moyenne nationale, en raison de la mise de fonds moins importante nécessaire pour acquérir un immeuble par rapport à Toronto, où les valeurs sont beaucoup plus élevées, indique la spécialiste.

Une option d’investissement à considérer

L’immobilier résidentiel à revenu reste donc une option à considérer par les investisseurs, estime Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « Beaucoup de propriétaires choisissent d’investir dans l’immobilier, d’abord pour générer un revenu et récolter les avantages de l’appréciation des prix, mais aussi pour créer un accès au marché pour les générations futures de leur famille. »,

Il ajoute que les jeunes sont de plus en plus enclins à faire de l’investissement immobilier un élément de leur planification financière pour l’avenir et à privilégier l’achat d’un bien immobilier en tant que placement plutôt que l’achat d’une résidence principale.

« Comme tout investissement financier, l’immobilier comporte son lot de risques potentiels », mentionne le spécialiste. Il rappelle qu’au moment d’envisage d’inclure l’immobilier résidentiel dans un portefeuille d’investissement, il est important afin de s’assurer qu’il s’inscrit dans la stratégie à long terme du client et respecte sa tolérance au risque.

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L’importance des facteurs ESG pour les assureurs canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/limportance-des-facteurs-esg-pour-les-assureurs-canadiens/ Fri, 26 May 2023 11:41:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94141 Selon les conclusions d'une étude d’EY.

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Les attentes des clients en matière d’expériences numériques incitent les assureurs à accélérer leur transformation. Ils prévoient ainsi accorder la priorité à la transformation numérique et à l’actualisation de leur approche de recrutement au cours de l’année à venir afin de demeurer concurrentiels, et mettent l’emphase sur les ESG, selon les Perspectives 2023 pour le secteur mondial de l’assurance d’EY.

Les assureurs reconnaissent qu’ils doivent s’adapter à l’évolution des attentes des consommateurs, en particulier des générations plus jeunes à la recherche d’expériences numériques fluides et d’interactions en ligne, ainsi que des retraités qui veulent utiliser ces mêmes canaux pour accéder à des informations et à des conseils sur les produits.

« Pour survivre et pour se forger un meilleur avenir, les assureurs doivent redéfinir leurs modèles d’affaires au Canada dans le cadre d’une approche numérique novatrice centrée sur l’humain », estime Janice Deganis, leader du secteur de l’assurance chez EY Canada. Elle souligne que la détérioration de l’économie, aggravée par la flambée des taux d’intérêt et de l’inflation, rend cette transformation encore plus urgente.

Des cibles d’émissions claires

Le rapport d’EY démontre que l’intérêt du secteur de l’assurance pour les ESG (environnement, société, gouvernance) se développe. Environ 60 % des assureurs canadiens indiquent prendre en compte les facteurs ESG dans leurs activités de souscription et de développement de nouveaux produits. La majorité des répondants disent avoir établi des cibles d’émissions claires relatives à leurs activités.

Plusieurs affirment chercher à accroître l’accessibilité de l’assurance en général en développant de nouveaux produits pour assurer des personnes ou des biens qui n’étaient pas assurables auparavant ou en proposant de meilleurs tarifs. Certains développent et lancent…

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DSP modifie sa gamme de fonds communs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/dsp-modifie-sa-gamme-de-fonds-communs/ Fri, 26 May 2023 11:41:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93952 PRODUITS – De nouveaux sous-gestionnaires sont nommés.

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Desjardins Société de placement (DSP) a apporté plusieurs changements à sa gamme de fonds communs de placement. Les modifications comprennent la nomination de nouveaux sous-gestionnaires de portefeuille, la mise à jour des stratégies de placement, ainsi que des réductions de frais de gestion pour certains fonds.

Nouveaux sous-gestionnaires, nouvelles stratégies de placement

Ninety One North America devient le nouveau sous-gestionnaire du Fonds Desjardins Marchés émergents. Dans la foulée, DSP a également approuvé des changements aux stratégies de placement de ce fonds afin de mieux refléter la philosophie d’investissement de Ninety One. Ils prendront effet le ou vers le 10 juillet 2023.

La nouvelle stratégie d’investissement vise à identifier des entreprises de qualité dans les marchés émergents, qui ont une valorisation attrayante, dont les performances opérationnelles s’améliorent et qui font l’objet d’une attention croissante de la part des investisseurs. Cette stratégie utilise l’approche 4Factor exclusive à Ninety One qui combine à la fois des facteurs d’investissement traditionnels et comportementaux. Il en résulte un portefeuille basé sur des convictions et indifférent au style, à la taille et à l’indice de référence.

Toutefois, l’objectif de placement du Fonds Desjardins Marchés émergents demeure inchangé.

Pour le Fonds Desjardins SociéTerre Actions des marchés émergents, DSP a choisi Hermes Investment Management comme sous-gestionnaire, ce qui entraîne des changements aux stratégies de placement. Hermes s’emploie à identifier des entreprises de qualité, efficaces et durables dans les marchés émergents qui peuvent bénéficier de tendances structurelles. La firme utilise une analyse ascendante pour identifier les entreprises négociant à des valorisations attrayantes, combinée à un cadre descendant qui identifie les pays présentant des conditions favorables à la croissance. Le résultat est un portefeuille concentré de 50 à 75 investissements à forte conviction avec une perspective à long terme.

Les changements prendront eux aussi effet le 10 juillet 2023, ou autour de cette date.

Réductions des frais de gestion

Des réductions de frais de gestion, allant jusqu’à 15 points de base, s’appliqueront à certaines catégories de parts du Fonds Desjardins Marchés émergents et du Fonds Desjardins SociéTerre Actions des marchés émergents à partir du 10 juillet 2023.

Voici la liste des catégories de parts des Fonds Desjardins concernées :

Pour consulter ce tableau en grand format, cliquez ici.

Pour consulter ce tablau en grand format, cliquez ici. 

En outre, DSP mettra fin à la renonciation temporaire des frais de gestion du Fonds Desjardins SociéTerre Actions des marchés émergents pour les catégories de parts A, C, D et F à partir du 10 juillet 2023. Cette renonciation était en vigueur depuis le 1er janvier 2022.

DSP examine régulièrement l’offre de ses fonds communs de placement pour s’assurer qu’ils répondent aux besoins d’investissement en constante évolution des conseillers financiers et des investisseurs. Ces changements seront effectués sous réserve de l’approbation des autorités réglementaires.

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L’innovation au service de la RegTech https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/linnovation-au-service-de-la-regtech/ Thu, 25 May 2023 11:20:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94099 La CVMO a analysé la situation.

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L’industrie de la technologie promet souvent des révolutions, mais ce sont parfois les gains modestes qui apportent les bénéfices les plus significatifs, rapporte un rapport de la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario (CVMO).

La CVMO a publié un rapport sur son environnement d’essai visant à promouvoir l’innovation, connu sous le nom de TestLab. L’objectif consistait à examiner les solutions concernant deux problèmes fondamentaux : améliorer la capacité des entreprises à échanger de l’information avec leurs clients et améliorer les relations entre les entreprises et leurs clients.

L’expérience a révélé que les innovations modestes peuvent avoir des gains importants.

« Il peut y avoir une tendance à supposer que le progrès ne peut venir que de technologies révolutionnaires qui impliquent un changement profond et global – mais notre premier test nous a montré que des solutions simples peuvent avoir un impact majeur lorsqu’elles réduisent les frictions pour les inscrits et leurs clients », signale le rapport.

Par exemple, il fut constaté que l’automatisation du processus de collecte et de mise à jour des informations KYC peut fournir un retour significatif.

« Dans le cas des solutions RegTech, destinées à répondre aux problèmes qui surviennent lorsque les clients doivent remplir et soumettre des formulaires à un inscrit, le suivi des achèvements et les contrôles sur le champ vide se traduisent par une réelle efficacité en automatisant simplement le travail qu’ils effectuent déjà », indique le rapport. Il fut également prouvé que l’automatisation pouvait minimiser les erreurs.

En outre, l’organisme de réglementation a indiqué qu’une autre solution simple – des outils qui permettent aux conseillers de regrouper des comptes connexes, qui peuvent ensuite être gérés sur une base agrégée – s’était révélée « très bénéfique ».

L’introduction de fonctionnalités de base telles que l’intégration du calendrier qui permettait aux « clients de vérifier la disponibilité de leur conseiller et d’envoyer des demandes de réunion » a également facilité la tâche de planification des réunions avec les clients.

Par ailleurs, le rapport a noté que les tests ont amené l’organisme de réglementation à envisager les avantages d’une réglementation lisible par machine, ce qui facilite l’accès et l’interprétation du contenu des règles par les entreprises.

La CVMO a indiqué qu’elle suivait de près l’initiative de la Financial Industry Regulatory Authority (FINRA) des États-Unis d’adopter des règles lisibles par machine pour ses règles les plus fréquemment consultées afin de faciliter la conformité, de réduire les coûts et d’améliorer la gestion des risques.

« Il s’agit d’un exemple de premier plan en matière de lisibilité automatique de la réglementation des valeurs mobilières dont nous pouvons tirer des leçons et dont nous pouvons tenir compte dans le cadre des efforts futurs de la CVMO visant à mettre en œuvre des règles lisibles par machine », mentionne le rapport.

Les résultats proviennent d’une première série de tests effectués entre juin et décembre de l’année dernière, impliquant sept sociétés et plus de 100 testeurs (conseillers et investisseurs).

« Nous avons créé le TestLab afin d’offrir un environnement aux innovateurs, aux participants aux marchés financiers et à la CVMO afin de mettre à l’essai de nouvelles approches et technologies qui pourraient profiter aux entreprises et aux investisseurs de l’Ontario », a déclaré Grant Vingoe, chef de la direction de la CVMO, dans un communiqué.

« Historiquement, les organismes de réglementation ont utilisé une approche descendante de la réglementation. Aujourd’hui, la CVMO modernise sa méthode en s’engageant dans des réseaux de collaboration pour déterminer avec ses partenaires ce qui peut être amélioré », a-t-il ajouté.

Dans le rapport, Grant Vingoe a appelé les entreprises industrielles, les entreprises technologiques et les investisseurs à participer aux futurs tests.

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Banques : la CIBC rapporte une hausse des bénéfices au 2e trimestre https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/banques-la-cibc-rapporte-une-hausse-des-benefices-au-2e-trimestre/ Thu, 25 May 2023 11:17:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94179 Tandis qu’il est question d’un recul pour la TD et la Royale.

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La Banque CIBC rapporte une hausse de son résultat net du second trimestre de l’exercice financier en cours par rapport à celui de la même période de 2022.

Lors de la période de trois mois qui a pris fin le 30 avril dernier, ce bénéfice a atteint 1,688 milliard de dollars (G$), ou 1,76 $ par action, comparativement à 1,523 G$, ou 1,62 $ par action au deuxième trimestre de 2022.

Sur une base diluée, le bénéfice net a progressé au cours de la même période, de 1,652 G$ à 1,627 G$, mais il y a eu recul du bénéfice de l’action ajustée, de 1,77 $ à 1,70 $.

En un an, les produits de la Banque CIBC ont progressé au second trimestre, de 5,376 G$ à 5,702 G$.

L’institution basée à Toronto signale que le bénéfice net de son secteur Services bancaires personnels et PME, région du Canada, a bondi de 28 %, à 637 M$.

En marge de la présentation de ses résultats, la Banque CIBC a annoncé une augmentation du dividende trimestriel sur les actions ordinaires, qui passera de 0,85 $ à 0,87 $ par action pour le trimestre qui prendra fin le 31 juillet prochain.

Banque TD : hausse des produits

Le résultat net du deuxième trimestre de Groupe Banque TD a atteint 3,351 G$ cette année, ou 1,72 $ par action diluée, comparativement à 3,811 G$ ou 2,07 $ par action diluée à pareille date lors de l’exercice financier 2022.

Le résultat net rajusté a toutefois progressé au cours de la même période, de 3,714 G$ à 3,752 G$. Le résultat dilué par action rajusté a été en baisse, de 2,02 $ à 1,94 $.

Quant au total des produits d’exploitation, il a progressé entre le trimestre ayant pris fin en avril 2022 et celui qui s’est terminé le mois dernier, de 11,263 G$ à 12,366 G$.

La provision pour pertes sur créances est passée de 27 M$ au 30 avril 2022 à 599 M$ le mois dernier.

Au cours de la même période, le résultat net du secteur Services bancaires personnels et commerciaux au Canada de Groupe Banque TD a progressé de 4 %, à 1,625 M$. La hausse a été mesurée à 3 % pour le secteur Services de détail aux États-Unis, à 1,412 G$ CAN.

Groupe Banque TD a par ailleurs annoncé jeudi un dividende de 0,96 $ par action ordinaire entièrement libérée du capital-actions de la Banque pour le trimestre se terminant le 31 juillet prochain, qui sera payable à compter de cette date.

Banque Royale

La Banque Royale du Canada a essuyé une baisse de son bénéfice net et de son bénéfice ajusté au deuxième trimestre de l’exercice en cours, en comparaison avec les résultats rapportés à pareille date, un an plus tôt.

L’institution dont le siège social est à Toronto précise jeudi qu’en un an, le bénéfice net a reculé de 14 %, à 3,6 G$, alors que le bénéfice ajusté a été en baisse de 13 %, à 3,8 G$. Le bénéfice dilué par action a fondu de 13 %, à 2,58 $, alors que le bénéfice dilué par action ajusté a baissé de 11 %, à 2,65 $.

La Banque Royale explique que les résultats du trimestre à l’étude reflètent l’augmentation de la dotation à la provision pour pertes de crédit, qui se reflète dans le recul de 14 % sur un an du bénéfice net du secteur Services bancaires aux particuliers et aux entreprises. Ce bénéfice a chuté de 319 M$, à 1,915 G$.

Le bénéfice net du secteur Gestion de patrimoine a reculé de 8 %, à 742 M$, alors que celui du secteur Assurances s’est replié de 33 %, à 139 M$. En revanche, le bénéfice net du secteur Marchés des capitaux a progressé de 10 % sur un an, à 939 M$.

Les revenus de la Banque Royale lors du trimestre qui a pris fin le 30 avril dernier se sont élevés à 13,52 G$, comparativement à 11,22 G$ lors du trimestre correspondant de 2022.

En marge de la publication de ses résultats, la Banque Royale a annoncé que son conseil d’administration a déclaré une augmentation du dividende trimestriel sur ses actions ordinaires de 0,03 $ par action, soit 2 %, pour le porter à 1,35 $ par action.

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