Uber – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Sat, 16 Nov 2019 01:31:27 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Uber – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Uber, Airbnb et TaskRabbit : comment aider vos clients participant à l’économie du partage https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/uber-airbnb-et-taskrabbit-comment-aider-vos-clients-participant-a-leconomie-du-partage/ Tue, 31 Jul 2018 12:50:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=49862 FI RELÈVE - Les temps changent et de plus en plus de Canadiens se tournent vers l’économie du partage, aussi connue sous le nom de économie sur demande, pour gagner leur vie. Êtes-vous bien outillé pour les aider?

L’article Uber, Airbnb et TaskRabbit : comment aider vos clients participant à l’économie du partage est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Dans le cadre d’une étude commanditée par BMO Gestion de patrimoine, on a demandé aux répondants pourquoi ils étaient devenus travailleurs indépendants. Le choix volontaire a été la principale raison (invoquée par 60 % des répondants), suivi du besoin d’un nouveau défi ou d’un changement (49 %), et le souhait d’avoir un nouveau but après une entreprise précédente (19 %).

Plus d’hommes que de femmes (55 % comparativement à 43 %) ont dit avoir eu besoin d’un nouveau défi, et plus de milléniaux ont indiqué que leur choix était volontaire (62 %), comparativement aux membres de la génération X (58 %) et aux baby-boomers (54 %).

Comment aider ces clients à tirer le meilleur de leur situation?

Coordonner plan d’affaires et plan financier : le plan d’affaire permet de mettre sur papier comment le travailleur indépendant gagnera de l’argent, comme les services, les produits et la clientèle, le plan financier fixera pour sa part les objectifs à atteindre, comme le financement de la retraite ou des études des enfants.

Un bon conseiller doit prendre le temps de coordonner ces deux planifications et d’en faire le suivi. Il pourrait ainsi suggérer, par exemple, de modifier le plan d’épargne sur une base trimestrielle afin de s’ajuster aux fluctuations du revenu mensuel du client.

Aider son client à s’organiser : un travailleur indépendant doit déclarer l’ensemble de ses revenus aux autorités fiscales et payer lui-même ses cotisations au Régime de pensions du Canada. Il faut donc rappeler à son client de tenir un registre de ses revenus et de ses dépenses et, lorsque nécessaire, lui référer un fiscaliste qui le renseignera sur les exigences en matière de déclaration de revenus.

S’organiser veut aussi dire arrêter de vivre au jour le jour. Durant les mois les plus lucratifs de l’année, un bon conseiller devrait s’assurer que son client épargne les sommes nécessaires pour se constituer un fonds d’urgence. Ce fonds devrait représenter un minimum de six mois de dépenses courantes.

Couvrir le client contre divers risques : ce type de travailleurs ne peut pas compter sur une assurance invalidité fournie par un employeur. Il faut donc lui suggérer, lorsque possible et nécessaire, de souscrire à une assurance invalidité privée. Le client pourrait aussi avoir besoin d’une assurance responsabilité civile ou d’une assurance soins de santé individuelle.

Éviter les dettes : en affaires, il faut parfois emprunter pour investir, mais il faut s’assurer que son client comprend l’importance d’éviter l’endettement. On doit lui rappeler d’inclure le remboursement de ses dettes dans son budget et, si nécessaire, envisager de souscrire à une assurance-crédit.

L’article Uber, Airbnb et TaskRabbit : comment aider vos clients participant à l’économie du partage est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Travail autonome : entre rêve et réalité https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/travail-autonome-entre-reve-et-realite/ Mon, 30 Jul 2018 13:19:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=49812 Pourquoi vos clients deviennent-ils chauffeurs de taxi Uber ou hôte Airbnb? Une récente étude de BMO Gestion de patrimoine au sujet de l’économie à la demande démontre que chaque génération a ses raisons pour adopter ce type de travail autonome.

L’article Travail autonome : entre rêve et réalité est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
BMO Gestion de patrimoine définit l’économie à la demande comme une économie « caractérisée par une prédominance de travailleurs indépendants et de sous-traitants rémunérés à la tâche ou pour des contrats de courte durée ». Elle est constituée d’emplois temporaires ou contractuels, de travailleurs à la demande, de travailleurs autonomes et de salariés occasionnels

Ainsi, 70 % des baby-boomers qui participent à l’économie à la demande le font pour avoir de l’autonomie et du contrôle, 35 % pour gagner un revenu d’appoint, 35 % pour l’équilibre travail-famille et 23 % pour gagner un revenu pendant la recherche d’un meilleur emploi. Seulement 35 % des baby-boomers interrogés disent que c’est la seule manière pour eux de gagner un revenu.

Plus d’un membre de la génération X sur deux, ou 54 %, citent l’autonomie, 44 % le besoin de gagner un revenu d’appoint et 52 % l’équilibre travail-famille. Pour les milléniaux, 53 % disent utiliser l’économie à la demande pour gagner un revenu d’appoint, 48 % l’autonomie, 38 % l’équilibre travail-famille et 30 % le besoin de gagner un revenu en attendant de trouver un meilleur emploi.

En comparaison, si on regarde l’ensemble des répondants, le désir d’autonomie et le besoin de gagner un revenu d’appoint arrivent à égalité, à 49 %, parmi les raisons de participer à l’économie sur demande. Quarante-deux pour cent des répondants citent le désir de trouver un meilleur équilibre entre le travail et la famille alors que 27 % disent que c’est leur seule façon de gagner un revenu.

Risques

Tout n’est toutefois pas rose au pays de l’économie sur demande. En effet, 87 % des baby boomers s’inquiètent de l’absence d’avantages sociaux dans ce type d’emploi, contre 72 % des membres de la génération X et 67 % des milléniaux. En comparaison, 69 % de l’ensemble des répondants citent l’absence d’avantages sociaux comme l’aspect du travail à la demande qui a le plus de répercussions financières sur eux.

Dans le même ordre d’idées, 57 % des baby-boomers, 55 % des membres de la génération X et des milléniaux s’inquiètent de l’absence de rémunération en cas de maladie. Chez l’ensemble des répondants, 55 % citent l’absence de rémunération en cas de maladie comme un facteur ayant des répercussions financières sur eux.

Au chapitre de la rémunération, on remarque une différence importante entre les générations. Ainsi, le fait que l’économie sur demande fournisse une rémunération insuffisante est un facteur important pour 57 % des baby-boomers, mais seulement 43 % des milléniaux et 36 % des membres de la génération X. Le risque d’accumuler des dettes est cité par 7 % des baby-boomers, mais par 34 % des membres de la génération X et 29 % des milléniaux.

L’article Travail autonome : entre rêve et réalité est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>