travailleur autonome – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 22 Nov 2023 16:00:28 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png travailleur autonome – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Mieux gérer l’avalanche de tâches de fin d’année https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/mieux-gerer-lavalanche-de-taches-de-fin-dannee/ Thu, 23 Nov 2023 10:59:58 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97683 DÉVELOPPEMENT - Évitez les pressions supplémentaires avant Noël et le Nouvel An.

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Fin d’année rime souvent avec davantage de pressions au travail. Même si cette période revient chaque 365 jours, nombre de professionnels semblent encore surpris. C’est ainsi que l’on voit souvent un déluge d’échéances tomber dès le début du mois de décembre. Le Harvard Business review propose cinq stratégies pour atténuer la pression.

  • Anticiper les demandes récurrentes

Au lieu d’être pris par surprise, tentez d’être proactif. Après quelques années au même poste, vous connaissez certainement les tâches qui viennent de pair avec la fin d’année. Parlez-en donc à vos dirigeants et collègues pour les devancer.

Par exemple : « Depuis que je travaille ici, nous devons fournir nos évaluations des performances avant la mi-décembre, mais je n’ai pas encore vu les outils habituels être partagés. Qui pourrait me confirmer le calendrier de cette année pour que je prépare mon équipe? »

Ainsi, n’attendez pas que les tâches viennent à vous. Allez à leur rencontre quand cela vous arrange pour éviter de travailler dans l’urgence.

  • La gestion des congés

La gestion des congés n’est pas une tâche facile. Pour éviter de devoir renoncer à vos jours de vacances, communiquez vos projets à vos collègues et tentez de faire en sorte de répondre à leurs demandes avant votre départ.

Annoncez ainsi vos jours de vacances et prévenez-les de faire toutes leurs demandes avant ces dates. N’hésitez pas non plus à planifier une réunion pour votre retour des Fêtes afin de mieux répondre aux tâches qui attendaient votre retour.

En communiquant davantage, vous aidez vos collègues à planifier à l’avance et vous vous placez en modèle.

Si une tâche survient tout de même au dernier moment, n’hésitez pas à refuser et tenter de trouver une solution alternative.

  • Clarifier les demandes

Les demandes de dernière minute sont parfois peu claires. N’hésitez pas à les clarifier pour éviter de travailler trop pour rien.

Personne ne vous reprochera de poser davantage de questions et cela vous enlèvera sans aucun doute du stress.

  • Redéfinir ses priorités

Même en planifiant tout, des demandes de dernière minute vont certainement tomber. Pas de problème, organisez votre agenda pour vous ménager du temps pour y répondre. Parfois cela peut valoir la peine de replanifier des réunions pour la nouvelle année. Le rush de fin d’année est certainement une excellente raison pour justifier un examen honnête des engagements que vous avez pris et en déplacer certains.

  • Éviter la ruée l’année suivante

Si vous ne trouvez aucun moyen d’échapper au stress de cette année, vous avez largement le temps d’essayer d’éviter celui de l’an prochain.

Ouvrez déjà votre calendrier et ajoutez un rappel début septembre pour entamer les discussions avec vos collègues ou vos supérieurs pour connaître leurs désirs pour la fin de l’année.

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Flavio Vani sonne l’alerte https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/flavio-vani-sonne-lalerte/ Wed, 03 Nov 2021 12:10:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=83130 Les jours heureux de l'autonomie du conseil sont derrière nous, affirme Flavio Vani, président de l'Association professionnelle des conseillers en services financiers (APCSF).

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« Ce que l’on voit en assurance de personnes, on le verra à très court terme dans le monde des valeurs mobilières », a dit Flavio Vani lors d’un panel de discussions tenu par l’APCSF dans le cadre de son congrès annuel, en octobre.

Intitulé « L’autonomie du conseil est-elle menacée ? », le panel était animé par Patrice Lortie, président du cabinet Polyclinique de la Finance et directeur d’une succursale d’Investia.

Outre Flavio Vani, le panel regroupait Frédéric Perman, VP au développement des affaires chez Financière S_Entiel, Maxime Gauthier, directeur général et chef de la conformité chez Mérici Services Financiers, et Guy Duhaime, président de Groupe financier Multi Courtages.

Les participants ont tout d’abord évoqué la précarité grandissante de l’autonomie du conseil en assurance de personnes. À la source de ce phénomène : les exigences accrues en volumes de vente de la part des assureurs, ce qui peut inciter les cabinets et distributeurs à favoriser les ventes de certains assureurs aux dépens de d’autres.

Verra-t-on la même chose en épargne collective ? Les propos de Flavio Vani ne laissaient planer aucun doute. « Actuellement, les volumes de vente ne sont pas requis en valeurs mobilières, mais cela va éventuellement se produire. La pression réglementaire de la règle de connaissance du produit va accélérer les choses. On le verra à très court terme », a-t-il dit.

Flavio Vani a également fait référence aux impacts de la tendance de manufacturiers à proposer des portefeuilles tout faits. Dans ce cas, les frais et la rémunération découlent des volumes de ventes, a-t-il précisé.

L’animateur Patrice Lortie a concouru aux propos de Flavio Vani en invoquant des « façons indirectes » de favoriser la concentration des ventes. Il a fait allusion aux « exigences des comptes autogérés », sans toutefois approfondir sa pensée.

L’exigence de connaissance du produit avantagera-t-elle les ventes des gros manufacturiers aux dépens des plus petits ? Guy Duhaime ne le croit pas. « La connaissance du produit n’implique pas de connaître un fonds en tant que tel, mais plutôt les catégories auxquelles les fonds se rattachent », estime-t-il.

Revêtant son habit de chef de la conformité, Maxime Gauthier a alors suggéré de « bien documenter le processus de sélection et d’assemblage de fonds dans le cadre d’une logique de diversification ».

Reprenant ses habits de directeur général de Mérici, Maxime Gauthier a identifié l’univers du courtage comme un des lieux où l’autonomie du conseil est mise au défi. « Certains courtiers demandent aux conseillers à basse production de quitter le navire », a-t-il dit.

Comment les conseillers indépendants peuvent-ils défendre l’autonomie du conseil ?

« Cette autonomie, le public la demande. Et si elle est menacée, c’est que les conseillers ne l’exigent pas ! À eux de faire valoir leur qualité de généraliste et de bien choisir leurs partenaires », a affirmé Frédéric Perman.

« Aux conseillers de changer de firmes s’ils éprouvent des pressions indues », a ajouté Maxime Gauthier.

Abordant la question des titres professionnels, Flavio Vani a déploré l’immobilisme, dans l’opinion publique et à l’Autorité des marchés financiers, d’une revendication majeure de l’APCSF : l’établissement du titre de conseiller en services financiers. « Ce titre refléterait bien notre réalité multidisciplinaire. Mais nous n’avons pas encore rallié suffisamment de gens pour en faire la promotion », a-t-il dit.

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Les chefs de PME contre l’assurance-emploi obligatoire pour les travailleurs autonomes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-chefs-de-pme-contre-lassurance-emploi-obligatoire-pour-les-travailleurs-autonomes/ Thu, 11 Mar 2021 13:06:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=78408 La FCEI estime que ce n’est pas le moment d’imposer de tels changements.

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La grande majorité des chefs de PME (89 %) sont contre l’idée de rendre obligatoire l’assurance-emploi (AE) pour les travailleurs autonomes, révèle un sondage récent de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI).

Ce sondage a été fait après que le gouvernement ait signalé son intention d’entreprendre une refonte majeure du régime d’assurance-emploi en élargissant notamment la couverture aux travailleurs autonomes.

Pour la FCEI, le moment est très mal choisi pour proposer une telle réforme. Les membres de la fédération estiment ainsi qu’avant de prendre une telle décision, il serait bon de consulter employés et employeurs, soit ceux qui vont devoir financer ce régime, et faire une analyse des coûts et des bénéfices d’une telle mesure.

« La crainte de voir certaines prestations d’AE particulièrement généreuses devenir permanentes inquiète beaucoup les entrepreneurs. Le moment serait, en effet, vraiment mal choisi pour faire des changements qui imposeraient de nouveaux coûts permanents au système, surtout dans le contexte actuel », signale Jasmin Guénette, vice-président des affaires nationales à la FCEI.

Selon le sondage, les trois quarts des répondants (73 %) estiment que l’élargissement de la couverture devrait se faire sur une base volontaire. Le même pourcentage s’oppose également au fait de verser un montant minimum de 500 $ par semaine aux prestataires, peu importe leur rémunération de travail antérieure (comme c’est le cas à l’heure actuelle) et 82 % estiment que le nombre d’heures minimum exigé pour avoir droit à des prestations d’AE devrait passer de 120 heures à 420 heures.

La FCEI souligne que les deux dernières mesures, soit le montant minimum de 500 $ par semaine à verser aux prestataires et le fait que le nombre d’heures minimum exigé soit fixé à 120 heures, ont eu un effet dissuasif pour les chefs de PME. Ces mesures auraient ainsi rendu plus difficiles l’embauche et la rétention d’employé durant la COVID-19 pour 43 % d’entre eux.

« Il est important en ce moment d’accorder une aide temporaire aux travailleurs qui doivent s’isoler ou s’occuper des malades au sein de leur famille. On comprend qu’il y ait actuellement des programmes pour les soutenir. En revanche, l’assurance-emploi n’est pas un programme financé par le gouvernement et donc il ne devrait pas rendre permanents des changements temporaires mis en place durant la pandémie, ni rendre obligatoire l’AE pour les travailleurs autonomes. La FCEI est prête à travailler avec le gouvernement pour s’assurer que le système d’assurance-emploi conviendra à tous », conclut Jasmin Guénette.

Ce sondage a été réalisé en ligne entre le 28 janvier et le 17 février 2021 auprès de 4901 chefs de PME.

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