tolérance au risque – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 14 Apr 2023 11:13:07 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png tolérance au risque – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Un Énoncé de politique de placement (ÉPP), t’en as vraiment besoin ! https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/bertrand-larocque-et-marc-st-pierre/un-enonce-de-politique-de-placement-epp-ten-as-vraiment-besoin/ Fri, 14 Apr 2023 11:13:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93105 ZONE EXPERTS : Redécouvrir l’ÉPP pour vaincre le cycle des émotions.

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Le principal défi du conseiller en placement consiste à gérer les émotions de son client. C’est au cours des années 90 que le profil d’investisseur et l’énoncé de politique de placement sont apparus dans l’industrie des fonds communs de placement. Deux outils qui avaient pour objectif d’améliorer la construction de portefeuille des investisseurs.

Après quelques années, les autorités réglementaires ont imposé le profil d’investisseur aux conseillers en placements. Pourtant, il n’a pas un véritable rôle à jouer dans la planification d’un portefeuille.  Le profil ne vise pas à déterminer le rendement qui est requis pour réaliser les objectifs des investisseurs. Il cherche plutôt à évaluer leur tolérance au risque. Ses conclusions vont naturellement dans le même sens que leurs émotions. Une corrélation malsaine qui les encourage à prendre plus de risque dans les périodes d’optimisme et les phases haussières des marchés financiers, comme durant l’année 2021. À l’inverse, devant les pertes enregistrées en 2022, tant dans les obligations que dans les actions, les investisseurs ont généralement de moins en moins de tolérance au risque. Le climat de récession économique et d’incertitude ajoute aux inquiétudes et aux craintes de pertes plus importantes. En définitive, la révision du profil d’investisseur, au rythme de leurs émotions, les éloigne de leur objectif.

Le rôle du planificateur financier vise à déterminer objectivement le rendement qui est requis pour que son client réalise ses objectifs. Ses calculs tiennent compte de plusieurs éléments, tel sa situation financière personnelle, les impôts à payer et le taux d’inflation. Il n’y a aucun lien avec les émotions du client, avec l’état des marchés financiers ou la situation économique à court terme.

Pourquoi l’élaboration d’un portefeuille de placement pour les individus serait-elle différente de celle poursuivie par les caisses de retraite? Ces dernières n’appuient pas leurs décisions sur un profil d’investisseur pour la composition d’un portefeuille. Plutôt, elles adoptent un énoncé de politique de placement strict, qui vise à réaliser le rendement estimé nécessaire pour rencontrer les engagements actuariels du régime de retraite. Comme pour les caisses de retraite, la composition du portefeuille de l’investisseur doit produire le rendement estimé pour réaliser ses objectifs.

Si les émotions de l’investisseur ne font pas partie des équations mathématiques utilisées par le planificateur financier, elles sont pourtant bien réelles. Elles peuvent le conduire à de mauvaises décisions de gestion. Comment alors le préparer à poser les bons gestes devant les cycles des marchés financiers, sans qu’il ne se laisse emporter par ses émotions?

En prenant connaissance de son plan financier, et du rendement requis qui a été calculé objectivement, l’investisseur connaît dorénavant le rendement qu’il doit rechercher. Il possède alors l’information de base pour réaliser ses objectifs personnels. Mais on peut se poser la question à savoir si le rendement requis par son plan financier correspond à ses attentes. Selon qu’il a un goût pour le risque, ou qu’il a une aversion pour le risque, ses attentes de rendement seront soit plus élevées, soit plus faibles.

Ainsi, la comparaison des « attentes de rendement » et du « rendement requis » dans un Énoncé de politique de placement (ÉPP), profite à la fois au client et à son conseiller en placement :

  • L’investisseur connaît le rendement minimum requis à long terme de son portefeuille pour réaliser ses objectifs,
  • Le conseiller connaît le rendement minimum espéré à long terme par son client, pour qu’il soit satisfait de son portefeuille.

Pour voir ce tableau en grand format, cliquez ici.

Naturellement, le « rendement requis » et les « attentes de rendement » peuvent être très différents. Il reste donc à définir le mandat sur lequel s’entendront le conseiller en placement et son client. En s’inspirant du processus suivi par les caisses de retraite, l’ÉPP comprend aussi la répartition d’actif qui est requise pour la réalisation du rendement, sur l’horizon de placement défini. (Nous suggérons de retenir un rendement de 8 % pour les actions et de 2 % pour les revenus fixes sur les 10 prochaines années). Par exemple, pour réaliser un rendement de 5 %, un portefeuille sera composé de 50 % d’actions et 50 % de revenu fixe, avec un intervalle de ±10 %. Pour réaliser un rendement composé de 7 % à long terme, un portefeuille devrait détenir 85 % d’actions ±10 %.

Un investisseur, dont le rendement requis dans son plan financier est de 5 % à long terme, peut avoir des attentes de rendement de 7 %. Pour y arriver, son ÉPP lui enseigne qu’il devra assumer une volatilité « élevée » et maintenir environ 85 % d’actions dans son portefeuille à long terme, plutôt qu’une volatilité « moyenne » avec 50 % d’actions. À ce moment-ci, il comprend l’implication de sa propension au risque sur la composition de son portefeuille. Finalement, c’est après discussion avec son conseiller qu’il arrêtera son objectif de rendement dans le mandat de gestion de son ÉPP (soit entre 5 % et 7 %).

La principale caractéristique de l’ÉPP demeure la prise de conscience pour l’investisseur de l’impact de ses émotions sur la composition de son portefeuille. L’approche devient pédagogique, en lui rappelant l’importance de maintenir le cap sur la composition de portefeuille établit dans son ÉPP. Dans une période d’optimisme comme en 2021, un rendement de 8 % + semblait raisonnable? Malgré l’année éprouvante en 2022, l’ÉPP a le mérite d’instruire l’investisseur sur la stratégie de portefeuille à maintenir, afin de réaliser le rendement minimum requis dans son plan financier.

Au chapitre 36 de notre livre « Du porte-monnaie au portefeuille, 45 conseils pour mettre votre argent au travail », nous expliquons pourquoi un ÉPP est préférable à un profil d’investisseur, dans la gestion des émotions des investisseurs. Le conseiller en placement et son client peuvent aussi compléter l’ÉPP en ajoutant des conditions particulières et la fréquence des rencontres prévues pour le suivi.

En conclusion, l’investisseur doit pouvoir surmonter ses émotions et prendre du recul durant les différentes phases des marchés financiers afin d’éviter les comportements d’euphorie ou de découragement. Ce qu’un profil d’investisseur qui est corrélé avec ses émotions ne peut réaliser. Les grandes caisses de retraite adoptent un ÉPP pour déterminer la composition du portefeuille. Quant au conseiller en placement, pour tenir compte efficacement des émotions de son client, il doit à la fois intégrer dans son ÉPP le « rendement requis » par son plan financier et ses « attentes de rendement ».

Les avantages de l’ÉPP pour l’investisseur lui permettent :

  • De connaître l’impact du rendement sur la composition de son portefeuille en actions et en revenus fixes,
  • De préciser son horizon de placement et
  • D’estimer les conséquences de l’objectif de rendement sur la volatilité de son portefeuille.

Sans un ÉPP qui indique le « rendement requis », on néglige le plan financier. Sans un ÉPP qui compare le « rendement requis » et les « attentes de rendement », on ne prend pas en compte la dimension « émotions » du client. L’ÉPP prépare aussi le client aux rencontres de suivi à venir, qui viseront à garder le cap sur ses objectifs et à effectuer les rééquilibrages requis. Elles lui éviteront de réagir émotivement dans les périodes d’euphorie ou de découragement.

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Les RAC selon Laurent Boukobza https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-rac-selon-laurent-boukobza/ Wed, 11 Jan 2023 11:11:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=88264 FOCUS FNB - Laurent Boukobza, Vice-Président et stratège FNB pour l’Est du Canada chez Placements Mackenzie, donne son avis sur les réformes axées sur le client.

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FI : Les réformes axées sur le client (RAC) imposent beaucoup d’obligations relatives à la connaissance du produit. Évidemment, les conseillers ont accès aux outils de leur courtier. Excepté ces derniers, quels sont les meilleurs outils pour bien faire face aux exigences des RAC ?

Laurent Boukobza : Outre la mise en place d’outils au bénéfice des gestionnaires de patrimoine, je pense que ce que le régulateur essaie de promouvoir, c’est vraiment l’implémentation de meilleures pratiques. Ce qu’il faut donc en comprendre c’est qu’en bout de ligne, ces exigences visent à mieux  protéger le client, mais également  le conseiller. Ainsi, une bonne connaissance des produits qui sont inclus dans les portefeuilles, ça implique un processus de compréhension de la structure des produits, des indices éventuels qu’ils répliquent et de leur comportement dans les différentes situations de marché.

La révision périodique des objectifs des clients, de leur situation personnelle et de leur tolérance au risque, ce sont des indicateurs, des balises qui vont aider les gestionnaires de portefeuille et les conseillers-ères en placement à créer des portefeuilles qui vont ultimement aider les clients à rester confortables, à rester investis, tout en atteignant leurs objectifs à long terme. Parce que c’est vraiment ça dont il est question. Lorsqu’on prend en charge la situation financière d’un client, on veut l’aider à aller d’un point A à un point B, qui est généralement la retraite, et donc, à faire en sorte que cette personne ait une situation confortable à sa retraite.

Cela signifie qu’au cours de leur vie d’épargnant, les personnes doivent être à l’aise avec le risque de leur portefeuille et qu’ils suivent le plan établi.

Les RAC sont donc vraiment là pour aider les conseillers-ères à amener leurs clients d’un point A à un point B. Je pense que les courtiers font un excellent travail en mettant en place des outils à la disposition du conseiller, mais une fois de plus, il y a vraiment de meilleures pratiques à implanter dans la gestion de portefeuille pour s’assurer de la bonne continuité de l’exécution du plan de retraite.

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Transactions boursières : faites preuve de prudence https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/transactions-boursieres-faites-preuve-de-prudence/ Wed, 23 Dec 2020 13:24:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=77111 Avec la COVID-19, nombre d’investisseurs ont fait leurs premiers pas en Bourse.

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Certaines plateformes de négociation d’actions ont vu leur nombre d’utilisateurs bondir en 2020, alors qu’un marché en pleine effervescence et le temps passé à la maison en raison de la pandémie de COVID-19 ont incité un nombre croissant de Canadiens à effectuer leurs premiers pas en Bourse.

« Nous avons constaté une croissance incroyable l’année dernière, a déclaré Kevin Gu, chef des produits chez Wealthsimple, une plateforme de négociation en ligne. Les gens ont plus de temps libre depuis qu’ils sont à la maison, ils réfléchissent plus sérieusement à leurs finances et sont désireux d’effectuer leur entrée sur le marché. »

Les experts financiers, quant à eux, exhortent ces nouveaux venus à se renseigner sur les principes fondamentaux de l’investissement tout en les prévenant de ne pas se laisser prendre par la « peur de rater » les sommets du marché.

La popularité de Wealthsimple, lancée en mars 2019, reflète celle d’applications similaires de négociation d’actions comme Robinhood aux États-Unis. Ce modèle sans commission, qui a rendu Robinhood populaire auprès des investisseurs novices au sud de la frontière, s’est également frayé un chemin au Canada. L’investisseur moyen qui effectue ses premiers pas est âgé de 30 ans et négocie des actions d’Air Canada, de Tesla, de Shopify, de Cineplex et d’Apple. Kevin Gu qualifie ces utilisateurs d’investisseurs occasionnels.

« Nous avons vu beaucoup d’activités de la part de nouveaux investisseurs qui utilisent la plateforme pour investir dans ce en quoi ils croient », a-t-il dit.

Selon Wealthsimple, les nouveaux utilisateurs ont augmenté de 80 % pour totaliser 380 000, entre juillet et décembre. D’autres plates-formes observent la même tendance. TradingView dit avoir constaté une augmentation sans précédent de 131 % du nombre de nouveaux utilisateurs en mars dans la foulée des restrictions visant à contenir la propagation de la COVID-19, et une hausse de 51,5 % de l’activité chez ses habitués. Les inscriptions ont chuté en septembre, avant de repartir à la hausse en octobre.

Tracey Bissett, une analyste financière agréée qui se trouve à Toronto, a dit ne pas être surprise, car les étudiants à qui elle enseigne dans le cadre de formations collégiales parlent fréquemment d’investissements à la mode comme le Bitcoin.

« Sur Instagram, vous le voyez, a dit Tracey Bissett. Il y a des influenceurs, dont certains disposent de connaissances en matière de finances. D’autres non. »

Tracey Bissett a souligné que les nouveaux investisseurs sautent parfois directement à l’étape de l’investissement. Elle conseille aux gens de garder en tête leur horizon de placement. La reprise des études ou une mise de fonds pour une propriété peuvent constituer des objectifs à court terme. D’autres, comme la retraite, nécessitent une approche à plus long terme.

La tolérance au risque

L’experte a également suggéré aux investisseurs de choisir des actions avec une gamme de rendements historiques, qui livrent des résultats dans les cycles haussiers et résilientes quand la tendance est à la baisse. Lorsque vient le temps de choisir des titres qui correspondent à la capacité d’une personne à tolérer les risques, elle conseille aux investisseurs de consulter des sources d’information réputées et d’analyser la fiabilité de l’entreprise en ce qui a trait aux bénéfices.

« La tolérance au risque consiste à réfléchir à ce qui se passerait si vous perdiez la totalité de votre investissement initial », a analysé Tracey Bissett.

À la suite d’entrées en Bourse remarquées, comme celle du service de livraison de repas DoorDash, qui a vu le cours de son action presque doubler, le marché peut sembler en enrichir plusieurs, en particulier dans un contexte de ralentissement économique, a-t-elle ajouté. Cette année seulement, l’indice composé S&P/TSX de la Bourse de Toronto a atteint un sommet de 17 970,51 points en février, un creux de 11 172,73 points en mars et se situe maintenant aux alentours de 17 500 points.

Mais, « ce n’est pas facile de battre d’autres investisseurs ou de battre le marché », a souligné le gestionnaire d’investissements Hilliard MacBeth.

Celui-ci a ajouté que si les conseillers-robots et les applications gratuites sont devenus la norme, il y a aussi des éléments à considérer, notamment la façon dont les données des utilisateurs sont traitées.

« L’effet de parler à des conseillers peut être très utile dans le cas où quelqu’un est sur le point de faire quelque chose de vraiment, vraiment fou et risqué, a expliqué Hilliard MacBeth. La plupart des conseillers veulent garder leurs clients et ils veulent qu’ils survivent, car c’est la façon de développer votre entreprise. »

Kevin Gu dit que Wealthsimple a encouragé les utilisateurs à négocier activement moins de 1 % de leurs économies, ajoutant que « le moyen le plus intelligent de faire fructifier votre argent à long terme est d’avoir un portefeuille diversifié à faible coût qui suit le marché ».

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La tolérance au risque est restée inchangée https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-tolerance-au-risque-est-restee-inchangee/ Thu, 29 Oct 2020 12:13:23 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=76153 Malgré la volatilité récente des marchés.

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En 2020, plus du tiers des investisseurs canadiens (37 %) se dit être « très » ou « passablement » agressifs dans leur tolérance au risque de placement. Une proportion assez semblable à celle de 2017, où elle s’élevait à 35 %, malgré l’environnement économique en rapide mutation observé cette année, révèle une enquête réalisée par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).

L’Indice ACVM des investisseurs mesurant les connaissances en investissement, le comportement des investisseurs et l’incidence de la fraude en matière de placement, montre même que ceux-ci réévaluent moins régulièrement leur tolérance au risque. Alors qu’ils étaient 62 % à se prêter à cet exercice en 2006, seuls 48 % des répondants l’ont fait l’année dernière.

« Malgré la conjoncture économique en 2020, il est encourageant de voir que la confiance et la tolérance au risque des investisseurs canadiens sont demeurées relativement stables, a déclaré Louis Morisset, président des ACVM et président-directeur général de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Il importe toutefois qu’ils continuent de faire preuve de diligence, surtout en période d’incertitude économique. Un réexamen régulier de leur tolérance au risque et l’établissement d’un plan financier les aideront à s’assurer que leurs investissements concordent avec leurs objectifs. »

D’autres statistiques intéressantes

L’Indice ACVM des investisseurs montre également qu’à long terme les investisseurs font preuve d’optimisme. Alors que seuls 45 % d’entre eux pensent pouvoir suivre leurs objectifs de placements ces 12 prochains mois, cette proportion grimpe à 60 % quand on leur demande ce qu’il en est pour les cinq prochaines années.

Certaines statistiques sont toutefois moins positives. Ainsi seulement un peu plus du quart des Canadiens (27 %) disent avoir un plan financier, soit une baisse de quatre points de pourcentage par rapport à 2012. De plus le tiers des répondants (33 %) disent avoir vérifié les antécédents de leur conseiller, contre 41 % en 2012.

Ceci explique certainement la hausse de personnes ayant eu confiance en une personne frauduleuse par rapport à 2016. En quatre ans, ce pourcentage a presque doublé passant de 8 % alors à 15 % aujourd’hui.

Toutefois, les Canadiens sont plus au courant des frais engendrés par leur conseiller qu’en 2012. Le pourcentage est ainsi passé de 44 % à 52 % en huit ans.

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