reprise économique – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 04 Jan 2024 14:38:09 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png reprise économique – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Une reprise économique plutôt qu’une récession en 2024 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/une-reprise-economique-plutot-quune-recession-en-2024/ Fri, 05 Jan 2024 11:37:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98329 Prévoit IG Gestion de patrimoine.

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En effet, selon les Perspectives des marchés 2024 d’IG Gestion de patrimoine (IG), l’année 2024 promet davantage de stabilité et d’occasions de placement, puisque les marchés entreront dans une phase de normalisation.

« En ce moment dans le monde entier, y compris au Canada, on observe des « récessions tournantes », c’est-à-dire des situations dans lesquelles certains secteurs prospèrent pendant que d’autres sont malmenés. Malgré cette incertitude sectorielle, les fondamentaux nous permettent de croire que nous nous acheminons vers une reprise économique mondiale plutôt que vers une récession », a déclaré Philip Petursson, stratège en chef des placements chez IG Gestion de patrimoine.

Des « récessions tournantes »

Dans ses Perspectives des marchés 2024, l’équipe Stratégie de placement d’IG prévoit ainsi que des « récessions tournantes » continueront d’être observées dans les différentes économies de la planète.

Ces « récessions tournantes » sont plus fréquentes que les ralentissements généralisés et témoignent de la résilience d’une économie. Durant ces phases économiques, une stratégie de placement à long terme rigoureusement suivie favorise une croissance durable, indique le rapport.

Certains secteurs, comme l’industrie manufacturière et le commerce mondial, atteignent un creux, mais devraient se redresser en 2024.

Les risques de récession aux États-Unis en 2024 ont diminué et une reprise semble plus probable.

Quant à l’économie canadienne, elle semble davantage à risque de récession, étant donné que les hausses de taux d’intérêt ont habituellement une incidence plus immédiate sur la consommation.

Cela dit, comme le marché boursier canadien est davantage tourné vers le monde, le TSX devrait profiter d’une reprise économique mondiale.

Un retour à la normale

Par ailleurs, l’inflation et les taux d’intérêt devraient se normaliser, y compris au Canada, prévoit IG.

Cette phase de normalisation de l’inflation suppose aussi une stabilisation des taux d’intérêt, les banques centrales ayant suspendu leurs hausses de taux pour l’instant.

En raison de cette période de normalisation, les obligations devraient rapporter davantage grâce aux taux d’intérêt plus élevés.

Les valorisations boursières

Si l’année 2023 n’a pas été favorable aux actions, l’indice S&P 500, par exemple, ayant été dominé par des gains concentrés chez les « sept magnifiques », à savoir Nvidia, Tesla, Meta, Apple, Amazon, Microsoft et Alphabet, le rapport d’IG Gestion de patrimoine mentionne que le contexte est propice à un élargissement des gains de marché en 2024.

Alors que la perspective d’une reprise économique est encourageante pour les bénéfices, à laquelle s’ajoutent les valorisations attrayantes et la diminution des pressions inflationnistes, la prochaine année réserve d’intéressants gains boursiers.

« Nous en arrivons ainsi à une perspective plus optimiste pour l’économie et les marchés mondiaux, à l’aube de 2024. Des défis subsistent, notamment en ce qui concerne l’économie canadienne. Mais en gros, les données indiquent une tendance générale à l’amélioration. Et l’amélioration est porteuse d’occasions », a commenté Philip Petursson.

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Actions : attendez-vous à des rendements « décevants » https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/actions-attendez-vous-a-des-rendements-decevants/ Mon, 09 Aug 2021 12:12:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=81436 Les experts prévoient la fin de la reprise.

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Le 12 mars dernier, le S&P 500 a plongé de 9,5 %, sa plus forte chute en une journée depuis 1987. Plusieurs ont décrit cela comme le « plus court repli de l’histoire des États-Unis », car dès le mois d’avril le marché a rebondi, enregistrant une croissance de 68 % à la fin de 2020.

Depuis, le marché ne cesse d’enregistrer des records. Toutefois, la fête semble toucher à sa fin. Plusieurs économistes, notamment Capital Economics, estiment que la reprise s’épuise et que les gains des prochaines années seront bien plus faibles que ceux observés récemment, rapporte le Financial Post.

« Étant donné la force de ces prévisions et les dernières données sur le PIB qui suggèrent que nous pourrions bien être proches du « pic de croissance » dans les marchés développés, voire l’avoir déjà dépassé, nous pensons que les jours de révisions à la hausse constantes des prévisions de bénéfices sont probablement derrière nous », écrit Thomas Mathews, économiste de marché chez Capital.

Du côté des marchés émergents, la situation ne semble pas meilleure. La demande d’exportations chinoises s’essouffle et le ralentissement de la croissance ne sera pas sans impact. En Amérique latine, notamment, il y a fort à parier que cela se traduira par une baisse de la demande de matières premières.

Capital Economics note également que les rendements obligataires remontent de manière significative, un autre signe de la fin du rebond des marchés.

« La baisse des rendements a été, selon nous, l’une des raisons pour lesquelles la valorisation du marché boursier a tant augmenté l’année dernière », précise Thomas Mathews.

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Forte reprise à venir, selon la CIBC https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/si-la-vaccination-reste-efficace/ Fri, 28 May 2021 13:08:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=80317 Et ce dès cet été, à condition que la vaccination reste efficace.

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Le chef de la direction de la Banque CIBC s’attend à ce que le pays connaisse bientôt une accélération économique, au fur et à mesure qu’un plus grand nombre de Canadiens seront complètement vaccinés contre la COVID-19.

« Nos voisins du Sud (…) profitent d’une reprise économique que nous n’avons pas encore pleinement expérimentée ici au Canada », a observé jeudi Victor Dodig lors d’une conférence téléphonique avec des analystes.

« C’est un vent arrière auquel nous pouvons nous attendre dans la seconde moitié de cette année. »

Si les programmes de vaccination de masse restent efficaces pour le reste du printemps et pendant l’été, Victor Dodig prévoit qu’un rebond mondial se matérialisera également au cours de la seconde moitié de l’année. Ses prévisions de croissance pour le produit intérieur brut (PIB) sont de 5,7 % au pays et de 6,6 % aux États-Unis.

La CIBC a dépassé les attentes au deuxième trimestre et a plus que triplé son bénéfice par rapport à la même période l’an dernier, alors que la pandémie s’installait au pays.

La banque a réalisé un profit de 1,65 milliard de dollars (G$), ou 3,55 $ par action, au deuxième trimestre, en hausse par rapport à celui de 392 millions de dollars (M$), ou 83 cents par action, d’il y a un an.

Les taux de vaccination au Canada ont augmenté à mesure que l’approvisionnement en vaccins s’est amélioré, et les politiciens et les responsables de la santé publique ont dévoilé des plans de réouverture pour plusieurs provinces.

« Bien que cette pandémie ne soit pas encore terminée, il y a tout lieu d’être optimiste », a fait valoir Victor Dodig.

Les dépenses coûteuses reportées en 2022?

Lorsque les entreprises seront autorisées à ouvrir leurs portes et à accueillir des clients, Victor Dodig croit que cela aura un impact important sur l’argent que plusieurs Canadiens ont réussi à épargner avec le télétravail et en ayant moins d’occasions de dépenser.

Il a prédit que le pays connaîtrait une activité accrue pour le secteur des cartes de crédit, avec la levée progressive des mesures de confinement.

Même si Laura Dottori-Attanasio, qui dirige les services bancaires aux particuliers et aux entreprises de la CIBC, a souligné que les volumes d’achats se rapprochent déjà des niveaux prépandémiques, elle note aussi que les dépenses pour les articles coûteux, en transport, en voyages et en restaurants, restent faibles.

« Je pense qu’il faudra du temps pour que cette partie des affaires revienne (…), alors il semble que ce sera davantage pour 2022 », a-t-elle affirmé.

Le bénéfice de la CIBC pour le trimestre clos le 30 avril est survenu alors que ses provisions pour pertes sur créances, l’argent mis de côté pour les prêts douteux, ont reculé à 32 M$, comparativement à 1,41 G$ au même trimestre l’an dernier, au début de la pandémie.

Le chiffre d’affaires total est passé à 4,93 G$, contre 4,58 G$ au deuxième trimestre de l’an dernier.

Sur une base ajustée, la banque a gagné près de 1,67 milliard $, ou 3,59 $ par action, au cours de son plus récent trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 441 M$, ou 94 cents par action, un an plus tôt.

Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 3,01 $ par action, selon les prévisions recueillies par la société de données financières Refinitiv.

La banque a également noté qu’elle avait atteint la parité entre les sexes au sein de son conseil d’administration au cours du trimestre et que, pour la première fois en 154 ans d’histoire, une femme, Kate Stevenson, occupait le poste de présidente.

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Les chefs d’entreprise reprennent confiance en l’économie canadienne  https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-chefs-dentreprise-reprennent-confiance-en-leconomie-canadienne/ Thu, 08 Apr 2021 12:08:23 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=78819 Ils le sont moins face à la croissance de l’économie mondiale.

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Même si la pandémie de COVID-19 est loin d’être derrière nous, les dirigeants d’entreprises canadiennes reprennent confiance en l’économie canadienne.

Selon le rapport mondial de suivi Perspectives des chefs de la direction de KPMG, leur niveau de confiance a bondi à 81 % alors qu’il se situait à 48 % il y a six mois seulement. Un résultat compréhensible considérant qu’ils s’employaient alors à s’adapter aux impacts de la pandémie, notamment à la mise en place des mesures sanitaires, au déploiement d’outils technologiques pour faciliter la communication avec leurs employés et leurs clients ou encore à faire face aux interruptions de la chaîne d’approvisionnement.

« Cette crise a mis en évidence la résilience et l’ingéniosité extraordinaires du monde des affaires, affirme Elio Luongo, président et associé principal, KPMG au Canada. Bien que l’économie n’ait pas encore retrouvé sa vitesse de croisière, les récents rapports sur la croissance de l’emploi et du PIB indiquent qu’un redressement complet pourrait survenir plus tôt que prévu. Ce serait notamment une bonne nouvelle pour les propriétaires de petites et moyennes entreprises qui ont été le plus durement touchés. »

Les dirigeants canadiens se disent aussi confiants en ce qui a trait aux perspectives de croissance sur trois ans des entreprises (86 % par rapport à 84 % il y a six mois). Ils prévoient une croissance annuelle de 2,5 %.

Toutefois, près de la moitié de sondés (43 %) affirment que la pandémie a « changé à jamais » leur entreprise (contre 22 % à l’échelle mondiale). Un grand nombre d’entre eux adoptent des options de travail flexibles et près des deux tiers continuent de favoriser l’utilisation d’outils de collaboration et de communication numériques.

Ils émettent également des doutes quant à l’avenir de l’économie mondiale, un sentiment partagé par leurs homologues étrangers. Leur niveau de confiance a chuté à 42 % contre 68 % en janvier 2020.

Ce qui les empêche de dormir ?

Les changements climatiques sont toujours au cœur des préoccupations des chefs d’entreprise canadiens. Pour eux, il s’agit du « plus grand risque » pour la croissance de leur entreprise au cours des trois prochaines années.

La vaste majorité des dirigeants tant à l’échelle mondiale (89 %) qu’au Canada (90 %) cherchent d’ailleurs à préserver les gains réalisés pendant la pandémie sur le front de la durabilité et de la lutte aux changements climatiques.

Par ailleurs, près de la moitié (48 %) des dirigeants tous pays confondus et plus de deux chefs d’entreprise canadiens sur cinq ont déclaré que le retour des États-Unis dans l’Accord de Paris les inciterait à mettre en œuvre des pratiques ESG plus strictes.

Parmi les autres menaces à la croissance des entreprises, les entrepreneurs canadiens identifient aussi la cybersécurité, les technologies émergentes et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement.

Sensibilité accrue aux critères sociaux

Le sondage révèle également que la pandémie incite les dirigeants canadiens à se concentrer davantage sur l’aspect « social » des pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) de leur entreprise.

Six mois plus tôt, moins des deux tiers (64 %) mettaient l’accent sur la composante « S » des critères ESG et seulement 60 % définissaient leur réponse à la pandémie auprès des employés, des clients, des fournisseurs, des investisseurs et du grand public en fonction d’un objet social. Cette hausse reflète une tendance mondiale.

D’autres résultats intéressants du sondage mené auprès des chefs d’entreprise canadiens montrent que :

  • 48 % sont d’avis que la majorité des employés continueront à travailler à distance de deux à trois jours par semaine après la pandémie (29 % à l’échelle mondiale).
  • 62 % continueront de miser sur l’utilisation d’outils numériques de collaboration et de communication bien au-delà de la pandémie (61 % à l’échelle mondiale).
  • 76 % utiliseront des plateformes virtuelles (robots de clavardage, médias sociaux, téléphone, site Web, etc.) pour communiquer avec leurs clients et répondre à leurs questions (58 % à l’échelle mondiale).

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Qu’attendre de l’économie américaine en 2021 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/quattendre-de-leconomie-americaine-en-2021/ Fri, 19 Feb 2021 13:08:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=77912 Capital Group estime que l’optimisme est de mise.

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Malgré l’impact dramatique de la pandémie chez nos voisins du Sud, il y a de nombreuses raisons d’être optimiste quant à la performance de l’économie américaine.

Les États-Unis ont toujours su rebondir après des temps difficiles grâce à sa capacité d’innovation et au dynamisme de son économie. Ce sera encore le cas cette fois-ci, selon Darrel Spence, économiste chez Capital Group, qui vient de publier un article sur les perspectives de l’économie et de la bourse américaines en 2021.

Toutefois, il faudra peut-être attendre six à neuf mois avant que l’économie ne se stabilise. Même si la mise au point de vaccins et la campagne de vaccination qui s’accélère sont des signes encourageants, les mesures sanitaires en vigueur et le manque de soutien sur le plan fiscal pourraient retarder le « retour à la normale ».

La Réserve fédérale américaine (Fed), qui a déjà assoupli sa politique monétaire, pourrait avoir à intervenir de nouveau alors que le plan de secours de l’administration Biden se fait encore attendre. « Cependant, il y a une limite à ce que la politique monétaire peut faire pour atténuer l’impact des fermetures d’entreprises et des pertes de revenus », soutient Darrel Spence.

Une reprise en forme de W 

Il constate que la reprise commence à prendre la forme d’un W : des secteurs rouvrent, pour être à nouveau fermés, ce qui empêche l’économie de générer une solide reprise. Face à l’incertitude, les…

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La reprise économique s’en vient https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-reprise-economique-sen-vient/ Mon, 11 Jan 2021 19:44:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=77336 C’est ce que disent les patrons des grandes banques canadiennes.

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Les dirigeants des grandes banques canadiennes estiment qu’un rebond économique se profile à l’horizon, mais affirment que la situation s’annonce difficile à court terme et que les dépenses n’augmenteront pas vraiment avant la deuxième moitié de 2021, voire même en 2022.

Les grands banquiers pensent que le Canada bénéficie de généreux programmes d’aide du gouvernement, qui ont réduit les défaillances et les insolvabilités, ainsi que de l’arrivée de plusieurs vaccins prometteurs contre la COVID-19.

Cependant, les semaines à venir ne s’annoncent pas faciles puisqu’un nombre croissant de Canadiens continuent de contracter le virus.

« À court terme, les choses ne seront pas aussi bonnes qu’on aurait pu l’espérer, mais dans l’ensemble, je pense que nous sommes probablement sur la bonne voie pour voir, lentement, davantage d’éléments positifs au fil de l’année », a observé lundi le chef de la direction de la Banque TD, Bharat Masrani.

Ce dernier faisait ces commentaires dans le cadre d’une conférence virtuelle des grands patrons des banques canadiennes, organisée par la Banque Royale. L’événement voit les dirigeants des principales banques du pays présenter leurs prévisions économiques pour l’année qui débute.

Ils ont tous convenu que le Canada était au milieu d’une reprise économique, mais la rapidité avec laquelle cette reprise s’installera dépendra de la capacité du pays à maîtriser la pandémie.

Les vaccins joueront un rôle essentiel, ont-ils fait valoir.

« Nous croyons qu’entre 4,0 et 4,5 millions de Canadiens considérés à haut risque devront être vaccinés avant de pouvoir vraiment rouvrir l’économie, et nous pouvons y parvenir en 100 jours, si nous avons les vaccins », a estimé le chef de la direction de la Royale, Dave McKay.

Le nombre de doses de vaccins contre la COVID-19 administrées au Canada a atteint lundi 319 938. Les efforts pour obtenir plus de vaccins se multiplient à mesure que de nouveaux stocks arrivent, mais le pays compte au moins 38 millions d’habitants.

Une fois que les gens seront vaccinés, Dave McKay croit que les Canadiens, qui économisent de l’argent en ne le dépensant pas depuis le début de la pandémie, voudront renouer avec les voyages et le divertissement.

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La reprise économique dépend du sentiment de sécurité https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-reprise-economique-depend-du-sentiment-de-securite/ Mon, 04 Jan 2021 13:34:33 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=77154 Selon une note fédérale.

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Des responsables estimaient à la fin de l’été qu’une reprise économique ne se produirait pas comme par magie après la disparition des confinements et des restrictions de santé publique, indique un document fédéral récemment obtenu.

La note d’information interne indique qu’une des clés de la relance réside dans le niveau de confiance que les gens ont quant à la capacité de leur gouvernement à contenir la propagation de la COVID-19.

La Presse Canadienne a obtenu la note d’information du ministère des Finances, préparée au début de septembre, par l’entremise de la Loi sur l’accès à l’information.

Bien que les restrictions et les confinements soient les principaux moyens utilisés pour réduire la transmission du coronavirus, la note présente également d’autres options, notamment une augmentation des tests et la recherche des contacts.

Le document souligne que les pays qui ont réussi à réduire la transmission du virus à des niveaux très bas ont vu plus de personnes se rendre dans les commerces de détail, utiliser les transports collectifs et se rendre sur les lieux de travail.

Les pays qui n’ont pas maîtrisé la propagation de la COVID-19, y compris là où les restrictions ont été molles ou inexistantes, « ont connu une reprise beaucoup plus inégale ».

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