réduction des frais – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 12 Jun 2025 11:07:48 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png réduction des frais – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Réduction de frais à BMO https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/reduction-de-frais-a-bmo/ Thu, 12 Jun 2025 11:07:48 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107795 PRODUITS – Quatre FNB voient leurs frais de gestion diminuer.

L’article Réduction de frais à BMO est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
BMO Gestion d’actifs réduit les frais de gestion de quatre de ses fonds négociés en Bourse (FNB), soit :

  • le FNB BMO toutes actions (ZEQT),
  • le FNB BMO Équilibré (ZBAL / ZBAL.T),
  • le FNB BMO Conservateur (ZCON),
  • et le FNB BMO Croissance (ZGRO / ZGRO.T).

Les frais de gestion sont ainsi passés de 0.18 % à 0,15 % le 6 juin dernier.

« BMO s’engage à stimuler l’innovation dans toute sa gamme de produits et à offrir une valeur inégalée aux investisseurs, commente Sara Petrcich, chef, FNB et placements non traditionnels, BMO Gestion mondiale d’actifs. Nous sommes fiers de réduire encore les coûts dans l’une des catégories de placements à la croissance la plus rapide, les FNB de répartition d’actifs. Cette décision renforce notre engagement inébranlable à faire passer les investisseurs en premier et à leur donner les moyens d’améliorer leurs finances de manière significative à long terme. »

L’article Réduction de frais à BMO est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Alors que l’incertitude s’installe, les réductions de la BoC reprennent https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/alors-que-lincertitude-sinstalle-les-reductions-de-la-boc-reprennent/ Tue, 27 May 2025 11:02:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107564 Les retombées de la politique américaine commencent à se faire sentir dans les données économiques.

L’article Alors que l’incertitude s’installe, les réductions de la BoC reprennent est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Bien que les États-Unis aient commencé à reculer sur certaines menaces tarifaires, l’incertitude créée par la politique commerciale américaine erratique commence à peser sur l’économie canadienne — ce qui incitera probablement à reprendre les réductions de taux le mois prochain, selon la Financière Banque Nationale (FBN).

Dans un nouveau rapport, la FBN souligne que, même si le taux tarifaire effectif reste pour l’instant relativement bas, l’incertitude liée à l’évolution constante de la politique commerciale américaine a des effets économiques tangibles. Comme le résume le rapport : « les entreprises sont paralysées par le manque de visibilité ».

« Alors que les intentions d’investissement laissaient présager une reprise en 2025 il y a quelques mois, la situation a radicalement changé, de nombreux projets étant désormais en suspens », indique l’institution, citant les données de la dernière enquête sur les perspectives des entreprises — qui a vu les intentions d’investissement chuter à des taux qui n’ont été égalés que par les précédents chocs négatifs majeurs, tels que la crise financière et la pandémie.

L’effet de cette incertitude élevée « commence également à se refléter sur le marché du travail, qui montre à nouveau des signes d’affaiblissement », rapporte la FBN, notant que les intentions d’embauche sont tombées à leur niveau le plus bas depuis des années, que le taux de chômage a augmenté au cours des deux derniers mois et que l’emploi dans le secteur privé a diminué de 75 000 postes.

L’incertitude croissante pèse également sur le marché du logement.

« Les ventes de biens immobiliers résidentiels ont chuté de 31 % depuis novembre dernier, atteignant des niveaux jamais vus pendant la pandémie ou la récession de 2008-2009. »

Dans ce contexte, la FBN prévoit une légère récession aux deuxième et troisième trimestres, avec une croissance du PIB sur l’ensemble de l’année de seulement 1,1 % en 2025, et un taux de chômage atteignant 7,4 % au quatrième trimestre.

En réponse, la FBN s’attend à de nouvelles baisses de taux de la part de la Banque du Canada.

« Compte tenu de la détérioration des conditions économiques, nous pensons que la pause dans l’assouplissement de la politique monétaire de la Banque du Canada sera de courte durée et que les réductions de taux d’intérêt reprendront en juin », explique la FBN.

Bien que les signes d’une reprise de l’inflation aient pu maintenir la banque centrale sur la touche en avril, « cette reprise de l’inflation est probablement une anomalie temporaire », soutient l’institution.

« Pour l’instant, nos stratèges en matière de taux d’intérêt prévoient une réduction du taux directeur à 2,0 % d’ici la fin de l’année, ce qui serait suffisant étant donné que le gouvernement fédéral a également l’intention d’intervenir pour limiter les dégâts économiques. »

L’article Alors que l’incertitude s’installe, les réductions de la BoC reprennent est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
OCRI : autres avis et analyses https://www.finance-investissement.com/dossiers_/etudes-et-sondages/ocri-autres-avis-et-analyses/ Mon, 12 May 2025 10:16:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107245 Des observateurs de l’industrie réagissent ainsi aux divers constats du Pointage des régulateurs.

L’article OCRI : autres avis et analyses est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Des observateurs de l’industrie réagissent ainsi aux divers constats du Pointage des régulateurs portant sur l’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI), qu’on retrouve entre autres dans ce texte : L’OCRI en mode solution.

Sur la note de l’OCRI. « Le Bureau de Montréal de l’OCRI a toujours été très accessible. C’est la clé. Maintenant, les courtiers en épargne collective au Québec se voient ajouter l’OCRI comme régulateur. L’OCRI avait à démontrer sa capacité d’accompagner ces courtiers en épargne collective dans la transition. Ils ont fait vraiment un bon travail. On ne se fait pas toujours dire oui à nos demandes, mais on travaille les dossiers avec eux, ils nous permettent une discussion proactive avec eux et non réactive. C’est une force », dit France Kingsbury, cheffe de la conformité et vice-présidente à iA Gestion privée de patrimoine.

« En 2024, l’OCRI a sorti effectivement son modèle de tarification de frais, qui n’a pas plu à beaucoup de courtiers, principalement les courtiers en épargne collective au Québec », dit Élisabeth Chamberland, chef de la conformité, Services en placement PEAK.

« Il faut vraiment s’assurer qu’il y a un bon équilibre entre répondre aux besoins de l’industrie, mais aussi répondre aux besoins des investisseurs. Ce n’est pas toujours le cas. La réglementation ne vise pas seulement les responsables de la conformité, mais aussi le public. Notre rôle est de veiller à ce que les régulateurs ne se préoccupent pas trop des besoins de l’industrie par rapport à ceux des investisseurs », dit Jean-Paul Bureaud, directeur général de FAIR Canada.

Sur les inspections de l’OCRI. « Nous, on a eu trois inspections de l’OCRI cette année. La clé du succès de l’équipe de l’OCRI en inspection est la continuité des intervenants à notre dossier. Il y a des gens que ça fait longtemps qu’ils sont là. Ce sont nos représentants, ils connaissent notre business, nos projets. Ils savent où on s’en va. On n’a pas l’impression qu’à chaque inspection, on doit réexpliquer le modèle d’affaires. C’est vraiment un gros avantage : leur agilité. Il y a aussi une volonté de nous comprendre. On a aussi la capacité de poser des questions au fur et à mesure dans l’année. Nous avons un gestionnaire attitré à notre firme. Et quand ils viennent en inspection, on sait tous à quoi s’en tenir. L’OCRI est transparent chaque année en publiant un rapport nous indiquant les priorités en conformité de l’année. On peut se préparer et s’enligner en conséquence », dit France Kingsbury.

« Par rapport à l’inspection de l’ACFM, c’est le jour et la nuit avec l’OCRI. Maintenant, avec les gens du bureau de Montréal, ça va super bien. On est plus dans une inspection basée sur le risque, avec beaucoup moins d’échantillonnage. Avec l’ACFM, c’était faramineux le nombre d’échantillonnages que le régulateur pouvait demander lors d’une inspection. Les ressources que ça prenait chez le courtier pour gérer une inspection, c’était énorme. Avec l’OCRI, les échantillons sont beaucoup plus raisonnables. Il y a beaucoup de collaboration, beaucoup d’échanges. C’est très collaboratif. On veut s’assurer que les bons contrôles sont en place pour protéger le public. C’est une approche beaucoup plus sensée et raisonnable », dit Élisabeth Chamberland.

Sur le rythme des consultations. « Nous sommes un peu essoufflés, car nous voulons bien leur donner un portrait de ce qui se passe chez nous et les impacts de la réglementation à venir, mais on manque de temps pour le faire. Ces consultations requièrent de solliciter les divers services internes pour comprendre l’impact opérationnel ou sur les systèmes TI. Selon le délai accordé dans les consultations et le nombre d’entre elles, on manque de temps pour donner un portrait réel de l’impact des changements de réglementation. Avoir un plus long délai pour nous permettre justement de consolider l’information, ça serait souhaitable. Par exemple, les consultations liées à la consolidation des livres de règles, on a commenté, mais il y a d’autres publications où on n’a malheureusement pas commenté, on n’avait pas la capacité pour répondre. Si l’objectif est d’avoir le plus de commentaires possible, je reverrais les délais de consultation. Une suggestion aussi à l’OCRI : prévoyez de faire des processus de consultation suffisamment longs, mais assurez-vous aussi de prévoir des façons informelles d’aller chercher du feedback de l’industrie. Par exemple, des appels aux chefs de conformité directement, des tables rondes de l’industrie pourraient être intéressants. On est ouvert, on veut leur expliquer notre pratique et nos enjeux, mais des fois, on n’a juste pas le temps d’y aller dans les méthodes traditionnelles de commentaires publics », suggère France Kingsbury.

« Pour une industrie qui est en plein changement, ça fait beaucoup de consultations à la fois. Il y a une charge de consultation en ce moment. Ça n’aide pas à la perception par rapport au fardeau réglementaire. En même temps, ce n’est pas une surprise. Quand il y a eu la fusion entre l’OCRCVM et l’AFCM, c’était normal. Pour atteindre la pleine efficacité de l’OCRI, il faut malheureusement passer à travers ce processus. À travers tout ça, l’OCRI est transparent dans ce qu’il essaie de faire et tente beaucoup d’aller chercher les commentaires des courtiers puis assurer une bonne amalgamation des règles. Au lieu de nous l’imposer, de le faire en consultation, c’est quand même mieux que l’OCRI fasse cela seul », dit Élisabeth Chamberland.

« Ça prend du temps et des ressources pour participer à une consultation, mais de manière générale, j’encouragerais plus de consultation que moins entre les régulateurs et l’industrie financière. Cela mène en effet à de la réglementation plus intelligente », dit Jean Paul Bureaud.

Sur le dédoublement des responsabilités. « Si on prend la CSF, l’AMF, l’OCRI, il y a des délégations de pouvoir, il y a du dédoublement. On a l’impression qu’on se retrouve à payer à toutes sortes d’endroits et qu’il y a peut-être une apparence d’injustice qui se crée par rapport aux courtiers au Canada. Individuellement, tous les régulateurs ont une volonté de s’arrimer, mais on ne voit pas de résultats concrets de cet arrimage », constate Élisabeth Chamberland.

« Sur le plan des unités de formation continue, il y a des processus différents entre la CSF et l’OCRI. Pour la CSF, la responsabilité est beaucoup portée sur le conseiller. C’est le conseiller qui est responsable de ces unités, de les rentrer puis de s’assurer de les finir avant la période d’échéance. À l’OCRI, ils veulent arrimer les deux programmes de l’OCRCVM et de l’ACFM, mais sans tenir compte de la réalité de la Chambre. Par exemple, dans ce qu’ils ont proposé, ils ne prendraient pas en compte le cycle de la Chambre, qui finit au 30 novembre. Ils proposent que leur cycle finisse au 31 décembre. De plus, avec l’OCRI, la charge est complètement mise sur le courtier de s’assurer que les UFC sont faites et que les cours sont valides, tandis que la Chambre s’occupe de vérifier cette validité. Pour un conseiller qui fait affaire au Québec et hors Québec, c’est compliqué », dit Élisabeth Chamberland.

Sur les communications entre l’industrie et l’OCRI. « Je les trouve bons et ça démontre que l’autoréglementation fait une différence parce que tu parles vraiment à des gens qui connaissent ton modèle d’affaires, qui viennent chez nous chaque année, qui allouent des ressources. Quand j’ai une question spécifique en conformité, par exemple : “Je vais changer mon processus, ça va me coûter cher, ça implique un système TI’’… Je prends le téléphone et j’appelle l’OCRI : ‘’Si on faisait cela, conceptuellement, y a-t-il des drapeaux rouges que j’ai manqués?’’ Puis ils répondent à l’appel et travaillent avec nous », illustre France Kingsbury.

« Les relations avec l’OCRI sont bonnes. Les gens du bureau de Montréal sont accessibles, réceptifs, ils répondent à nos questions. On voit une volonté de l’OCRI de vouloir travailler et comprendre l’industrie de l’épargne collective. Il n’y a rien de parfait, mais je sens une volonté de leur part de comprendre le monde de l’épargne collective, de délaisser les vieilles méthodes de l’ACFM, puis d’inculquer des règles par principe et travailler avec les courtiers », dit Élisabeth Chamberland.

Sur l’ouverture de l’OCRI par rapport à l’automatisation des processus des courtiers.

« Nous avons un bel exemple sur lequel nous travaillons en ce moment :  l’approbation des ouvertures de comptes par la conformité. Pour nous, ce que ça veut dire, c’est que pour l’instant il y a un superviseur inscrit qui à chaque fois qu’on ouvre des comptes, il approuve chaque ouverture de comptes, peu importe la teneur et la complexité du compte. Ce qu’on essaie de faire, c’est d’automatiser tout ce qui est plus simple et qui n’a pas de valeur ajoutée à ce qu’un individu en particulier l’approuve. Pour nous, c’est important, car ça va dégager, justement, de la capacité et du temps pour se concentrer sur des cas plus complexes de conformité ou faire plus de formation. On ne veut pas toujours continuer à ajouter des ressources parce qu’on ajoute un nombre de représentants ou un nombre de comptes ou que la réglementation ajoute des obligations. On veut être capable de gérer un plus grand volume tout en ayant une gestion de risques adéquate. L’OCRI démontre une ouverture face à notre projet et nous aide à le mettre sur pied adéquatement », dit France Kingsbury.

Sur la pertinence de revoir certaines règles contraignantes. « J’espère que l’OCRI va se positionner sur certaines règles qui, à mon sens, sont peut-être moins à jour ou moins utiles à ce stade-ci. Les médias sociaux sont un bel exemple. Dans le livre de règles en ce moment, on demande une pré-approbation pour ce type de communications, c’est un fardeau élevé. On a des outils extrêmement performants maintenant de vérification post-publication. On pourrait introduire un peu de gestion de risques et approuver post-publication. Nous n’avons pas intérêt, comme firme, à voir des publications inconvenables et nous allons nous en occuper. La question est plutôt si nous avons besoin d’engager autant de travail au préalable pour prévenir des cas occasionnels », dit France Kingsbury.

Sur une règle qui pourrait être ajustée. « Ça me chicote : les délais de rétention dans les règles, c’est sept ans. Toute documentation de nos approbations, tout ce qu’on fait, on documente, on a besoin de ce qu’on appelle un audit trail. Il en va de même pour les conseillers. Puis toute cette documentation, toutes ces données, on doit les conserver pendant sept ans. C’est beaucoup de données, ça coûte cher pour les stocker quelque part. C’est aussi un risque additionnel de garder ces données d’un point de vue de la confidentialité des renseignements personnels. Je comprends l’objectif d’avoir la documentation dans le cas d’une poursuite ou d’une demande du régulateur, mais je pense qu’il faudrait revoir le délai afin de l’écourter et accepter un certain risque. La temporalité de documents d’il y a sept ans, ça devrait être revu », dit France Kingsbury.

« C’est un standard de garder les informations durant sept ans au Canada. Il y a un équilibre à trouver entre les besoins de l’industrie et ceux des investisseurs. De garder les preuves provient d’un objectif louable des régulateurs », dit Jean-Paul Bureaud.

Sur le soutien des firmes par rapport à l’enjeu de la cybersécurité. « L’OCRI avait fait une séance de travail d’une journée à Toronto avec les gens responsables des technologies et de la cybersécurité, dans laquelle il y avait des gens des firmes en cybersécurité. Mon directeur TI est allé. Puis les commentaires étaient vraiment bons. Ils ont fait des études de cas. Les firmes travaillaient ensemble. Ça a très bénéfique. Toute le monde en profiterait s’il y avait plus d’initiatives comme celle-là. Par exemple avec l’intelligence artificielle : c’est le sujet de l’heure », dit Élisabeth Chamberland.

Pour accéder au tableau, cliquez ici.

L’article OCRI : autres avis et analyses est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Fonds Dynamique veut modifier sa gamme de produits https://www.finance-investissement.com/nouvelles/fonds-dynamique-veut-modifier-sa-gamme-de-produits/ Thu, 03 Apr 2025 11:43:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106339 PRODUITS – Fusions, modifications d’objectifs de placements et réduction de frais sont au programme.

L’article Fonds Dynamique veut modifier sa gamme de produits est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le gestionnaire de Fonds Dynamique, Gestion d’actifs 1832 S.E.C. propose certaines modifications à sa gamme de produits afin de la simplifier, d’obtenir des gains d’efficacité et de réduire les frais pour les clients.

Fusions proposées

Le gestionnaire propose de fusionner quatre fonds avec des produits existants, ainsi :

  • le fonds de titres de créance diversifiés Dynamique (séries A, F, FH, H, I et O) serait fusionné avec le Mandat privé de stratégies actives de crédit Dynamique ;
  • le Fonds d’actions européennes Dynamique (séries A, F, I et O) serait fusionné avec le Mandat privé de dividendes internationaux Dynamique ;
  • le Fonds d’actions Blue Chip Dynamique (séries A, F, G, I et O) serait fusionné avec le Fonds d’actions mondiale Dynamiques ;
  • et le FNB actif de revenu de retraite Dynamique serait fusionné avec le Fonds de revenu de retraite Dynamique.

Les porteurs de titre pourront donner leur avis quant à ces fusions lors d’assemblées extraordinaires qui se tiendront en mode virtuel autour du 18 juin 2025.

Si ces fusions sont acceptées, elles auront lieu aux alentours du 18 juillet 2025.

À noter que les fusions touchant le Fonds d’actions Blue Chip Dynamique et le FNB actif de revenu de retraite Dynamique n’exigent pas l’approbation des porteurs de titres, car elles satisfont aux exigences applicables en vertu du Règlement 81-102 sur les fonds d’investissement en ce qui concerne les fusions autorisées.

Modification d’objectif

Le gestionnaire de fonds propose de modifier l’objectif de placement de la Catégorie de ressources stratégique Dynamique.

Pour le moment, ce fonds tente de générer une plus-value du capital à long terme en investissant principalement dans des ressources telles que le pétrole et le gaz, les produits de base physiques, dont l’or, l’argent, le platine et le palladium, ainsi que dans des titres de participation de sociétés du secteur des ressources.

Le nouvel objectif resterait sensiblement le même, soit de générer une plus-value du capital à long terme, mais cette fois en investissant principalement dans des titres de participation de sociétés mondiales d’exploration, d’exploitation et de production de produits de base physiques, comme les métaux précieux, les métaux de base, les minerais critiques, l’uranium, les terres rares ou les métaux ferreux.

Gestion d’actifs 1832 S.E.C. propose également de remplacer l’indice de référence actuellement utilisé aux fins du calcul des primes de performance et de l’évaluation du rendement pour la Catégorie de ressources stratégique Dynamique.

Ainsi, si pour le moment les indices de référence sont l’indice plafonné S&P/TSX de l’énergie (50 %) et l’indice plafonné S&P/TSX des matériaux (50 %), désormais le gestionnaire propose d’utiliser l’Indice MSCI Monde des métaux et des mines ($ CA) comme nouvel indice de référence.

Sous réserve de l’approbation des porteurs de titres concernant la modification de l’objectif de placement et de l’indice de référence aux fins du calcul de la prime de performance, les changements prendront effet autour du 11 juillet 2025.

Réduction de frais

Gestion d’actifs 1832 S.E.C. a déclaré que les fusions étaient acceptées, il procéderait à une réduction de frais pour le Fonds d’actions mondiales Dynamique et le Fonds de revenu de retraite Dynamique.

  • Ainsi les frais d’administration fixes applicables aux parts de séries A, F, FH, H et I du Fonds d’actions mondiales Dynamique seraient réduits de 0,01 % pour chacune des séries ;
  • les frais de gestion applicables aux parts de séries A, F, FH, H et I du Fonds de revenu de retraite Dynamique de 0,05 % pour chacune des séries ;
  • et les frais d’administration fixes applicables aux parts de série O du Fonds de revenu de retraite Dynamique de 0,02 %.

Les réductions de frais applicables au Fonds d’actions mondiales Dynamique prendraient effet vers le 18 juillet 2025, et que celles applicables au Fonds de revenu de retraite Dynamique aux alentours du 1er mai.

Dissolution d’un FNB

Finalement, Gestion d’actifs 1832 S.E.C. a annoncé son intention de dissoudre le FNB actif évolution énergétique Dynamique vers le 18 juillet 2025. Le gestionnaire demandera que toutes les séries du FNB actif évolution énergétique Dynamique soient volontairement radiées de la cote de la Bourse de Toronto quelques jours plus tôt, soit vers le 14 juillet 2025.

À la date de dissolution ou avant, le gestionnaire liquidera les éléments d’actif du FNB actif évolution énergétique Dynamique, puis, après règlement des dettes et obligations du FNB ou constitution d’une provision suffisante à cette fin, distribuera le produit au comptant aux porteurs de titres inscrits du FNB actif évolution énergétique Dynamique selon leur participation proportionnelle.

L’article Fonds Dynamique veut modifier sa gamme de produits est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Deux erreurs coûteuses à éviter https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/deux-erreurs-couteuses-a-eviter/ Thu, 27 Mar 2025 11:06:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106360 DÉVELOPPEMENT — Des pièges qui nuisent au succès à long terme.

L’article Deux erreurs coûteuses à éviter est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Ken Haman, directeur de l’AB Advisor Institute, met en lumière deux erreurs fréquentes qui peuvent s’avérer coûteuses dans un article publié sur Advisorpedia. Bien qu’elles puissent sembler de bonnes stratégies à court terme, ces actions peuvent entraîner des conséquences négatives à plus long terme.

Ces erreurs sont souvent motivées par une insécurité présente au début d’une relation client, qui pousse le professionnel à faire des promesses difficilement réalisables. Voici pourquoi ces pratiques sont problématiques et comment y remédier.

Erreur n° 1 : Une disponibilité illimitée

Lors d’une première rencontre avec un client potentiel, il est naturel de chercher à instaurer une relation de confiance, souligne Ken Hannan. Par souci d’être perçus comme attentionnés, certains conseillers vont jusqu’à donner leur numéro de téléphone cellulaire personnel et invitent leur client à les contacter à tout moment. Cette proposition, empreinte de bienveillance, risque toutefois de poser un problème de gestion des attentes.

En effet, assurer une disponibilité permanente est une promesse impossible à tenir sur le long terme. La réalité de la profession impose des plages horaires de travail définies, des obligations auprès d’autres clients et la nécessité de préserver un équilibre personnel.

Lorsqu’un client s’attend à pouvoir joindre son conseiller à toute heure et découvre que ce n’est pas le cas, il peut ressentir de la frustration ou de la déception. La situation peut même affecter la relation de confiance initialement instaurée.

Ken Haman souligne qu’« il est préférable de dépasser les attentes d’un client de temps en temps plutôt que de le décevoir fréquemment ». Mieux vaut donc fixer des attentes réalistes et gérables dès le départ. Une bonne pratique consiste ainsi à expliquer clairement le fonctionnement du service client, les horaires de disponibilité et les délais de réponse moyens. Cette approche permet de rassurer le client tout en évitant des attentes irréalistes.

Erreur n° 2 : offrir une réduction tarifaire trop rapidement

Une autre erreur fréquente consiste à offrir une réduction sur les frais de service afin de convaincre un client potentiel d’adhérer. Ce réflexe repose sur une perception erronée de la valeur perçue, indique Ken Hannan.

Lorsqu’un client débute une relation avec un conseiller, la confiance et la perception de compétence ne sont pas encore pleinement établies. Certains conseillers pensent qu’une baisse de tarif facilitera la prise de décision du client. Pourtant, cette stratégie peut produire l’effet inverse et nuire au positionnement professionnel.

En effet, une réduction de prix peut donner l’impression que les services sont de moindre qualité. Un rabais non justifié peut susciter un doute sur la valeur réelle de l’expertise proposée.

Plutôt que de baisser ses prix, Ken Haman recommande de bâtir un modèle d’affaires solide et de se concentrer sur la valeur ajoutée des services offerts. « Expliquez votre valeur clairement et ayez la confiance de ne jamais réduire vos tarifs », insiste-t-il. Cette stratégie permet de justifier pleinement les honoraires pratiqués et d’attirer une clientèle qui reconnaît cette valeur.

Adopter une approche durable

Pour bâtir une relation client solide et durable, le spécialiste recommande de mettre en place des stratégies qui favorisent la confiance et la crédibilité à long terme. Voici quelques principes clés à adopter :

  • Définir clairement les attentes : en établissant dès le départ un cadre de communication précis et réaliste, on évite les malentendus et les frustrations inutiles. Cette transparence réduit les risques de conflits futurs.
  • Valoriser ses services : au lieu de proposer des rabais pour séduire un client, mieux vaut expliquer la valeur ajoutée de son accompagnement, illustrer les bénéfices concrets et justifier les tarifs de manière rationnelle.
  • Cultiver la confiance progressivement : une relation client prospère repose sur des interactions répétées, une communication cohérente et une expérience constante dans le temps.

Adopter une posture professionnelle dès le départ aide non seulement à mieux gérer les relations clients, mais aussi à optimiser le succès sur le long terme. Éviter ces erreurs permet de se concentrer sur ce qui compte vraiment : un service de qualité, des relations de confiance et une clientèle fidèle et satisfaite.

L’article Deux erreurs coûteuses à éviter est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
RBC modifie certains fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rbc-modifie-certains-fonds/ Thu, 11 Jul 2024 11:39:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101588 PRODUITS – Réductions de frais et changements de stratégies sont notamment au programme.

L’article RBC modifie certains fonds est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) apporte des changements à plusieurs de ses fonds. Ces ajustements incluent :

  • des réductions des frais de gestion ou d’administration,
  • des ajustements à la stratégie de répartition d’actifs ou de « répartition évolutive » pour les fonds de retraite CIBLE PH&N (2015 à 2060),
  • ainsi que des modifications des cotes de risque pour certains fonds RBC.

De plus, RBC GMA rendra de nouveau les parts de la série F du Fonds indiciel obligataire du gouvernement canadien RBC disponibles pour les nouveaux investisseurs.

Les frais de gestion des séries des fonds suivants seront réduits :

Fonds Série Frais actuels Frais depuis le 1er juillet
Portefeuille prudence sélect RBC A 1,53 % 1,50 %
Portefeuille prudence sélect RBC T5 1,58 % 1,50 %
Portefeuille équilibré sélect RBC F et FT5 0,80 % 0,78 %
Portefeuille de croissance dynamique sélect RBC F et FT5 0,90 % 0,85 %
Solution de versement géré RBC A 1,39 % 1,35 %
Solution de versement géré RBC — Évolué A 1,45 % 1,40 %
Portefeuille prudence choix sélect RBC A 1,68 % 1,60 %
Portefeuille prudence choix sélect RBC F 0,95 % 0,85 %
Portefeuille équilibré choix sélect RBC A 1,87 % 1,85 %
Portefeuille équilibré choix sélect RBC F 1,00 % 0,85 %
Portefeuille de croissance choix sélect RBC A 2,06 % 1,85 %
Portefeuille de croissance choix sélect RBC F 1,05 % 0,85 %
Portefeuille de croissance dynamique choix sélect RBC A 2,25 % 1,85 %
Portefeuille de croissance dynamique choix sélect RBC F 1,10 % 0,85 %
Fonds d’obligations mondiales de sociétés RBC A 1,50 % 1,35 %
Fonds d’obligations mondiales de sociétés RBC D 0,90 % 0,75 %
Fonds d’obligations mondiales de sociétés RBC F 0,75 % 0,60 %

Les frais d’administration des séries des fonds suivants seront réduits :

Fonds Série Frais actuels Frais dès le 1er juillet
Fonds équilibré Vision RBC A, D, DZ et F 0,10 % 0,05 %
Fonds de sociétés canadiennes à moyenne capitalisation RBC O 0,10 % 0,02 %
Fonds de valeur en actions américaines de sociétés à moyenne capitalisation RBC O 0,10 % 0,02 %
Fonds d’actions américaines de base de sociétés à petite capitalisation O 0,10 % 0,02 %

RBC GMA modifie également la stratégie de répartition de l’actif ou répartition évolutive des fonds de retraite CIBLE PH&N actuels (2015 à 2060).

Les fonds de retraite CIBLE PH&N sont conçus pour les investisseurs qui préparent leur retraite. Ils adoptent une approche de « répartition évolutive » qui ajuste la répartition de l’actif en fonction de l’année de départ à la retraite de l’investisseur. Plus l’horizon de placement est long, plus les fonds de retraite CIBLE PH&N vont investir de façon agressive pour obtenir davantage de croissance et vice-versa.

Les hypothèses sur l’investisseur utilisées pour concevoir la répartition évolutive de chaque fonds de retraite CIBLE PH&N sont maintenant révisées ainsi

Actuellement Répartition de l’actif Nouveau Répartition de l’actif
À 21 ans 23/77 À 25 ans 7/93
De 21 à 65 ans La pondération des actions diminue à mesure que la répartition de l’actif devient plus prudente De 25 à 65 ans La pondération des actions diminue à mesure que la répartition de l’actif devient plus prudente
À 65 ans 65/35 À 65 ans 69/31
65 ans et plus La pondération des actions continuera de diminuer au cours des 25 prochaines années. La répartition de l’actif sera finalement de 72/28. 65 ans et plus La répartition de l’actif restera la même, à savoir 69/31, jusqu’à la résiliation du fonds de retraite CIBLE PH&N au bout de 25 ans, soit lors de son année cible.

Comme indiqué dans les récentes annonces de RBC Gestion mondiale d’actifs Inc., les ajustements à la répartition évolutive des fonds de retraite CIBLE PH&N (2015 à 2060) entraîneront une diminution de la pondération des fonds à revenu fixe au profit des fonds d’actions. Ces changements sont conçus pour mieux aligner la stratégie d’investissement avec les horizons de placement des investisseurs, en augmentant progressivement l’exposition aux actifs à potentiel de croissance lorsque la retraite approche.

Année prévue du départ à la retraite (Fonds à revenu fixe [%]/fonds d’actions [%]) (actuellement) Fonds à revenu fixe (%)/fonds d’actions (%) (nouveau)
2015 70/30 69/31
2020 69/31 69/31
2025 64/36 66/34
2030 56/44 52/48
2035 54/46 40/60
2040 52/48 28/72
2045 46/54 19/81
2050 40/60 15/85
2055 28/72 11/89
2060 24/76 8/92

De plus, RBC GMA augmente la cote de risque du Fonds d’obligations mondiales de sociétés RBC, du Fonds prudent de croissance et de revenu RBC et du Portefeuille de retraite 2020 RBC de « faible » à « faible à moyenne ».

À l’inverse, la cote de risque du Fonds d’éducation Objectif 2025 RBC passera de « faible à moyenne » à « faible ».

De plus, depuis le 27 juin 2024, les parts de la série F du Fonds indiciel obligataire du gouvernement canadien RBC, plafonnées le 21 janvier 2022, seront de nouveau offertes aux nouveaux investisseurs.

L’article RBC modifie certains fonds est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Transparence financière : un virage positif pour l’investissement canadien https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/transparence-financiere-un-virage-positif-pour-linvestissement-canadien/ Tue, 07 May 2024 10:59:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100602 La tendance est à la réduction des frais.

L’article Transparence financière : un virage positif pour l’investissement canadien est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Dans le secteur financier, la tendance est à la réduction des frais et à une augmentation de la performance des investissements pour les investisseurs.

C’est ce qui ressort de deux rapports de recherche publiés par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) portant sur l’impact des changements récents apportés au Modèle de relation client-conseiller (MRCC) sur l’industrie des fonds d’investissement et les comportements des investisseurs.

Les conclusions tirées des données, recueillies entre 2013 et 2020, pointent vers une évolution notable : les gestionnaires de fonds d’investissement ont baissé leurs honoraires et les ratios des frais de gestion. Selon les ACVM, l’alignement de ces pratiques avec les exigences de la deuxième phase du MRCC, mise en place en 2016, souligne l’efficacité de la réglementation en tant qu’outil de transformation sectorielle.

Stan Magidson, président des ACVM et de l’Alberta Securities Commission, se réjouit de cette tendance qui marque un progrès pour les investisseurs. Ces derniers profitent désormais d’une plus grande clarté sur les coûts et le rendement de leurs placements.

Cependant, les ACVM rappellent que ces avancées ne peuvent être attribuées exclusivement aux nouvelles régulations. D’autres variables, telles que la compétitivité sur les frais et l’évolution des discussions sur le devoir fiduciaire, pourraient également avoir joué un rôle.

La transformation du secteur a été mesurée selon trois axes principaux :

  • La réduction des frais de gestion, observable autant chez les organismes de placement collectif (OPC) qu’avec les fonds négociés en Bourse (FNB), dont l’ampleur varie selon le type de fonds d’investissement et les caractéristiques des fonds.

Chez les OPC, la valeur globale des ratios des frais de gestion (RFG) a diminué en moyenne de 19 % durant la période couverte par l’étude. Pour ce qui est des FNB, les RFG ont reculé de 21 % par rapport aux niveaux de 2013.

  • Les produits non assujettis aux exigences de transparence du MRCC : l’analyse a démontré que les monteurs ou les distributeurs de produits de placement n’ont pas choisi cette voie.
  • Les tendances dans la création et le placement des produits: des changements notables ont été remarqués comme la popularité croissante des fonds de fonds, un marché actif du côté des FNB, l’essor des fonds ESG (environnement, société, gouvernance) et l’émergence des conseillers en ligne.

Malgré ces avancées, les ACVM préviennent contre une lecture trop simpliste qui négligerait d’autres facteurs possiblement influents sur ces évolutions. Toutefois, les résultats semblent indiquer que la transparence et la communication peuvent être des leviers puissants pour induire des changements positifs dans l’industrie.

Les deux rapports de recherche peuvent être consultés en cliquant sur ce lien et sur celui-ci.

L’article Transparence financière : un virage positif pour l’investissement canadien est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>