plateformes en ligne | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/tag/plateformes-en-ligne/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 09 Oct 2025 17:45:26 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png plateformes en ligne | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/tag/plateformes-en-ligne/ 32 32 Vente d’assurance vie en ligne : menace sous-estimée https://www.finance-investissement.com/outils_/livres-blancs/vente-dassurance-vie-en-ligne-menace-sous-estimee/ Tue, 14 Oct 2025 09:45:01 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110332 La provenance de cette menace diffère peut-être des anticipations de certains.

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À l’occasion du Baromètre de l’assurance 2024, un segment de conseillers en sécurité financière a fait part de craintes concernant la distribution d’assurance vie en ligne. Certaines sont fondées, d’autres semblent l’être beaucoup moins.

Un répondant soulève plusieurs questions : « Est-ce que les gens vont s’assurer eux-mêmes en ligne sans comprendre ce qu’ils achètent ? Ou ils vont nous demander conseil, avant d’acheter en ligne par la suite, et nous aurons perdu notre temps ? Est-ce que nos clientèles actuelles vont continuer de garder leur valeur et seront “revendables” à de nouveaux représentants ? »

Un autre conseiller juge que ceux qui sont tentés d’acheter de l’assurance en ligne ignorent la valeur du conseil financier pour « déterminer combien d’assurances ils ont besoin » et les guider en cas de problème avec leur police.

D’autres demandent jusqu’à quel point les plateformes de vente en ligne répondent bien aux besoins des clients.

Certains répondants s’inquiètent de l’influence sur leurs activités de plateformes d’offre d’assurance de personnes en ligne, comme Emma.

« J’ai une cliente qui a souscrit à ça, alors que je suis déjà sa conseillère en assurance et elle le savait. Je n’en reviens pas comment ce genre de plateforme attrape n’importe quel client. »

Un autre répondant se soucie du risque de « désinformation soumise via les médias sociaux et les fournisseurs d’assurance en ligne ».

En résumé, quatre enjeux se dessinent : le risque pour les consommateurs d’acheter sans conseil des produits qui ne leur conviennent pas, le risque de désinformation, le risque commercial pour un conseiller de se faire ravir ses clients, enfin le risque d’une perte de valeur des blocs d’affaires des conseillers.

Les commentaires recueillis auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) et de spécialistes du secteur financier permettent de croire que les deux premières craintes exprimées plus haut sont sans fondement.

L’encadrement de l’AMF protège les consommateurs

D’abord, même après des décennies de présence d’Internet dans nos vies, la vente de produits d’assurance en ligne en 2021 ne représentait encore que 0,7 % du marché total, soit 96 millions de dollars (M$) sur un marché de primes souscrites s’élevant à 13,9 milliards de dollars. La plupart des assurances vendues en ligne touchent des polices d’assurance de dommages. La part des ventes d’assurance vie s’élevait à seulement 441 600 $. En 2024, rapporte l’AMF dans un échange de courriels, « les primes des contrats d’assurance vendus en ligne étaient de 124 M$ », une hausse de 29 % en trois ans. L’AMF ne précise toutefois pas à quel niveau étaient passées les ventes d’assurance vie.

Dans son courriel, l’AMF réitère les éléments essentiels du « Règlement sur les modes alternatifs de distribution » (RMAD). Tout d’abord, un client doit avoir accès à un représentant s’il le souhaite et le cabinet doit conseiller le client comme s’il était un représentant. Il doit donc s’enquérir de la situation de son client afin de cerner ses besoins et s’assurer de la convenance du produit qu’il lui offre. Enfin, « la réglementation exige que les renseignements présentés sur l’espace numérique soient présentés au client dans une forme claire, lisible, précise et non trompeuse ».

L’AMF est d’avis que le consommateur québécois est bien protégé lorsqu’il magasine en ligne. « Les groupes de discussion, tenus en mars 2024, ont permis de conclure que le RMAD est adéquat et qu’il permet au consommateur qui choisit de conclure une transaction de façon autonome en ligne d’avoir accès aux renseignements requis pour prendre une décision éclairée. »

Dans la consultation de l’AMF sur le RMAD de 2022, plusieurs assureurs de personnes indiquaient que le RMAD représente des défis d’application difficilement conciliables avec les produits d’assurance de personnes, ce qui empêche certains de développer leur marché. « Selon eux, les exigences sont exagérées au point que concevoir des espaces numériques conformes impliquerait trop en termes de développement technologique et coûterait trop cher », lit-on dans le rapport. D’où le manque de développement du marché en ligne en assurance de personnes.

Sites d’information plus que de transactions

C’est un bilan que confirme Christian Laroche, consultant stratégique en distribution de services financiers. « L’AMF a bien encadré le secteur, » juge-t-il. Du même coup, il constate que les sites de vente en ligne « donnent une information importante, mais ils ne sont pas assez complets. C’est fait pour amener le client à se rendre compte qu’il a besoin d’aide. Je ne vois pas ça comme une menace. »

En effet, dans Emma.ca, la principale plateforme à laquelle les répondants du Baromètre de l’assurance font référence, il vient un moment en ligne où « les clients vont frapper un mur, soutient Félix Deschatelets, président d’Emma Services financiers. Pour leur donner du soutien, on a des conseillers qui peuvent aider le client à naviguer selon ses besoins et parmi les produits. Le client est-il laissé à lui-même ? Ce n’est pas ce que permet l’AMF. »

Cependant, les deux risques de nature commerciale que soulèvent les répondants du Baromètre demeurent entiers. Pour l’instant, ces risques sont minimes parce que la vente d’assurance en ligne, selon les chiffres de l’AMF, n’a certainement pas envahi le Québec.

Pas encore. Car la fréquentation d’Emma est déjà significative. « On parle de plusieurs dizaines de milliers de visiteurs par mois sur Emma », affirme Félix Deschatelets. Et cette clientèle est une promesse d’avenir : « Plusieurs de nos clients sont de premiers acheteurs d’assurance ; la moyenne d’âge est de 31 ans. Ça montre qu’on peut aller chercher les nouveaux acheteurs d’assurance, qui ont des habitudes d’achat différentes. »

Le mode actuel de fréquentation en ligne « ne constitue pas une menace », pense Christian Laroche. Il prend exemple d’une jeune programmeuse de 24 ans qui travaillait pour lui il y a quelques années au développement d’une plateforme de transaction en ligne. « Jamais je n’achèterais ça [en ligne], lui avait-elle dit. C’est un produit trop complexe qui exige l’intervention de spécialistes. »

Pour certains produits courants, comme une assurance habitation, « les gens pourront facilement se servir eux-mêmes en ligne, juge Christian Laroche, mais l’assurance vie est un domaine autrement plus complexe, qui requiert le coup d’œil d’experts. »

Quant à la concurrence que représente Emma pour un conseiller qui n’est pas présent sur une plateforme numérique, le danger est encore marginal. Plusieurs clients en ligne « se sont sensibilisés à travers Emma et sont allés faire affaire avec un autre représentant », dit Félix Deschatelets. Toutefois, à l’inverse, il est certain qu’un conseiller peut perdre des clients qui optent pour les plateformes en ligne.

La vraie menace tient à l’intelligence artificielle, soutient Christian Laroche, d’autant plus qu’elle montre déjà des capacités de conseil remarquables. On peut s’attendre à ce qu’elle soit de plus en plus intégrée aux plateformes en ligne. Ce jour-là, qui n’est pas très loin, la menace sera devenue très réelle. « C’est indéniable, il faudra que le conseiller s’adapte. Sinon, je suis content qu’il disparaisse. On veut des gens qui ont les bons outils et qui ne perdent pas de temps. »

Et qu’en est-il de la valeur des blocs de clients ? « Si le book d’un conseiller perd de la valeur, c’est parce que celui-ci ne recourt pas aux bons outils pour assurer la valeur de sa clientèle », tranche Christian Laroche.

Pour l’instant, les conseillers qui veulent offrir une solution en ligne n’ont pas d’autre choix que de se joindre à Emma Cabinets financiers, à moins qu’ils ne développent leur propre plateforme numérique. Par contre, une avenue moins radicale est en chemin, s’il faut en croire Félix Deschatelets. « Nous travaillons à rendre Emma disponible pour des conseillers qui œuvrent avec d’autres agents généraux, annonce-t-il. J’ai confiance de pouvoir offrir nos solutions à d’autres prochainement. »

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Fidelity et Schwab bloquent l’accès à des FNB de BlackRock et Texas Capital https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fidelity-et-schwab-bloquent-lacces-a-des-fnb-de-blackrock-et-texas-capital/ Tue, 08 Apr 2025 10:28:21 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106513 Une décision qui a suscité la surprise dans l’industrie.

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Dans un geste inhabituel, Fidelity Investments et Charles Schwab limitent l’accès de leurs clients à trois nouveaux fonds négociés en Bourse (FNB) lancés par BlackRock et Texas Capital, les premiers à suivre les titres du marché monétaire tels que les bons du Trésor et autres dettes garanties par le gouvernement dans une structure FNB.

Cette décision soulève des questions sur la concurrence et la distribution de produits financiers, à un moment où les fonds monétaires attirent des flux records, selon un article de Think Advisor.

Les produits en question, qualifiés de fonds monétaires cotés, représentent une alternative directe aux fonds communs de placement traditionnels, un marché largement dominé par Fidelity et Schwab eux-mêmes.

En effet, les deux sociétés gèrent ensemble plus de 2 000 milliards de dollars d’actifs dans des produits monétaires. La décision de restreindre l’accès à ces FNB suscite la surprise, d’autant plus que ces plateformes offrent habituellement un large éventail de fonds négociés en Bourse, y compris ceux émis par des concurrents.

Un porte-parole de Schwab a justifié cette décision en invoquant une politique de longue date de ne proposer que des fonds affiliés. Fidelity, de son côté, évoque un élargissement de sa politique de restriction d’accès aux fonds monétaires de tiers.

Pour certains professionnels de la gestion, cette décision a des impacts concrets. Mike Younkman, directeur des placements chez Ankerstar Wealth, a dû liquider ses positions dans le FNB MMKT de Texas Capital, devenu indisponible à l’achat. « Je n’ai jamais vu cela avec d’autres FNB », déplore-t-il.

Même son de cloche chez Jeremy Ingram, PDG de Beacon Harbor Wealth Advisors : « Ce n’est pourtant pas un placement exotique — c’est un fonds monétaire », souligne-t-il, montrant sa surprise face à cette restriction.

Du côté des émetteurs, le ton est également critique. Dans un communiqué, Texas Capital a déploré une mesure « regrettable et surprenante » et défend la pertinence de son fonds MMKT comme outil de gestion de trésorerie. Un porte-parole de BlackRock a noté que les FNB monétaires d’iShares « offrent un accès à des stratégies de gestion de trésorerie de qualité professionnelle, dans un format FNB pratique, apportant plus de choix et de flexibilité aux investisseurs. »

Cette situation illustre les tensions croissantes dans l’univers de la gestion d’actifs. Face à la montée en puissance des FNB, les acteurs historiques revoient leurs stratégies de distribution. Fidelity, par exemple, a déjà introduit de nouveaux frais pour certains émetteurs souhaitant rester présents sur sa plateforme.

Le contexte de marché accentue ces frictions : avec des taux d’intérêt toujours élevés, les fonds monétaires séduisent massivement les investisseurs. Les actifs dans ces produits ont récemment dépassé les 7 000 milliards de dollars, un sommet historique.

Enfin, le fonds MMKT de Texas Capital est le premier FNB conforme à la règle 2a-7, qui encadre les fonds du marché monétaire depuis les années 1940. BlackRock a également lancé deux FNB similaires cette année, avec des résultats contrastés en matière de souscriptions.

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Franklin Templeton Canada étoffe son offre avec du crédit privé https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/franklin-templeton-canada-etoffe-son-offre-avec-du-credit-prive/ Thu, 08 Aug 2024 10:57:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102080 PRODUITS — Via la plateforme Benefit Street Partners-Alcentra.

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Franklin Templeton Canadarenforce son portefeuille d’investissements en intégrant la stratégie de crédit privé de Benefit Street Partners grâce à un partenariat stratégique avec iCapital.

La plateforme Benefit Street Partners-Alcentra, qui gère plus de 74 milliards de dollars américains d’actifs, utilise une approche à stratégies multiples pour cibler des occasions sur les marchés mondiaux du crédit, précise Franklin Templeton dans un communiqué.

« Le crédit privé est depuis longtemps un élément important pour les investisseurs institutionnels en raison de ses rendements attrayants et de ses avantages en matière de diversification », déclare Dennis Tew, chef des ventes de Franklin Templeton Canada.

La plateforme de Benefit Street Partners permet de diversifier les portefeuilles avec des placements dans le crédit privé, les situations spéciales, le crédit structuré, et le crédit immobilier commercial.

La stratégie d’investissement met l’accent sur la gestion du risque de baisse, une souscription de crédit individualisée et l’investissement à travers l’ensemble de la structure de capital.

« Notre approche multistratégie combine les meilleures occasions du crédit privé, offrant aux investisseurs accès à des idées très convaincantes couvrant l’ensemble du spectre du crédit. Nous nous engageons à fournir des rendements ajustés au risque attractifs tout en générant un revenu constant », explique Richard Byrne, président de Benefit Street Partners.

Cette nouvelle offre s’ajoute aux autres solutions d’investissement de Franklin Templeton, telles que les placements immobiliers privés via Clarion Partners, les stratégies de fonds de couverture avec K2 Advisors, et la gestion de fonds du marché secondaire d’actions privées et de co-investissements par Lexington Partners.

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Cryptoactif : les ACVM repoussent la mise en œuvre de leur calendrier https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/cryptoactif-les-acvm-repoussent-la-mise-en-oeuvre-de-leur-calendrier/ Fri, 26 Apr 2024 11:00:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100467 La date limite pour se conformer est reportée.

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Les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) annoncent des changements à la mise en œuvre de leur approche temporaire à l’égard des cryptoactifs arrimés à une valeur (aussi appelés « cryptomonnaies stables »).

Initialement, l’échéance à laquelle les plateformes de négociation de cryptomonnaies (PNC) inscrites ou ayant souscrit un engagement préalable à l’inscription devaient cesser d’autoriser les clients à acheter ou à déposer des cryptoactifs adossés à une monnaie fiduciaire, ou à conclure des cryptocontrats visant leur achat ou leur dépôt, en cas de non-respect des conditions temporaires, avait été fixée au 30 avril 2024, selon les conditions énoncées dans l’Avis 21-333 publié par les ACVM à l’automne dernier.

Les PNC ont désormais jusqu’au 31 octobre 2024 pour se conformer à ces directives. Ce délai intervient en réponse à des difficultés techniques signalées par les plateformes lors des consultations quant au respect de la date limite du 30 avril, ont fait savoir les ACVM.

Les cryptoactifs arrimés à une valeur sont conçus pour maintenir une valeur stable dans le temps en s’arrimant à la valeur d’une monnaie fiduciaire ou à une autre valeur, ou encore une combinaison de ceux-ci. L’objectif des cryptoactifs adossés à une monnaie fiduciaire consiste à reproduire la valeur d’une seule monnaie fiduciaire et à l’égard desquels l’émetteur maintient une réserve adéquate d’actifs libellés dans la monnaie fiduciaire.

Les ACVM mettent en garde les investisseurs contre les risques associés à ces actifs, soulignant qu’ils ne sont pas comparables à une monnaie fiduciaire. La conformité aux conditions temporaires ne doit pas être perçue comme une approbation du cryptoactif.

Les PNC et les émetteurs de cryptoactifs arrimés à une valeur sont invités à communiquer avec le régulateur pour toute question relative aux conditions temporaires. Ils peuvent consulter l’Avis 21-333 sur le site des ACVM pour connaître la liste complète des conditions.

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Vincent Fraser devient président de Croesus https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/vincent-fraser-devient-president-de-croesus/ Wed, 27 Mar 2024 13:15:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99926 NOUVELLES DU MONDE - À ce titre, il compte améliorer les fonctionnalités de la plateforme, s’étendre à l’Europe et offrir des opportunités aux talents.

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Vincent Fraser a succédé mercredi à Sylvain Simpson en tant que président de l’entreprise montréalaise de logiciels Croesus.

Malgré cette transition, Sylvain Simpson restera au sein de l’entreprise à titre de conseiller stratégique de Vincent Fraser et en tant que membre du conseil d’administration.

« Notre expertise, à Vincent et à moi-même, est très différente. Il va donc prendre la direction de Croesus et je vais me concentrer sur des projets plus stratégiques », explique Sylvain Simpson.

Âgé de 48 ans, Vincent Fraser compte se concentrer sur trois « axes » pour la croissance de Croesus :

  • l’amélioration de la plateforme par le biais de partenariats et d’acquisitions,
  • l’expansion en Europe par le biais de son bureau suisse
  • et l’amélioration des perspectives de carrière pour le personnel.

Il s’est fixé l’objectif de nourrir ces trois axes de croissance au cours des cinq prochaines années. « En fin de compte, il s’agit de savoir comment nous pouvons renforcer notre position sur le marché, et cela se mesure par le chiffre d’affaires et la part de marché. »

Croesus a acquis des connaissances techniques approfondies en développant sa plateforme de gestion de portefeuille Croesus Advisor. Mais son adoption peut certainement croître par le biais de partenariats et d’acquisitions, estime Vincent Fraser. « Il y a une possibilité de consolidation dans ce domaine. »

La société n’en est qu’aux premières étapes de l’exploration des acquisitions, mais celles-ci feront partie du « plan directeur » à long terme, assure Vincent Fraser. « Il y a des domaines spécifiques dans lesquels nous n’avons pas de capacités aujourd’hui, mais où nos clients attendront de nous que nous leur fournissions de telles solutions demain. »

Entre-temps, Croesus poursuivra son expansion européenne par l’intermédiaire du bureau de Genève qu’elle a ouvert en janvier, promet Vincent Fraser, qui possède une expertise en matière d’expansion internationale.

Sylvain Simpson, qui travaille pour Croesus depuis sa création en 1994, se dit fier que les effectifs aient doublé, passant de 100 employés lorsqu’il a pris ses fonctions de président en 2016 à plus de 200 aujourd’hui.

« Nous continuons à nous développer, rapporte-t-il. Nous avons travaillé dur sur les fondations, nous nous sommes assurés de préparer Vincent à prendre le relais, et je pense que toutes les pièces du puzzle sont là. »

Avant de rejoindre Croesus, Vincent Fraser a cofondé Processia, une société de gestion du cycle de vie des produits, dont il a été le président pendant 12 ans, jusqu’en 2022. L’année dernière, il a rejoint Croesus en tant que membre indépendant du conseil d’administration avant de poser sa candidature au poste de président.

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L’application Webull maintenant disponible au Canada https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/lapplication-webull-maintenant-disponible-au-canada/ Mon, 08 Jan 2024 11:40:23 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98325  Le courtier à escompte propose des actions canadiennes et américaines.

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Webull Corporation fait son arrivée dans le secteur du courtage au Canada par l’entremise de sa plateforme de négociation. Les résidents canadiens pourront ainsi négocier des actions cotées en bourse au Canada et aux États-Unis via la société de négociation de services financiers sous licence, Webull Securities (Canada) Ltd.

Webull Canada a obtenu son autorisation en novembre 2023 et lance pour le moment des services de courtage pour l’exécution des ordres seulement. Outre la négociation d’actions, la société propose aux investisseurs des cotations en temps réel et des données de marché approfondies, plus de 20 widgets de graphiques et plus de 60 indicateurs, la négociation sur papier et des outils éducatifs.

« Webull voit une occasion incroyable de perturber un système de courtage traditionnellement coûteux au Canada, a déclaré Anthony Denier, président du Groupe Webull. Depuis sa création, nous fournissons de puissants outils de données de marché partout dans le monde. Nous nous réjouissons à l’idée de pénétrer un autre marché et de faciliter l’accès au commerce pour tous. »

La plateforme de négociation Webull a été lancée aux États-Unis en 2018 par l’entremise de sa filiale membre de la FINRA et de son courtier en valeurs mobilières enregistré auprès de la SEC. Elle peut être téléchargée à partir de l’App Store d’Apple et de Google Play Store.

« L’application Webull, à la fine pointe de la technologie, fournit gratuitement des données sur les marchés, des outils, des analyses et de la formation et offre une solution de négociation à faible coût. Nous avons déjà des dizaines de milliers d’utilisateurs canadiens qui tirent parti des données et des analyses de marché. Nous sommes donc fiers de leur offrir les services de courtage primés et nous avons hâte d’élargir notre base d’utilisateurs au Canada. », a pour sa part indiqué Michael Constantino, chef de la direction de Webull Securities (Canada) Limited.

Le Groupe Webull a son siège social à St. Petersburg, en Floride, et est soutenu par des investisseurs privés situés aux États-Unis, en Europe et en Asie. Webull sert des dizaines de millions d’utilisateurs dans plus de 180 pays, en offrant aux investisseurs de détail un accès 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, aux marchés financiers du monde entier. La plateforme de négociation Webull, qui est disponible aux États-Unis, au Royaume-Uni, à Hong Kong, à Singapour, en Australie, en Afrique du Sud, au Japon, au Mexique et au maintenant Canada.

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Placements directs TD lance Négociateur actif TD https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/placements-directs-td-lance-negociateur-actif-td/ Fri, 01 Dec 2023 13:11:40 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97580 Les investisseurs auront plus d’outils pour négocier en ligne.

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Placements directs TD lance Négociateur actif TD, une plateforme de négociation en ligne. Celle-ci est spécifiquement conçue pour les investisseurs actifs afin de leur offrir une expérience propres aux ordres spécialisés et qui permette l’exécution de stratégies d’options complexes.

Cette plateforme, conçue par des investisseurs, a été pensée pour offrir une expérience de négociation simplifiée, des fonctions de graphiques numériques avancés et une interface personnalisable.

La plateforme a ainsi trois caractéristiques principales :

  • la personnalisation complète : les ressources et outils de négociation sont entièrement personnalisables en fonction des préférences de l’utilisateur;
  • des types d’ordres avancés : la plateforme permet la négociation de stratégies d’options à composantes multiples, y compris à trois ou à quatre composantes;
  • des graphiques avancés : l’utilisateur peut évaluer, comparer et suivre des idées de placement en personnalisant les graphiques avec plus de 100 indicateurs techniques. Il peut également consulter plusieurs actions et graphiques en même temps et configurer des alertes.

« Nous avons créé cette plateforme puissante et avancée de A à Z, ce qui nous a permis de la moderniser selon les besoins des clients. Ces derniers ont ainsi accès à une plateforme de nouvelle génération à leur image, qui révolutionne leur manière d’investir », témoigne Scott Ignall, premier vice-président, Placements directs et Mise en œuvre, Groupe Banque TD.

« Négociateur actif TD va changer la donne dans le secteur, affirme Scott Ignall. Nous avons hâte que les clients puissent l’utiliser. C’est une plateforme solide où ils auront accès à des outils de négociation de niveau élite reposant sur une formation de premier plan, ainsi qu’à un bureau de négociation attitré. »

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La grande transition bancaire https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-grande-transition-bancaire/ Wed, 22 Nov 2023 11:05:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97346 Le capital quitte les banques traditionnelles vers des joueurs parallèles.

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Pour les banques de la planète, les 18 derniers mois ont été les meilleurs depuis la crise financière de 2007. Cependant, selon une étude de McKinsey, cela ne peut cacher des changements de fond qui voient les banques perdre de façon spectaculaire leur importance relative.

Le salut des banques a passé par la hausse de 500 points de base des taux d’intérêt depuis le deuxième trimestre de 2022. Alors que le rendement sur équité était en moyenne de 9% depuis 2010, il est passé à 12% en 2022, et devrait se hisser à 13% en 2023, prévoit McKinsey. Du coup, les profits du secteur ont explosé de 280 milliards de dollars américains (G$US) en 2022, à 1,4 billions $US.

Les chiffres mondiaux montrent qu’en servant d’intermédiaires à 402 billions $US de fonds, les firmes financières de tous les horizons produisent des revenus totaux de 7 billions $US. Excluant la Chine, ces actifs s’élèvent à 326 billions $US. Alors que le PIB mondial croissait annuellement de 3%, les revenus d’intermédiation le faisaient au rythme de 6%.

Or, excluant la Chine où la présence des banques est encore prépondérante, les fonds détenus par les banques ont connu un exode majeur. Ainsi, de 2015 à 2022, les actifs financiers détenus dans les bilans des banques sont passés de 89 à 120 billions $US, soit une hausse annuelle moyenne de 4%. Les actifs détenus hors des bilans des banques ont affiché une hausse annuelle moyenne de 7%, passant de 125 à 206 billions $US.

Trois quarts des actifs hors banques

Résultat : 73% des actifs financiers se retrouvent maintenant hors du bilan des banques, dans des institutions autres, constate McKinsey. C’est un scénario qui se déploie maintenant depuis quelques années. Alors que les clients recherchent des rendements plus élevés, un financement en capital plus faible ou une meilleure adéquation des durées, les actifs financiers ont augmenté et ont migré hors du bilan des banques – c’est-à-dire hors des dépôts d’entreprises et de particuliers, hors des obligations bancaires et d’autres éléments de passif et d’actions. Ils sont allés vers des non-banques, des véhicules hors-bilan tels que des fonds de pension, des actifs numériques, du capital privé, des investissements alternatifs.

Cet exode est surtout visible dans l’abandon des comptes de dépôt bancaire au profit des fonds de marché monétaire. Une grande partie est facilitée et accélérée par les changements technologiques. Et l’exode est inégal. Aux États-Unis, plus de 75% de la hausse des actifs se retrouve désormais hors banque, en Europe, c’est 55%. En Chine, par contre, c’est seulement 30%, en Amérique latine, 40%. Le capital privé est un des grands gagnants de l’exode, sa croissance annuelle moyenne de 19%, ayant vu ses actifs sous gestion passer d’environ 2,3 billions $US en 2015 à 8 billions $US en 2022.

Un ratio cours/valeur comptable déprimé

Dans son ensemble, le secteur bancaire souffre d’un important stigmate que révèle un ratio cours/valeur comptable de 0,8. « Les institutions financières dans leur ensemble continuent de se négocier en dessous de leur valeur comptable, écrit McKinsey, ce qui suggère que les acteurs du marché pensent qu’elles continueront collectivement à avoir un rendement sur capital inférieur au coût du capital, comme c’est actuellement le cas pour plus de la moitié des institutions bancaires. »

Parmi les 14 plus importants secteurs industriels, les banques se languissent au bas du classement. Au sommet, les géants technologiques dominent avec un ratio cours/valeur comptable de 9,2, suivi des technologies de l’information, à 4,5, des soins de santé, à 3,9 et des produits de consommation de base, à 3,6. Au 6e rang viennent les « autres » institutions financières, avec un ratio de 2,4. Tout en bas, viennent les banques traditionnelles avec leur ratio de 0,8.

Entre les « autres » institutions financières et les banques traditionnelles, on retrouve d’importants écarts. Par exemple, les spécialistes de paiement affichent un ratio cours/valeur comptable de 8,7, très proche de celui des géants technologiques, et les fournisseurs de plateformes (parquets électroniques, gardiens de titres, etc.), un ratio de 3,0, et les gestionnaires d’actifs, de 1,9.

En parallèle à ces développements, la géographie bancaire se déplace. Alors qu’on pensait à un moment que ce déplacement se faisait vers les pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), il se concentre plutôt dans la zone que McKinsey appelle le croissant de l’Océan Indien, qui s’étend de Singapour à l’Afrique de l’Est en passant par l’Inde et Dubaï. C’est là qu’on trouve plus de 50% des banques qui présentent la plus forte croissance annuelle.

« Les secteurs bancaires d’Asie, d’Amérique latine, du Moyen-Orient et d’Afrique augmentent globalement leurs revenus plus rapidement que ceux des marchés développés, et cette tendance devrait se poursuivre dans les années à venir, constate McKinsey. En 2022-23, par exemple, le Moyen-Orient et l’Afrique ont vu leurs revenus augmenter de 11 %, soit presque le double de la croissance annuelle moyenne des revenus bancaires de la région de 2016 à 2022. »

Un simple répit

Les résultats encourageants des 18 derniers mois ne se poursuivront probablement pas, juge McKinsey. « Notre analyse suggère que la contraction à long terme de la marge bénéficiaire et du rendement sur capital pourrait reprendre, sujet à la perspective à long terme sur les taux d’intérêt. Les gains nets en intérêt pourraient être courts vécus et les marges d’intérêt pourraient baisser si, et quand, les hausses de taux vont ralentir et, ultimement, se renverser. » De plus, de nouvelles exigences en réserves de capital issues des Accords de Bâle III pourraient substantiellement affecter les banques.

Dans ce mouvement planétaire de l’argent hors des banques, McKinsey invite les banques à établir cinq priorités, la première étant de mieux saisir les gains potentiels de productivité qu’offrent les nouvelles technologies, au premier chef l’intelligence artificielle. Par contre, il y a un aspect crucial que son étude néglige : tout cet argent qui échappe au secteur bancaire quitte également un environnement règlementaire mieux rodé. Plusieurs des avenues qu’empruntent les actifs en exode ne sont pas aussi bien balisées. On en a vu certains effets dans la crise de 2007-08.

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Power Corporation : des résultats supérieurs aux attentes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/power-corporation-des-resultats-superieurs-aux-attentes/ Thu, 16 Nov 2023 10:56:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97555 Mais enregistre des pertes avec ses plateformes de placements alternatifs

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Power Corporation veut prendre son temps avec le développement de ses plateformes de placements dans les actifs alternatifs, qui ne sont pas encore rentables.

Le conglomérat de la famille Desmarais a dévoilé des résultats supérieurs aux attentes, notamment grâce à sa participation dans l’assureur Great-West et la Société financière IGM.

Les plateformes de placements alternatifs, qui ne représentent que 7 % de la valeur de l’actif brut de la société, ont enregistré une perte nette de 11 millions de dollars (M$) au troisième trimestre. Cette division comprend notamment le gestionnaire d’actifs Power Sustainable.

Questionné sur le sujet, le président et chef de la direction, Jeffrey Orr, s’est dit prêt à patienter avant d’amener cette division à la rentabilité, lors d’une conférence téléphonique avec les analystes, mardi.

Il a expliqué que le lancement de nouvelles stratégies faisait en sorte de repousser le moment de l’atteinte de la rentabilité. Il croit toutefois qu’en offrant une diversité de stratégies, les plateformes de placements d’actifs alternatifs deviennent plus attrayantes pour les investisseurs. « Ça repousse l’atteinte de la rentabilité, mais ça crée plus de valeur sur un horizon de trois ou quatre ans. C’est le compromis que nous faisons. »

L’industrie financière doit composer avec des vents de face au moment où les activités tournent au ralenti, a souligné Jeffrey Orr.

« L’environnement est difficile, non seulement pour les levées de fonds, mais aussi pour leur déploiement. Il y a moins d’activités, il y a moins de fusions-acquisitions. On le lit tout le temps (dans la presse financière). »

« Lorsque vous lancez une nouvelle stratégie, vous le faites lorsque vous avez déployé les fonds de la précédente levée de fonds. Si vous déployez les fonds plus lentement, votre capacité de croître et de lancer de nouveaux produits est réduite. »

Résultats supérieurs aux attentes

Pour l’ensemble du conglomérat, Power a dévoilé des résultats supérieurs aux attentes des analystes au troisième trimestre.

Son bénéfice net atteint 997 M$, comparativement à 642 M$ à la même période l’an dernier.

L’analyste Graham Ryding, de Valeurs mobilières TD, souligne que le bénéfice ajusté dilué par action à 1,52 $ est supérieur au consensus des analystes à 1,06 $. L’écart est attribuable en grande partie à la vente d’une société détenue par la division Groupe Bruxelles Lambert (GBL). « Sans cet élément, que nous jugeons exceptionnel, le bénéfice aurait été de 1,06 $ », nuance l’analyste.

Valeur de l’actif net

Un des objectifs que poursuit Power Corporation, qui a réorganisé ses activités en 2020, est de réduire l’écart entre la valeur de son actif net et le prix de son action. L’écart avoisinait les 35 % en 2015. Cet écart était tombé à 17 % en juin 2022, mais il a remonté à 32 % depuis. « C’est un écart beaucoup plus grand que la moyenne de 25 % sur un an et cinq ans », souligne l’analyste Geoffrey Kwan, de RBC Marchés des capitaux.

Avec cet écart et un rendement du dividende supérieur à 6 %, Geoffrey Kwan trouve le titre attrayant pour « les investisseurs à la recherche de revenus qui ont un horizon à long terme ». « Ils pourraient profiter d’une importante réévaluation, nous croyons que Power va continuer à faire des transactions pour simplifier sa structure et faire émerger de la valeur. »

L’action de Power gagne 1,19 $, ou 3,48 %, à 35,26 $ à la Bourse de Toronto vers midi.

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Equisoft et VieFONDS font équipe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/equisoft-et-viefonds-font-equipe/ Fri, 20 Oct 2023 20:21:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96918 Pour rehausser l’expérience client en gestion de patrimoine.

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Equisoft, leader de solutions numériques dédiées à l’assurance et à l’investissement, annonce une entente de partenariat avec VieFONDS, un fournisseur de solutions d’arrière-guichet pour courtiers en placement, qui devrait permettre de rehausser l’expérience client.

L’intégration entre la plateforme d’arrière-guichet de VieFONDS et les solutions d’Equisoft pour conseillers (Equisoft/analyze, Equisoft/connect et Equisoft/plan) vise une amélioration en termes d’automatisation, d’efficacité et de capacités de planification de patrimoine pour les courtiers en placement et les conseillers financiers.

Les clients et les conseillers auront désormais la possibilité d’accéder, en un seul clic, à des solutions avancées de gestion du patrimoine, de CRM et d’analyse des besoins qui s’alimentent automatiquement avec les données provenant de la plateforme VieFONDS, comme l’a souligné Mark Lafreniere, chef de l’exploitation de VieFONDS.

Jonathan Georges, vice-président du secteur de la gestion du patrimoine chez Equisoft, estime pour sa part que cette collaboration va à la fois simplifier les ventes et les interactions avec les clients, et augmenter la productivité des conseillers. En outre, elle facilitera la conformité aux réformes axées sur le client, ce qui bénéficiera en fin de compte à leurs clients.

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