FNB de titres à revenu fixes – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 22 Mar 2024 11:11:13 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png FNB de titres à revenu fixes – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 RBC modifie des FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rbc-modifie-des-fnb/ Fri, 22 Mar 2024 11:11:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99726 PRODUITS - De titres à revenu fixe

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RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA) change le nom de certains FNB de titres à revenu fixe et modifie la cote de risque du FNB indiciel de rendement des banques canadiennes RBC.

Aucun changement n’est apporté aux objectifs de placement, aux stratégies et aux symboles boursiers de ces FNB et les porteurs de parts n’ont aucune mesure particulière à prendre, a indiqué l’institution financière.

Les changements de noms des FNB suivants sont annoncés sous réserve de l’approbation de la Bourse de Toronto :

  • le FNB d’obligations gouvernementales Objectif 2024 RBC (RGQL) devient le FNB d’obligations gouvernementales canadiennes Objectif 2024 RBC ;
  • le FNB d’obligations gouvernementales Objectif 2025 RBC (RGQN) devient le FNB d’obligations gouvernementales canadiennes Objectif 2025 RBC ;
  • le FNB d’obligations gouvernementales Objectif 2026 RBC (RGQO) devient le FNB d’obligations gouvernementales canadiennes Objectif 2026 RBC ;
  • le FNB d’obligations gouvernementales Objectif 2027 RBC (RGQP) devient le FNB d’obligations gouvernementales canadiennes Objectif 2027 RBC ;
  • le FNB d’obligations gouvernementales Objectif 2028 RBC (RGQQ) devient le FNB d’obligations gouvernementales canadiennes Objectif 2028 RBC ;
  • le FNB d’obligations gouvernementales Objectif 2029 RBC (RGQR) devient le FNB d’obligations gouvernementales canadiennes Objectif 2029 RBC ;
  • le FNB indiciel d’obligations de sociétés Objectif 2024 RBC (RQL) devient le FNB indiciel d’obligations de sociétés canadiennes Objectif 2024 RBC ;
  • le FNB indiciel d’obligations de sociétés Objectif 2025 RBC (RQN) devient le FNB indiciel d’obligations de sociétés canadiennes Objectif 2025 RBC ;
  • le FNB indiciel d’obligations de sociétés Objectif 2026 RBC (RQO) devient le FNB indiciel d’obligations de sociétés canadiennes Objectif 2026 RBC ;
  • le FNB indiciel d’obligations de sociétés Objectif 2027 RBC (RQP) devient le FNB indiciel d’obligations de sociétés canadiennes Objectif 2027 RBC ;
  • le FNB indiciel d’obligations de sociétés Objectif 2028 RBC (RQQ) devient le FNB indiciel d’obligations de sociétés canadiennes Objectif 2028 RBC ;
  • le FNB indiciel d’obligations de sociétés Objectif 2029 RBC (RQR) devient le FNB indiciel d’obligations de sociétés canadiennes Objectif 2029 RBC ;
  • et le FNB d’obligations de sociétés échelonnées 1 — 5 ans RBC (RBO) devient le FNB d’obligations de sociétés canadiennes échelonnées 1-5 ans RBC.

Cote de risque rehaussée

Par ailleurs, la cote de risque du FNB indiciel de rendement des banques canadiennes RBC (RBNK) passe de « moyen » à « moyen à élevé ». La modification de la cote de risque résulte de l’imposition par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières de la méthode de détermination du degré de risque des FNB. RBC révise la cote de risque de chacun de ses FNB au moins une fois par an ou lorsqu’un changement important y est apporté. La modification de la cote de risque du FNB indiciel de rendement des banques canadiennes RBC découle d’une révision annuelle et non de changements qui auraient été apportés à l’objectif de placement, aux stratégies ou à la gestion.

Les modifications aux noms des FNB et à la cote de risque figureront dans la version à jour du prospectus, dont le dépôt est prévu autour du 22 mars 2024.

RBC GMA précise que les FNB d’obligations de sociétés Objectif à échéance RBC ne visent pas à offrir un montant prédéterminé à l’échéance et que le montant que l’investisseur reçoit peut être supérieur ou inférieur au placement initial.

Par ailleurs, l’institution financière signale que les FNB d’obligations de sociétés Objectif à échéance RBC ne sont pas commandités, parrainés, vendus ou promus par le fournisseur d’indice, le London Stock Exchange Group plc et les sociétés de son groupe. Les indices des obligations de société à échéance FTSE sont calculés par FTSE Global Debt Capital Markets ou sa société affiliée, tandis que le FNB indiciel de rendement des banques canadiennes RBC a pour fournisseur d’indice la firme allemande Solactive.

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FNB canadiens : importantes créations nettes en février https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-canadiens-importantes-creations-nettes-en-fevrier/ Wed, 13 Mar 2024 09:41:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99586 FOCUS FNB – Elles permettent au secteur de franchir la barre des 400 G$ en actifs gérés.

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Les fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens ont accueilli des créations nettes de 6 milliards de dollars (G$) en février, ce qui représente les plus importantes mensuelles au cours des 11 derniers mois. Ces apports nets ainsi la force des marchés financiers ont permis au secteur des FNB d’atteindre un actif sous gestion (ASG) totalisant 406 G$, selon un rapport de Banque Nationale Marchés financiers (BNMF).

Le portrait de février 2024 contraste avec celui de mars 2023, soit lorsque le secteur des FNB canadiens avait enregistré d’aussi fortes créations nettes mensuelles. Cette dernière période avait été marquée par d’importants changements macroéconomiques, des faillites de banques régionales américaines et des volumes d’argent institutionnel déplacés rapidement pour faire face aux changements soudains, signalent les analystes de BNMF Daniel Straus, Tiffany Zhang et Linda Ma dans une note envoyée à des clients.

Février 2024 a plutôt été porté par la force du marché des actions, ce qui a stimulé les créations nettes de FNB d’actions. Après des créations nettes de 2,8 G$ pour les FNB d’actions en janvier, elles s’établissaient à 4,5 G$ en février.

Par conséquent, les FNB canadiens d’actions totalisaient un actif sous gestion (ASG) de 252 G$ à la fin de février 2024, soit 13 G$ de plus qu’à la fin de janvier.

En février de cette année, ce sont les FNB d’actions américaines et internationales qui ont connu les plus fortes créations nettes, soit de 2,8 G$ et de 1,4 G$, respectivement. Les FNB d’actions canadiennes ont connu des apports nets de 223 M$.

Dans le sous-secteur des FNB sectoriels, ce sont les FNB d’actions de sociétés de soins de santé et de services publics qui arrivent en tête des créations nettes, avec des entrées nettes respectives de 174 M$ et 106 M$. Le secteur financier, qui avait récolté des entrées nettes de 487 M$ en janvier, se retrouve avec des rachats nets de 79 M$ en février, d’après BNMF.

Les FNB d’allocation d’actifs enregistrent habituellement des entrées plus importantes au cours des deux premiers mois de l’année. La tendance ne s’est pas démentie en février. Ce genre de FNB a reçu 1,6 G$ de créations nettes. Les auteurs du rapport attribuent cet afflux aux contributions de dernière minute avant la date limite de contribution au REER pour l’année 2023.

Les investisseurs ont par ailleurs cherché à se diversifier par rapport aux grandes capitalisations en se tournant vers les FNB d’actions de sociétés de petites et moyennes capitalisations.

Les obligations canadiennes à court terme ont la cote

Par ailleurs, les FNB de titres à revenu fixe ont enregistré des entrées nettes de 1 G$ en février, soit l’équivalent de celles du mois précédent. L’ASG en FNB de titres à revenu fixe est resté stable à 121 G$ pour les deux premiers mois de l’année.

Les FNB d’obligations de sociétés canadiennes ont enregistré les entrées nettes les plus importantes, soit 684 M$, alors que les FNB d’obligations du marché total canadien (aggregate) et les FNB d’obligations gouvernementales canadiennes affichaient des créations nettes de 216 M$ et 143 M$ respectivement. Les obligations étrangères ont également fait l’objet d’entrées (281 M$).

Les FNB d’obligations à ultra-court terme (175 M$) à long terme (308 M$) et à échéance cible (152 M$) ont affiché d’importantes créations nettes.

Cependant, les obligations du marché monétaire ont affiché des rachats nets de 228 M$ de dollars.

Malgré les révisions de prévisions de baisse des taux, les investisseurs ont choisi de délaisser les FNB de type « cash » au profit des FNB obligataires d’une certaine exposition à la duration, dans l’attente d’une éventuelle baisse des rendements, indique le rapport de BNMF.

En outre, les apports en capital dans les FNB ESG canadiens se sont accélérés en février. Les créations nettes de 291 M$ dans les FNB ESG a plus que doublé en février par rapport à janvier, ce qui porte les entrées nettes dans les FNB ESG depuis le début de l’année à 400 M$. Le FNB Développement durable d’obligations canadiennes BNI (NSCB) et le iShares ESG Aware MSCI EM Index FNB (XSEM) ont recueilli à eux deux de 300 M$.

Depuis le lancement des FNB bitcoin au comptant aux États-Unis en janvier, les FNB canadiens de cryptoactifs ont connu des rachats nets. En février, les rachats se sont élevés à 99 M$. En janvier, ils avaient totalisé 444 M$. On n’observe pas au Canada la même tendance qu’aux États-Unis, où les FNB de cryptoactifs ont recueilli 36,5 G$ US depuis la création de cette catégorie début janvier, notent les auteurs du rapport de BNMF.

Certains fournisseurs de FNB canadiens ont enregistré des sorties de fonds. Horizons, CI et Purpose ont affiché des chiffres plus bas que d’habitude en février en raison d’une forte exposition aux FNB de liquidités ou de cryptoactifs, selon les experts.

RBC iShares et Vanguard ont enregistré des entrées importantes dépassant chacune le milliard de dollars. La Banque Scotia a enregistré l’entrée la plus importante (714 M$) en pourcentage des actifs de la fin de janvier en raison d’une allocation institutionnelle à SITU, son FNB sur indices d’actions américaines.

Au total, 18 FNB ont vu le jour en février, notamment dans les obligations et le secteur des « covered calls », des mandats sur les titres à revenu fixe et des stratégies alternatives. Fidelity s’est montré le manufacturier le plus actif avec la création de sept nouveaux FNB, suivis par Hamilton et AGF.

Depuis le début de l’année, les FNB d’actions ont représenté 75 % des entrées dans les FNB canadiens. Les entrées d’actions américaines ont été particulièrement importantes, représentant 63 % du total des entrées d’actions. Les FNB pondérés en fonction de la capitalisation boursière se sont taillé la part du lion.

Les FNB sectoriels ont enregistré les deuxièmes meilleures entrées nettes (724 M$), grâce aux secteurs de la finance, de la santé et des services publics. Les FNB à revenu fixe ont engrangé 2 G$, répartis dans toutes les catégories à part les actions privilégiées, les obligations à rendement réel et les FNB à court et moyen terme.

 

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Gestion de Placements TD lance un nouveau FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/gestion-de-placements-td-lance-un-nouveau-fnb/ Mon, 04 Mar 2024 11:47:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99342 PRODUITS – Celui-ci aide les investisseurs à maximiser leur potentiel d'épargne en espèces et à préserver leur capital.

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Gestion de Placements TD (GPTD) lance un nouveau fonds négocié en Bourse (FNB) de titres à revenu fixe à gestion active, soit le FNB de gestion de la trésorerie TD (TCSH). Celui-ci est négociable sur la Bourse de Toronto depuis le 22 février dernier.

« Un portefeuille bien diversifié comprend généralement une composante en espèces, laquelle a historiquement pesé sur les rendements du portefeuille. Le TCSH cherche à optimiser la portion en espèces du portefeuille des investisseurs au moyen de placements dans des titres de grande qualité tout en surveillant constamment les tendances macroéconomiques mondiales afin de tirer profit d’occasions intéressantes sur le marché », a affirmé Bruce Cooper, chef de la direction, GPTD.

Ce produit a pour objectif de produire un revenu d’intérêt élevé tout en préservant le capital et la liquidité en investissant essentiellement dans des titres de créance de grande qualité, comme les titres du marché monétaire ou les titres à revenu fixe à court terme émis par le gouvernement fédéral, les gouvernements provinciaux ou par des fiducies ou des sociétés canadiennes.

« Ce lancement met en valeur nos capacités de recherche indépendantes et exclusives sur le crédit, en plus d’offrir une solution de choix aux investisseurs qui cherchent à obtenir un revenu d’intérêt élevé », déclare encore Bruce Cooper.

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Revenu fixe : bon moment pour allonger la durée? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/revenu-fixe-bon-moment-pour-allonger-la-duree/ Fri, 23 Feb 2024 12:19:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98955 FOCUS FNB – Après une année 2022 désastreuse, le paysage semble plus favorable aux FNB obligataires à long terme.

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Après avoir été un investissement désastreux pendant la forte hausse des taux d’intérêt qui s’est amorcée en mars 2022, les fonds négociés en Bourse (FNB) d’obligations canadiennes à long terme se sont rachetés en partie en 2023 avec des rendements moyens supérieurs à 8 %. La majeure partie de ce rendement a été enregistrée en décembre, dans un contexte d’optimisme croissant quant au fait que la Banque du Canada et la Réserve fédérale américaine (Fed) avaient fini d’augmenter les taux d’intérêt et qu’elles apporteraient le soulagement tant attendu en 2024.

Étant donné que les prix des obligations évoluent en sens inverse des taux d’intérêt, les obligations à long terme sont celles qui ont le plus à perdre en cas de montée en flèche des taux du marché. C’est ce qui s’est produit en 2022. Ces FNB ont subi des pertes importantes se chiffrant à 22,8 % en moyenne, selon Fundata Canada.

Personne ne prévoit un rebond d’une telle ampleur. Mais le paysage du marché semble plus favorable pour une poussée plus loin sur la courbe des taux. Sur l’influent marché américain, les prix des contrats à terme indiquent que les opérateurs s’attendent à ce que la Fed commence à réduire ses taux dès le mois de mars, et certainement d’ici le milieu de l’année.

En novembre, Placements Mackenzie est entré sur le marché des obligations à long terme en lançant le FINB Obligations à long terme du gouvernement canadien Mackenzie, ainsi qu’un FNB d’obligations à long terme américaines.

« Compte tenu de l’activité potentielle de la Banque du Canada et de la Fed, nous prévoyons un intérêt accru pour les obligations à long terme jusqu’en 2024, déclare Prerna Mathews, vice-présidente de la stratégie des produits FNB chez Mackenzie, basée à Toronto. Le sentiment général est que nous allons assister à des baisses de taux. Il s’agit simplement de savoir dans quelle mesure et à partir de quand. »

Avec une baisse des taux à partir de 2024, les conseillers et leurs clients doivent réexaminer leurs positions en matière de revenu fixe. « Toute baisse des taux signifie qu’il faut commencer à réfléchir au rendement futur de ces solutions obligataires à ultra-court terme, rappelle Prerna Mathews, et aux avantages que l’on peut tirer d’une appréciation du prix des obligations et du rendement potentiel que l’on tirerait d’allonger l’échéance de ses obligations détenues . »

Alfred Lee, gestionnaire de portefeuille et stratège en investissement chez BMO Gestion mondiale d’actifs (GMA), considère que les obligations à long terme jouent un rôle de soutien dans le cadre d’une allocation diversifiée de titres à revenu fixe.

Il recommande ce que l’on appelle une approche haltère (barbell), qui consiste à s’exposer à la fois aux obligations à court terme et à celles à long terme. Cependant, il préfère surpondérer l’extrémité courte de la courbe de rendement.

Cela permet aux investisseurs de tirer parti de l’inversion actuelle de la courbe des rendements, puisque les émissions à court terme génèrent toujours des rendements plus élevés. Il s’agit d’une anomalie par rapport à une courbe normale dans laquelle les échéances plus longues offrent des rendements plus élevés que les titres à court terme.

En outre, lorsque les banques centrales commenceront à réduire les taux, Alfred Lee prévoit que ce soient les titres à court terme qui, dans un premier temps, gagneront le plus. Et pour les investisseurs qui ont une exposition considérable aux actions sensibles aux taux d’intérêt, telles que les banques, les pipelines et les services publics, il n’est pas judicieux, du point de vue de la diversification, de détenir trop de titres à revenu fixe à long terme, qui sont également vulnérables aux hausses de taux.

Cependant, dans certains scénarios de marché boursier baissier, les obligations à long terme aideraient à compenser le risque du marché des actions. C’est pourquoi les stratèges de BMO GMA privilégient une exposition modeste. Dans un portefeuille type 60/40 qui contient 40 % d’obligations, Alfred Lee a suggéré qu’une allocation raisonnable aux obligations à long terme serait de 3 % à 5 % de l’actif total.

Dans la catégorie des obligations canadiennes à long terme, des fonds comme le FINB BMO obligations fédérales à long terme et le nouveau FINB de Mackenzie investissent exclusivement dans des émissions gouvernementales. D’autres fonds à duration pure, qui ne prennent aucun risque de crédit provenant de sociétés, comprennent le Invesco Long Term Government Bond Index ETF, le iShares Core Canadian 15+ Year Federal Bond Index ETF et le FNB d’obligations fédérales canadiennes à long terme TD.

Les FNB iShares Core Canadian Long Term Bond Index ETF et Vanguard Canadian Long-Term Bond Index ETF adoptent une approche plus diversifiée du marché canadien, avec des titres constitués principalement d’émissions gouvernementales, mais aussi d’obligations de sociétés.

Les FNB d’obligations à long terme qui investissent dans les entreprises offrent des rendements plus élevés, tout en assumant un risque de crédit plus important. « Dès que l’on entre dans les obligations d’entreprises à long terme, on peut commencer à voir des émissions de très mauvaise qualité, prévient Prerna Mathews. Ce n’est pas pour rien qu’elles doivent émettre à si long terme. »

Le FINB BMO obligations de sociétés à long terme est un placement purement axé sur les entreprises. Il a récemment détenu près de 60 % de crédits A, tandis que la quasi-totalité du reste était notée BBB, ce qui est au bas de l’échelle de la qualité d’investissement. Ce portefeuille a récemment affiché un rendement à l’échéance de 4,8 %, ce qui est nettement plus élevé que les 3,1 % du FINB BMO obligations fédérales à long terme et de son portefeuille AAA.

Une variation sur le thème des FNB d’obligations à long terme est celle des FNB qui investissent dans le marché américain. Bien qu’il y ait une étroite corrélation à long terme avec les obligations canadiennes à long terme, il peut y avoir des divergences sur des périodes plus courtes.

Ce groupe comprend le plus ancien, le FINB BMO obligations du Trésor américain à long terme, les nouveaux venus de l’an dernier, le iShares 20+ Year U.S. Treasury Bond Index ETF et le FINB Mackenzie obligations du gouvernement américain à long terme, ainsi que le FINB TD obligations du Trésor américain à long terme.

Selon Alfred Lee, il peut être avantageux de détenir des obligations américaines à long terme lors d’une chute brutale du marché boursier ou d’un autre événement de type « cygne noir » au cours duquel le dollar américain s’apprécie, en raison de sa réputation de valeur refuge. Avec le FNB BMO américain, « vous obtenez également cette exposition au dollar américain, ce qui est un atout supplémentaire dans certaines circonstances où le risque diminue », estime-t-il.

Le Horizons Long-Term U.S. Treasury Premium Yield ETF, lancé en octobre, sera probablement le plus performant des FNB d’obligations à long terme. Ce FNB utilise des options d’achat et de vente, ce qui modifie le profil de risque du portefeuille tout en cherchant à générer des revenus bien plus élevés que les titres sous-jacents.

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Nouvelle catégorie de FNB de titres à revenu fixe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/nouvelle-categorie-de-fnb-de-titres-a-revenu-fixe/ Wed, 13 Sep 2023 10:26:46 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96161 Leurs gestionnaires vendront des options sur ces actifs.

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Le secteur des fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens est sur le point d’accueillir ses premiers fonds de titres à revenu fixe qui incluront une stratégie de vente d’options d’achat couvertes, selon Valeurs mobilières TD. Deux fonds canadiens lanceront des stratégies sur ce plan.

Ainsi, malgré le fait que le marché des FNB d’actions qui utilisent des stratégies de ventes d’options d’achat et d’options de vente soit bien développé, ce n’est pas le cas du côté des FNB de titres à revenu fixe qui combinent ces stratégies. Les choses vont changer, note Valeurs mobilières TD.

Le 28 août 2023, Hamilton a déposé un prospectus pour le Hamilton U.S. Bond Yield Maximizer ETF (HBND), et peu de temps après, Harvest a déposé le Harvest Premium Yield Treasury ETF (HPYT), tous deux visant à améliorer les rendements des bons du Trésor américain à long terme.

« Avec ces deux dépôts, le Canada devrait bientôt entrer sur le marché des options d’achat couvertes à revenu fixe, qui s’est avéré particulièrement intéressant dans le contexte actuel de taux d’intérêt élevés. Bien que les rendements attendus de ces FNB n’aient pas été officiellement publiés, on peut affirmer sans risque de se tromper, compte tenu des titres comparables cotés aux États-Unis, que ces FNB devraient rapporter plus de 10 %, avec une combinaison de revenus et de gains en capital », lit-on dans une note de Valeurs mobilières TD.

Aux États-Unis, des FNB sur les options d’achat couvertes du Trésor américain sont disponibles depuis plus d’un an. Le premier FNB du genre a été l’iShares 20+ Year Treasury Bond BuyWrite Strategy ETF (TLTW), lancé le 22 août 2022, selon le courtier.

« Le FNB a accumulé 650 millions de dollars en un an, avec un rendement de 19,37 % sur 12 mois. Il convient de noter que le niveau de rendement dépend fortement de la volatilité sous-jacente des options d’achat émises et de l’environnement des taux d’intérêt, qui peuvent varier considérablement de temps à autre », soulignent les auteurs de Valeurs mobilières TD.

 

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Les FNB à gestion active font fureur https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-fnb-a-gestion-active-font-fureur/ Wed, 06 Sep 2023 09:44:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96066 Mais ne font pas mieux que les autres.

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Les fonds négociés en Bourse (FNB) à gestion active ont la cote, pourtant ils ne font pas mieux que les FNB indiciels. En fait, ils font moins bien, selon une récente étude américaine.

On connaît les analyses du SPIVA Scorecard de S&P Global, la société qui produit le célébrissime indice S&P 500, analyses qui démontrent dans la grande majorité des cas que les fonds communs à gestion passive font mieux que leurs homologues à gestion active. Portant le regard du côté des FNB, Derek Horstmeyer, professeur de finance à l’Université George Mason, découvre que des comparaisons à peu près similaires peuvent être faites entre FNB passifs et FNB à gestion active.

L’exercice est d’autant plus pertinent que les manufacturiers de fonds émettent de plus en plus de FNB à gestion active. À ce jour, sur 1341 FNB émis au Canada, déjà 664, ou 49,5% sont en gestion active, selon des chiffres fournis par Banque Nationale du Canada Marchés financiers. La cadence de lancement s’accélère : en 2018, la proportion des FNB actifs était de 21% du total, tandis que pour l’année en cours, 76 des 114 nouveaux FNB, soit 66,7%, étaient à gestion active.

Un écart sensible

Une première observation est à la faveur des FNB à gestion active. Examinant six catégories d’actifs dans le marché américain, l’équipe de Derek Horstmeyer constate que les résultats des FNB actifs sont légèrement meilleurs que ceux des fonds communs de placement actifs – mais de peu. Dans seulement deux des six catégories (titres à revenu fixe et actions de valeur), les FNB actifs ont surpassé les FNB passifs sur la base du rendement total. Sur base du rendement après impôt, seule la catégorie des FNB d’actions valeur gérés activement a surpassé son homologue passif.

L’étude a analysé tous les FNB libellés en dollars et émis au cours des cinq dernières années. De création assez récente, la plupart des FNB actifs ont été créés au cours des cinq à dix dernières années.

Les catégories d’actifs analysées sont les suivantes : titres à revenu fixe, grandes capitalisations, actions internationales, petites capitalisations, actions de croissance et actions de valeur. De chaque groupe, on a extrait le rendement moyen des cinq dernières années, le rendement moyen après impôt et le ratio de dépenses moyen.

Dans quatre des catégories d’actifs (actions à grande capitalisation, actions internationales, actions à petite capitalisation et actions de croissance), les FNB passifs ont surpassé les FNB actifs en termes de rendement brut. Par exemple, le FNB passif moyen à grande capitalisation a enregistré un rendement annualisé de 8,81 % au cours des cinq dernières années, comparé à un rendement annualisé moyen de 7,07 % pour son équivalent actif au cours de la même période. Cela donne une différence annualisée de 1,74 point de pourcentage pour le FNB passif.

L’impôt augmente l’effet

Après impôt, les résultats sont encore plus favorables aux FNB passifs – cinq des six catégories sont dominées par les FNB passifs. Les résultats s’inversent du côté des FNB de titres à revenu fixe. Les fonds actifs à revenu fixe ont enregistré un rendement brut moyen de 1,20 % par an, contre 1,06 % pour les fonds passifs. Par contre, après impôts, les FNB actifs à revenu fixe ont eu un rendement moyen de 0,63 %, contre 0,78 % pour le groupe des FNB passifs. Cette inversion s’explique par le fait que les FNB actifs effectuent des transactions plus nombreuses (et sont donc soumis à des impôts plus élevés).

Les ratios de frais jouent évidemment un rôle dans ces résultats. Le FNB actif moyen avait un ratio de frais annuel de 0,57 %, contre 0,26 % pour le FNB passif. Cela fait en sorte que les FNB actifs accusent un retard de 0,31 point de pourcentage par an par rapport aux fonds passifs, simplement en raison de leurs coûts plus élevés, freinant ainsi les rendements

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Afin de contrôler les facteurs susceptibles de fausser les résultats, Derek Horstmeyer a répété son analyse en se concentrant sur une comparaison des FNB passifs et actifs qui se mesurent aux mêmes indices de référence. Les résultats sont les mêmes : dans cinq des six catégories, les FNB passifs l’emportent sur les FNB actifs après impôt.

Ainsi, « même si les FNB actifs s’en sortent un peu mieux que les fonds communs de placement actifs lorsqu’il s’agit de comparer les rendements à ceux de leurs homologues passifs, l’histoire n’est pas si reluisante, écrit Derek Horstmeyer. Dans toutes les catégories sauf une, les FNB passifs affichent un rendement après impôt supérieur à celui des FNB actifs, ce qui peut ajouter un demi-point de pourcentage par an à la performance d’un investisseur.

Comparaisons différentes

Notons deux bémols à l’étude de Derek Horstmeyer. En premier lieu, le SPIVA Scorecard compare des catégories complètes de fonds communs avec de grands indices de référence. Par exemple, il compare la performance de tous les fonds de grande capitalisation avec celle du S&P 500 ou celle des fonds de moyenne capitalisation avec celle du S&P MidCap 400. Dans l’étude présente, le Pr Horstmeyer compare deux types de gestion. La comparaison est instructive, mais elle n’est pas du même ordre que celle du SPICE Scorecard.

Deuxièmement, il faut bien distinguer les performances à court terme et à long terme. Certes, de façon générale, à long terme, les gestionnaires actifs font moins bien que leurs grands indices de référence. À court terme, les circonstances peuvent favoriser la gestion active. Par exemple, si en 2021, 85% des fonds communs de grande capitalisation ont été à la traîne du S&P 500, en 2022, c’est le cas pour seulement 51%. « Des marchés en baisse peuvent rendre plus précieuse la gestion active, écrit le plus récent SPIVA Scorecard, et notre palmarès 2022 identifie plusieurs catégories de fonds dans lesquelles une majorité de gestionnaires actifs ont surperformé. »

Pour consulter la tableau en grand format, cliquer ici.

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Multiples utilisations des FNB de titres à revenu fixes https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/hadiza-djataou/multiples-utilisations-des-fnb-de-titres-a-revenu-fixes/ Wed, 09 Aug 2023 10:04:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95516 FOCUS FNB – Ils peuvent aider à effectuer une gestion active de cette catégorie d’actifs.

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La croissance des fonds négociés en Bourse (FNB) à travers les segments du marché des titres à revenu fixe est notable. Les actifs en FNB de revenu fixe inscrit à la cote au Canada ont atteint 94 milliards de dollars au 30 juin 2023, selon Morningstar Bloomberg en croissance de 88,4% sur 5 ans. Il est de ce fait important d’explorer les applications et les avantages de tels fonds pour les conseillers et les gestionnaires de titres à revenu fixe en quête de génération d’alpha pour leurs clients.

Les gestionnaires de titres à revenu fixe visent à surperformer le marché ou un indice de référence spécifique, comme l’indice de l’univers des obligations canadiennes FTSE par exemple. La gestion active implique l’utilisation de stratégies telles que l’allocation sectorielle/pays, la gestion de la durée, et les arbitrages à travers le spectre du crédit pour améliorer les rendements tout en réduisant les risques et la volatilité. Alors que la gestion du revenu fixe implique traditionnellement l’achat et la détention d’obligations, les FNB, à la fois indiciels et à gestion active, sont des outils efficaces pour exprimer une vue de la duration ou du crédit au sein des portefeuilles. Ils offrent également une liquidité accrue, permettant aux gestionnaires d’ajuster rapidement leurs positions en réponse aux changements du marché.

Les avantages de l’utilisation des FNB dans la gestion active de la catégorie des titres revenu fixe sont multiples. Voici un résumé des principaux.

  • Diversification : Les FNB permettent une exposition à une grande variété d’obligations dans différents secteurs, pays et notations de crédit. Cela réduisant ainsi le risque associé aux obligations individuelles.
  • Liquidité : Comme les FNB sont négociés sur des plateformes boursière de la même façon que des actions, ils offrent la possibilité d’entrer et de sortir rapidement des positions. Cette caractéristique les rend particulièrement utiles pendant les périodes de volatilité du marché, où des ajustements rapides peuvent être nécessaires.
  • Transparence : Les FNB divulguent leurs actifs sous-jacents quotidiennement, offrant un niveau de transparence rarement vu chez d’autres outils d’investissement. Cette fonctionnalité permet aux gestionnaires d’avoir une vue claire de leur exposition à des secteurs, des notations et des échéances spécifiques.
  • Frais moindres : Les FNB ont généralement des ratios de frais plus bas que les fonds communs de placement de titres à revenu fixe. De plus, la capacité à négocier des FNB comme des actions permet aux investisseurs de mettre en œuvre des changements d’allocation stratégiques et tactiques plus efficacement.
  • Flexibilité : Les FNB peuvent être achetés et vendus tout au long de la journée de négociation au prix du marché. Ils peuvent également être utilisés dans des stratégies de négociation sophistiquées, telles que la vente à découvert ou l’achat sur marge.

Permettez-moi de détailler certains de ces avantages, en commençant par la liquidité. On dit souvent que la liquidité d’un FNB est au moins égale à celle de son actif sous-jacent. Il n’est pas rare que la liquidité d’un fonds soit même supérieure, comme dans certains segments de marché, comme les obligations souveraines des marchés émergents et les prêts à effet de levier, où les FNB qui détiennent ces titres fournissent une liquidité plus élevée que celles de leurs instruments sous-jacents. Cela est dû à la facilité avec laquelle les FNB peuvent être achetés et vendus sur le marché secondaire, réduisant le besoin de transactions directes avec un grand nombre d’obligations sous-jacentes qui peuvent être moins liquides. De plus, les créations et rachats en espèces des FNB peuvent aider à augmenter la liquidité des instruments sous-jacents.

Par ailleurs, nous utilisons régulièrement des FNB dans la gestion de nos portefeuilles pour exprimer des vues de marché, qu’elles soient stratégiques ou tactiques. Par exemple, cette année et l’année dernière, nous avons utilisé tactiquement un FNB indiciel sur la dette émergente libellée en monnaie locale pour exprimer notre vue positive sur la dette locale des marchés émergents. Des pays d’Amérique latine tels que le Brésil et le Mexique ont commencé à augmenter leurs taux d’intérêt clés en 2021, bien avant la Réserve fédéral américaine (Fed). Ces actions ont aidé à désensibiliser leurs dettes contre la hausse des taux de la Fed et un dollar fort. La dette émergente en monnaie locale a bien performé cette année avec des rendements autour de 15% au Brésil quand l’univers agrégé canadien a délivré environ 1,7% de rendement pour la même période.

Un autre exemple de la flexibilité des FNB est le fait qu’il permet une allocation à une grande variété de catégories d’actifs, par exemples les prêts à effet de levier. Les prêts à effet de levier sont une sous-catégorie d’actifs similaire au rendement élevé. La principale différence est que les prêts à effet de levier ne comportent pas de risque de taux d’intérêt et ont une duration nulle. Ils sont des instruments privilégiés dans un environnement de hausse des taux car leur performance n’est pas touchée par des taux plus élevés, contrairement aux obligations à rendement élevé.

Par ailleurs, ces dernières années, les FNB de revenus fixes, qu’ils soient indexés ou actifs, ont augmenté en taille, en diversité et en complexité. Le développement de FNB dédié aux labels environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) aide les gestionnaires d’obligations à atteindre des objectifs financiers supplémentaires comme le financement de la transition vers une économie plus verte et à amplifier l’impact et la durabilité lors de l’investissement.

Risques spécifiques

Bien que les FNB apportent des avantages notables dans la gestion active des revenus fixes, ils viennent également avec la nécessité de gérer des risques spécifiques. Le principal serait l’erreur de suivi : cette divergence se produit lorsque la performance du FNB – actif ou indiciel – diverge de l’indice qu’il suit. Plus précisément, les FNB actifs cherchent à surperformer un indice de référence plutôt qu’à le répliquer, donc ils peuvent souffrir d’une erreur de suivi. L’utilisation des FNB peut donc conduire à des résultats légèrement différents des rendements attendus qu’un gestionnaire d’obligations avait anticipés lors de l’allocation.

L’avènement des FNB a incontestablement transformé le paysage financier, offrant de nouvelles occasions et défis. Pour la gestion active des revenus fixes, les FNB fournissent un outil dynamique et efficace qui favorise la diversification, la liquidité et la flexibilité. Le monde en évolution des FNB mérite certainement une attention particulière, avec son potentiel pour remodeler les stratégies d’investissement traditionnelles qui est indéniable. Mais l’essence d’un bon investissement reste de comprendre ce que vous possédez, pourquoi vous le possédez, et comment il s’intègre dans le contexte plus large de vos objectifs financiers.

Le contenu de ce commentaire (y compris les faits, les perspectives, les opinions, les recommandations, les descriptions de produits ou titres, ou les références à des produits ou titres) ne doit pas être pris ni être interprété comme un conseil en matière de placement ni comme une offre de vendre ou une sollicitation d’offre d’achat, ou une promotion, recommandation ou commandite de toute entité ou de tout titre cité. Bien que nous nous efforcions d’assurer son exactitude et son intégralité, nous ne sommes aucunement responsables de son utilisation.

Cet article pourrait renfermer des renseignements prospectifs qui décrivent nos attentes actuelles ou nos prédictions pour l’avenir ou celles de tiers. Les renseignements prospectifs sont, de par leur nature, assujettis, entre autres, à des risques, incertitudes et hypothèses qui peuvent modifier de façon importante les résultats réels qui ont été énoncés aux présentes. Ces risques, incertitudes et hypothèses comprennent, mais sans s’y limiter, les conditions générales économiques, politiques et des marchés, les taux d’intérêt et de change, la volatilité des marchés boursiers et financiers, la concurrence commerciale, les changements technologiques, les changements sur le plan de la réglementation gouvernementale, les changements au chapitre des lois fiscales, les poursuites judiciaires ou réglementaires inattendues ou les catastrophes. Veuillez soigneusement prendre en compte ces facteurs et d’autres facteurs et ne pas accorder une confiance exagérée aux renseignements prospectifs. Tout renseignement prospectif contenu aux présentes n’est valable qu’en date du 1er septembre 2022. Le lecteur ne doit pas s’attendre à ce que ces renseignements soient mis à jour, complétés ou révisés en raison de nouveaux renseignements, de nouvelles circonstances, d’événements futurs ou autre.

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Titres à revenu fixe : la gestion active peut générer de l’alpha https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/titres-a-revenu-fixe-la-gestion-active-peut-generer-de-lalpha/ Wed, 12 Apr 2023 10:19:33 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92939 FOCUS FNB - Souvent à un coût supérieur par rapport aux stratégies passives.

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Les investisseurs en titres à revenu fixe devraient considérer d’opter pour la gestion active lorsqu’ils souhaitent investir dans des fonds négociés en Bourse (FNB), selon Banque Nationale Marchés financiers (BNMF).

Sur différentes périodes, une majorité de FNB de titres à revenu fixes étrangers ont surclassés leur indice de référence, d’après une récente étude de l’équipe de la BNMF.

Celle-ci attribuait ce résultat au fait que les gestionnaires actifs de titres à revenu fixe peuvent se positionner en fonction des tendances des taux et du crédit. Ils peuvent également éviter les pièges structurels potentiels du marché obligataire, découlant du fait que plus de la moitié des détenteurs d’obligation le sont pour d’autres raisons que les rendements.

« Ces acteurs du marché sont des institutions « agnostiques en matière de rendement », telles que les banques centrales, les compagnies d’assurance ou les banques commerciales. Contrairement aux investisseurs classiques, ils achètent des obligations pour des raisons autres que le rendement total : par exemple, les règles comptables, l’appariement du passif, les réglementations en matière de capital ou les directives internes », explique-t-on dans une étude de la question.

Les gestionnaires actifs d’obligations peuvent exploiter les inefficacités du marché en évitant ces obligations surévaluées, par exemple, ou en investissant dans des « anges déchus » qui ont été vendus par principe par des investisseurs non économiques après un changement de notation de crédit.

Ces gestionnaires peuvent aussi naviguer dans un marché autrement opaque. Toutefois, cela implique des frais relativement plus élevés (pour l’implication humaine et les frais généraux), des paris discrétionnaires qui peuvent accroître le risque, et moins de transparence.

L’équipe de BNMF a examiné les performances des plus importants FNB obligataires étrangers gérés activement en termes d’actifs sous gestion. « Il est intéressant de noter que les cinq premiers ont tous surperformé l’indice obligataire universel canadien et l’indice obligataire global. Nous constatons ici que la possibilité d’effectuer une rotation tactique entre la qualité du crédit, la durée et la forme de la courbe des rendements est susceptible de soutenir une performance supérieure au fil du temps, même en dépit d’un ratio des frais de gestion (RFG) plus élevé », lit-on dans la note.

Par exemple, le premier au haut de la liste, le FNB de revenu fixe sans contraintes BNI NUBF affiche un RFG de 0,86 % par rapport à 0,10 % et 0,34 % pour un FNB d’indice obligataire universel canadien et pour un FNB d’indice obligataire agrégé mondial, respectivement. Cependant, le FNB de BNI affiche un rendement sur 3 ans de -0,4 % par rapport à -6,8 % pour le FNB d’indice obligataire canadien durant la même période.

De plus, un grand nombre de FNB à revenu fixe étranger gérés activement ont surperformé leur indice de référence passif sur une période de 1 à 5 ans. Ainsi, sur un an, 30 FNB obligataires étrangers gérés activement ont surpassé la performance de l’indice canadien, par rapport à 11 qui ont sous-performé. Sur deux ans, ce sont 33 fonds du genre qui ont battu l’indice canadien, par rapport à 3 qui ne l’ont pas fait. Sur 3 ans, 15 figurent dans le premier groupe et 8 dans le second. Sur les périodes de 4 ans et 5 ans, on en trouve respectivement 11 dans le premier groupe par rapport à 4 dans le second ainsi que 4 dans le premier groupe et trois dans le second.

« Cela donne du crédit à la thèse selon laquelle, dans la plupart des environnements, les FNB à gestion active peuvent générer de l’alpha. En fin de compte, cependant, ni la gestion active ni la gestion passive ne dominent l’autre dans toutes les situations. Il est important de reconnaître les compromis inhérents entre les deux lorsqu’il s’agit de choisir entre un FNB de titres à revenu fixe passif et un FNB de titres à revenu fixe actif », lit-on dans la note.

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Retour des créations nettes en juillet https://www.finance-investissement.com/nouvelles/retour-des-creations-nettes-en-juillet/ Tue, 09 Aug 2022 15:29:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=88530 FOCUS FNB - Les FNB d’actions ont toutefois connu des rachats nets.

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Après un mois de juin marqué par de rares rachats nets mensuels de fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens, le mois de juillet a connu un retour des créations nettes.

Ainsi, en juillet 2022, les FNB canadiens ont affiché des créations nettes de 1,67 milliards de dollars (G$), comparativement à des rachats nets de 682 millions de dollars (M$) en juin, selon Banque Nationale Marchés financiers.

Les FNB d’obligations ont affiché des créations nettes de 1,74 G$, alors que les FNB d’actions affichaient des rachats nets de 717 M$. Les FNB de portefeuilles ou multi-actifs (multi-asset) ont enregistré des créations nettes de 306 M$ et les FNB de cryptoactifs, de 198 M$.

Sur le plan des FNB de titres à revenu fixe, Banque Nationale Marchés financiers observe une préférence notable pour les actifs plus sûrs. Ainsi, les FNB d’obligations gouvernementales canadiennes affichaient des créations nettes de 811 M$ et les FNB de liquidités (cash alternative), de 860 M$. Les trois FNB les plus en demande en juillet ont été TD Canadian Long Term Federal Bond ETF, avec des créations nettes de 404 M$, le BMO Short Federal Bond Index ETF (385 M$) et le CI High Interest Savings ETF (306 M$).

Sur le plan des FNB d’actions, ce sont les fonds d’actions canadiennes qui ont connu les pires rachats nets (1 G$) alors que les FNB d’actions américaines ont affiché des rachats de 190 M$. Les FNB d’actions internationales ont enregistré des créations nettes de 481 M$. Les trois FNB qui ont connu les plus importants rachats nets en juillet sont le iShares S&P/TSX 60 Index ETF (rachats nets de 808 M$), le BMO S&P 500 Index ETF (427 M$) et le TD Canadian Equity Index ETF (295 M$).

Par ailleurs, la demande pour les FNB qui misent sur les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) s’est maintenue en juillet au même niveau que durant les sept premiers mois de 2022. Ainsi, Banque Nationale Marchés financiers enregistre en juillet des créations nettes de 259 M$, principalement dans les FNB ESG de titres à revenu fixe (185 M$). De janvier à juillet 2022, les FNB ESG d’actions ont affiché des créations nettes de 1,6 G$ et des FNB ESG de titre à revenu fixe, de 703 M$, pour un total de 2,4 G$ pour l’ensemble du sous-secteur.

À la fin de juillet, on comptait 10,5 G$ en actif de FNB de type ESG, les FNB d’actions ESG représentant 83 % de ce marché et dont la croissance annuelle dépasse les 20 %. « En ce qui concerne les placements ESG à revenu fixe au Canada, les investisseurs disposent maintenant d’une large gamme d’options ; la catégorie comprend 24 FNB avec des échéances et des stratégies de placement variées. La variété des expositions régionales s’étend au Canada, aux États-Unis et aux produits axés sur le monde entier », lit-on dans l’analyse de Banque Nationale Marchés financiers.

En juillet, BMO Gestion mondiale d’actifs a enregistré les créations nettes les plus élevées (657 M$), suivie de Vanguard (408 M$) et Purpose (352 M$). Pour les sept premiers mois de 2022, Vanguard prend la tête des créations nettes (3,69 G$), suivie de BMO (3,65 G$), Horizons ETFs (2,99 G$) et RBC/iShares (2,3 G$). Pour cette période, on compte 18,1 G$ en créations nettes.

Par ailleurs, au chapitre des lancements, juillet a été un mois tranquille. Un seul FNB a vu le jour, soit le Black Diamond Impact Core Equity Fund, un fonds de type ESG assorti de frais de gestion de 0,95 %, selon Banque Nationale Marchés financiers.

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Coup d’œil sur les FNB les moins volatils https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/coup-doeil-sur-les-fnb-les-moins-volatiles/ Wed, 13 Jul 2022 10:25:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=87993 FOCUS FNB - Les FNB de dividendes font bonne figure.

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Au cours des six derniers mois, la volatilité a été forte pour bon nombre de catégories d’actifs. Celle-ci a été accompagnée par des rendements faibles voire négatifs. Dans ce contexte difficile, Valeurs mobilières TD fait ressortir les types de fonds négociés en Bourse (FNB) qui affichent le moins de volatilité et, selon le cas, les rendements les plus favorables. Voici les tendances qui se dégagent de leur analyse, laquelle met favorablement de l’avant les FNB d’actions à dividende ainsi que les actions de services publics.

FNB d’actions

Sur le plan des FNB d’actions, les FNB qui détiennent des sociétés de services publics ont bien performé durant la période d’octobre 2021 à avril 2022.

Les actions du secteur des services publics sont connues pour être défensives en période de repli du marché, et la performance des FNB du secteur des services publics au cours des six derniers mois a confirmé ce point de vue, selon les auteurs menés par Andres Rincon, chef, stratégies et ventes de FNB chez Valeurs mobilières TD.

Le FNB BMO vente d’options d’achat couvertes de services aux collectivités (ZWU CN) et le FNB iShares S&P/TSX Capped Utilities Index (XUT CN) ont produit des rendements de 7,3 % et 6,9 % sur six mois, avec une volatilité inférieure à 10 %. Le FNB TD Q Canadian Low Volatility (TCLV CN) a également obtenu de bons résultats, les actions des services publics représentant plus de la moitié de son portefeuille. « Dans l’ensemble, les actions du secteur des services publics ont prouvé leur statut de havre de sécurité en période de volatilité », lit-on dans l’étude.

Les FNB à dividendes élevés représentaient une grande partie des FNB canadiens générant une faible volatilité et un bon ratio de Sharpe. En fait, six des dix premiers FNB d’actions ayant la volatilité la plus faible et les rendements les plus élevés sont des FNB à dividendes élevés. Ces FNB exposent souvent les investisseurs à des actions versant des dividendes, notamment des actions de sociétés financières et de services publics. « Comme les titres financiers et les titres du secteur des services publics affichent souvent de meilleurs résultats que l’ensemble du marché pendant les replis, les FNB à dividendes élevés profitent de la résilience des cours boursiers et des dividendes reçus », apprend-on dans l’étude.

Par ailleurs, les FNB d’options d’achat couvertes sont particulièrement populaires sur le marché canadien des FNB. En avril 2022, l’actif total sous gestion des FNB canadiens à options d’achat couvertes atteignait 15 G$, soit 4,5 % du marché canadien des FNB. Ces FNB peuvent offrir un rendement supérieur à celui d’un portefeuille d’actions typique en vendant des options sur des titres individuels ou un indice de référence.

« Ils sont particulièrement attrayants comme moyen d’obtenir des rendements plus élevés et une volatilité réduite dans un contexte de taux d’intérêt bas, de volatilité élevée ou de faible croissance. Au cours des six derniers mois, les FNB d’options d’achat couvertes se sont révélés être l’un des FNB les plus performants du marché. Deux des meilleurs FNB d’actions ayant la plus faible volatilité et un ratio de Sharpe supérieur à 1,0, à savoir le FNB BMO vente d’options d’achat couvertes de services aux collectivités et le FNB BMO vente d’options d’achat couvertes de sociétés canadiennes à dividendes élevés (ZWC CN), sont tous deux des FNB d’options d’achat couverts », explique l’étude.

FNB de titres à revenu fixe

Les FNB d’épargne à intérêt élevé figurent en tête de liste des FNB à faible volatilité. Le prix de ces fonds reste souvent à un certain niveau, et les rendements sont distribués sous forme de dividendes périodiquement. « Détenir des liquidités est globalement inefficace compte tenu du profil de rendement très faible, mais parfois inévitable entre deux transactions ou en raison d’un appétit pour le risque extrêmement faible pendant les périodes de forte volatilité », selon le document.

Or, les récentes hausses des taux en Amérique du Nord et les prévisions de nouvelles hausses ont renforcé les rendements de ces FNB. Avec une hausse de 50 points de base du taux directeur de la Banque du Canada en avril 2022, le rendement moyen des FNB d’épargne à intérêt élevé dominés par le dollar canadien passe à 1,46 %.

Par ailleurs, les FNB de titres à revenu fixe ont été frappé par la hausse des taux d’intérêt. En général, les FNB qui investissent dans des obligations à court terme ou à taux variable sont moins touchés par la hausse des taux que les obligations à long terme, étant donné leur duration plus courte. Par conséquent, la comparaison entre les FNB n’a de sens que si l’on compare des FNB à revenu fixe ayant des profils d’échéance similaires.

« Il convient de noter que tous les FNB à revenu fixe (à l’exception des FNB de taux d’intérêt élevé) affichent des ratios de Sharpe inférieurs à 1,0, compte tenu des baisses de prix importantes des titres à revenu fixe. Du point de vue du rendement, les FNB à revenu fixe n’ont pas été attrayants pour les investisseurs au cours des six derniers mois, et cette tendance pourrait se poursuivre alors que les banques centrales continuent de relever les taux d’intérêt », lit-on dans l’étude.

Historiquement, les prix des obligations à haut rendement ont été beaucoup plus volatils que ceux de leurs homologues de qualité (investment grade). Ça a également été le cas au cours des six derniers mois. « En moyenne, les FNB de titres à revenu fixe à haut rendement ont affiché une volatilité de 9,1 %, tandis que les FNB de titres à revenu fixe de catégorie investissement ont affiché une volatilité de 7,4 %. La volatilité des FNB de titres à revenu fixe à haut rendement est plus proche de celle des FNB d’actions que de celle des FNB de titres à revenu fixe de catégorie investissement », rapporte l’étude.

FNB alternatifs

Les stratégies des FNB alternatifs liquides au Canada comprennent principalement des stratégies acheteurs/vendeurs, neutres au marché, macro mondial, multi-stratégies et événementielles. Ces stratégies visent à offrir un meilleur rendement ajusté au risque, peu importe si le marché est haussier ou baissier.

« Certains FNB alternatifs, comme le FNB Desjardins Alt Long/Short Equity Market Neutral (DANC CN), offrent une volatilité aussi faible que 1,9 % au cours des six derniers mois, soit beaucoup moins que la plupart des FNB d’actions. D’autres FNB alternatifs, comme le FNB NBI Liquid Alternatives (NALT CN) et le FNB Horizons ReSolve Adaptive Asset Allocation (HRAA CN), ont affiché des rendements sur six mois de 12,9 % et 5,4 %, avec une volatilité relativement faible de 8,3 % et 11,8 %, respectivement. Dans l’ensemble, les FNB utilisant des stratégies alternatives font preuve d’une certaine résilience en termes de performance dans un marché volatil et apportent aux investisseurs de bons compléments aux portefeuilles traditionnels », déclare l’étude.

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