assurtech | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/tag/assurtech/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 30 Oct 2025 11:56:54 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png assurtech | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/tag/assurtech/ 32 32 L’assurtech BOXX renforce son équipe en cyberassurance https://www.finance-investissement.com/nouvelles/lassurtech-boxx-renforce-son-equipe-en-cyberassurance/ Thu, 30 Oct 2025 10:56:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110521 NOUVELLES DU MONDE – Quatre nouveaux joueurs se joignent à la firme.

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L’entreprise de cyberassurance BOXX Insurance poursuit son expansion au Canada avec l’embauche de quatre personnes dans les domaines de la distribution, de la souscription et des réclamations.

Katie Pollock est nommée chef de la distribution aux courtiers. Spécialisée en développement des affaires et en souscription, elle arrive de chez Coalition, après avoir également occupé des postes chez Berkley et Travelers. Chez BBOX, elle sera responsable des relations avec les courtiers et de la promotion des produits de cyberassurance et de protection de l’entreprise destinés aux PME et aux particuliers.

Michael Lai se joint à l’équipe de distribution aux courtiers à titre de responsable du développement commercial. Spécialiste de la souscription et des réclamations en cyberassurance, il a œuvré chez Northbridge Insurance et AIG. Il a pour mandat d’établir de nouveaux partenariats avec les courtiers et de renforcer les relations de la société sur le marché canadien.

Julie Poulin devient pour sa part souscriptrice principale de production. Elle possède plus de dix ans d’expérience en souscription et en réclamations, acquise chez Berkley Canada AIG et Chubb. Ancienne professionnelle du milieu cinématographique, elle est basée à Montréal, d’où elle dirigera l’expansion de l’entreprise au Québec.

Melanie Bean, pour sa part, est nommée gestionnaire des réclamations pour BOXX et pour l’équipe de gestion des incidents Hackbusters. Auparavant, elle a travaillé en cyberréclamations ainsi qu’en réclamations commerciales et immobilières chez CyberScout et Crawford. Dans son nouveau rôle, elle contribuera à optimiser la gestion des réclamations pour les PME clientes.

« Ces quatre embauches démontrent la capacité de BOXX à attirer des talents de premier plan dans un marché concurrentiel, souligne Jonathan Weekes, président de la firme pour le Canada. Nos employés sont la raison pour laquelle nous continuons de gagner sur ce cybermarché difficile. »

Basée à Toronto, l’entreprise fait partie de Zurich Global Ventures, un fournisseur de services de cyberprotection et de couverture en cyberassurance.

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Vente d’assurance vie en ligne : menace sous-estimée https://www.finance-investissement.com/outils_/livres-blancs/vente-dassurance-vie-en-ligne-menace-sous-estimee/ Tue, 14 Oct 2025 09:45:01 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110332 La provenance de cette menace diffère peut-être des anticipations de certains.

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À l’occasion du Baromètre de l’assurance 2024, un segment de conseillers en sécurité financière a fait part de craintes concernant la distribution d’assurance vie en ligne. Certaines sont fondées, d’autres semblent l’être beaucoup moins.

Un répondant soulève plusieurs questions : « Est-ce que les gens vont s’assurer eux-mêmes en ligne sans comprendre ce qu’ils achètent ? Ou ils vont nous demander conseil, avant d’acheter en ligne par la suite, et nous aurons perdu notre temps ? Est-ce que nos clientèles actuelles vont continuer de garder leur valeur et seront “revendables” à de nouveaux représentants ? »

Un autre conseiller juge que ceux qui sont tentés d’acheter de l’assurance en ligne ignorent la valeur du conseil financier pour « déterminer combien d’assurances ils ont besoin » et les guider en cas de problème avec leur police.

D’autres demandent jusqu’à quel point les plateformes de vente en ligne répondent bien aux besoins des clients.

Certains répondants s’inquiètent de l’influence sur leurs activités de plateformes d’offre d’assurance de personnes en ligne, comme Emma.

« J’ai une cliente qui a souscrit à ça, alors que je suis déjà sa conseillère en assurance et elle le savait. Je n’en reviens pas comment ce genre de plateforme attrape n’importe quel client. »

Un autre répondant se soucie du risque de « désinformation soumise via les médias sociaux et les fournisseurs d’assurance en ligne ».

En résumé, quatre enjeux se dessinent : le risque pour les consommateurs d’acheter sans conseil des produits qui ne leur conviennent pas, le risque de désinformation, le risque commercial pour un conseiller de se faire ravir ses clients, enfin le risque d’une perte de valeur des blocs d’affaires des conseillers.

Les commentaires recueillis auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) et de spécialistes du secteur financier permettent de croire que les deux premières craintes exprimées plus haut sont sans fondement.

L’encadrement de l’AMF protège les consommateurs

D’abord, même après des décennies de présence d’Internet dans nos vies, la vente de produits d’assurance en ligne en 2021 ne représentait encore que 0,7 % du marché total, soit 96 millions de dollars (M$) sur un marché de primes souscrites s’élevant à 13,9 milliards de dollars. La plupart des assurances vendues en ligne touchent des polices d’assurance de dommages. La part des ventes d’assurance vie s’élevait à seulement 441 600 $. En 2024, rapporte l’AMF dans un échange de courriels, « les primes des contrats d’assurance vendus en ligne étaient de 124 M$ », une hausse de 29 % en trois ans. L’AMF ne précise toutefois pas à quel niveau étaient passées les ventes d’assurance vie.

Dans son courriel, l’AMF réitère les éléments essentiels du « Règlement sur les modes alternatifs de distribution » (RMAD). Tout d’abord, un client doit avoir accès à un représentant s’il le souhaite et le cabinet doit conseiller le client comme s’il était un représentant. Il doit donc s’enquérir de la situation de son client afin de cerner ses besoins et s’assurer de la convenance du produit qu’il lui offre. Enfin, « la réglementation exige que les renseignements présentés sur l’espace numérique soient présentés au client dans une forme claire, lisible, précise et non trompeuse ».

L’AMF est d’avis que le consommateur québécois est bien protégé lorsqu’il magasine en ligne. « Les groupes de discussion, tenus en mars 2024, ont permis de conclure que le RMAD est adéquat et qu’il permet au consommateur qui choisit de conclure une transaction de façon autonome en ligne d’avoir accès aux renseignements requis pour prendre une décision éclairée. »

Dans la consultation de l’AMF sur le RMAD de 2022, plusieurs assureurs de personnes indiquaient que le RMAD représente des défis d’application difficilement conciliables avec les produits d’assurance de personnes, ce qui empêche certains de développer leur marché. « Selon eux, les exigences sont exagérées au point que concevoir des espaces numériques conformes impliquerait trop en termes de développement technologique et coûterait trop cher », lit-on dans le rapport. D’où le manque de développement du marché en ligne en assurance de personnes.

Sites d’information plus que de transactions

C’est un bilan que confirme Christian Laroche, consultant stratégique en distribution de services financiers. « L’AMF a bien encadré le secteur, » juge-t-il. Du même coup, il constate que les sites de vente en ligne « donnent une information importante, mais ils ne sont pas assez complets. C’est fait pour amener le client à se rendre compte qu’il a besoin d’aide. Je ne vois pas ça comme une menace. »

En effet, dans Emma.ca, la principale plateforme à laquelle les répondants du Baromètre de l’assurance font référence, il vient un moment en ligne où « les clients vont frapper un mur, soutient Félix Deschatelets, président d’Emma Services financiers. Pour leur donner du soutien, on a des conseillers qui peuvent aider le client à naviguer selon ses besoins et parmi les produits. Le client est-il laissé à lui-même ? Ce n’est pas ce que permet l’AMF. »

Cependant, les deux risques de nature commerciale que soulèvent les répondants du Baromètre demeurent entiers. Pour l’instant, ces risques sont minimes parce que la vente d’assurance en ligne, selon les chiffres de l’AMF, n’a certainement pas envahi le Québec.

Pas encore. Car la fréquentation d’Emma est déjà significative. « On parle de plusieurs dizaines de milliers de visiteurs par mois sur Emma », affirme Félix Deschatelets. Et cette clientèle est une promesse d’avenir : « Plusieurs de nos clients sont de premiers acheteurs d’assurance ; la moyenne d’âge est de 31 ans. Ça montre qu’on peut aller chercher les nouveaux acheteurs d’assurance, qui ont des habitudes d’achat différentes. »

Le mode actuel de fréquentation en ligne « ne constitue pas une menace », pense Christian Laroche. Il prend exemple d’une jeune programmeuse de 24 ans qui travaillait pour lui il y a quelques années au développement d’une plateforme de transaction en ligne. « Jamais je n’achèterais ça [en ligne], lui avait-elle dit. C’est un produit trop complexe qui exige l’intervention de spécialistes. »

Pour certains produits courants, comme une assurance habitation, « les gens pourront facilement se servir eux-mêmes en ligne, juge Christian Laroche, mais l’assurance vie est un domaine autrement plus complexe, qui requiert le coup d’œil d’experts. »

Quant à la concurrence que représente Emma pour un conseiller qui n’est pas présent sur une plateforme numérique, le danger est encore marginal. Plusieurs clients en ligne « se sont sensibilisés à travers Emma et sont allés faire affaire avec un autre représentant », dit Félix Deschatelets. Toutefois, à l’inverse, il est certain qu’un conseiller peut perdre des clients qui optent pour les plateformes en ligne.

La vraie menace tient à l’intelligence artificielle, soutient Christian Laroche, d’autant plus qu’elle montre déjà des capacités de conseil remarquables. On peut s’attendre à ce qu’elle soit de plus en plus intégrée aux plateformes en ligne. Ce jour-là, qui n’est pas très loin, la menace sera devenue très réelle. « C’est indéniable, il faudra que le conseiller s’adapte. Sinon, je suis content qu’il disparaisse. On veut des gens qui ont les bons outils et qui ne perdent pas de temps. »

Et qu’en est-il de la valeur des blocs de clients ? « Si le book d’un conseiller perd de la valeur, c’est parce que celui-ci ne recourt pas aux bons outils pour assurer la valeur de sa clientèle », tranche Christian Laroche.

Pour l’instant, les conseillers qui veulent offrir une solution en ligne n’ont pas d’autre choix que de se joindre à Emma Cabinets financiers, à moins qu’ils ne développent leur propre plateforme numérique. Par contre, une avenue moins radicale est en chemin, s’il faut en croire Félix Deschatelets. « Nous travaillons à rendre Emma disponible pour des conseillers qui œuvrent avec d’autres agents généraux, annonce-t-il. J’ai confiance de pouvoir offrir nos solutions à d’autres prochainement. »

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Equisoft ajoute une solution de productivité à son CRM https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/equisoft-ajoute-une-solution-de-productivite-a-son-crm/ Wed, 07 Aug 2024 11:40:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101979 Il s’associe avec une assurtech.

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Equisoft a annoncé un partenariat stratégique avec Life Design Analysis (LDA), une assurtech canadienne qui propose une solution de vente et de productivité infonuagique pour les conseillers et les agents généraux.

La plateforme de LDA est utilisée par tous les niveaux de la chaîne de distribution d’assurance vie. Elle s’ajoute aux solutions de base d’Equisoft, notamment la gestion d’agence, les CRM, la planification financière, les outils de comparaison de fonds et les outils de recherche multiassureur.

Barry Crowther, chef de la direction de LDA, espère « révolutionner la façon dont les conseillers obtiennent et utilisent les données pour mieux servir les clients et donner un fier coup de pouce à leur entreprise ».

Pour François Levasseur, vice-président, Alliances mondiales et acquisitions chez Equisoft, le partenariat avec LDA contribue à la création d’un écosystème de partenaires qui favorisera la croissance et l’innovation dans l’industrie.

« Les conseillers et les MGA ont accès à des outils de pointe, leur permettant d’offrir un service client exceptionnel et de favoriser une croissance significative de leur activité », déclare-t-il.

La plateforme de LDA utilisera les données de l’outil de soumissions multiassureur LifeGuide pour intégrer les données sur les produits et générer des rapports de vente ainsi que des projections et des concepts à l’intention des conseillers et des agents généraux.

Equisoft a fait l’acquisition de LifeGuide l’an dernier pour l’intégrer à son CRM Equisoft/connect.

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Open Banking : une adoption plus rapide est réclamée https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/open-banking-une-adoption-plus-rapide-est-reclamee/ Fri, 17 Nov 2023 10:43:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=97608 Par des leaders canadiens sur secteur de la technologie financière.

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Des membres du secteur des technologies financières canadiennes, de plus en plus frustrés, demandent au gouvernement fédéral d’aller de l’avant avec les plans promis pour donner aux consommateurs plus de contrôle sur leurs données financières.

Des dizaines de leaders du secteur ont envoyé jeudi une lettre à la ministre des Finances, Chrystia Freeland, affirmant que le Canada prenait du retard alors qu’un nombre croissant de pays progressent vers des systèmes bancaires ouverts conçus pour accroître la concurrence.

« Le système bancaire ouvert au Canada se fait attendre depuis longtemps », a souligné Nicholas Schiavo, directeur des affaires fédérales au Conseil canadien des innovateurs, et l’un des signataires de la lettre.

Ce genre de système, qui existe déjà au Royaume-Uni et dans l’Union européenne et qui progresse aux États-Unis, promet de donner aux Canadiens la possibilité de choisir qui a accès à leurs données financières. Cela permettrait également aux consommateurs de déplacer leurs informations de manière transparente d’un compte à un autre, comme on pourrait déplacer des dossiers dentaires lors d’un changement de dentiste.

Les partisans de ce genre de système affirment qu’en ouvrant l’accès aux données, les consommateurs peuvent tout relier en toute sécurité, des applications de budgétisation aux évaluations de crédit, à leurs informations bancaires.

Des millions de Canadiens utilisent déjà des services qui s’appuient sur le partage de telles données, mais ceux-ci reposent sur la « capture de données d’écran », qui les oblige à partager leurs informations de connexion, un processus non sécurisé et non réglementé.

L’option du système bancaire ouvert promet d’accroître la concurrence dans le secteur bancaire concentré du Canada et de réduire les frais, a fait valoir Nicholas Schiavo.

« Chaque jour où nous retardons la mise en place d’un système financier moderne et sécurisé, nous imposons en fait une taxe aux entreprises canadiennes et aux Canadiens eux-mêmes, qui paient davantage pour un système désuet. »

Lori Weir, directrice générale de Four Eyes Financial et elle aussi signataire de la lettre ouverte, a dit qu’elle espérait voir des progrès dans le système cette année.

« Je soutiens certainement tout ce que nous pouvons faire pour faire avancer les choses plus rapidement. »

Elle a ajouté que, tout comme pour les données sur la santé, la possibilité de regrouper les données financières en un seul endroit contribuerait à créer de meilleurs choix financiers.

« C’est lorsque vous rassemblez ces données et que vous êtes capable de les analyser et de produire des informations en retour, que les gens sont un peu mieux à même de prendre des décisions. »

La lettre ouverte fait suite au lancement, en octobre, d’une campagne par un groupe de grandes entreprises de technologie financière visant à inciter les Canadiens à faire pression sur le gouvernement pour qu’il aille de l’avant avec ses engagements. Le gouvernement libéral avait notamment dit, dans une promesse électorale de 2021, qu’il mettrait en œuvre un système bancaire ouvert au plus tard au début de 2023.

Le gouvernement fédéral a nommé Abraham Tachjian à la tête du projet de système bancaire ouvert en mars 2022. Il a depuis dirigé de nombreux groupes de travail, mais on ne sait toujours pas quand un système pourrait être lancé.

Entre-temps, les États-Unis ont annoncé en octobre qu’ils allaient de l’avant avec leur projet d’accélérer la transition vers un système bancaire ouvert.

Le Bureau américain de protection financière des consommateurs a indiqué que les règles proposées empêcheraient les banques de « thésauriser » les données d’une personne, renforceraient la concurrence et amélioreraient les services financiers.

« Nous proposons une règle pour donner aux consommateurs le pouvoir de s’éloigner des mauvais services et de choisir les institutions financières qui offrent les meilleurs produits et prix », avait expliqué le directeur du Bureau, Rohit Choprs, dans un communiqué de presse.

Le Royaume-Uni exploite un système bancaire ouvert depuis 2018, la même année où le Canada a mis en place un comité consultatif sur cette possibilité.

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Equisoft et VieFONDS font équipe https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/equisoft-et-viefonds-font-equipe/ Fri, 20 Oct 2023 20:21:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96918 Pour rehausser l’expérience client en gestion de patrimoine.

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Equisoft, leader de solutions numériques dédiées à l’assurance et à l’investissement, annonce une entente de partenariat avec VieFONDS, un fournisseur de solutions d’arrière-guichet pour courtiers en placement, qui devrait permettre de rehausser l’expérience client.

L’intégration entre la plateforme d’arrière-guichet de VieFONDS et les solutions d’Equisoft pour conseillers (Equisoft/analyze, Equisoft/connect et Equisoft/plan) vise une amélioration en termes d’automatisation, d’efficacité et de capacités de planification de patrimoine pour les courtiers en placement et les conseillers financiers.

Les clients et les conseillers auront désormais la possibilité d’accéder, en un seul clic, à des solutions avancées de gestion du patrimoine, de CRM et d’analyse des besoins qui s’alimentent automatiquement avec les données provenant de la plateforme VieFONDS, comme l’a souligné Mark Lafreniere, chef de l’exploitation de VieFONDS.

Jonathan Georges, vice-président du secteur de la gestion du patrimoine chez Equisoft, estime pour sa part que cette collaboration va à la fois simplifier les ventes et les interactions avec les clients, et augmenter la productivité des conseillers. En outre, elle facilitera la conformité aux réformes axées sur le client, ce qui bénéficiera en fin de compte à leurs clients.

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BNP Paribas : À la poursuite des futurs Lightspeed et Nuvei https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bnp-paribas-a-la-poursuite-des-futurs-lightspeed-et-nuvei/ Fri, 20 Oct 2023 09:51:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96927 En marge du Forum Fintech Montréal.

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BNP Paribas est à l’affût de jeunes pousses nord-américaines à fort potentiel technologique, prêtes à exporter leurs innovations financières en Europe. Mathieu Soulé, responsable du C.Lab Americas, le laboratoire d’innovation du groupe européen à San Francisco, est les yeux et les oreilles du groupe dans ce domaine. Il était de passage à Montréal en septembre dans le cadre du Forum Fintech pour débusquer des startups prometteuses dans le domaine des technologies financières.

Le Canada offre un terrain fertile pour le développement de fintechs dans l’industrie de la finance, estime Mathieu Soulé. Il souligne l’essor des fintechs de paiement et de l’assurtech, tandis que le secteur du crédit immobilier et de la finance durable se distinguent également, avec des innovations nées à Montréal telles que la plateforme hypothécaire Nesto ou encore Novisto, qui met à profit l’IA dans la gestion des données ESG.

Le marché canadien se caractérise par sa taille réduite et un nombre de joueurs limité, ainsi que par des réglementations provinciales spécifiques, qui différencient le paysage financier canadien de celui des États-Unis, résume le spécialiste français de l’innovation et des investissements. Depuis avril 2020, Mathieu Soulé est responsable du C.Lab Americas, une cellule de veille sur les technologies émergentes. Auparavant il a été partenaire de capital risque pour le fonds BNP Paribas Solar Impulse, qui investit dans des startups spécialisées dans les technologies climatiques. Il a également dirigé l’Atelier BNP Paribas pour les Amériques, une cellule de veille.

Durant ces années, il a été le témoin privilégié de la naissance de la scène fintech en Europe. Il a aussi assisté à l’évolution de l’écosystème américain, marquée par l’essor des technologies de paiement, avec des joueurs comme Paypal, Stripe et Lightspeed, l’apparition des premières banques en ligne (néobanques), le développement des robots conseillers et l’émergence de l’assurtech.

Les nouveaux défis des fintechs

Les fintechs font face à des défis de financement, soulève Mathieu Soulé. On assiste à un recul important des investissements par rapport à 2021 dans ce secteur. Au niveau mondial, les étapes de financement des fintechs ont réuni 45 G$ pendant les deux premiers trimestres de 2021, selon des données de Pitchbook. En 2022, elles ont récolté 24 G$ durant la même période. En 2023, les diverses rondes de financement ont levé 5 G$.

« Les cycles de financement sont plus longs, et certaines startups ont dû réduire leurs coûts pour contrôler la consommation de trésorerie (cash burn). On a également assisté à une vague de licenciements dans l’écosystème. Pourtant, de nombreuses startups cherchent à collaborer avec des institutions financières, offrant ainsi une opportunité pour les banques de générer des revenus sans réaliser d’investissements massifs », rapporte Mathieu Soulé. Il croit qu’« on a touché le fond de la cuve du côté des investissements », et qu’un début de reprise se fait sentir aux États-Unis.

Certains domaines tels que la cybersécurité et l’intelligence artificielle, restent en revanche relativement stables sur le plan du financement, malgré la réduction des investissements dans les fintechs. Ces technologies continuent d’être adoptées rapidement, en dépit de la crise du financement, indique l’expert.

Les fintechs au service de la planète

Outre la finance embarquée (embedded finance), qui permet aux entreprises d’intégrer rapidement la fonction paiement à leur chaîne de valeur, et les technologies de crédit au point de vente (Buy now, Pay later), les fintechs s’intéressent de plus en plus aux enjeux environnementaux. Comment les services financiers peuvent contribuer à rendre la planète plus verte : la question passionne Mathieu Soulé. Il mentionne que BNP Paribas a investi notamment dans Plan A, une startup allemande qui mesure l’empreinte carbone des entreprises, et dans Chargepoint, une jeune pousse qui conçoit des bornes de recharges pour voitures électriques. Le groupe s’est également récemment associé avec des partenaires, dont Amazon, pour lancer « Decarb Fast Track », un programme qui vise à aider les industriels européens à réduire leur consommation d’énergie. « Plus vite on aide les entreprises de taille intermédiaire à mesurer leur taille carbone, plus vite elles réduiront leur empreinte. C’est un exemple de comment les boites de services financiers peuvent contribuer à accélérer la transition énergétique. »

Démocratiser l’accès à l’assurance

BNP Paribas étend aussi ses investissements dans des marchés émergents. Elle a participé au début du mois à une ronde de financement de 650 M$ dans InsuranceDekho, principal acteur de l’assurtech en Inde. Au Brésil, le groupe a conclu un partenariat avec Neon, l’une des principales fintechs du pays, afin d’offrir des services de protection financière, d’assurance vie et de biens.

Un des objectifs du groupe consiste à repérer dans ces régions les futurs carrefours d’audience ainsi que de nouveaux canaux de distribution pour les produits financiers, « car l’assurance traditionnelle vendue en agence bancaire ne correspond plus aux besoins des consommateurs des pays émergents », indique Mathieu Soulé. Le développement de nouveaux acteurs financiers est par ailleurs facilité par l’accès à Internet et aux téléphones intelligents, notamment en Chine et en Amérique latine.

La collaboration entre des fintechs et des institutions financières offre donc de nombreuses opportunités de croissance pour l’industrie. Un exemple concret : le partenariat entre la Montréalaise Hopper et NubanK annoncé en juillet qui permet à la banque en ligne brésilienne d’offrir des services de réservation de voyages à ses clients. « Pour une fintech canadienne comme Hopper, signale Mathieu Soulé, travailler avec la plus grande néobanque hors de Chine était de la science-fiction il y a encore 10 ans. »

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L’immigration propulse les technologies financières https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/limmigration-propulse-les-technologies-financieres/ Fri, 06 Oct 2023 09:41:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96558 Selon le plus récent rapport FinTech Québec.

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Les immigrants, qui arrivent en grand nombre au Canada depuis quelques années, stimulent l’offre de nouveaux services financiers, signale le rapport FinTech Québec publié par Finance Montréal, la Station FinTech Montréal et Fathom4sight en marge du 10e Forum FinTech. Ce rapport fait état des activités du secteur des technologies financières au Québec pour les six premiers mois de 2023.
Entre 2016 et 2021, un peu plus de 1,3 million de nouveaux immigrants se sont établis au pays de façon permanente, selon Statistique Canada. Actuellement, près de 75 % de la croissance de la population provient de l’immigration, principalement dans la catégorie économique. Les nouveaux arrivants, munis d’un permis de résidence permanente ou temporaire, forment une clientèle ciblée par les institutions financières au pays, qui ont lancé plus d’une vingtaine de produits directement à leur intention en 2023, souvent en partenariat avec des FinTechs, signale le rapport.

Les forfaits bancaires pour nouveaux arrivants et les programmes qui proposent l’ouverture d’un compte et la vérification des antécédents de crédit avant l’arrivée au Canada sont les initiatives les plus répandues. Certains produits visent des clientèles très ciblées. La banque RBC a ainsi conçu un programme pour les immigrants entrepreneurs leur offrant des conseils personnalisés pour déménager vers le Canada. Elle a aussi développé un partenariat avec une banque indienne qui permet aux étudiants de ce pays de transférer directement leurs CPG dans un CPG de la RBC à leur arrivée au Canada.

La Banque Scotia offre aux nouveaux arrivants de partager les informations de leurs dossiers de crédit étrangers pour obtenir certains produits. BMO propose une plateforme qui permet aux immigrants de développer leurs connaissances financières. Desjardins a concocté un forfait bancaire pour les étudiants internationaux. La Banque Nationale donne accès pendant un an à ses clients nouvellement arrivés au pays à des conseils sur l’habitation, les emplois et les soins de santé afin de faciliter leur intégration.

Boom des applications de l’IA

Outre la floraison de produits ciblés pour la clientèle des nouveaux arrivants, le début de 2023 a été marqué par une forte augmentation de l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans les services financiers. Ce boom est favorisé par la popularité de l’application ChatGPT, conçue par la firme américaine Open AI, qui multiplie les collaborations avec les institutions financières et les FinTechs d’ici pour développer des applications concrètes de l’IA dans les services financiers. Par exemple des robots conversationnels qui peuvent répondre aux demandes de clients sur leurs comptes et leur prodiguer des conseils personnalisés.

L’IA générative, l’intelligence artificielle qui sert à créer de nouveaux contenus, est le nouvel Eldorado. Cette technologie offre un potentiel quasi infini pour propulser des robots conseillers financiers, des assistants en investissement ou encore des aides pour la gestion des dépenses d’entreprise.

Les FinTechs mettent également à profit l’intelligence artificielle pour créer des outils afin d’aider les conseillers à mieux évaluer le niveau de tolérance au risque des clients et à définir des stratégies de planification financière plus pointues. L’IA est utilisée aussi par les institutions financières pour détecter les mécanismes de fraudes, notamment celles reliées aux paiements par carte de crédit. Elle sert à assurer la conformité réglementaire, établir les rapports ESG et automatiser certaines tâches.

La banque ouverte : l’avenir

Les BaaS (Systèmes Bancaires ouverts ou Banking-as-a-Service) sont de plus en plus populaires. Ils répondent à une demande grandissante pour les services financiers intégrés et à l’augmentation du nombre de marques qui veulent ajouter des outils de paiement à leur plateforme. Le marché du Québec n’est pas en reste dans ce domaine. Au cours des derniers mois, la Montréalaise Nuvei a lancé son système bancaire ouvert. L’Américaine Synctera a fait son entrée sur le marché canadien grâce à un partenariat avec la Banque Nationale. La FinTech Neo Financial, de Calgary, a conclu des partenariats avec Tim Hortons et Cathay Pacific pour lancer leur carte de crédit.

En 2023, des FinTechs québécoises telles que Lightspeed, Cubeler Business Hub, ReInvestWealth, WorkJam, Kiwili, Nethris et Budgeto ont également aidé plusieurs PME à consolider leurs activités commerciales secondaires en les aidant à réduire leur nombre de fournisseurs.

Finalement, on a assisté ces derniers mois à une consolidation du secteur des cryptoactifs au Canada avec la signature en juillet d’une entente historique entre WonderFi, Coinsquare et Coinsmart. La société née de cette transaction forme l’un des plus importants écosystèmes réglementés de placement en cryptoactifs au Canada avec plus de 1,6 million d’utilisateurs inscrits.

Bouillonnement des FinTechs

Le secteur québécois des FinTechs a connu quatre acquisitions de taille durant la première moitié de l’année, dont l’achat par Nuvei de Paya, l’un des principaux fournisseurs américains de solutions intégrées de paiement. L’acquisition par la Financière Sun Life de la plateforme de santé virtuelle montréalaise Dialogue n’est pas non plus passée inaperçue.

Depuis le début de l’année, 17 ententes de partenariat impliquant une FinTech fondée au Québec ont vu le jour. Nuvei et Hopper se trouvent au sommet de la liste pour le nombre de partenariats conclus. Une douzaine de nouveaux produits sont nés de la collaboration entre des FinTechs et des institutions financières.

Au 1er semestre de 2023, les FinTechs québécoises ont réalisé cinq cycles de financement, pour une somme totale de 183,8 M$. Equisoft, qui développe des logiciels pour les compagnies d’assurance et de gestion de patrimoine a obtenu le cycle le plus élevé, à 125 M$. Mila, l’Institut québécois d’intelligence artificielle, a obtenu 21 M$, et Novisto, spécialisée dans les données et rapports ESG, a recueilli 20 M$.

Dix nouvelles FinTechs sont nées au Québec en 2023, ce qui porte leur nombre total à 226, et la majorité d’entre elles est située à Montréal. Plus d’une cinquantaine de ces entreprises produisent des technologies de paiement, 29 conçoivent des technologies d’investissement, 23 sont en Assurtech et 20 en intelligence artificielle. Environ 60% des FinTechs québécoises sont formées de cinq à 99 employés, et la moitié d’entre elles ont un modèle de gestion Business to Business.

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Emma poursuit sa croissance https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/emma-poursuit-sa-croissance/ Mon, 11 Sep 2023 11:41:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96050 L’assurtech cherche à recruter en Ontario.

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La plateforme d’assurance vie québécoise 100 % en ligne est en croissance et recrute actuellement une équipe pour le marché ontarien, ciblant aussi d’autres provinces canadiennes.

Fondée en 2017, Emma a le vent en poupe. De fait, elle a connu une croissance de près de 200 % en 2022 et en 2023, révèle Félix Deschâtelets, PDG d’Emma et cofondateur.

Un positionnement unique

Outre ses services 100 % en ligne, un autre des éléments distinctifs de cette startup de l’assurtech est son positionnement orienté vers les jeunes familles, et principalement les femmes.

« J’étais planificateur financier depuis 2014, et j’avais remarqué en rencontrant les jeunes familles que c’était souvent le papa qui posait les questions, mais quand venait le temps de prendre la décision, il se tournait vers la maman. Et c’est elle qui prenait vraiment la décision. »

Sur la base de ce constat et en quête d’une marque, la jeune pousse a choisi de se donner un prénom féminin pour attirer sa clientèle cible. En tête de liste des prénoms de filles les plus populaires auprès des parents, celui d’Emma s’est imposé, l’entreprise se démarquant ainsi des grandes compagnies d’assurance au sein d’une industrie encore fortement masculine.

Un esprit de collaboration

Cela dit, si Emma entend bouleverser les façons de faire, son PDG affirme en revanche que l’entreprise « fait toujours les choses en collaboration avec l’industrie ».

« Nous, c’est vraiment David avec Goliath. Les assureurs sont là pour rester et sont importants dans l’écosystème, les conseillers également, et nous, Emma, on veut être un allié pour permettre à tous ces joueurs d’arriver dans le 2.0, de l’assurance avec un peu plus de technologies. »

Plus qu’une offre en assurance vie

Les principaux produits offerts par Emma sont l’assurance vie permanente et temporaire ainsi que la protection pour enfants. Son offre comprend aussi l’assurance prêt hypothécaire en cas de décès, d’invalidité ou de maladies graves.

Or, à la suite de campagnes de marketing sur les réseaux sociaux ainsi qu’avec des influenceurs, « les consommateurs eux-mêmes ont commencé à appeler la compagnie Emma assurance et non Emma assurance vie », explique le dirigeant, beaucoup de gens venant sur le site pour assurer leur auto, leur maison, leur chien, leur chat, ou pour acheter de l’assurance voyage.

Ainsi, pour répondre à la demande, Emma a établi des partenariats stratégiques pour couvrir divers besoins au-delà de l’assurance de personnes, s’associant entre autres à YouSet, autre plateforme numérique du secteur de l’assurtech, pour l’assurance auto et habitation.

Toute la démarche pour se procurer une couverture d’assurance s’effectue donc en ligne, le consommateur pouvant communiquer au besoin avec un conseiller via le module de clavardage, par téléphone ou encore par courriel.

Toujours la famille

Si le but d’Emma est d’être en mesure de servir l’ensemble des consommateurs canadiens, en ciblant les jeunes familles, son marché primaire, elle travaille actuellement à des produits destinés à une clientèle plus âgée, comme…

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Partenariat entre Emma et Segic https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/partenariat-entre-emma-et-segic/ Fri, 14 Jul 2023 10:30:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95046 Afin d’offrir une solution de couverture d’assurance vie 100 % en ligne.

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Les deux assurtechs canadiennes s’associent pour proposer aux employés des services complémentaires d’assurance vie accessibles, personnalisés et entièrement en ligne.

Segic, une entreprise technologique spécialisée dans le développement d’une plateforme globale axée sur les avantages collectifs et individuels d’une organisation, a annoncé par voie de communiqué un partenariat stratégique afin d’intégrer Emma dans le Marketplace de ses avantages.

Le but de ce partenariat est d’offrir une option d’assurance vie 100 % en ligne aux membres de programmes d’avantages collectifs.

Plus précisément, « le partenariat entre Emma et Segic permettra aux employés participant aux programmes d’avantages sociaux et d’assurance collective, aux travailleurs autonomes ou aux associations d’accéder facilement à une couverture d’assurance vie pour chaque membre de la famille avec ces trois produits : l’assurance vie temporaire, l’assurance vie permanente et la protection enfant ».

Emma, une entreprise fondée en 2018, propose une plateforme technologique offrant des solutions d’assurance vie personnalisées et adaptées aux besoins de chaque client. Cette plateforme d’assurance vie personnalisée 100% virtuelle donne aux utilisateurs la possibilité de comparer et de choisir facilement les meilleures offres.

Selon le communiqué, cette collaboration permettra à Segic, une entreprise située à Brossard, « de renforcer son positionnement comme fournisseur de solutions globales pour les organisations souhaitant offrir des avantages sociaux personnalisés et adaptés à leurs employés ».

En s’associant à Emma, Segic accroît ainsi « son offre de services dans le domaine de la santé et du bien-être, en proposant des solutions innovantes et accessibles aux employés », souligne l’annonce.

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Koïos Intelligence lève 6,5 M$ https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/koios-intelligence-leve-65-millions-de-dollars/ Tue, 16 May 2023 11:23:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93869 L'assurtech ambitionne de devenir le premier assistant conversationnel pour l'assurance au Canada et aux États-Unis.

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Koïos Intelligence, une entreprise québécoise spécialisée dans les assistants conversationnels d’intelligence artificielle pour les professionnels de l’assurance, a complété une ronde de financement qui lui a permis de récolter 6,5 millions de dollars (M$).

Plusieurs investisseurs ont décidé d’appuyer la jeune entreprise fondée en 2016, soit Propulia Capital, Développement économique Canada, Exportation et développement Canada, Caisse Desjardins des Technologies en plus d’investisseurs privés.

La somme recueillie va permettre à Koïos de se développer sur de nouveaux marchés et de continuer à améliorer son assistant conversationnel Olivo, qui vise à révolutionner le magasinage et la mise à jour des contrats d’assurance.

« Notre croissance a été importante depuis le lancement de l’entreprise et cette ronde de financement nous permettra de solidifier davantage notre stratégie d’affaires. À moyen terme, notre objectif est de devenir le premier assistant conversationnel dans l’industrie des assurances au Canada et aux États-Unis », soutient Mohamed Hanini, président, directeur général et chef de la technologie de Koïos Intelligence.

Améliorer le processus d’achat

Koïos a identifié une inadéquation entre la façon dont les courtiers vendent actuellement les assurances et la façon dont les consommateurs souhaitent les acheter. Chez les membres des nouvelles générations de consommateurs, ils sont nombreux (65 %) à préférer magasiner leurs produits d’assurances en ligne, a révélé un sondage mené par l’entreprise. Ils veulent également une réponse rapide, en moins de cinq minutes pour 75 % des répondants.

Pour combler cette lacune, elle a développé une technologie basée sur l’intelligence artificielle (IA) qui permet aux consommateurs de magasiner des options de protection et de conclure des achats d’assurance tout en posant des questions à l’assistant virtuel.

L’intégration d’Olivo avec les principaux systèmes du secteur de l’assurance, tels que Applied et le Centre d’étude de la pratique d’assurance (CSIO), permet à Koïos de rationaliser les processus de préachat, d’achat et d’après-achat de tous les types de produits d’assurance grâce à l’automatisation des données.

Pour les courtiers ou agents d’assurance, la standardisation des processus présente plusieurs avantages : des gains d’efficacité tout au long de la chaîne de valeur, des réductions de coûts d’administration de 30% et une augmentation potentielle de 400 % des taux de conversion de ventes.

Les consommateurs y gagnent également puisque l’assistant virtuel est disponible 24/7 et peut converser dans plusieurs langues. Il répond aussi plus rapidement avec un temps d’attente 30 % plus court comparativement aux centres d’appels.

Olivo permet également d’accélérer la cueillette d’informations. L’application utilise l’IA multimodale, un type d’intelligence artificielle dans lequel plusieurs canaux de transmission d’informations (texte, voix, image) sont utilisés. Cela permet de réduire de façon drastique la saisie de données par les agents et courtiers d’assurance qui pourront ainsi orienter davantage leur travail vers les conseils personnalisés, selon Mohamed Hanini.

« Nous sommes heureux de soutenir et d’accueillir dans notre écosystème d’entreprises en démarrage une compagnie visionnaire comme Koïos, offrant une solution innovante qui améliore l’expérience de toutes les parties impliquées dans l’ensemble de la chaîne de valeur », déclare Geneviève Biron, fondatrice et présidente de Propulia Capital, devenue proche conseillère du conseil d’administration de Koïos.

Koïos Intelligence, qui a lancé Olivo sur le marché en 2020, compte parmi sa clientèle PMA Assurances, Assurance Groupe Tardif, des partenaires d’Intact faisant partie du Groupe Virage, et Rogers Insurance.

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