OneDigital – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 07 Apr 2025 11:09:17 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png OneDigital – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 OneDigital en pourparlers avec une cinquantaine d’entreprises canadiennes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/onedigital-en-pourparlers-avec-une-cinquantaine-dentreprises-canadiennes/ Mon, 07 Apr 2025 11:09:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106542 L’entreprise américaine financée par des capitaux privés prévoit de se développer au Canada.

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Deux mois après avoir annoncé l’acquisition de la société montréalaise PWL Capital, Mike Sullivan, cofondateur de OneDigital et directeur de la croissance, déclare que la société basée à Atlanta est engagée dans « jusqu’à 50 discussions en cours avec des entreprises à travers le Canada ». L’une d’entre elles a signé une lettre d’intention et une autre est sur le point de le faire, selon Mike Sullivan.

La société de 25 ans d’âge, financée par des capitaux privés, n’est qu’un exemple parmi d’autres d’une entreprise américaine qui envisage sérieusement de se développer au nord du 49e parallèle, quel que soit l’état des relations transfrontalières.

« Le bruit qui règne actuellement entre les États-Unis et le Canada est absolument ridicule », affirme-t-il en référence à la guerre commerciale naissante.

OneDigital dessert environ 13 000 ménages aux États-Unis et au Canada. Son modèle d’entreprise associe des régimes de retraite et de prévoyance collectifs parrainés par l’employeur à des services de gestion de patrimoine et de conseil en produits d’assurance, le premier fournissant souvent des pistes pour le second.

« Notre proximité avec l’employeur est une porte d’entrée pour un grand nombre de conversations, assure Mike Sullivan. Ici, aux États-Unis, près de la moitié de nos clients nous trouvent d’abord par le biais d’un plan 401 (k). Nous allons appliquer le même modèle au Canada. »

OneDigital s’adresse principalement, mais pas exclusivement, aux clients aisés. « Nous voulons aussi aider les gens de la rue qui ont besoin d’aide pour sortir de l’endettement, qui sont peut-être au début du processus d’accumulation de richesses, assure-t-il. Nous allons aider tout le monde avec la technologie, les centres d’appel et les opérations en face à face, en magasin. »

Cette démarche, ainsi que son plan pour les activités de groupe au Canada, place OneDigital face aux plus grandes banques et compagnies d’assurance du pays. « Le canal indépendant va se développer, avance Mike Sullivan. Nous voulons être l’une de ces entreprises qui font la différence sur le marché et qui offrent une alternative aux Canadiens. »

OneDigital a vu le jour sous le nom d’Insurance.com à la fin de l’année 1999. « La bulle Internet a éclaté quatre mois après nos débuts, raconte-t-il. Nous avons eu l’intelligence d’abandonner le point com et de nous orienter dans une autre direction. »

Un quart de siècle plus tard, l’entreprise trouve une nouvelle voie en tant que fintech. En alliant des « investissements systématiques » à faible coût avec des expériences de conseil et de client de haute technologie, Mike Sullivan est en train de bouleverser le secteur.

Après deux mois d’activité, « les téléphones sonnent », s’enthousiasme-t-il. « Je pense qu’au cours des cinq prochaines années, nous allons doubler ou tripler notre taille. Allons-nous passer d’une organisation de 25 millions de dollars à une organisation de 100 millions de dollars au Canada ? Je pense que oui. »

PWL Capital continue de servir ses clients sous sa propre marque. Il est prévu qu’elle adopte la marque OneDigital, bien qu’aucun calendrier n’ait été fixé.

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PWL Capital vendue à une firme américaine https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/pwl-capital-vendue-a-une-firme-americaine/ Thu, 23 Jan 2025 18:12:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105153 Le courtier montréalais poursuivra ses activités en tant que filiale indépendante de OneDigital.

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PWL Capital a été acquise par l’entreprise américaine OneDigital. L’entente, qui est décrite comme « un partenariat stratégique », marque la première expansion internationale pour OneDigital.

OneDigital, qui se définit dans son communiqué comme « une société d’assurance, de services financiers et de conseil en ressources humaines », a acquis à 100 % PWL Capital, dont le siège social est situé à Montréal.

Cette acquisition constitue la première expansion internationale de l’entreprise, qui s’appuiera ainsi sur l’une des plus importantes sociétés de gestion de patrimoine indépendantes au Canada, PWL Capital assurant la gestion d’environ 5,5 milliards de dollars (G$) d’actifs appartenant à 2 300 familles de clients au pays.

Fondée en 1996 par James Parkyn, Laurent Wermenlinger et Anthony S. Layton, dont la première lettre du patronyme donnera le nom à l’entreprise, PWL Capital a poursuivi sa croissance au fil des décennies. Aujourd’hui, son équipe se compose de plus de 70 personnes, dont plus de 25 conseillers en placement inscrits auprès de l’Organisation canadienne de réglementation des investissements (OCRI), qui travaillent dans les trois bureaux de la société, à Montréal, Ottawa et Toronto.

En avril 2021, Cameron Passmore, gestionnaire de portefeuille et associé de PWL depuis 1997, est devenu actionnaire majoritaire de la société, se portant acquéreur des actions d’Anthony Layton, ce qui a permis à ce dernier de se retirer de son rôle de président et gestionnaire de portefeuille et cofondateur.

À cette époque, PWL Capital déclarait avoir « assuré son avenir avec une vision sur 100 ans comprenant un plan de succession multigénérationnel » et que « l’entreprise restera totalement indépendante ».

Conformément à l’entente conclue en janvier 2025, PWL passera à la marque OneDigital tout en continuant de fonctionner comme une filiale indépendante.

Fondée en 2000 et basée à Atlanta, en Géorgie, OneDigital possède plus de 200 bureaux dans la plupart des grands marchés aux États-Unis. L’entreprise possède un portefeuille clients comptant plus de 100 000 employeurs et des millions de personnes, et gère plus de 108 G$ US d’actifs.

Pour OneDigital, « cet investissement jette les bases de l’expansion à long terme de OneDigital au Canada », avec des plans pour investir dans les domaines des avantages sociaux, de l’assurance IARD et des solutions de conseil en milieu de travail.

Selon Mike Sullivan, cofondateur et chef de la croissance chez OneDigital, « [i] l s’agit d’un investissement important pour OneDigital alors que nous faisons notre premier pas sur le marché canadien, en nous associant à un groupe qui s’engage à fournir des solutions d’investissement et de planification financière centrées sur les besoins de nos clients ».

Il ajoute que « PWL apporte une équipe exceptionnelle dotée d’une expertise approfondie en gestion de patrimoine, ce qui en fait le partenaire idéal alors que nous étendons notre présence à l’international ».

Dans une baladodiffusion publiée le 23 janvier, Cameron Passmore a expliqué que les discussions avec Mike Sullivan ont commencé 18 mois plus tôt. Cameron Passmore et ses partenaires ont reçu au fil du temps de nombreuses offres d’acquisition d’autres entreprises « formidables », mais dont la culture était différence de la leur.

L’alignement entre les valeurs de PWL Capital et celles d’OneDirgital a favorisé cette dernière dans le choix de s’y relier.

« On n’aurait catégoriquement fait aucune chose qui aurait nui à notre prestation de service. On veut amplifier ce qu’on essaie de faire depuis des semaines et… attirer davantage de conseillers », a expliqué Cameron Passmore.

Selon lui, la transaction n’est pas une synergie ni de compression de coût. C’est plutôt une occasion pour le courtier montréalais, notamment de devenir un « lieu d’atterrissage pour un conseiller » qui partage sa vision de l’investissement, chose qui était un défi auparavant.

« Ce partenariat ne va pas nuire à notre philosophie d’investissement. Celle-ci ne changera pas. On ne se mettra pas à offrir des produits d’investissement à frais élevé. C’est l’opposé », a indiqué Ben Felix, chef des investissements de PWL.

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