iA Groupe financier | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/ia-groupe-financier/ Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 06 Oct 2025 12:15:53 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png iA Groupe financier | Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com/post_company/ia-groupe-financier/ 32 32 iA Groupe financier dévoile sa vision d’avenir… https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ia-groupe-financier-devoile-sa-vision-davenir/ Mon, 06 Oct 2025 12:15:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=110083 Et sa nouvelle image de marque.

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iA Groupe financier franchit un nouveau cap dans son évolution en dévoilant une signature de marque renouvelée : « Prendre les devants ». Cette nouvelle identité reflète la métamorphose d’iA en organisation gérant désormais 275 milliards de dollars d’actifs sous administration et sous gestion.

« Prendre les devants est plus qu’une signature, c’est le reflet de qui nous sommes et de là où nous allons », affirme Denis Ricard, président et chef de la direction.

Selon lui, l’objectif est clair : devenir une institution financière de premier plan, alliant technologie de pointe et approche centrée sur le client.

Cette démarche s’accompagne d’objectifs financiers ambitieux, incluant une croissance annuelle moyenne du bénéfice par action de plus de 10 % et un rendement des capitaux propres de base supérieur à 17 % d’ici 2027.

Une croissance accélérée
iA en a fait du chemin depuis sa fondation en 1892, ce qui lui donne 133 ans bien comptés. De simple assureur, l’entreprise a évolué au fil des ans pour devenir le numéro un en assurance au Canada et le numéro un dans le domaine des fonds distincts.

Depuis le début des années 2000, la croissance s’est accélérée grâce aux acquisitions. Plus de 70 transactions ont été réalisées au Canada et aux États-Unis en 25 ans. Parmi les plus récentes, l’achat de Vericity à Chicago en 2024 (170 millions de dollars américains) et celui de RF Capital Group à Toronto en 2025 (597 millions de dollars canadiens) ont renforcé ses activités en assurance vie et en gestion de patrimoine.

L’expansion américaine s’impose désormais comme un moteur essentiel : iA vend aujourd’hui davantage de polices d’assurance vie aux États-Unis (260 347) qu’au Canada (237 529).

Investissements technologiques
L’innovation constitue un autre pilier central de la stratégie. iA consacre annuellement jusqu’à 400 millions de dollars aux investissements technologiques, développant des plateformes comme EVO pour la vente d’assurance vie en ligne et AX360 destinée aux conseillers financiers.

L’intelligence artificielle trouve également sa place avec un agent virtuel pour Investia qui automatise certaines transactions et libère les conseillers pour se concentrer sur les besoins clients. Cette approche vise à harmoniser l’expérience humaine et numérique.

iA Groupe financier emploie aujourd’hui plus de 10 000 personnes et s’appuie sur un réseau de 50 000 conseillers pour servir 11,6 millions de clients à travers le continent.

 

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Les courtiers indépendants s’attaquent au mandat de l’OCRI https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-courtiers-independants-sattaquent-au-mandat-de-locri/ Thu, 25 Sep 2025 11:01:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109898 La consolidation des OAR contribue à égaliser les règles du jeu pour les firmes

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La fusion des organismes d’autoréglementation (OAR) a permis de mieux positionner les courtiers pour la croissance et l’innovation, et pourrait continuer à le faire à mesure que les règles des courtiers sont harmonisées. Dans le même temps, la consolidation potentielle de l’industrie plane toujours, alors que les défis économiques et de marché plus vaste accentuent les pressions sur le secteur.

La fusion en 2023 de l’Association canadienne des courtiers de fonds mutuels (ACFM) et de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) a mené à la création de l’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI), nivelant ainsi les règles réglementaires pour les courtiers. L’élaboration et la mise en œuvre d’un ensemble unique de règles pour les courtiers sont un projet en cours, et l’OCRI prévoit publier l’ensemble du cahier de règles consolidé pour consultation cet hiver.

« C’est un moment intéressant pour travailler dans l’industrie », affirme Chris Climo, associé chez C & N Regulatory Consulting à Toronto. Selon lui, les firmes de taille moyenne, par opposition aux grandes sociétés intégrées, sont bien positionnées grâce à la consolidation des OAR, car elles ont maintenant « la capacité d’affronter les grands joueurs de manière plus efficace, ce qu’elles ne pouvaient pas faire auparavant ».

Cela dit, les principaux bénéficiaires de la consolidation des OAR restent selon lui « les grandes firmes disposant de plusieurs plateformes, c’est-à-dire essentiellement les banques, les sociétés de plus grande taille et les acteurs mondiaux ».

En rationalisant leurs opérations administratives sous une seule structure de conformité et de gouvernance réglementaire, ces grandes firmes peuvent identifier des synergies et des gains d’efficacité. Un rapport de Deloitte de 2020 projetait des économies opérationnelles pouvant atteindre 490 millions de dollars (M$) sur dix ans pour les firmes dotées de plateformes doubles.

Cependant, combiner deux plateformes, avec des systèmes, des conseillers et des processus distincts, peut s’avérer complexe. De plus, les structures de coûts peuvent aussi augmenter, par exemple si l’automatisation réduit les effectifs tout en exigeant des employés plus qualifiés et donc mieux rémunérés.

Les grandes firmes conservent un avantage concurrentiel crucial : elles peuvent attirer des conseillers de haut niveau grâce à des primes de signature ou de rétention de plusieurs millions de dollars. De plus, ces grandes firmes grossissent davantage. Le gestionnaire d’actifs alternatifs Mubadala Capital, filiale du fonds souverain des Émirats arabes unis Mubadala Investment Company, a racheté CI Financial pour 4,7 milliards de dollars (G$) en août. Peu après, sa filiale américaine Corient a annoncé deux acquisitions de sociétés européennes.

CI détient aussi Gestion de patrimoine Assante.

En plus d’Assante, dix firmes sont actuellement inscrites auprès de l’OCRI comme courtiers en fonds communs de placement et courtiers en valeurs mobilières, avec divers niveaux d’actifs sous gestion. Cela inclut Designed Securities, iA Gestion privée de patrimoine, IG Gestion de patrimoine, Manuvie Gestion de patrimoine et Worldsource Gestion de patrimoine.

Selon un billet de blogue du cabinet Borden Ladner Gervais (BLG) publié lors de la phase 4 de consultation sur les règles consolidées (il y en a eu cinq), certains changements proposés par l’OCRI auront des impacts significatifs sur les courtiers en fonds communs. Cela touche notamment la gestion des risques, les règles de conduite des affaires et de tenue de comptes clients, ainsi que les critères d’approbation et de compétence des administrateurs, dirigeants, chefs des finances et superviseurs (ex-chefs de succursale). Pour les petites firmes, recruter un chef des finances détenteur d’un titre comptable professionnel pourrait constituer un coût supplémentaire.

Des occasions à saisir malgré les coûts

Ces changements, souvent alignés sur les règles de l’ex-OCRCVM, représentent également des opportunités. D’autres propositions clés incluent :

  • la possibilité pour les courtiers de niveau 4 (ceux qui offrent des comptes en nom propre) d’offrir des comptes sur marge, s’ils satisfont aux exigences de solvabilité ;
  • l’introduction d’un cadre pour les relations « courtier introducteur/courtier chargé de comptes ».

« Le secteur était dans un environnement compétitif assez statique avant l’harmonisation des OAR », explique Matthew Latimer, directeur général de la Fédération des courtiers indépendants (FCI). Aujourd’hui, il est possible d’adapter les modèles d’affaires et de tirer parti de la normalisation réglementaire, ajoute-t-il.

Un projet en cours sur les commissions directes pourrait aussi permettre une destruction créatrice et favoriser de nouveaux modèles d’affaires.

La Fédération des courtiers indépendants (FCI), anciennement la Fédération des courtiers de fonds communs de placement, a changé de nom en mars 2024 pour mieux représenter les courtiers d’investissement et de fonds communs. Elle souhaite ainsi appuyer les indépendants dans leurs innovations liées à la gestion discrétionnaire et aux plateformes doubles.

Michael Konopaski, cofondateur et chef des finances de Designed Securities à Toronto, croit que la consolidation des OAR peut inciter les petits courtiers à bâtir des entreprises plus novatrices. « On s’amuse, dit-il. Si on a le bon modèle, de l’imagination et qu’on travaille fort, on voit les défis autrement. »

De son côté, Mark Kent, président et chef de la direction de Portfolio Strategies à Calgary, affirme que le changement est difficile pour certaines petites firmes établies. « Certaines tiennent le coup du bout des doigts au lieu d’investir dans leur avenir », observe-t-il.

Pressions structurelles et consolidation

Les nouvelles obligations réglementaires et technologiques pressurisent les marges des courtiers. Matthew Latimer estime que cela pourrait se refléter dans la structure de rémunération des conseillers. Par ailleurs, d’importants facteurs macroéconomiques (comme le ralentissement de la productivité canadienne) pèsent aussi sur le secteur.

Selon Chris Climo, on observe déjà une consolidation dans le secteur des courtiers en valeurs mobilières, en partie à cause de la réglementation accrue. Il prévoit le même scénario chez les courtiers en fonds communs avec les nouvelles règles.

Cela pourrait se traduire par des fusions ou acquisitions par de plus grands joueurs. Exemple récent : l’acquisition de RF Capital Group (propriétaire de Patrimoine Richardson) par iA Groupe financier.

Depuis la crise financière de 2008, le nombre de courtiers en valeurs a chuté de 200 à 163 (–18,5 %), selon les données du Forum canadien des marchés financiers (FCMFi). En parallèle, 79 courtiers en fonds communs sont actuellement inscrits auprès de l’OCRI, comparativement à 86 membres à l’époque de l’ACFM (selon un rapport de 2022).

Le cabinet PwC Canada prévoit d’ailleurs une forte activité de fusions et acquisitions en 2025, surtout en gestion de patrimoine, les petits joueurs devant accroître leur échelle via la technologie.

En ce sens, Investment Planning Counsel (IPC), filiale de Canada Vie (sous Power Corp.), a récemment annoncé l’acquisition des actifs de gestion de patrimoine de De Thomas Wealth Management. Selon son président Tony De Thomasis, cette alliance permet de bénéficier de meilleurs outils, d’une plateforme discrétionnaire et d’un programme de relève pour les conseillers.

De nouvelles voix pour les indépendants

Comme la FCI, d’autres regroupements professionnels ont changé de nom ou vu le jour récemment, sans que la consolidation réglementaire soit toujours le moteur.

Jim Dale, PDG de Leede Financial à Calgary, explique avoir cofondé un groupe indépendant avec d’autres courtiers pour participer plus activement aux consultations réglementaires. Il en est maintenant le président au sein du Conseil Indépendant Finance et Innovation du Canada (CIFIC), lancé par Annie Sinigagliese en 2024.

Le CIFIC (corporation) appuie à la fois la conformité, l’innovation et la croissance d’affaires des firmes membres.

Pendant ce temps, l’Association canadienne du commerce des valeurs mobilières (ACCVM) s’est rebaptisée en juin 2025 en Forum canadien des marchés financiers (FCMFi), reflétant sa volonté de favoriser la compétitivité des marchés canadiens. Sa PDG, Laura Paglia, souligne que l’organisation continue de soutenir les courtiers indépendants dans tous les dossiers, et pas uniquement via un comité spécifique.

Enfin, l’Institut des fonds d’investissement du Canada (IFIC) a peut-être été l’association la plus directement touchée par la consolidation des OAR. Il est devenu en mars 2025 l’Association des marchés de valeurs et des investissements (AMVI), élargissant son mandat pour inclure les marchés de capitaux et la gestion de patrimoine.

Le cabinet de Chris Climo, a conseillé l’AMVI dans l’élargissement de son mandat. Selon lui, l’association « ressemble beaucoup à la SIFMA (Securities Industry and Financial Markets Association) aux États-Unis », qui regroupe des courtiers, des banques d’investissement et des gestionnaires d’actifs. Pour les grandes firmes, l’AMVI peut servir de guichet unique pour faire valoir les préoccupations de leurs différentes divisions. L’ancien IFIC « a reconnu qu’il s’agit d’une industrie véritablement intégrée », et la consolidation des OAR a « probablement accéléré l’évolution de l’AMVI ».

De son côté, Michael Konopaski estime que l’industrie a encore besoin d’un espace où les pairs peuvent échanger des idées d’affaires et des stratégies, notamment en lien avec la consolidation ou l’intelligence artificielle. « La plupart des organisations sont dans un dialogue réactif face aux changements réglementaires, soutient-il. Il n’existe aucun forum pour les leaders d’opinion. »

« Si je veux discuter d’idées avec quelqu’un autour d’une table à Toronto, je ne veux pas que cette personne doive obtenir la permission de trois niveaux hiérarchiques », ajoute-t-il. Pour avoir une discussion ouverte, « l’indépendance est essentielle », continue-t-il.

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iA choisit une cheffe de la gestion des risques https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/ia-choisit-une-cheffe-de-la-gestion-des-risques/ Fri, 12 Sep 2025 12:00:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109479 NOUVELLES DU MONDE – Elle succédera à Philippe Sarfati.

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Chez iA, Marie-Annick Bonneau prendra la relève de Philippe Sarfati au poste de vice-présidente exécutive et chef de la gestion des risques à compter du 1er octobre. Celui-ci partira à la retraite à la fin de l’année.

Travaillant depuis près de 30 ans chez IA, Marie-Annick Bonneau a occupé des postes de direction dans différents secteurs : la conformité, les risques réglementaires et opérationnels, les relations avec les investisseurs, la gestion du capital, la durabilité et les affaires publiques et la gestion des risques. Titulaire d’un MBA en droit et administration de l’Université Laval, elle est entrée chez iA en 1995 comme conseillère juridique, avant d’être promue directrice en 2005.

« En joignant iA, j’étais convaincue de pouvoir y relever des défis professionnels enrichissants. Je ne pouvais cependant pas soupçonner les opportunités variées et stimulantes qui se présenteraient à moi, que ce soit dans le domaine juridique, financier et maintenant en gestion des risques », a-t-elle déclaré.

Philippe Sarfati est arrivé chez iA en septembre 2021. Il a débuté sa carrière dans les services financiers à la Banque de Montréal, puis a travaillé chez CIBC, IBM, à l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada, au Bureau du surintendant des institutions financières et à la Banque Concentra.

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Greatway Financial devient iA MGA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/greatway-financial-devient-ia-mga/ Fri, 29 Aug 2025 11:09:21 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=109193 Greatway et ses agents ont fait l’objet de multiples enquêtes de l’ARSF.

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Greatway Financial a récemment été nommé agent général de gestion (MGA) pour iA Groupe financier, renforçant ainsi son rôle dans la distribution des produits d’assurance et d’investissement de l’institution.

Ce partenariat signifie que les conseillers de Greatway peuvent proposer les fonds distincts d’iA à leurs clients, y compris dans le cadre d’investissements via des comptes enregistrés, a expliqué le MGA dans un message publié sur LinkedIn la semaine dernière.

Au cours des dernières années, l’Autorité de réglementation des services financiers de l’Ontario (ARSF) a mené plusieurs enquêtes et pris de multiples mesures coercitives à l’encontre de Greatway et de ses agents.

L’ARSF a émis une ordonnance de conformité à l’encontre de Greatway en 2022 après avoir jugé les pratiques de Greatway « déloyales ou trompeuses ». L’organisme de réglementation a allégué que Greatway aurait formé ses agents à fournir aux consommateurs des informations inappropriées, inexactes ou trompeuses concernant les conditions, les avantages ou les bénéfices de certaines polices d’assurance, notamment les polices d’assurance vie universelle vendues dans le cadre d’un régime de retraite assuré.

En vertu d’une ordonnance de conformité, Greatway a été tenue d’offrir une formation révisée à ses agents, ainsi que de transmettre aux détenteurs de polices d’assurance vie universelle existantes des informations leur permettant d’évaluer si le produit leur convient toujours. L’entreprise a accepté de se conformer à cette ordonnance.

En 2023, l’ARSF a pris des mesures à l’encontre de 65 agents d’assurance vie de trois MGA, dont Greatway, qui opèrent selon un modèle de recrutement à plusieurs niveaux. Les modèles de ces sociétés lient la rémunération au recrutement d’agents, ce qui peut les amener à « se concentrer davantage sur le recrutement que sur l’adéquation des agents et l’analyse des besoins des clients », a souligné l’ARSF dans un rapport.

À l’époque, Ray Burgher, directeur de la conformité chez Greatway, avait déclaré que la MGA avait « mis en œuvre des mesures importantes pour garantir la conformité et répondre aux préoccupations ».

Pourtant, quelques mois plus tard, l’ARSF a découvert que Chris Oppong, un ancien agent d’assurance vie chez Greatway, avait profité de recrues pour générer des affaires d’assurance. Il a été condamné à une amende de 60 000 dollars.

Dans un courriel adressé à Advisor.ca, iA a déclaré avoir mené un processus de diligence raisonnable approfondi avant de signer le contrat MGA.

« Notre approche a été mûrement réfléchie et prudente, afin de nous assurer que toutes les vérifications et considérations nécessaires avaient été effectuées avant de conclure l’accord », a déclaré iA. « Les intérêts de nos clients sont notre priorité absolue. »

IA a refusé notre demande d’interview et n’a pas fourni plus de détails, invoquant la confidentialité.

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De meilleurs résultats que prévu pour iA Groupe financier https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/de-meilleurs-resultats-que-prevu-pour-ia-groupe-financier/ Thu, 07 Aug 2025 11:07:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108909 L’assureur sauve 31 M$.

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Moins de morts, moins de maladies et moins de sinistres : iA Groupe financier a dévoilé des résultats meilleurs que prévu, tandis que le malheur a moins côtoyé ses clients ce printemps.

L’assureur de Québec a mentionné qu’il a réalisé un gain d’expérience de 31 millions de dollars (M$) au deuxième trimestre, ce qui veut dire que les réclamations ont été moins élevées que ses hypothèses.

Les astres ont été bien alignés au Canada tant pour l’assurance-vie, l’assurance collective offerte par les employeurs et l’assurance-dommages, a expliqué le chef des finances, Éric Jobin, lors d’une conférence téléphonique, mercredi avec les analystes financiers.

« Nous avons eu un gain d’expérience avec la mortalité, avec la morbidité (les réclamations pour maladies) pour les assurances collectives, a dit celui qui occupe également les fonctions d’actuaire en chef. Les conditions météorologiques étaient favorables. »

« Je dirais que le gain de 31 M$ s’explique par des petits gains dans chacun des segments », a-t-il précisé.

L’analyste, Darko Mihelic, de RBC Marchés des capitaux, a observé, dans une note, que les gains d’expérience « sont une belle chose, mais nous ne les voyons pas comme soutenables ». En excluant ce gain, ces résultats restent tout de même « solides », selon lui.

L’entreprise, qui portait anciennement le nom d’Industrielle Alliance, ne dévoile pas séparément les résultats pour son segment des garanties distribuées par les concessionnaires automobiles aux États-Unis, mais le chef de la croissance des opérations américaines, Sean O’Brien, a évoqué des améliorations graduelles.

Il a mentionné que la société a ajusté ses prix, ce qui devrait contribuer à l’amélioration des marges. « Nous avons réduit nos dépenses de 5 % dans ce segment. C’est significatif. »

Les conditions économiques ont été défavorables pour les garanties automobiles aux États-Unis au cours des derniers trimestres.

Le président et chef de la direction, Denis Ricard, avait indiqué en entrevue, en février, que la hausse des taux d’intérêt et l’augmentation du prix des automobiles avaient nui au secteur.

« Le client a moins de (marge de manœuvre) parce que, quand il atteint son maximum avec la voiture, après ça, c’est plus difficile de vendre l’extra », avait expliqué le président et chef de la direction.

Les analystes ont posé des questions sur l’acquisition de RF Capital Group pour 370 M$, annoncée la semaine dernière. Denis Ricard a mentionné qu’il ne savait pas encore quel serait le coût encouru pour fidéliser les conseillers de l’entreprise qui exerce ses activités sous la marque Patrimoine Richardson.

Le vice-président exécutif, iA Gestion de patrimoine, Stephan Bourbonnais, a souligné que la rétention des conseillers était essentielle au succès de la transaction. « Nous écoutons les conseillers pour comprendre ce qui est important pour eux. »

iA Groupe financier a l’intention de conserver la marque de Patrimoine Richardson. « Ça se fait dans la continuité et je crois que ça a été bien reçu jusqu’à maintenant », a dit Stephan Bourbonnais.

L’analyste Mike Rizvanovi, de Banque Scotia, a souligné qu’iA Groupe financier avait un trésor de guerre bien garni et que l’entreprise pouvait toujours déployer l’équivalent de 900 M$, même en tenant compte de la récente acquisition.

Denis Ricard a précisé que, si l’entreprise ne parvenait pas à trouver d’autres cibles d’acquisition, elle rachèterait de ses propres actions. Lorsqu’une entreprise rachète des actions, son bénéfice est dilué sur un moins grand nombre de titres.

« Nous n’avons pas l’intention d’empiler notre capital, a dit le PDG. Nous voulons le déployer. Si nous ne sommes pas en mesure de faire des acquisitions, nous allons racheter plus d’actions. »

L’entreprise a annoncé, en même temps, une augmentation de son dividende trimestriel de 10 % à 0,99 $.

iA Groupe financier a dévoilé un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 327 M$, en hausse de 53 %, par rapport à 214 M$ à la même période l’an dernier. Le bénéfice ajusté par action a bondi à 3,49 $, en hausse de 27 %.

Avant la publication des résultats, les analystes anticipaient un bénéfice par action de 3,09 $, selon la firme de données financières Refinitiv.

L’action a gagné 3,69 $, ou 2,67 %, à 142,14 $ à la fin de la séance de mercredi à la Bourse de Toronto.

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Guerre commerciale : le Canada s’en tire bien malgré tout https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/guerre-commerciale-le-canada-sen-tire-bien-malgre-tout/ Tue, 05 Aug 2025 11:00:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108862 Mais l’incertitude demeure entière.

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Malgré le décret du président américain, Donald Trump, le Canada est l’un des pays les moins frappés par ses visées protectionnistes. L’incertitude fait tout de même mal aux entreprises, prévient le milieu des affaires québécois.

Les droits de douane imposés par les États-Unis sur les produits canadiens ont été portés à 35 % vendredi, mais les produits conformes à l’accord de libre-échange entre le Canada, les États-Unis et le Mexique (ACEUM) sont exemptés.

« Les conséquences des annonces actuelles sont gérables pour l’économie canadienne, a analysé l’économiste Sébastien McMahon, d’iA Groupe financier, en entrevue. Pour le moment, on s’en tire relativement bien. »

Sébastien McMahon a souligné, en entrevue, que près de 90 % des exportations canadiennes sont exemptées des droits de douane, car elles sont conformes à l’ACEUM.

Même si le gouvernement Carney n’est pas parvenu à une entente commerciale avant l’échéance du 1er août, le Canada a un avantage concurrentiel par rapport aux autres partenaires commerciaux, même ceux qui ont signé une entente.

« Aujourd’hui, en tenant compte des exemptions de l’ACEUM, on se retrouve le deuxième pays avec le tarif le plus faible vers les États-Unis, a nuancé l’économiste. Donc, le Mexique est en premier. Après ça, c’est nous avec un tarif moyen d’environ 5 %. »

Certaines industries sont toutefois touchées plus durement, notamment l’aluminium, le cuivre, le bois d’œuvre et le secteur automobile, qui sont frappés d’autres droits de douane.

Une incertitude qui fait mal

Les entreprises souffrent toutefois de l’incertitude économique, a nuancé la présidente-directrice générale de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ), Véronique Proulx, en entrevue. « C’est l’incertitude qui fait le plus mal à nos entreprises et à nos régions », a-t-elle déploré.

La voix du milieu des affaires québécois est préoccupée par la baisse des investissements des entreprises, tandis que l’économie est « sur pause ». « Ça va avoir un impact sur le moyen et long terme par rapport à notre capacité, en fait, de garder nos entreprises, notamment industrielles, dans les différentes régions du Québec », a prévenu Véronique Proulx.

Dans le secteur manufacturier québécois, les investissements ont reculé de 318 millions de dollars par rapport à l’an dernier, selon un bilan tracé par la FCCQ à partir des données de Statistique Canada.

L’effet sur l’économie du Québec s’est aussi fait sentir sur les emplois. Il s’est perdu 15 000 emplois dans le secteur manufacturier au cours des six premiers mois de l’année, toujours selon le bilan de la FCCQ. Ce chiffre est de 25 000 emplois pour le secteur de la construction et de 4000 emplois dans le secteur primaire.

« Nos entreprises ont réduit la production et laissent aller des travailleurs, malheureusement », a déploré Véronique Proulx.

L’incertitude ne se dissipera pas complètement, mais les choses pourraient s’améliorer, croit Sébastien McMahon. « Il va demeurer un sentiment d’incertitude, mais peut-être que l’incertitude pourrait réduire parce qu’on se rend compte que ce n’est peut-être pas un scénario catastrophe qu’on est en train de vivre. »

La priorité sera de préserver le libre-échange entre les États-Unis et le Canada afin de limiter les dégâts, a ajouté l’économiste. « L’important c’est que l’accord de libre-échange tienne la route à long terme. Maintenant, quand on regarde vers 2026, ça nous amène à un nouveau risque. Est-ce que Donald Trump va s’opposer au renouvellement de cet accord-là ? Va-t-il vouloir le renégocier ? »

Cette négociation est critique pour l’économie, a abondé Véronique Proulx, mais, devant un président imprévisible, le gouvernement Carney doit aussi agir sur ce qu’il peut contrôler, a-t-elle plaidé.

Elle a donné en exemple les politiques d’achat local des gouvernements. Elle est aussi revenue à la charge contre les restrictions du nombre de travailleurs étrangers temporaires.

« C’est maintenant qu’ils doivent agir pour aider les entreprises qui vont être contraintes de réduire leur production parce que le gouvernement fédéral ne renouvelle pas les permis de travail », a-t-elle ajouté.

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iA absorbe RF Capital dans une transaction de 597 M$ https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ia-absorbe-rf-capital-dans-une-transaction-de-597-m/ Tue, 29 Jul 2025 10:55:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108755 La société consolide ainsi sa position auprès de la clientèle fortunée.

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iA Société financière (iA), de Québec, annonce la conclusion d’une entente définitive en vue d’acquérir RF Capital Group pour une contrepartie en espèces de 20 $ par action ordinaire, valorisant la transaction à 597 millions de dollars (M$).

Cette acquisition marque une étape importante dans la stratégie de croissance d’iA, qui ajoute ainsi plus de 40 milliards de dollars (G$) en actifs sous gestion à ses activités et renforce sa position dans le segment des clients à valeur nette élevée. À la fin de juillet, Patrimoine Richardson comptait 455 personnes détentrices d’un titre de représentant de courtiers (conseillers associés et adjoints avec permis inclus) répartit dans 23 bureaux à la grandeur du Canada.

RF Capital, connue pour ses services-conseils personnalisés sous la bannière Patrimoine Richardson, continuera d’opérer sous cette marque. Ses quelque 175 G$ d’actifs consolidés sous gestion, une fois intégrés, feront d’iA Gestion de patrimoine une « plateforme non bancaire de premier plan au Canada », particulièrement dans le domaine du courtage de plein exercice indépendant.

« Cette transaction s’inscrit dans notre stratégie de croissance durable et renforce notre modèle de distribution évolutif », affirme Denis Ricard, président et chef de la direction d’IA Groupe financier.

Des synergies technologiques et opérationnelles

L’opération devrait générer des synergies significatives, tant en matière de revenus que de coûts. L’intégration portera notamment sur les plateformes numériques, les fonctions d’entreprise et les fournisseurs externes. Une attention particulière sera toutefois portée au maintien de l’indépendance opérationnelle des conseillers de RF Capital.

Sur le plan technologique, iA entend capitaliser sur l’expertise de RF Capital en matière de plateformes numériques et d’intelligence artificielle pour améliorer l’expérience des clients et des conseillers. Le regroupement permettra également d’harmoniser les outils et d’élargir l’offre de produits, incluant gestion de patrimoine, marchés des capitaux, assurance et services-conseils.

Un financement interne

Le financement de l’acquisition se fera à même l’encaisse existante d’iA, ce qui entraînera une baisse de son ratio de solvabilité d’environ six points de pourcentage. Malgré cela, la direction affirme que l’impact sur les résultats de base sera neutre la première année et que l’acquisition devrait bonifier le bénéfice par action (BPA) d’au moins 0,15 $ à partir de la deuxième année.

Par ailleurs, les coûts de transaction et d’intégration sont estimés à 60 M$ sur trois ans, principalement concentrés sur la première année.

Une prime pour les actionnaires

La transaction, qui prévoit aussi l’achat des actions privilégiées de série B à 25 $ chacune, représente une prime de 107 % sur le cours de clôture du 25 juillet (9,65 $) et de 102 % sur le cours moyen pondéré sur 30 jours. Les actionnaires recevront leur contrepartie intégralement en espèces, assurant ainsi une liquidité immédiate.

L’opération a reçu l’appui unanime du conseil d’administration de RF Capital, sur la recommandation de son comité spécial d’administrateurs indépendants, ainsi que celui de Richardson Financial Group Limited, principal actionnaire de RF Capital avec une participation de 44,32 %.

« Cette étape importante marque le début d’un nouveau chapitre passionnant pour RF Capital. En alliant nos forces à celles d’iA, nous pouvons tirer parti d’excellentes opportunités dans les domaines de la technologie, de l’innovation produit et de l’échelle opérationnelle, ce qui améliore la proposition de valeur pour les conseillers grâce à des capacités et un soutien accru », a commenté Dave Kelly, président et chef de la direction de RF Capital.

La transaction devrait être finalisée au cours du quatrième trimestre de 2025, sous réserve de l’approbation des actionnaires de RF Capital et des autorités réglementaires. Elle soutient l’objectif d’iA d’atteindre un rendement des capitaux propres supérieur à 17 % d’ici 2027.

Le coût de la transaction inclut la liquidation des régimes d’actionnariat, lequel permettait à certains conseillers en placement d’être actionnaires de leur entreprise.

Par ailleurs, lorsque survient ce genre de transaction, surtout dans le secteur du courtage de plein exercice indépendant, certains conseillers gérant d’importants actifs sont sollicités afin qu’ils changent vers une société de courtage concurrente. Pour éviter un départ massif d’actifs, les conseillers de la société cible reçoivent souvent une mesure incitative afin de rester auprès du courtier choisi par leurs supérieurs. Selon le communiqué de presse, iA Groupe financier mettra en place une « stratégie de rétention des conseillers », lequel coût s’ajoutera au prix d’achat. Cette stratégie vise « de maintenir et de développer notre réseau de distribution national », indique-t-on.

Cela fait plusieurs décennies qu’iA Gestion privée de patrimoine tente d’atteindre une masse critique importante de conseillers et d’actifs afin de répartir ses coûts technologiques, de conformité et de croissance. En août 2017, iA avait fait l’acquisition de Patrimoine Hollis et, l’année dernière, se sont ajoutés 31 conseillers de la division de courtage de détail de plein exercice de la Banque Laurentienne.

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iA Société financière fera l’acquisition de RF Capital Group https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ia-societe-financiere-fera-lacquisition-de-rf-capital-group-inc/ Mon, 28 Jul 2025 14:16:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108735 Pour un prix d’achat de 597 M$.

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iA Société financière a annoncé la conclusion d’une entente avec RF Capital à l’issue de laquelle elle fera l’acquisition de la totalité des actions ordinaires émises et en circulation de RF Capital moyennant 20,00 $ par action en espèces.

« Cette acquisition s’inscrit dans notre approche distinctive, À la façon de iA — mettant de l’avant notre approche stratégique en matière de croissance durable — en élargissant notre portée dans les segments cibles et en améliorant notre modèle de distribution évolutif, a déclaré Denis Ricard, président et chef de la direction de iA Groupe financier. Nous réaffirmons notre engagement envers la valeur du conseil en dotant les conseillers d’outils de premier ordre tout en préservant leur indépendance, afin qu’ils puissent aider les clients à se sentir en sécurité face à leur avenir financier. »

Le prix d’achat de 597 millions de dollars (M$) comprend une évaluation des capitaux propres de RF Capital après dilution de 370 M$ et 227 M$ en obligations financières (facilité de crédit renouvelable et actions privilégiées).

« Cette étape importante marque le début d’un nouveau chapitre passionnant pour RF Capital. En alliant nos forces à celles de iA, nous pouvons tirer parti d’excellentes opportunités dans les domaines de la technologie, de l’innovation produit et de l’échelle opérationnelle, ce qui améliore la proposition de valeur pour les conseillers grâce à des capacités et un soutien accru, a déclaré Dave Kelly, président et chef de la direction de RF Capital. Nos conseillers continueront d’opérer de façon indépendante sous la marque Patrimoine Richardson, soutenus par la solidité et la stabilité financières de iA Groupe financier, et demeurent entièrement dédiés à fournir des conseils personnalisés et fiables à leurs clients. »

« L’ajout de RF Capital renforce la position de iA Gestion de patrimoine en tant que plateforme de gestion de patrimoine non bancaire de premier plan au Canada, offrant une portée supplémentaire dans le secteur du courtage de plein exercice indépendant. En regroupant des modèles de distribution complémentaires, cette transaction propulse les actifs sous gestion totaux du réseau de conseillers de gestion de patrimoine de iA à près de 175 milliards de dollars et crée des économies d’échelle en termes de prix, de distribution, de force numérique et de marque, a déclaré Stephan Bourbonnais, vice-président exécutif, Gestion de patrimoine.

Rappelons qu’en 2024, iA Groupe financier a acquis la division de courtage de détail à service complet de la Banque Laurentienne.

Plus d’informations à venir.

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Clément Gignac se voit confier de nouvelles responsabilités au sein du Sénat canadien https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/clement-gignac-se-voit-confier-de-nouvelles-responsabilites-au-sein-du-senat-canadien/ Tue, 22 Jul 2025 12:06:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=108453 NOUVELLES DU MONDE — Il présidera un comité à saveur économique.

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L’honorable Clément Gignac a été nommé président du Comité sénatorial des banques, du commerce et de l’économie. Il est économiste et cumule plus de 35 années d’expérience dans les secteurs privé et public.

« Bien hâte de travailler en compagnie de mes collègues du comité au retour de la pause estivale pour accomplir notre mandat. Avec l’agenda à saveur fortement économique du Gouvernement Carney, nous devrions être fort occupés et en mesure de jouer notre rôle de second regard attentif », a témoigné Clément Gignac sur les réseaux sociaux.

Avant sa nomination comme sénateur le 29 juillet 2021, Clément Gignac a été vice-président principal et économiste en chef chez iA Groupe financier à compter de 2012.

Élu député à l’Assemblée nationale du Québec en 2009, il a d’abord été ministre du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, puis ministre des Ressources naturelles et de la Faune de 2011 à 2012 au sein du gouvernement du Québec.

Auparavant, Clément Gignac a agi en tant que conseiller économique et stratège au sein de différentes institutions financières, y compris à titre de vice-président et d’économiste en chef pour la Financière Banque Nationale de 2000 à 2008.

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IA, Great-West et Manuvie dévoilent leurs résultats trimestriels https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ia-great-west-et-manuvie-devoilent-leurs-resultats-trimestriels/ Tue, 13 May 2025 10:59:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=107305 La croissance au rendez-vous malgré la volatilité des marchés.

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IA, Great-West et Manuvie ont dévoilé leurs résultats du premier trimestre qui s’est terminé le 31 mars 2025. En voici un condensé.

iA Groupe financier : une forte progression

IA Groupe financier poursuit « une croissance rentable, soutenue par une forte progression des ventes et une solide situation en matière de capital », selon leur communiqué.

Parmi les faits saillants du premier trimestre, iA Groupe financier a enregistré un résultat par action ordinaire (BPA) dilué tiré des activités de base de 2,91 $, en hausse de 19 % par rapport à la même période en 2024.

Le rendement sur les capitaux propres (RCP) tiré des activités de base pour les 12 derniers mois s’est établi à 16,1 %.

Le résultat net attribué aux actionnaires ordinaires au premier trimestre s’est chiffré à 186 millions de dollars (M$), le BPA dilué, à 1,98 $ et le RCP pour les 12 derniers mois, à 13,0 %.

Le ratio de solvabilité était de 132 % au 31 mars 2025, témoignant « d’une solide situation en matière de capital », indique le communiqué.

Par ailleurs, IA enregistre une forte progression des ventes au Canada et aux États-Unis, ayant mené à 5,8 milliards de dollars (G$) en primes et dépôts (en hausse de 19 % d’une année à l’autre).

Au 31 mars 2025, IA comptait plus de 264 G$ en actifs, soit une augmentation de 15 % au cours des 12 derniers mois (actif sous gestion et actif sous administration totaux).

La valeur comptable par action ordinaire était de 74,62 $ au 31 mars 2025, en hausse de 2 % au cours des trois derniers mois et de 8 % au cours des 12 derniers mois.

« Après une solide performance en 2024, nous avons continué d’afficher une forte progression à l’aube de 2025 dans toutes les unités d’exploitation. La croissance des ventes et des revenus, observée au Canada et aux États-Unis au cours du premier trimestre, souligne la force de notre réseau de distribution et de notre modèle d’affaires diversifié, ce qui nous place en bonne position pour atteindre nos nouvelles cibles financières présentées lors de notre événement destiné aux investisseurs en février », commente Denis Ricard, président et chef de la direction de iA Groupe financier.

« Au Canada, poursuit-il, nous avons maintenu notre excellente position en matière de ventes dans nos activités de base, à savoir l’assurance individuelle, les services aux concessionnaires et les fonds distincts. Aux États-Unis, le secteur de l’Assurance individuelle a enregistré de solides résultats, soutenus par une croissance organique et des acquisitions, tandis que les Services aux concessionnaires ont affiché l’amélioration progressive des bénéfices que nous avions anticipée, reflétant notre discipline en matière d’exécution de nos activités. »

Great-West Lifeco : une croissance en gestion du patrimoine et de la retraite

Dans son communiqué, Great-West Lifeco annonce que le bénéfice fondamental s’est chiffré à plus de 1,0 G$, en hausse de 5 % d’un exercice à l’autre, en raison d’une croissance à deux chiffres du bénéfice fondamental dans ses secteurs d’activité Retraite et Gestion du patrimoine.

Parmi les autres faits saillants, le bénéfice net lié aux activités poursuivies s’est établi à 860 M$, ou 0,92 $ par action, en baisse de 17 % par rapport au premier trimestre de 2024. Selon Great-West, cette baisse « reflète principalement l’expérience défavorable sur le marché, particulièrement en ce qui a trait à la diminution des rendements des actifs immobiliers et aux taux d’intérêt ».

Le rendement des capitaux propres fondamental s’est établi à plus de 17 % et devrait continuer de croître, indique Great-West, principalement en raison de la solide croissance au sein de son exploitation américaine. Le rendement des capitaux propres – activités poursuivies, s’est chiffré quant à lui à 15,6 %.

Le ratio du test de suffisance du capital des sociétés d’assurance vie (TSAV) s’est établi à 130 % et la trésorerie de Lifeco à 2,5 G$, alors que la valeur comptable par action s’est chiffrée à 27,61 $, en hausse de 12 % d’un exercice à l’autre.

Great-West a finalement racheté 2,1 millions d’actions, s’inscrivant ainsi dans son objectif de rachats totalisant 500 M$ en 2025.

« Nous avons affiché de solides résultats au premier trimestre, notamment une croissance à deux chiffres du bénéfice fondamental dans nos secteurs d’activité Retraite et Gestion du patrimoine », observe Paul Mahon, président et chef de la direction de Great-West Lifeco.

« Notre exploitation américaine continue d’être la principale source de cette croissance, continue-t-il, grâce à ses solides entrées nettes attribuables aux mandats remportés au titre des régimes de retraite et à l’essor de ses souscriptions liées aux transferts. Bien que la volatilité des marchés soit élevée, les activités principales continuent d’afficher de bons résultats, et nos ambitions de croissance demeurent bien soutenues par notre capital généré et notre bilan, qui sont solides. »

Manuvie : des résultats records

Manuvie a dégagé pour le premier trimestre de 2025 « des résultats records au chapitre des affaires nouvelles des activités d’assurance et une croissance soutenue de la valeur comptable par action ordinaire », indique leur communiqué.

Parmi les principaux faits saillants, le résultat tiré des activités de base s’est chiffré à 1,8 G$, en baisse de 1 % selon un taux de change constant par rapport à celui du premier trimestre de 2024. Selon Manuvie, cette diminution modérée s’explique par la croissance soutenue des activités dans Gestion de patrimoine et d’actifs, Monde et le secteur Asie, contrebalancée par l’augmentation de 45 M$ après impôts de la provision pour pertes de crédit attendues au premier trimestre de 2025.

Le résultat net attribué aux actionnaires s’est établi à 0,5 G$, en baisse de 0,4 G$ par rapport à celui du premier trimestre de 2024. Cette diminution reflète une charge nette plus élevée au titre des résultats techniques du marché, indique Manuvie.

Le résultat dilué par action ordinaire (RPA) tiré des activités de base s’est établi à 0,99 $, en hausse de 3 % par rapport à celui du premier trimestre de 2024.

Le RPA s’est établi à 0,25 $, en baisse de 48 % par rapport à celui du premier trimestre de 2024

Le rendement des capitaux propres (RCP) tiré des activités de base s’est chiffré à 15,6 % et le RCP à 3,9 %, tandis que le ratio du TSAV s’est établi à 137 %.

Manuvie souligne une vigueur soutenue des résultats des produits d’assurance au premier trimestre de 2025, comme en témoigne l’augmentation des souscriptions d’équivalents primes annualisées (EPA), de la marge sur services contractuels au titre des affaires nouvelles (MSC) et de la valeur des affaires nouvelles (VAN) d’un exercice à l’autre respectivement de 37 %, 31 % et 36 %.

Manuvie a enregistré des entrées nettes de fonds de 0,5 milliard de dollars dans sa division Gestion de patrimoine et d’actifs — Monde, un recul marqué par rapport aux 6,7 G$ observés au premier trimestre de 2024.

Dans le sous-secteur des régimes de retraite, les sorties nettes de fonds ont atteint 2,6 G$ au T1 2025, contrastant avec des entrées nettes de 3,2 G$ un an plus tôt. Ce renversement s’explique par un nombre accru de rachats de régimes ainsi qu’une hausse des retraits nets de participants en Amérique du Nord.

« La croissance de nos activités sous-jacentes est demeurée stable, tandis que celle du RPA tiré des activités de base a été freinée par l’augmentation de la provision pour pertes de crédit attendues et une provision au titre des feux de forêt en Californie. Au T1 2025, la valeur comptable par action ordinaire a continué d’afficher une croissance soutenue, augmentant de 12 % d’un exercice à l’autre. Le ratio du TSAV est demeuré robuste, à 137 %, et le ratio de levier financier s’est fixé à 23,9 %, un niveau largement en deçà de notre cible à moyen terme de 25 %. Ancrés dans nos priorités stratégiques et soutenus par un bilan robuste, nous sommes en bonne position pour composer avec la conjoncture économique actuelle et tirer parti des possibilités de croissance », rapporte Colin Simpson, chef des finances de Manuvie.

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